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In Uganda, maternal mortality remains a pressing challenge, with an average of 16 mothers dying every day during childbirth. These preventable deaths are often linked to what health experts call the “three delays” — the delay in making informed health decisions to seek care, the delay in physically accessing a health facility, and the delay in receiving adequate medical attention once at the facility. Our current development programme addresses these barriers through an integrated approach that places mothers at the heart of care. We are empowering women and families with the knowledge to make timely health decisions, improving transport and infrastructure to bring care within reach, and strengthening health systems to deliver safe, high-quality services. By targeting the root causes of maternal mortality, we are working to give every mother the chance to survive and thrive.
Tenkodogo, 1er août 2025 – Dans un contexte national marqué par des défis sécuritaires, sociaux et humanitaires, le Burkina Faso continue de faire preuve d’une résilience admirable. Cette résilience est soutenue par des partenariats solides, parmi lesquels celui avec le Royaume de Belgique, à travers l’Agence belge de coopération internationale, Enabel. À l’occasion de la rencontre interrégionale de partage tenue à Tenkodogo, les gouverneurs des 13 régions du Burkina Faso, les représentants des services techniques et les partenaires de développement ont salué l’impact significatif de cette coopération sur les territoires. Un partenariat fondé sur la solidarité et le respect des priorités nationales Depuis la signature de la Convention générale de coopération entre le Burkina Faso et la Belgique en 2018, Enabel s’est imposée comme un acteur clé du développement territorial. À travers une approche inclusive et participative, l’agence belge accompagne les efforts du gouvernement burkinabè pour renforcer la résilience socioéconomique, améliorer l’accès aux services sociaux de base et promouvoir la cohésion sociale. Le Directeur Pays d’Enabel, Danny DENOLF, dans son discours d’ouverture, a rappelé que plus de 44 millions d’euros, soit 28 milliards de FCFA, ont été mobilisés pour financer des projets dans plusieurs régions du pays. Ces financements proviennent du Royaume de Belgique, mais aussi de partenaires tiers comme l’Union européenne, témoignant de la confiance accordée à Enabel et à son approche territoriale intégrée. Le Nakambé, région pilote d’une coopération fructueuse La région du Nakambé, hôte de la rencontre, a été le point de départ de cette dynamique de coopération bilatérale. Le premier programme (2019–2023) y a permis de tester et d’affiner des approches innovantes, avant leur extension à d’autres régions comme le Kuilsé, l’Oubri, le Bankui et bientôt le Guiriko. Lors de leur visite à Tenkodogo, les gouverneurs ont découvert trois réalisations phares du partenariat entre Enabel et le Burkina Faso. Le bâtiment de consultation externe (construit et entièrement équipé) et la centrale de production d’oxygène au CHR illustrent le renforcement du système de santé local. Le Centre Mère-enfant, quant à lui, combine soins maternels et prise en charge des violences basées sur le genre. Enfin, le Centre d’Innovation met en lumière l’entrepreneuriat féminin et la digitalisation, avec des initiatives portées par des promotrices locales. Ces sites traduisent concrètement l’impact territorial de la coopération belge dans les domaines de la santé, de la protection sociale et de l’autonomisation. Le Gouverneur du Nakambé, le Colonel Aboudou Karim LAMIZANA a exprimé sa profonde reconnaissance envers le Royaume de Belgique et Enabel pour leur engagement constant. Il a souligné que les résultats obtenus dans sa région sont le fruit d’une collaboration étroite entre les autorités locales, les services techniques et les communautés locales. Un modèle de collaboration à essaimer Le Gouverneur du Nakambé a invité ses collègues à s’approprier cette dynamique dans leurs régions respectives. Il a insisté sur le rôle central des autorités territoriales dans le succès des projets, soulignant que l’engagement, la proximité et la capacité d’écoute sont les clés d’une coopération fructueuse. Le Directeur Pays d’Enabel a réaffirmé la volonté de l’agence de consolider ses partenariats dans les nouvelles régions d’intervention, en s’appuyant sur les leçons apprises et les bonnes pratiques développées dans le Nakambé. La rencontre de Tenkodogo a permis de mettre en lumière l’importance stratégique du partenariat entre le Burkina Faso et le Royaume de Belgique. À travers Enabel, la Belgique démontre son engagement solidaire et respectueux envers les priorités nationales, en soutenant des actions concrètes qui améliorent la vie des populations. Ce modèle de coopération, fondé sur l’écoute, l’inclusion et la co-construction, constitue une source d’inspiration pour d’autres initiatives de développement. Il montre que, même dans un contexte difficile, des résultats significatifs peuvent être obtenus lorsque les partenaires travaillent main dans la main, avec les communautés au cœur de l’action.
Kando, 1er août 2025 – La commune de Kando a franchi une étape décisive vers son développement durable en organisant une session de vulgarisation et de promotion de son Plan Communal de Développement (PCD). L’événement, tenu sous la présidence de Monsieur Arana PARE, Préfet et Président de la Délégation Spéciale (PDS) de Kando, a bénéficié du soutien financier de l’Agence belge de coopération internationale (Enabel) et de l’accompagnement technique de l’ONG Eau Vive Internationale dans le cadre du Portefeuille Thématique Climat Sahel – volet Burkina Faso (PTCS-BFA). Cette session avait pour objectif principal de renforcer la participation citoyenne et de sensibiliser les parties prenantes aux enjeux et opportunités du PCD, véritable feuille de route stratégique pour le développement socio-économique de la commune. Élaboré à travers un processus participatif et inclusif, le PCD de Kando qui a pris en compte la problématique du changement climatique, repose sur quatre axes majeurs, à savoir : la gestion durable et inclusive des ressources naturelles dans un contexte de changement climatique, le développement économique local et la création d’emplois, l’amélioration de l’accès aux services sociaux de base et humanitaires, et enfin le renforcement de la gouvernance et des finances locales. La rencontre a rassemblé une diversité d’acteurs, notamment les autorités coutumières, les organisations de la société civile, les partenaires techniques et financiers, ainsi que les citoyens. Ce cadre inclusif a permis un dialogue constructif autour des priorités du PCD, avec un accent particulier sur la gestion durable des ressources naturelles, l’agriculture l’éducation, la santé, les infrastructures et le développement économique. Dans son allocution, Monsieur Arana PARE a salué l’engagement collectif : « La présente session représente une avancée importante vers une gouvernance participative et un développement durable. Grâce à l’engagement des citoyens et à la collaboration avec nos partenaires, Kando se positionne comme un modèle pour d'autres communes. » Enabel, à travers son Portefeuille Thématique Climat Sahel – volet Burkina Faso, joue un rôle clé dans la réalisation de cette initiative. L’agence apporte un appui financier et technique visant à renforcer les capacités locales et à promouvoir des solutions durables face aux défis climatiques et socio-économiques. Monsieur Norbert OUEDRAOGO, Chargé de projet à Enabel, a souligné : « Notre mission est d’accompagner les communes dans leur processus de développement socio-économique. Le PCD de Kando est un exemple parfait de cette ambition. » Il a tenu à féliciter les autorités communales de Kando dont le dynamisme a permis l’aboutissement du processus d’élaboration du PCD. En outre, il a exhorté les différents partenaires intervenants dans la commune de Kando à s’investir pleinement aux cotés de la collectivité pour la mise en œuvre réussie du PCD. Pour finir, Monsieur OUEDRAOGO a fait remarquer que cette session est une étape d’un processus soutenu par Enabel en vue de permettre à la collectivité de Kando de mobiliser les fonds pour financer son PCD dont le budget s’élève à un peu plus de 800 millions de FCFA pour les cinq prochaines. Ce processus permettra non seulement de mobiliser les différents acteurs au niveau communal, national et de la diaspora mais aussi permettra d’aboutir à un document de stratégie de mobilisation des fonds sur lequel la commune s’appuiera pour rechercher les financements nécessaires. Les retombées attendues de cette session sont nombreuses : une meilleure cohésion sociale, une implication accrue des citoyens et des partenaires au financement du PCD et une visibilité renforcée du PCD susceptible d’attirer de nouveaux soutiens. Kando s’inscrit ainsi dans une dynamique de transformation durable, où chaque acteur a un rôle à jouer pour bâtir un avenir prospère et équitable. Crédit photo: Tam-Tam Média
Dans le cadre du Projet d’Appui au Renforcement de la Résilience Climatique des Communautés de Base (PARCoB), une campagne de reboisement a été organisée du 31 juillet au 1er août 2025 dans les communes de Boulsa et Andemtenga, ciblant les berges des barrages de Selmiga et de Zimkrom. Cette initiative vise à renforcer la résilience climatique des communautés locales tout en protégeant durablement les ressources en eau du sous-bassin versant de la Sirba.Financé par Enabel, l’Agence belge de coopération internationale, à travers le Portefeuille Thématique Climat Sahel – volet Burkina Faso (PTCS-BFA), le projet PARCoB est mis en œuvre avec l’appui technique de l’Agence de l’Eau du Gourma (AEG). Celle-ci accompagne les Comités Locaux de l’Eau (CLE) Sirba Amont et Sirba Singr’Jienu dans la réalisation d’actions concrètes de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (GIRE).Au total, 717 plants ont été mis en terre, répartis comme suit :• 200 manguiers greffés ;• 100 goyaviers ;• 417 tangelos greffés.Ce reboisement a pour objectif de lutter contre l’érosion, stabiliser les berges des barrages et améliorer la recharge des nappes phréatiques, contribuant ainsi à la préservation des ressources hydriques locales.Par cette action, l’AEG réaffirme son rôle d’acteur stratégique dans la mise en œuvre de la GIRE au niveau local. Elle renforce les capacités des organisations d’usagers de l’eau et encourage des initiatives communautaires à fort impact environnemental.Grâce à l’appui financier d’Enabel, cette campagne illustre l’engagement du PTCS-BFA à promouvoir des solutions durables face aux défis climatiques dans les zones vulnérables du Burkina Faso. Elle marque une avancée significative vers une gestion responsable et participative des ressources naturelles.
Dans un contexte de crise climatique mondiale et d’impératif de développement durable, le Burkina Faso franchit une étape importante pour impliquer davantage le secteur privé dans la mise en œuvre de ses engagements climatiques (sa Contribution Déterminée au niveau National - CDN). À l’initiative du Secrétariat Permanent du Conseil National pour le Développement Durable (SP/CNDD), et avec l’appui financier d’Enabel dans le cadre du Portefeuille Thématique Climat Sahel, un atelier d’envergure s’est tenu à Ouagadougou les 6 et 7 août 2025.Un objectif clair : impliquer le secteur privé dans la stratégie climat nationale Cette rencontre visait à renforcer la participation du secteur privé dans le financement et la mise en œuvre de la CDN 3.0 (Contribution Déterminée au niveau National) du Burkina Faso. La CDN est l’engagement officiel pris par chaque pays signataire de l’Accord de Paris pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre et s’adapter aux impacts du changement climatique. Une centaine de participants, issus du patronat, des organisations du secteur privé, du gouvernement, des partenaires techniques et financiers ainsi que d'institutions internationales, ont pris part aux travaux.Une réponse nationale face à une urgence planétaire Depuis sa ratification de l’Accord de Paris sur le climat en 2016, le Burkina Faso a multiplié les efforts pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre tout en adaptant son économie aux défis environnementaux. La CDN du pays, révisée en 2021, fixe une ambition rehaussée : réduire les émissions de 29,42 % à l’horizon 2030, avec un potentiel estimé à 30,76 % grâce aux mesures d’adaptation. Mais derrière cette ambition se cache une réalité financière de taille : la mise en œuvre complète de la CDN nécessite 4,1 milliards de dollars, dont plus de la moitié dépend de financements extérieurs. D’où l’urgence de diversifier les sources de financement, notamment en mobilisant les ressources du secteur privé national et international. Une opportunité pour le secteur privé Le représentant du Conseil National du Patronat Burkinabè, M. Adama OUEDRAOGO, a rappelé que « le développement durable et celui de nos entreprises ne sont pas opposés ».Le secteur privé burkinabè, a-t-il souligné, intervient dans tous les domaines stratégiques de l’économie nationale comme l'énergie, l'agroalimentaire, l'habitat, la santé, l'eau ou l'environnement. Les entreprises burkinabè sont des moteurs de croissance et peuvent aussi devenir des acteurs clé de la transition écologique. Les participants ont reconnu que, malgré certaines initiatives réussies dans les énergies renouvelables, la contribution financière du secteur privé à la CDN reste encore limitée. L'atelier a donc permis d'identifier les obstacles, d'explorer des opportunités et de renforcer le dialogue entre les acteurs public-privés dans la finance climat. Des échanges constructifs, des pistes concrètes Organisé autour de présentations plénières, de panels et de travaux de groupes, l’atelier a couvert plusieurs thématiques essentielles :État des lieux de la participation du secteur privé dans la mise en œuvre de la CDN ; Opportunités de financement vert à travers les expériences de PANGEA Afrique, du Africa Enterprise Challenge Fund (AECF) et du PNUD ; Bonnes pratiques internationales en matière d’investissement privé dans les projets climatiques ; Obstacles identifiés : manque de connaissance des mécanismes de financement climatique, besoin d’accompagnement technique, accès limité aux données environnementales.Enabel : un partenaire stratégique du climat Grâce au soutien d’Enabel, l'Agence belge de coopération internationale, dans le cadre du Portefeuille Thématique Climat Sahel, cet atelier s’inscrit dans une vision à long terme : créer un environnement propice à l’émergence d’une économie verte au Sahel, où le secteur privé joue pleinement son rôle dans la croissance et la lutte contre le changement climatique. Une feuille de route à tracer ensemble Les recommandations issues des travaux appellent notamment à :Créer un cadre de concertation permanent entre le gouvernement, le secteur privé et les partenaires techniques ; Développer des instruments financiers adaptés aux PME vertes burkinabè ; Renforcer les capacités techniques et institutionnelles du secteur privé sur les mécanismes de la finance climat ; Promouvoir l’accès à l’information environnementale et aux opportunités de financement. Ces échanges posent les bases d’une collaboration renforcée, afin que la transition écologique au Burkina Faso soit à la fois un impératif environnemental et une opportunité économique.
Dans le cadre de la Journée Internationale Nelson Mandela, trois nouveaux ateliers de formation professionnelle ont été inaugurés le 18 juillet 2025 à la Maison d’Arrêt et de Correction de Koupéla (MAC-K), grâce au soutien d’Enabel, l’Agence belge de coopération internationale. Ces infrastructures visent à offrir aux détenu·es de réelles opportunités de réinsertion socio-économique à travers des formations pratiques.La cérémonie de remise des ateliers a été marquée par l’intervention de M. Sondéma KOLOGO, Le Project Manager – Appuis à la résilience pour Enabel, qui a expliqué l’importance de cet investissement pour les détenus de la MAC-K. Ces ateliers, d’une valeur totale d’environ 37 millions de francs CFA, ont été entièrement financés par Enabel et équipés pour offrir des formations en couture, menuiserie métallique et menuiserie bois. « Ces ateliers sont davantage qu’un simple lieu de formation. Ils représentent un avenir, une chance pour les détenu·e·s de se réinsérer et de contribuer positivement à la société », a-t-il déclaré.Les ateliers, financés dans le cadre de la coopération entre le Burkina Faso et le Royaume de Belgique, sont une réponse directe aux défis auxquels sont confronté·e·s les détenu·e·s dans leur parcours de réinsertion. Les ateliers de formation sont conçus pour offrir des compétences pratiques, essentielles pour la réinsertion des détenu·e·s sur le marché du travail une fois leur peine purgée. Au-delà de ces infrastructures, Enabel reste engagée à fournir des kits de formation pour renforcer l’autonomie des détenu·e·s après leur libération.Le représentant des détenu·es a salué ce geste, exprimant la reconnaissance de la population carcérale : « Nous vous remercions pour votre soutien, sans vous, nous n’aurions pas pu bénéficier de ces changements. » Cet acte de générosité d'Enabel souligne l’importance d’une approche solidaire pour accompagner les détenu·e·s dans leur réinsertion.Le Directeur de la MAC-K, M. Boureima NIKIEMA, a salué cette contribution d’Enabel, soulignant que ces formations sont un pilier important dans le processus de réinsertion postcarcérale des détenu·e·s. « Ces ateliers permettent aux détenu·e·s de développer des compétences qui vont au-delà de la simple réhabilitation ; elles offrent une véritable opportunité de contribuer à la société », a-t-il affirmé. L’impact de ces ateliers sur la réinsertion des détenus est donc majeur : ils ne sont pas seulement des lieux d’apprentissage, mais aussi des vecteurs d’espoir pour ceux qui aspirent à une seconde chance.Grâce à l’engagement d’Enabel, la MAC-K de Koupéla devient un modèle de réinsertion et de transformation. Ces ateliers de formation symbolisent l'espoir d'un meilleur avenir pour les détenu·e·s, renforçant leur autonomie et leur employabilité. Ce don marque une étape importante dans l’effort collectif pour humaniser les prisons et offrir des perspectives aux personnes détenues. Enabel, par son action, confirme sa volonté d’accompagner les autorités burkinabè dans la construction d’un système pénitentiaire plus juste et plus humain.
Dans plusieurs écoles agricoles de la Tshopo, parler des règles n’est plus un tabou. Au travers du projet GIFT, plus de 200 jeunes filles ont reçu les clés pour mieux vivre leur santé menstruelle, à l’école comme à la maison. L’initiative a pris ses racines dans cinq institutions rurales — ITA Maendeleo, Simi-Simi, Yangambi, Yanonge et l’IFA Yangambi — là où l’absentéisme des filles pendant leurs règles reste un obstacle à la réussite scolaire. Longtemps ignorée, l’hygiène menstruelle est aujourd’hui reconnue comme un facteur essentiel de l’inclusion éducative. Le projet a permis d’intégrer cette dimension au cœur de l’éducation. Pas en théorie, mais dans le quotidien des élèves, avec des outils, des échanges, des lieux d’écoute. MSI RDC, en partenariat avec Enabel, a porté ce changement avec la stratégie communautaire « Bosolo Nde ». Au cœur de cette action : Les MSI Grandes Sœurs, de jeunes filles formées pour accompagner les autres, parler sans gêne, conseiller sans juger. "Le changement commence parfois entre deux élèves, quand la parole circule et que le respect prend le dessus", confie Ange Dando Palama, cheffe de projet chez MSI. Le 25 juillet 2025, Kisangani a accueilli l’atelier de clôture du projet. Des familles, enseignants, autorités éducatives et ONG se sont retrouvés pour faire le bilan et renforcer les acquis avec au centre des échanges un questionnement simple : Comment faire durer ce qui fonctionne ? Comment faire en sorte que l’hygiène menstruelle reste un sujet traité avec sérieux dans le système éducatif ? Des résultats et changements palpablesSur le terrain, les effets se font sentir. Dans les écoles ciblées, les absences ont chuté. Les filles restent en classe. Les enseignants, désormais mieux informés, s’engagent à créer un cadre bienveillant. Des engagements concrets ont été pris pour que chaque fille puisse apprendre en toute dignité, sans honte, sans peur. "Ce que nous avons mis en place va au-delà de l’information. C’est une transformation. Une façon nouvelle de penser l’école, les relations, le respect", explique Dr Patrick Djomo, Directeur pays de MSI RDC. Pour Prosper Ntema, chef de programme Enabel à la Tshopo, c’est un tournant structurel :"Quand on arrive à parler librement de santé menstruelle dans une école agricole, avec les familles, les élèves, les professeurs, c’est qu’un cap a été franchi. On change des mentalités, on change des vies." Le projet GIFT n’a certes pas résolu tous les défis. Mais il a montré qu’un simple geste — écouter une élève, ouvrir un espace de parole, distribuer des serviettes — peut redonner confiance. Et dans la foulée, permettre à une fille de rester sur le chemin de l’école, là où son avenir se construit.
Dans la province de la Tshopo, huit (8) structures de santé disposent désormais d’un plateau technique renforcé pour répondre efficacement aux urgences sanitaires. Grâce au Programme d’Appui aux Divisions Provinciales de la Santé (PADP), financé et mis en œuvre par Enabel en collaboration étroite avec les autorités congolaises, un lot conséquent d’équipements médicaux et de kits d’intervention a été remis à des hôpitaux et centres de santé répartis dans les zones de Makiso-Kisangani, Kabondo, Lubunga et Isangi. Des équipements vitaux pour des réponses rapides et efficaces Cette dotation comprend du matériel d’imagerie médicale, des équipements de gynéco-obstétrique, de réanimation d’urgence, de laboratoire, ainsi que du matériel de bloc opératoire. Des intrants spécifiques à la lutte contre les épidémies, notamment le choléra et la M-POX, ont également été fournis. Il s’agit d’une réponse concrète et durable à des enjeux critiques de santé publique dans une région régulièrement confrontée à des crises sanitaires. « Grâce à ce matériel, nous pourrons poser des diagnostics plus précis et intervenir plus rapidement, notamment lors d’épidémies. Cela sauvera des vies. » comme le déclare le Dr Bay Lisongoni, Chef de Division de la Santé de la Tshopo.Cette action s’inscrit dans la deuxième phase de soutien dans la province, après une première remise de matériel en 2024, confirmant ainsi la volonté d’Enabel d’accompagner dans la durée le renforcement du système de santé congolais. Un engagement fondé sur le partenariat et la confiance La remise officielle s’est tenue dans l’enceinte de l’Hôpital général de Makiso à Kisangani, en présence des autorités provinciales, de représentants de la société civile, des bénéficiaires, ainsi que de nombreux partenaires techniques et financiers tels que l’OMS, l’UNICEF, ADRA, MSF/Suisse et MSI. Cette convergence d’acteurs traduit une vision commune : celle de renforcer les systèmes de santé locaux pour garantir un accès équitable et durable aux soins. « Cette dotation n’est pas un simple appui logistique. C’est une réponse co-construite aux besoins réels des populations et un signal fort de solidarité avec l’État congolais. » a déclaré Prosper Ntema, Chef de programme Enabel dans la Tshopo., dans son adresse. Impact immédiat pour les communautés locales Les structures bénéficiaires, souvent en première ligne dans la gestion des urgences sanitaires, voient ainsi leur capacité d’accueil, de diagnostic et d’intervention considérablement améliorée. Ce renforcement aura un impact direct sur des milliers de patients, particulièrement dans les zones rurales où l’accès aux soins reste un défi. À travers cette action, Enabel réaffirme son engagement à soutenir des systèmes de santé résilients et à accompagner les autorités locales dans la mise en œuvre de politiques publiques de santé efficaces, durables et inclusives.
Des mobiliers fonctionnels, des jeux éducatifs et récréatifs, et surtout beaucoup d’espoir : Enabel, avec l’appui de l’Union européenne, muscle l’opérationnalité du Centre d’écoute et de dialogue pour jeunes de Dédougou, du Lycée Municipal de Boromo et de l’infirmerie scolaire du Lycée Provincial de Dédougou. L’ensemble de ces dotations, dont la valeur s’élève à 10 millions de francs CFA, vise à renforcer l’accès des jeunes aux services de santé et à améliorer leur environnement d’apprentissage et d’épanouissement.Des dotations diversifiées et cibléesEnabel a procédé à la fourniture de matériels ludiques et de mobilier de bureau dans les trois structures ciblées.Au Centre d’Écoute et de Dialogue pour Jeunes de Dédougou, la dotation se compose d’un important lot de matériels ludiques comprenant : 4 baby-foot, 5 jeux de ludo, 5 jeux d’awalé, 5 scrabbles, 10 puzzles, 5 jeux de dames, 5 jeux de dominos et 2 jeux de pétanque. Parallèlement, le centre a aussi reçu une série de mobiliers de bureau : 1 casier métallique à 10 tiroirs, 2 écrans de projection, 6 tableaux pour les études, 60 chaises visiteurs, 30 tables de deux places, 20 tables et 20 chaises pour ordinateurs, 25 bancs simples, 1 bureau directeur avec fauteuil et 1 tableau d’affichage.Le Lycée Municipal de Boromo, quant à lui, a été doté de : 10 tables pour ordinateurs, 10 chaises correspondantes, 1 bureau simple à trois tiroirs et 1 chaise de bureau.Enfin, l’infirmerie scolaire du Lycée Provincial de Dédougou a reçu : 5 bancs, 1 tableau d’affichage et 1 chaise de bureau. Elle a également eu une promesse de dotation future en matériel médico-technique en réponse à leurs besoins spécifiques.Un appui concret, des effets immédiatsPour les partenaires, cette initiative représente une véritable bouffée d’oxygène. M. Simporé Lucien, Directeur du Centre d’Écoute et de Dialogue pour Jeunes de Dédougou, exprime sa reconnaissance avec émotion : « Tous les sentiments qui nous animent actuellement sont vraiment des sentiments de joie, de satisfaction, de reconnaissance. Ce qu’Enabel nous a apporté est au-delà même de nos pensées. »Il souligne que le centre, très fréquenté par les jeunes, souffrait auparavant d’un manque de matériel et d’assises, ce qui limitait ses capacités d’accueil et de mobilisation. « Le matériel sera très bien entretenu. Nous avons réservé une bonne place pour lui, des vigiles sont présents, et nous-mêmes veillons au grain », assure-t-il, appelant les jeunes à s’approprier ces outils pour mieux organiser leurs activités et renforcer leur esprit communautaire.De son côté, Mme Kouraogo/Milogo Estelle, infirmière diplômée d’État à l’infirmerie du Lycée Provincial de Dédougou, décrit la dotation comme une réponse salvatrice : « Je dirais que cette dotation est venue comme un sauveur. Il y a la joie, car nous étions dans des difficultés de matériel depuis l’ouverture de l’infirmerie en 2018. »Elle insiste sur l'impact futur de la rénovation promise et de la dotation prévue en matériel médical : « Avec la rénovation qu'on va avoir, je suis sûre que les élèves vont mieux fréquenter. On aura de meilleurs résultats. »À travers ces dotations, Enabel, avec l’appui financier de l’Union européenne, démontre une nouvelle fois l’impact tangible de la coopération internationale lorsqu’elle est orientée vers des résultats concrets au service des communautés. Le Projet Lasso Santé, en renforçant les capacités des structures de proximité, contribue activement à bâtir un environnement propice au développement des jeunes dans la région de la Boucle du Mouhoun.
Retour en images sur la première session de formation des facilitateurs des cultures pluviales des wilayas du Guidimakha et de l’Assaba, organisée à Arr du 15 au 19 juillet 2025. Cette session s'inscrit dans le cadre du projet SECURALIM, qui vise à renforcer les capacités locales pour une agriculture résiliente face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle.Les facilitateurs formés joueront un rôle clé dans l’accompagnement des producteurs à travers des pratiques agricoles adaptées au contexte climatique local.Ensemble, semons les graines de la résilience !
Uganda has made notable progress in promoting Business and Human Rights (BHR), including developing a National Action Plan to promote responsible business conduct that respects human rights. However, local authorities in key regions such as Busoga, Albertine, and Kampala Metropolitan face operational challenges such as limited transport, poor documentation, weak Information, Communication, and Technology (ICT) systems, and delayed reporting, which hinder effective monitoring and response to business-related human rights issues.To address these gaps, the Ministry of Gender, Labour and Social Development, and Enabel, through the Advancing Respect for Human Rights by Businesses in Uganda (ARBHR) Project, have provided essential equipment to local government Business and Human Rights focal points. The equipment will enhance their effort to conduct field inspections, engage with communities, document violations, improve data collection, and support evidence-based decision-making.The equipment-17 laptops, 1 desktop, 8 heavy-duty printers, and 4 motorcycles- was handed over to officials from 12 districts within the project implementing regions of Busoga, Albertine, and Kampala Metropolitan. The handover took place at the Enabel Head office in Kampala and was led by Mr. Benard Mujuni, the Commissioner for Equity and Rights (Ministry of Gender, Labour and Social Development).Speaking at the event, Mr. Mujuni said that limited transportation and data tools have hindered the work of district staff. “Many of our officers on the ground face difficulties in accessing remote communities and properly recording case data. This equipment will go a long way in addressing those challenges,” he said.District officials, led by their Chief Administrative Officers (CAO), received the items and were trained on how to use them safely and effectively.Rose Athieno, Country Strategy Advisor at Enabel, noted that the initiative marks a milestone in implementing Uganda’s National Action Plan on Business and Human Rights (NAPBHR) at the district level. “These tools will facilitate the local government officials to access hard-to-reach areas, and to monitor human rights issues in workplaces,” she added.The handover is part of the European Union funded initiative to reduce human rights abuses linked to business, particularly those affecting women and children. It supports Uganda’s 2021 National Action Plan on Business and Human Rights (NAPBHR), and aligns with Vision 2040 and the UN 2030 Agenda for Sustainable Development.This strategic investment in mobility and technology reinforces efforts towards Business and Human Rights enforcement at the grassroots level. Strengthening local governments with the tools reaffirms the commitment to inclusive, rights-based development. With empowered local actors at the forefront, the path toward ethical and responsible business conduct across Uganda looks more promising than ever.
En juillet 2025, une délégation de l’Union européenne et Enabel ont visité l’agence régionale de la CNASS à Aleg, dans le Brakna. Cette mission s’inscrit dans le cadre du partenariat stratégique visant à améliorer l’accès et la qualité des soins de santé, à travers le projet AIPASS3, mis en œuvre par Enabel et financé par l’Union européenne.Les échanges ont porté sur :L’amélioration des prestations pour les assurés,La simplification de l’accès aux soins,Le renforcement de l’efficacité du système d’assurance maladie.Enabel et ses partenaires réaffirment leur engagement aux côtés de la CNASS pour un système de santé plus performant, accessible et équitable pour les populations du Brakna.
Le 18 juillet 2025, comme chaque année, le monde entier a commémoré la Journée internationale Nelson Mandela. Cette journée rappelle l'importance de la liberté, de la dignité humaine et de la réinsertion sociale des personnes condamnées. À la Maison d’Arrêt et de Correction de Koupéla (MAC-K), l’évènement a été célébré durant 72h, avec le soutien de l’Agence belge de coopération internationale (Enabel).Placée sous le thème « mise en œuvre du travail d’intérêt général au Burkina Faso : rôle des acteurs et impact sur le développement socio-économique », cette commémoration s’est articulée autour de diverses activités : sensibilisation des pensionnaires sur la toxicomanie ; activités ludiques et sportives mobilisant, à la fois population et détenu·e·s ; lancement des travaux de salubrité publique, avec une dotation d’Enabel en matériel et équipements de protection individuelle, etc. La cérémonie officielle marquant la fin des activités, présidée par Fernand Wenceslas Y. N’DO, secrétaire de la province du Kourittenga, représentant le Haut-Commissaire, a mobilisé autorités judiciaires, administratives et coutumières, leaders communautaires et partenaires techniques. « Votre présence ici n’efface pas votre citoyenneté, encore moins votre valeur en tant qu’êtres humains », a déclaré monsieur N’DO, tout en soulignant l’importance de l’accompagnement des détenu·e·s, en vue de favoriser leur retour harmonieux au sein de leurs communautés respectives. Cette cérémonie a été l’occasion pour le juge de l’application des peines de faire un exposé à l’assistance et aux détenu·e·s sur la nouvelle loi portant travail d’intérêt général. Par suite de cet exposé, le représentant des détenu·es a confié ceci : « Nous détenu·es, sommes prêt·es à être placé·e·s dans les différentes structures publiques et privées et vos demandes seront les bienvenues. » Un signe fort de leur engagement à prendre part activement au processus de leur réinsertion, avec le soutien d'Enabel.Le clou de la cérémonie a été la remise officielle, suivie de l’inauguration de trois ateliers de formation en couture, soudure et menuiserie bois, entièrement réalisés et équipés en matériels adéquats par Enabel. Expliquant le sens de l’engagement d’Enabel aux côtés de l’administration pénitentiaire et envers la population carcérale, monsieur Sondéma KOLOGO, Project Manager – Appuis à la résilience d’Enabel, a rappelé l'importance de cet investissement pour les détenus de la MAC-K. Dans son discours, il a fait écho à la pensée de Nelson Mandela, en indiquant qu’ « Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes, c’est vivre d’une manière qui respecte et renforce la liberté des autres ». Un message fort qui a résonné tout au long de la journée. Au terme de la cérémonie, un partage fraternel entre population, détenu·e·s, autorités administratives, judiciaires, coutumières, leaders communautaires et partenaires techniques et financiers a eu lieu à travers un repas communautaire. Si l’objectif principal de cette journée était de commémorer la mémoire de Nelson Mandela, elle a aussi permis de souligner les efforts continus d'Enabel pour améliorer les conditions de vie des détenus et favoriser leur réinsertion. La MAC-K a ainsi offert une plate-forme de dialogue et de solidarité, où détenus et partenaires ont échangé sur les défis et les espoirs d’une réinsertion réussie.Enabel, à travers cet événement, a démontré que l’humanisation du système pénitentiaire et la réinsertion post-carcérale des détenus sont non seulement des défis, mais aussi des opportunités pour un développement social et économique durable. La MAC-K de Koupéla, avec le soutien indéfectible d’Enabel, fait aujourd’hui un pas important vers une justice plus humaine et inclusive.
Enabel agit aux côtés du gouvernement mauritanien et de l’Union européenne pour renforcer durablement la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans le pays. Grâce au financement de l’Union européenne, les interventions d’Enabel à travers les programmes RIMDIR, RIMFIL, MIRECAM, SECURALIM et SYSALIM ont permis de bâtir les fondations d’une transformation systémique, inclusive et résiliente des systèmes agroalimentaires.C’est cette dynamique que la Mauritanie a mis en lumière lors du Side Event "La transformation du système agroalimentaire : leçons d'une approche multipartite et multisectorielle en Mauritanie", organisé le lundi 28 juillet 2025, dans le cadre du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires (UNFSS+4) à Addis-Abeba.Un événement multi-acteurs autour de la vision mauritanienneOrganisé en partenariat avec le Ministère de l’Économie et des Finances, la FAO, le Programme Alimentaire Mondial (PAM), et modéré par la Délégation de l’Union européenne (INTPA Bruxelles), ce panel a permis de présenter l’approche coordonnée et intégrée de la Mauritanie pour faire face aux défis alimentaires, nutritionnels, climatiques et économiques.Enabel y a été représentée par Guédie Kane, Conseillère stratégique pays, et Sofie Van Waeyenberge, Coordinatrice Agriculture/Développement rural – Food Systems. Les deux collègues ont mis en avant les efforts structurants de l’agence en matière de gouvernance de la nutrition, de structuration des filières agricoles (notamment semencières) et d’appui à des mécanismes d’alerte et de planification.Une participation stratégique et des partenariats mis en lumièreLors de ce side event, Enabel a mobilisé M. Nasser El Kahtani, Directeur Exécutif de l’AGFUND et Chairman de la Banque Ibdaa, qui a présenté les résultats du partenariat innovant Enabel / Ibdaa El Bank, illustrant comment la collaboration entre développement public et finance inclusive peut soutenir l’entrepreneuriat agricole.La Team Belgium était également au rendez-vous, avec la participation remarquée de Madame l’Ambassadrice de Belgique à Addis-Abeba, venue saluer l’engagement de la Belgique à travers Enabel pour le renforcement de systèmes alimentaires durables en Afrique.Des rencontres prometteuses ont également eu lieu autour du PRADEP (Programme de Renforcement de la Production et de la Diversification des Cultures de Précision) avec les représentants du CILSS, ouvrant la voie à de nouvelles synergies régionales.Objectifs de cette participation au UNFSS+4 :Mettre en avant les leçons tirées de la mise en œuvre des projets financés par l’Union européenne.Valoriser le modèle mauritanien de coordination multisectorielle dans la transformation des systèmes alimentaires.Renforcer la visibilité d’Enabel et créer de nouvelles dynamiques partenariales.Contribuer aux réflexions globales sur la mobilisation de financements de meilleure qualité pour la résilience alimentaire.Des résultats et perspectives prometteursCet événement a démontré la valeur ajoutée d’une approche coordonnée entre acteurs étatiques, partenaires techniques, agences onusiennes et opérateurs de terrain. Les enseignements tirés de la Mauritanie, en matière de nutrition, d’adaptation climatique, de gouvernance et de financements innovants, constituent aujourd’hui une référence transférable pour d'autres pays.Retour en images sur cet événement fort en enseignements, en fierté et en perspectives. Félicitations aux équipes pour le travail remarquable mis en lumière à cette occasion. Enabel devient de plus en plus une vitrine de l’expertise belge dans le secteur du développement.
Dans la commune de Doutchi, région de Dosso, un modèle collaboratif redonne espoir aux producteurs et productrices laitiers : le Groupement d’Entreprises Intégrées et Collaboratives (GEIC) Lait de Doutchi.Soutenu par Enabel à travers le projet de Renforcement de l' Entrepreneuriat en Elevage (REEL Mahita), ce regroupement organise toute la chaîne de valeur :Production : du lait frais collecté chaque matin auprès des éleveursTransformation : en yaourt, fromage, beurre… avec des normes d’hygiène renforcéesCommercialisation : accès à des marchés fiables, paiement sur place, revenus sécurisésGrâce à cette organisation, les femmes n’ont plus à parcourir les villages pour vendre leur lait. Chaque litre est collecté et payé sur place, permettant à de nombreuses familles d’investir, de nourrir leurs animaux et de répondre aux besoins quotidiens.