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  • Uganda's Education Response Plan for Teachers' Colleges

    Uganda's Education Response Plan for Teachers' Colleges


    Dorothy KYAMAZIMA | 17/05/2023

    During the COVID-19 pandemic education across the globe came to a stand still. The effects of this were far reaching and rural areas were hit hardest due to underlying disparities. However, from this education crisis rose the opportunity to enact an emergency response plan that would fast track education service delivery and leave no one behind.  Today, more than 3500 students in the National Teachers’ Colleges are benefiting from the education emergency response plan implemented by Enabel and the Ministry of Education and Sports during the COVID-19 pandemic.


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    Uganda UGA1503111

  • Uganda: Digitizing School Practice

    Uganda: Digitizing School Practice


    Dorothy KYAMAZIMA | 17/05/2023

    National Teachers’ Colleges have made strides in adapting digital technologies in the Teaching and learning process. Colleges now simplify the school practice process using an inbuilt academic management system. Click here for more: ➡️https://bit.ly/3Bzx7mq


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    Uganda UGA1503111

  • Enabel au Burkina Faso dote la région du Centre-Est d’un Centre d’Innovation pour le bonheur des entrepreneurs

    Au Burkina Faso, un centre d’Innovation voit le jour pour le plus grand bonheur des entrepreneurs


    Geoffroy ZONGO | 15/05/2023

    Enabel, à travers son Intervention Entrepreneuriat, a fourni officiellement un centre d’Innovation à la commune de Tenkodogo. La cérémonie d’inauguration du centre, construit et entièrement équipé par Enabel, a eu lieu le mercredi 10 mai 2023 sous la présidence du colonel Aboudou Karim LAMIZANA, Gouverneur de la région du Centre-Est. La cérémonie a connu la présence effective de Gilbert SINDAYIGAYA, Représentant résident d’Enabel par intérim au Burkina Faso, de Julie VAN DER SMISSEN, Intervention Manager Entrepreneuriat, des autorités administratives, coutumières et religieuses de la Région du Centre-Est et de plusieurs partenaires et acteurs de mise en œuvre des projets financés par Enabel. Le Centre d’Innovation de la région du Centre-Est est bâti sur un terrain de 2100 mètres carrés dans la commune de Tenkodogo. L’infrastructure comporte un espace d’accueil, un espace coworking, une salle de conférence, deux petites salles de réunion, quatre bureaux individuels, une salle dotée d’ordinateurs, une autre salle équipée d’imprimantes 3D, un hangar d’exposition et un espace de rangement des équipements technologiques. Ces espaces sont équipés en mobiliers et matériels pour permettre la tenue des activités dans des conditions optimales. Le Centre dispose également d’une source autonome d’énergie composée de plaques solaires et de batteries permettant de faire fonctionner l’ensemble des équipements électriques, hormis les climatiseurs. L’infrastructure et tous ces équipements sont d’une valeur de plus de 294 millions de FCFA, soit environ 450 000 euros. Stimuler l’innovation et accompagner les porteurs de projet à transformer leurs idées et/ou leurs activités économiques existantes en entreprises viables.Selon Gilbert SINDAYIGAYA, Représentant résident d’Enabel par intérim au Burkina Faso, « La vocation du Centre est d’être un espace d’informations et d’accompagnement sur les technologies, le digital et l’entrepreneuriat avec pour mission principale de stimuler l'innovation en tenant compte des potentialités de la région et accompagner les porteurs de projet à transformer leurs idées en entreprises viables. Il prend ainsi le relais du Centre de Promotion des Technologies qui avait été mis en place en octobre 2020, en capitalisant sur les acquis de celui-ci et en élargissant ses missions. »Le Gouverneur de la région, quant à lui, se réjouit de cette initiative d’Enabel qui traduit une fois de plus la consolidation des relations entre le Burkina Faso et le Royaume de Belgique. « Notre région est à l’honneur par l’inauguration de cette belle infrastructure que je salue à sa juste valeur. C’est une première du genre qui gagnerait à être implémentée dans d’autres localités de notre pays afin de stimuler l’innovation et d’accompagner des porteurs de projets, prioritairement les jeunes et les femmes à transformer leurs idées en entreprises viables. », Colonel Aboudou Karim LAMIZANA. Il a invité les bénéficiaires de ces espaces à en faire un très bon et durable usage pour leurs propres intérêts en tant qu’acteurs socioéconomiques et pour tous ceux qui devront profiter des fruits de leurs créativités et innovations. L’infrastructure est offerte à la mairie de Tenkodogo qui, à son tour la met à la disposition de l’Association Centr’Innov Burkina, chargée de sa gestionAu cours de la cérémonie d’inauguration, le Représentant résident d’Enabel par intérim au Burkina Faso, l’Intervention Manager Entrepreneuriat et le Président de la délégation spéciale de la commune de Tenkodogo ont procédé à la signature de l’acte de donation du bâtiment à la Mairie de Tenkodogo. Par cette signature, Enabel en fait totalement don à la commune. En effet, ladite commune a bien voulu mettre son terrain à la disposition d’Enabel pour la construction de l’infrastructure. Quant à la gestion effective du Centre d’Innovation, elle est confiée à l’Association Centr’Innov Burkina dont les membres fondateurs sont CEAS Burkina et Wakatlab. C’est pourquoi, le Président de la délégation spéciale de Tenkodogo Monsieur POODA Sami Bérenger et le Président du Conseil d’Administration de l’Association, Docteur KONSEIBO Charles Didace ont également signé une convention de mise à disposition. Cette action marque officiellement la remise des clés du Centre à l’Association. « Centr’Innov » est la nouvelle dénomination du Centre qui dispose ainsi d'une nouvelle identité visuelle. Il est fonctionnel et s'est déjà fait connaître dans la région du Centre-Est à travers des activités comme : la promotion de technologies adaptées aux besoins des micro et petites entreprises de la région ; la promotion du digital et des outils numériques ; l'organisation d'événements d'émulation pour les jeunes ; l'incubation des porteurs de projet.


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    Burkina Faso BKF1803211

  • Enabel au Burkina Faso : « Autonomisation des femmes et des jeunes déplacés et leurs hôtes dans la région du Centre-Est ».

    Au Burkina Faso, zoom sur l'autonomisation des femmes et des jeunes déplacés dans la région du Centre-Est


    Kimsegninga SAVADOGO | 15/05/2023

    Ce projet financé par Enabel au Burkina Faso est mis en œuvre par un consortium constitué de trois organisations : TRIAS (organisation belge et chef de fil), ICCO- Coopération ONG néerlandaise) et OCADES (Organisation Catholique pour le Développement et la Solidarité) dans quatre communes (Koupéla, Pouytenga, Bittou et Ouargaye) de la région de Centre-Est. L’équipe du projet, est à pieds d’œuvre sur le terrain pour apporter aux populations vulnérables de la zone d’intervention, un encadrement et un appui technique adéquats à travers notamment : L’identification et l’accompagnement technique de 800 de femmes cheffes de ménages (PDIs et hôtes) dans la mise en œuvre des activités génératrices de revenus (AGRs) à travers le cash transfert ; La formation professionnelle aux métiers au profit de 200 jeunes et femmes des quatre communes concernées par le projet ; L’aménagement de deux sites maraichers et piscicoles à Pouytenga et à Koupéla au profit de 100 femmes dont 50 femmes par site. L’ensemble de ces actions tiennent compte d’un ratio de 70% de personnes déplacées internes (PDI) et de 30% de populations hôtes et 1200 bénéficiaires directs sont cibles directs de ce projet. Un mécanisme endogène d’épargne et de crédits CECA (communauté d’épargne et de crédit autonome) Dans le cadre de ce projet, les femmes sont organisées en groupements de 15 à 25 personnes chacun dénommés CECA qui se réunissent hebdomadairement pour des cotisations volontaires en vue de réunir un capital devant servir de base pour des octrois de crédits aux membres desdits groupements. Il s’agit d’un mécanisme endogène permettant d’autofinancer des petites initiatives d’activités génératrices de revenus mais aussi de subvenir aux besoins urgents notamment les cas de maladies, de scolarité des enfants, etc... Ainsi, le   capital constitué permet d’octroyer de crédits entre membres des groupes. Ces crédits sont remboursés avec un petit bénéfice qui permet d’augmenter le capital. Cas du CECA Wendsongda de Pouytenga La Communauté d’Epargne et de Crédit Autonome (CECA) Wendsongda (en français, Dieu aide) de Pouytenga regroupe en son sein 29 femmes toutes PDI en provenance des zones gangrénées par les attaques terroristes à savoir l’Est, le Centre-Nord et le Nord du Burkina Faso. Ces femmes se réunissent une fois par semaine et cotisent au moins à chaque rencontre 250 francs CFA (une part) par personne pour constituer une caisse d’épargne commune. Chaque membre peut cotiser jusqu’à 5 parts ; soit 1 250 FCFA par rencontre. A leur quatrième session tenue le 4 mai 2023, lors du passage d’une équipe d’Enabel au Burkina Faso, elles avaient déjà mobilisé 55 250 francs CFA dans leur caisse avec à côté, un fonds de solidarité de 2500 francs CFA. Ce dernier sert à fournir une assistance en cas des problèmes sociaux que rencontreraient les membres du groupe comme les cas de maladies, de décès, etc. Un comité de gestion composé d’une présidente, d’une secrétaire générale, d’une trésorière, de deux commissaires aux comptes et de trois caissières, veille à la gestion parcimonieuse des fonds collectés qui servent d’épargne et d’octroi des crédits aux membres qui en désirent, suivant des critères définis par le règlement d’ordre intérieur de la caisse. A notre présence, 2 femmes manifestent ce jour-là leur souhait de bénéficier d’un crédit avec lequel la première planifie vendre des légumes et a déjà cotisé 3 500 francs CFA. La seconde souhaite développer son activité de restauration. Elle veut s’approvisionner en pâte d’arachide à cet effet et a aussi cotisé un montant total de 4750 francs CFA. Selon le règlement d’ordre intérieur du groupe, chacune d’elle ne peut prétendre qu’à un crédit maximal équivalant à trois fois la somme qu’elle a déjà cotisée. La première se propose de rembourser le crédit perçu en un seul mois et la seconde remboursera en trois mois le crédit de 15 000 CFA demandés. Chacune d’entre elle est soumise à l’obligation de payer des intérêts fixés à 250 francs CFA par mois sur 5 000 francs CFA empruntés.Les femmes membres du CECA Wendsongda disent se faire mutuellement confiance et engagées à rester en groupement et à poursuivre les activités même après la fin du projet. Activités génératrices de revenus au profit de 800 femmes cheffes de ménages En plus du mécanisme endogène d’épargne et d’octroi de crédits-CDECA, les 800 femmes ont été appuyés par les business coach et les Centre de Ressources en Entreprenariat Rural –CREER dans le développement d’un plan d’affaire personnel dont le montant ne dépasse pas 100,000 FCFA. Pour cela, chacune devra ouvrir individuellement un compte bancaire auprès de l’une des deux structures de microfinances (Coris Bank ou Réseau des Caisses Populaires) par lequel elle recevra un « cash transfert » pour développer une AGR. Cette modalité de transfert a été choisie dans le souci de mettre en relation les bénéficiaires du cash et les institutions financières locales afin de bénéficier de leurs services comme l’épargne et le crédit dans la poursuite de leur AGR. Nous espérons que le cash transfert renforcera les premières initiatives d’épargne et de crédits déjà constatées à travers les CECA mais aussi et surtout permettra le développement des AGRs pour l’ensemble des bénéficiaires directs comme objectif ultime de ce projet. Formations professionnellesLes 200 jeunes ciblés pour cette activité ont été affectés dans 24 structures de formation dont 17 ateliers et 07 centres de formation. Au total, onze corps de métiers dont le tissage, la coupe - couture, la coiffure, la mécanique deux roue, la construction métallique/soudure, la menuiserie, le tricotage, l’électricité, la vulcanologie, la conduite automobile et la cosmétique sont les préférences des apprenants. Le projet procèdera aux paiements des frais d’inscription des apprenant-e-s aux différentes structures de formation, suivant leurs grilles tarifaires et selon le plafond de 150 000 francs CFA fixé à cet effet. Des subventions à des coopératives pour l’acquisition d’équipementsDans le cadre des formations en métiers, il est prévu des subventions à des coopératives pour l’acquisition d’équipements pour l’encadrement et la formation professionnelle dans les métiers choisis par les bénéficiaires. En tout, huit coopératives bénéficieront de subventions dont le plafond est fixé à 1,5 million de francs CFA pour l’acquisition desdits équipements. A cet effet, un comité comprenant les représentant des bénéficiaires, les services techniques, d’entrepreneuriat et les délégations spéciales a déjà fait la présélection qui a permis de retenir 10 coopératives /entreprises sociales. De plus, des structures de formation mises à contribution dans le cadre de ce projet seront dotées en « matières d’œuvre » comme les mannequins pour la couture, les poupées pour la coiffure, etc… suivant l’identification de leurs besoins spécifiques. De plus, ces coopératives offriront aux participants aux formations des opportunités de réinsertion socio-économique. Sécurité foncière pour assurer l’exploitation des sites maraîchers En ce qui concerne l’aménagement des sites maraîchers, des négociations foncières ont été menées et ont permis d’acquérir un hectare de terre à Pouytenga dans le village de Baka et un autre hectare à Koupéla dans le village de Togtenga. Les négociations ont abouti à la cession définitive des terrains concernés aux communes. Ces terrains deviennent désormais des sites à vocation communautaire, exploitables par les coopératives/groupements même après la fin du projet et/ou le retour des PDI. Les accords conclus suite aux négociations seront matérialisés à travers la signature des documents officiels de cession. Les travaux géophysiques de l’eau et les recherches topographiques pour la délimitation des espaces sont aussi en cours. A l’issue de ce processus qui implique à la fois les techniciens des ministères de l’agriculture, de l’environnement, de l’élevage ainsi que des services fonciers ruraux, les bénéficiaires pourront exercer en toute sécurité des activités de maraichage et de pisciculture dans des bassins de 8X5 mètres carrés. Quelques défisParmi les quatre communes couvertes par le projet, deux en l’occurrence Bittou et Ouargaye sont sous emprise des attaques terroristes. Néanmoins, quoique difficilement accessibles, ces communes restent résilientes et les activités de formation se déroulent sans trop de couac.  L’administration locale rencontre des difficultés de fonctionnement mais les institutions de microfinance restent fonctionnelles.    


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    Burkina Faso BFA21003

  • Témoignage : Johnny ou le témoin de la métamorphose de la station d’épuration des eaux usées de Buterere

    Burundi : Rencontrez Johnny ou le témoin de la métamorphose de la station d’épuration des eaux usées de Buterere


    Rodrigue NIYONGABO | 15/05/2023

    Johnny, le sage, c’est comme ça qu’on le surnomme. De son vrai nom, c’est Johnny Nduwimana. Il travaille depuis 20 ans à la station d’épuration des eaux usées de Buterere, dans la ville de Bujumbura au Burundi. Ce technicien chevronné a accepté de témoigner sur les changements positifs de la station d’épuration des eaux usées de Buterere après l’appui du projet LATAWAMA mis en œuvre conjointement par Enabel Burundi et l’Autorité du Lac Tanganyika, sur financement de l’Union européenne. Il est 9h du matin à la station de Buterere. L’ambiance est talonnée par le bruit des camions vidangeurs qui se relaient afin d’évacuer les eaux usées en provenance des ménages. De loin, nous apercevons Johnny Nduwimana, la « bibliothèque vivante » de la station. Ce jour-là, il coordonne l’équipe de vidange des boues de la station à l’aide de la pompe automatique financée par le projet LATAWAMA. C’est l’élément du « puzzle » qui manquait à la station d’épuration et qui est venu compléter un paquet d’activité du projet Latawama dont l’objectif est d’optimiser le fonctionnement de la station d’épuration des eaux usées de Buterere. « Je travaille ici depuis de longues années. J’ai été témoin de différents appuis. J’ai assisté à différentes activités de cette station, jamais je n’avais vu une pompe d’une telle performance pouvant nous aider à vider les boues des bassins sur une longueur de 200m linéaire ». Je pense que nous sommes les premiers sur le territoire national à posséder une pompe aussi efficace », dit Johnny. D’une pierre, deux coups ! A côté de l’optimisation du fonctionnement de la station, l’utilisation de cette pompe marque la fin du curage manuel des boues des bassins de la station d’épuration des eaux usées de Buterere, avec toutes les conséquences pouvant en découler. « Avec la nouvelle pompe, nous allons facilement évacuer les boues liquides vers les lits de séchage. Nous espérons valoriser les boues en l’agriculture, le cas échéant et contribuer à l’équilibre financier de la station d’épuration. » Un appui qui donne de l’impact et qui améliore la performance épuratoire de la station.Pour rappel, à Bujumbura, le projet LATAWAMA contribue à optimiser le fonctionnement de la station d’épuration des eaux usées de Buterere.Après la réhabilitation des lits de séchage des boues et du laboratoire d’analyse des eaux, le projet vient de livrer un équipement de pompage des boues d’une capacité de 200 m³ par heure. Cet équipement permet la vidange des boues des bassins de la station et leur traitement au niveau des lits de séchage.Une gestion efficace des boues permet d’améliorer les performances épuratoires de la station et ainsi de garantir que les eaux de rejet de la station ne dégradent pas la qualité des eaux du lac Tanganyika.


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    Burundi BDI180971T

  • Au Bénin, Enabel à travers DigiBoost révolutionne l’écosystème de l’économie numérique

    Au Bénin, Enabel à travers DigiBoost révolutionne l’écosystème de l’économie numérique


    Reece-hermine ADANWENON | 15/05/2023

    Le projet d’appui au renforcement de l’écosystème de l’économie numérique au Bénin DigiBoost mis en œuvre par Enabel et financé par L'Union Européenne au Bénin était présent à la 2ème édition du SENIA (Salon de l’entrepreneuriat Numérique et de l’Intelligence Artificielle) organisé par le Ministère du Numérique et de la Digitalisation.2 jours durant, les animateurs de nos stands ont présenté notre projet aux participants et visiteurs des stands du SENIA.Pour vous qui n’avez pas pu effectuer le déplacement au Palais des congrès de Cotonou les 11 et 12 mai 2023, nous vous présentons DigiBoost.Le projet DigiBoost  vise à  renforcer la capacité et la performance des Structures d’Appui à l’Entrepreneuriat Innovant (SAEI), tout en améliorant la qualité des services qu’elles offrent aux startups numériques, et en contribuant à un environnement plus incitatif au Bénin. Avec DigiBoost c’est : - Appui à 36 SAEI sur toute l’étendue du territoire national ;- Contribution à la  consolidation d’une Fédération des SAEI Béninoises ;- Mise en place d’1 référentiel d’accompagnement des SAEI avec 10 parcours de renforcement de capacités ; - Mise en place un programme de mobilité au profit des SAEI et de la communauté WIT dans 3 pays : le Sénégal, le Rwanda et la Belgique ;- Création et consolidation de la communauté Women In Tech au Bénin (WIT). Une communauté de femmes professionnelle des métiers du numérique constituée  entrepreneurs.  Elle compte aujourd’hui plus de 50 membres actif ;- 200 startups impactées sur l’ensemble du territoire béninois à travers les actions des SAEI et évènements de l’écosystème.


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    Benin BEN170321T

  • Promoting a ‘Training of Trainers' approach in the energy sector in Mozambique: lessons learned

    Promoting a ‘Training of Trainers' approach in the energy sector in Mozambique: lessons learned


    Akila MUNIR | 15/05/2023

    By Esra NURJA and Evert WAETERLOOS, Enabel MozambiqueMozambique is one of the countries most vulnerable to climate change (UNHCR, 2022). In recent years, the country suffered from more frequent and intense extreme weather events such as cyclones, tropical storms and floods. It is against this background that Enabel supports Mozambique in the promotion of sustainable access to renewable energy. As part of this support, Enabel responded to the lack of information dissemination within the different government institutions at central and provincial level, by promoting a Training of Trainer (ToT) methodology within the Ministry of Mineral Resources and Energy (MIREME) and the Energy Regulatory Authority (ARENE). A ToT approach is effective in transferring both technical knowledge and pedagogical competencies to the trainers and trainees. This has the advantage of creating a "cascade effect" of new trainers forming other trainers. An Enabel Junior Expert was assigned to the elaboration and roll-out of such a ToT approach. The priority topics identified to introduce this methodology within MIREME and ARENE were: gender mainstreaming in the promotion of sustainable access to energy, energy data collection and management, and renewable energy technologies.The ToT around gender mainstreaming has been developed and fully implemented. In other words, a ToT manual has been created and 23 Gender Focal Points (GFPs) from different government institutions at central and provincial level, were trained as gender trainers. Three training sessions were organised in 2022; one within the National Institute of Irrigation (INIR), one within the Department of Planification and Cooperation of MIREME, and one in the province of Gaza, within the Provincial Infrastructure Service (SPI).The two other ToTs, around energy data collection and management and renewable energy technologies, were developed but could not be implemented. This means that the training manuals are largely finalised, but have yet to be approved, so no training sessions could be held. This is mainly due to institutional and time constraints, such as difficulties in receiving official data and feedback.This project has brought many lessons learned that can be resumed as follows: first, defining a proper baseline for each target group of trainees is important to better assess their current level of knowledge, and respond more effectively to it. Having mixed target groups is also important to ensure that information reaches end-users more directly. For example, in the case of the ToT around gender mainstreaming, not only training GFPs, but also community leaders may result in a wider and more direct outreach. Secondly, creating a working group is important to facilitate ownership and receive frequent input from the partner institutions. This working group can also help avoid institutional constraints if needed. Therefore, it is important to choose the right people, able to provide frequent and relevant information, and access to relevant contacts. Finally, fostering all kinds of collaboration between different institutions, Enabel projects, national and international junior experts, allows for broader and deeper results, as this stimulates a wider sharing of knowledge and good practices. In this project, two government institutions, part of another Enabel's intervention in Mozambique (RERD2), have benefited from this ToT project by participating in the training sessions, as well as developing and implementing their own training action plan within their institutions, under the supervision of the Enabel Junior Expert. It must be noted, though, that this kind of project can only be successful if sufficient financial and operational resources are allocated.These lessons learned can be used for the improvement of future ToTs, which are foreseen in the new 5-year cooperation portfolio of Belgium with Mozambique. The full capitalisation report can be accessed here: https://www.enabel.be/app/uploads/2023/05/Capitalisation-report-on-training-of-trainers-approach-in-the-renewable-energy-sector-in-Mozambique.pdfPicture 1. Armindo Culeco (INIR) giving a training session to his colleagues of INIR, November 2022. Photo credits: Esra Nurja (Junior Expert at Enabel)


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    Mozambique MOZ1403011

  • Promouvoir la Santé et la Sécurité dans le milieu d’apprentissage professionnel au Burundi

    Promouvoir la Santé et la Sécurité dans le milieu d’apprentissage professionnel au Burundi


    Donavine KWIZERA | 09/05/2023

    Enabel à travers le projet ACFPT soutient 18 Centres d’Enseignement des Métiers (CEM) et Centres de Formation Professionnelle (CFP) à travers le pays. Dans ces centres, les jeunes apprentis (âgés de 15-18 ans) apprennent un métier technique et professionnel tel que soudure, menuiserie, électricité, maçonnerie, mécanique automobile, etc. Au total, ce sont 20 métiers qui y sont enseignés avec certification de l’Etat. Depuis 2017, près de 15 000 apprentis ont fréquenté ces centres. Dans les ateliers des centres de formation professionnelle, l’utilisation des équipements et du matériel didactique pour l’apprentissage comporte des risques liés à chaque métier. C’est pourquoi, au cours de son apprentissage, l’apprenant, futur ouvrier, doit aussi acquérir une compétence supplémentaire : la capacité à identifier les risques et les facteurs liés au métier, les techniques de prévention à utiliser en milieu du travail et enfin à porter les Equipements de Protection Individuelle (EPI) pour se protéger contre les risques susceptibles de menacer sa sécurité et sa santé. En 2022, Enabel a distribué plus de 9900 EPI pour 58 ateliers de travail parmi les 18 Centres d’Enseignement des Métiers appuyés. Le projet ACFPT promeut l’amélioration d'un environnement d'apprentissage sûr et salubre à travers un accompagnement des centres dans une démarche de prévention holistique des risques d’accidents du travail et de maladies professionnelles afin que les normes Hygiène Sécurité Environnement soient appliquées dans ces centres.En 2023, 130 formateurs ont été formés aux respects des règles HSE.1référent HSE est également désigné dans chaque centre et a une responsabilité dans le déploiement de la démarche de prévention des risques. Dans les 18 Centres appuyés par Enabel, 1870 apprenants sont sensibilisés et appliquent les consignes de sécurité, le port des EPI, les premiers soins et sont à présent en capacité de faire face aux situations d’urgence.Le chemin est encore long pour assurer une couverture généralisée, aussi bien dans les centres de formation pour les métiers techniques et professionnels, que dans le monde de l’entreprise de manière générale. C’est pour cela que le dialogue public-privé, le dialogue entre les services de l’Etat et les entreprises, le dialogue entre les employeurs et les travailleurs, doit se poursuivre afin de graduellement renforcer et appliquer les normes nationales et internationales en vigueur.


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    Burundi BDI1307811

  • Digitalisation de l’état civil : vers le démarrage de la migration des anciens actes à Dixinn

    En Guinée, la digitalisation de l’état civil suit son cours...


    Fatimatou Mouctar DIALLO | 08/05/2023

    La numérisation des anciens actes de naissance est une tâche importante pour les centres d’état civil, car elle permet de préserver les documents d’archives et de les rendre plus facilement accessibles aux chercheurs et aux citoyens.Pour effectuer cette tâche, dix centres d’état civil utilisent une application spéciale qui facilite le processus de numérisation et de gestion du système d’état civil. La formation des agents de saisie est donc un élément crucial pour s’assurer que les documents sont numérisés de manière précise et efficace. Les agents doivent être formés sur l’utilisation de l’application pour la migration des anciens actes de naissance, ainsi que sur les protocoles de gestion des archives, afin de garantir que les informations sont correctement enregistrées et stockées.Six agents de saisie de la commune de Dixinn suivront des modules de formation pendant cinq jours. Les séances de formation se tiennent à travers des stages pratiques et des cours de perfectionnement professionnel. Une manière de permettre aux nouveaux agents de travailler avec des agents plus expérimentés et de bénéficier de leur expertise.   La formation des agents de saisie est essentielle pour garantir la qualité et l’exactitude des documents numérisés, ainsi que pour améliorer l’efficacité et l’efficience des processus de gestion des archives. A la suite de cette formation, ils vont entamer la migration des anciens actes d’état civil.


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    Guinea GIN170101T

  • Burundi : Lancement officiel du concours national des métiers « Umwuga Award 2023 »

    Burundi : Lancement officiel du concours national des métiers « Umwuga Award 2023 »


    Donavine KWIZERA | 04/05/2023

    Le Ministère de l’Education Nationale et de la Recherche Scientifique en partenariat avec Enabel et la Chambre Fédérale de Commerce et d’Industrie (CFCIB) a procédé au lancement officiel de la première édition d’un concours national des métiers au Burundi dénommé « Umwuga Award » ce 27 avril 2023 à l’Hôtel Club du Lac Tanganyika. Inspiré du modèle Worldskills (https://worldskills.org), ce concours national des métiers 2023 est une innovation au Burundi. C’est un évènement coorganisé par trois institutions ci haut citées pour cette première édition de 2023. Il s’agit du gouvernement à travers le Ministère de l’Education Nationale et de la Recherche Scientifique, le secteur privé à travers la CFCIB ainsi que Enabel au Burundi qui coordonne les engagements et les contributions des partenaires au développement pour cet événement. « Umwuga Award » a pour objectif de créer une émulation autour des métiers professionnels et techniques afin de valoriser ces domaines auprès d’autres jeunes, des parents et de l’opinion publique. Il vise aussi à relever le niveau des compétences techniques et professionnelles des jeunes compétiteurs, et des formateurs/coachs également. Le concours national des métiers vise enfin à récompenser les meilleurs jeunes techniciens burundais sur tout le territoire.Au total, huit métiers professionnels sont concernés par cette première édition, il s’agit de la couture, l’installation électrique, la maçonnerie, la soudure, la menuiserie, l’informatique/TIC, le service en bar et resto et la mécanique automobile. A travers la présentation faite par l’organisation Worldskills Belgium qui va accompagner le Burundi dans ce processus, les participants à l’atelier de lancement du concours ont compris que cette compétition est un outil qui contribue dans la résolution des enjeux de la formation. Pour le Ministre de l’Education Nationale et de la Recherche Scientifique qui a officiellement ouvert les travaux de cette cérémonie de lancement du concours « L’emploi des jeunes et la formation professionnelle constituent une priorité pour le gouvernement ». « Les métiers techniques et professionnels sont l’épine dorsale de toute société, elles constituent une piste privilégiée pour la lutte contre le chômage pour les jeunes car permettant l’auto emploi de ces derniers et le développement économique du pays », a poursuivi le Ministre.Dans son allocution, l’Ambassadeur de la Belgique au Burundi a quant à lui fait savoir qu’au cours des prochaines années, la Belgique va poursuivre ses interventions pour renforcer la formation professionnelle des jeunes vers un meilleur emploi.De son côté, le président de la CFCIB a promis une forte implication du secteur privé visant l’appropriation du mécanisme worldskills. Les personnes éligibles à participer à ce concours sont tous les jeunes techniciens de nationalité burundaise ayant l’âge compris entre 16 et 25 ans, passionnés par l’un des métiers concernés par cette première édition et qui ont la possibilité de concourir et de devenir « Le Meilleur Technicien du Burundi 2023 ». Les inscriptions en ligne de ce concours dont la grande finale aura lieu en octobre cette année sont maintenant ouvertes sur le lien suivant Inscription_Umwuga_Award_2023 jusqu’au 31 mai 2023.


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    Burundi BDI1307811

  • Au Bénin, Enabel renforce les capacités opérationnelles de la Police judiciaire pour une meilleure efficacité

    Au Bénin, Enabel renforce les capacités opérationnelles de la police judiciaire pour une meilleure efficacité


    Reece-hermine ADANWENON | 02/05/2023

    La police judiciaire est l'un des piliers de la sécurité publique. Elle est chargée de constater les infractions à la loi pénale, d'en rassembler les preuves et d'en rechercher les auteurs. Pour remplir efficacement ces missions, il est crucial que les agents de la police judiciaire disposent des compétences nécessaires pour aider à résoudre des enquêtes et à identifier les auteurs d'infractions.Enabel dans un partenariat gagnant-gagnant avec la Police Républicaine du Bénin à travers le projet d’appui à l’opérationnalisation de la Police (PAOP) volet gestion de crise (PAOP-CRI) financé par l'Union Européenne a contribué à la formation pratique d’une dizaine d’agents de la Police Technique et Scientifique (PTS).Déroulés du 13 au 17 Février 2023 au Centre de Perfectionnement de la Police Judiciaire (CPPJ) à Porto Novo, ces exercices pratiques ont permis aux agents de mettre en œuvre le plan de la police technique et scientifique relatif à la gestion d’un événement d’ampleur. Ce plan s’inspire du Manuel de gestion de crise élaboré en 2022 par la Police républicaine avec le concours de l’Union Européenne et prépare les éléments de la PTS à répondre de façon professionnelle et coordonnée aux éventuelles crises ou événements d’ampleur. Les exercices se sont déroulés sous la conduite des experts de la police fédérale belge et de la police fédérale de Liège, Pierre SIMON et Vincent ZIEMONS.En investissant dans la formation et le développement des compétences des agents de la police technique et scientifique, Enabel et son partenaire institutionnel entendent créer des communautés plus sûres et plus résilientes.


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    Benin BEN19012

  • Au Niger, prestation de serment des inspecteurs des services officiels de contrôle et d’inspection des denrées et aliments d’origine animale

    Au Niger, prestation de serment des inspecteurs des services officiels de contrôle des denrées d’origine animale


    Halissa HASSAN DAN AZOUMI | 28/04/2023

    Du 25 au 28 avril 2023, s'est tenu à Tahoua, un atelier de formation des Inspecteurs des Services Officiels de Contrôle sur les procédures de contrôle et d’inspection des denrées et aliments d’origine animale pour les régions de Dosso, Tahoua et Tillabéri (Balleyara). Cette formation financée par Enabel a été suivie de la prestation de serment au Tribunal de Grande Instance de Tahoua, des 29 inspecteurs formés. Le premier service officiel de contrôle de ces 29 agents s’est effectué le jeudi suivant au niveau de l’Unité de Transformation de Lait ADALTCHI, financée et équipée par Enabel à travers le programme d’appui au développement de l’élevage- PRADEL. Ce contrôle garantit la sécurité sanitaire des aliments qui est un élément majeur de la santé publique et un déterminant important du commerce des produits alimentaires.


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    Niger NER22003

  • Au Niger, le projet Sarraounia 2 appuie les comités de gestion dans ses 5 collèges pilotes

    Au Niger, le projet Sarraounia 2 appuie les comités de gestion dans ses collèges pilotes


    Halissa HASSAN DAN AZOUMI | 28/04/2023

    Le Comité de Gestion des Établissements Scolaires (COGES) est un organe regroupant les personnels enseignant et administratif, les élèves et les membres de la communauté, des quartiers ou villages où un établissement est implanté. Il est issu de la politique de déconcentration et de décentralisation dans laquelle, s’est engagé le Niger à partir de l’an 2000, en vue d’atteindre l’objectif majeur d’une éducation de qualité pour tous par l’implication et la responsabilisation des collectivités locales et des communautés dans la gestion de l’éducation. Afin de renforcer ces structures intervenant dans la gestion des collèges, le projet d’appui à la scolarisation des jeunes filles « SARRAOUNIA 2 », a organisé du 6 au 20 avril 2023, une mission qui a sillonné les cinq (5) collèges pilotes du projet. Cette mission avait pour objectif, de :        signer 5 contrats avec les Comités de Gestion (COGES) des collèges pilotes pour la réalisation d’une activité génératrice de revenus ; mettre à la disposition de ces COGES des ressources financières pour la réalisation d’activités génératrices de revenus (AGR) ;décliner les activités entrant dans le cadre des contrats avec les COGES. La visite a eu lieu en présence des Maires, des Directeurs Départementaux de l’Éducation Nationale et chefs des villages des localités concernées.    Au total 1.250.000 FCFA sont remis aux 5 COGES des collèges pilotes afin qu’ils contribuent pleinement aux activités entrant dans le cadre du développement positif desdits collèges.  


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    Niger NER22002

  • Expédition des pièces du Groupe G1 de la centrale hydroélectrique de la Tshopo vers les ateliers ACP de Likasi pour réparation

    RDC: Expédition des pièces du Groupe G1 de la centrale hydroélectrique de la Tshopo vers les ateliers de Likasi pour réparation


    Mandy BAKINE NGASHUE | 26/04/2023

    La Société Nationale d’Electricité-SNEL, Direction Provinciale de la Tshopo, en partenariat avec la coordination provinciale de l’Agence belge de développement-Enabel, a procédé le dimanche 23 avril 2023, à l’expédition des pièces du groupe n°1 de la centrale hydroélectrique de la Tshopo dans la province de Kisangani pour réparation aux ateliers ACP de Likasi dans le Haut-Katanga.Cette opération de transport est facilitée par le Ministère Belge de la défense, qui a mis à disposition à cette occasion un avion spécial des forces aériennes belge. Cet avion effectuera un vol direct de Kisangani à Lubumbashi, les pièces seront acheminées par la suite de Lubumbashi vers Likasi par voie routière. Notons qu’il s’agit d’une première dans les relations de coopération belgo-congolaise, un partenariat avec la défense belge appelé à s’étendre sur d’autres activités.L’activité d’expédition des pièces du groupe G1 se déroulera en présence des autorités politico-administratives de la province de la Tshopo. Le Représentant Résident de Enabel en République Démocratique du Congo effectue un déplacement de Kinshasa pour Kisangani, en vue de participer à cette opération aux côtés du  Coordonnateur provincial de Enabel dans la Tshopo.Pour rappel, dans le cadre de la mise en œuvre du programme de la coopération bilatérale entre le Royaume de Belgique et la République Démocratique du Congo, un accord a été trouvé entre les deux parties pour que Enabel, à travers son programme d’appui à l’éducation dans la province de la Tshopo (EDUT), appuie la réparation du groupe numéro 1 de la centrale hydroélectrique de la Tshopo. Sous la supervision technique des cadres de la Société Nationale d’Electricité - direction régionale Est, appuyés par l’expert de Enabel en la matière, les travaux de réparation du groupe ont débuté en 2021. Plusieurs phases ont précédé cette opération d’expédition. Des experts nationaux et internationaux se sont penchés sur la défaillance du groupe G1. Les conclusions de leur analyse ont amené à un démontage systématique grâce à l’expertise des techniciens spécialisés de la SNEL.  Après sondage des capacités techniques et industrielles de la GECAMINES, un accord a été trouvé entre la SNEL et Enabel, pour procéder à une réparation locale de la roue et du manteau du groupe, par usinage des pièces et l’acquisition des équipements défectueux en procédure d’urgence. L’option de la réparation du G1 a pour objectif d’assurer le retour rapide en exploitation du Groupe G1, afin d’assurer une meilleure desserte en fourniture électrique aux habitants de la ville de Kisangani.  


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    DR Congo RDC1217911

  • Au Bénin, Enabel accompagne 64 producteurs d’ananas pour leur certification aux normes internationales des bonnes pratiques de production

    Au Bénin, Enabel accompagne 64 producteurs d’ananas vers leur certification aux normes internationales des bonnes pratiques de production


    Reece-hermine ADANWENON | 24/04/2023

    53 producteurs et 11 productrices d’ananas, membres de la Fédération Nationale des Coopératives Villageoises de producteurs d’ananas du Bénin ont reçu des mains du ministre de l'Agriculture de l’Élevage et de la Pêche (MAEP) leur certificat Global Gap. Grâce à ce certificat, les producteurs concernés disposent désormais d’un accès aux marchés de niche plus rémunérateurs, car ils répondent aux normes internationales de bonnes pratiques de production.Le processus d’obtention de ce certificat d’un montant global de 100 millions de Fcfa a duré 3 années et a été soutenu par Enabel au Bénin à travers son programme de Développement de l’Entrepreneuriat dans les Filières Agricoles (DEFIA).Presque un an après l’agrément de 21 entreprises de transformation d’ananas par l’UEMOA et la CEDEAO pour 238 types de produits dérivés de l’ananas, les producteurs d’ananas du Bénin affiliés à la FENACOPAB ont, eux, reçu leur certification GLOBAL GAP.Global G.A.P. (Good Agricultural Practice) est en effet une certification qui est obtenue suivant une démarche internationale qui établit les bonnes pratiques agricoles pour un producteur individuel de fruits et légumes ou une organisation de producteurs qui veulent exporter sur le marché international leur production de fruits et légumes. Pour les consommateurs et les distributeurs, ce certificat est l’assurance que les producteurs se conforment aux meilleurs niveaux de qualité et de sécurité des denrées exigées, et ce, dans le respect de l’environnement, des conditions de santé et de sécurité des travailleurs et de la sécurité des denrées alimentaires des consommateurs.Ce processus de mise aux normes internationales des acteurs de la filière est l’un des objectifs que vise Enabel à travers DEFIA afin de relever les défis liés aux objectifs de production et de mise en marché des ananas du Bénin.Un processus d’obtention du certificat qui, à en croire M. Gaston Dossouhoui, ministre de l'Agriculture de l’Élevage et de la Pêche (MAEP) devrait fait cas d’école et devenir la norme et non une exception dans le secteur.L’obtention du certificat Global GAP, fruit d’un partenariat entre DEFIA, la FENACOPAB et le Comité de Liaison Entrepreneuriat-Agriculture-Développement (COLEAD) sous la supervision de l’Agence Territoriale de Développement Agricole (ATDA) du pôle 7 a été possible grâce à un processus d’accompagnement déroulé en plusieurs étapes au nombre desquelles les plus importantes sont :- le renforcement de capacités de (625 agents techniques, producteurs et ouvriers de la FENACOPAB) sur la protection intégrée des cultures et de l’usage sécurisé des pesticides ; la santé et sécurité au travail dans une exploitation agricole, la traçabilité des produits agricoles ; les bonnes pratiques d’hygiène en manipulation conditionnement ;- l’acquisition de matériels didactiques, fournitures de laboratoire et équipements de protection individuels et d’hygiène sanitaires et de conditionnement ;- la réalisation de visite médicale au profit de 240 producteurs et leurs ouvriers ;- l’accompagnement technique à la mise aux normes des exploitations et des unités de conditionnement ;- l’appui à la mise en place d’un système de contrôle interne et de la documentation nécessaire pour la certification Global GAP et la réalisation d’un audit à blanc et d’un audit initial de certification.D’un coût global de 100 millions de Fcfa, ce processus mis en place par Enabel à travers DEFIA a permis de certifier au référentiel Global GAP 64 exploitations de la filière ananas avec un potentiel de production de 7850 tonnes d’ananas frais.Mme Wilma BAAS, intervention du programme DEFIA a indiqué que depuis l’obtention dudit certificat, la FENACOPAB a déjà signé un nouveau marché avec une société francise MANKO SAS de 2000 tonnes par an dont 122 tonnes sont déjà livrées en trois mois. Deux autres demandes sont en négociation avec d’autres sociétés françaises a-t- elle ajouté.Selon Mr Chadrac AHAMIDE, représentant de l’Association de l’Interprofession de la filière Ananas du Bénin (AIAB), abondant dans le même sens, a ajouté que grâce à ce certificat Global GAP :- de nombreux jeunes (ouvriers dans les plantations d’ananas) ont des revenus pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille avec les prestations de récolte et de conditionnement ;- les producteurs affiliés à la FENACOPAB ont un accès à plus de 2000 tonnes d’ananas sur de nouveaux marchés et à des prix plus rémunérateurs ;- les pertes post-récoltes des producteurs sont réduites ;- les producteurs répondent et s’adaptent aux exigences du marché international ;- l’image de la qualité de l’ananas du Bénin est reconnue au niveau international.Se réjouissant de ces résultats déjà obtenus, Mme Wilma BAAS se fondant sur le constat du non-renouvellement des certificats obtenus par les producteurs ou organisations malgré les avantages qu’offrent ces documents de certification pour l’accès aux marchés européens, a exhorté la FENACOPAB à prélever déjà de ses bénéfices les ressources nécessaires pour assurer le renouvellement dudit certificat.Le ministre de l'Agriculture de l’Élevage et de la Pêche, M. Gaston DOSSOUHOUI a renchéri en invitant la FENACOPAB à étendre le nombre de producteurs et exploitations certifiés.« Une chose est d’avoir le certificat, mais l’autre est de savoir bien s’en servir », a-t-il laissé entendre. À ce propos, le ministre a profité pour se lancer un défi : celui d’œuvrer pour qu’au moins 2000 producteurs d’ananas aient ce certificat sous son règne. Ce qui permettrait d’atteindre l’objectif fixé par le gouvernement dans ce secteur.Le président de la FENACOPAB, M. Bernard Gbelidji a promis au Ministre et à l’intervention manager du programme DEFIA que tout sera mis en place afin de faciliter le renouvellement du certificat Global GAP dont les avantages ne sont plus à démontrer au vu des premiers résultats et partenariats obtenus grâce à cette certification. Il a exhorté les producteurs à continuer de respecter les normes qui leur ont été enseignées et de travailler pour satisfaire les besoins en termes de qualité, mais aussi de quantité de production. 


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    Benin BEN19004