Viewing 15 to 30 of 2621 news
Enabel has delivered the first batch of mobile generators on diesel fuel to the city of Chernihiv, Ukraine. This will help local public utility companies maintain an uninterrupted power supply during outages or disruptions to the national grid. Six generators were donated to Teplocomunenergo public utility company. The device with the highest capacity (280 KW) can power the heating substation that supplies heat to 15 residential buildings, two kindergartens, and five administrative facilities.Eight generators were provided to Cherhihivvodokanal to keep the largest potable water booster pumping stations up and running. Given Russia’s targeted attacks on energy production facilities, investing in decentralised backup energy production remains crucial to ensure continuous access to energy and heating. Enabel is already working on providing public facilities across the Chernihiv region with the second batch of generators.
Le vendredi 14 février 2025, la commune de Malgorou a accueilli une importante journée d'animation pédagogique, soutenue par Enabel dans le cadre du projet Sarraounia 2. Cette session de formation, dédiée à la remédiation pédagogique, a réuni 33 enseignants.L’objectif principal de cette journée était d’aider les enseignants à mieux identifier et corriger les lacunes d’apprentissage des élèves. À travers des évaluations régulières, ces difficultés sont diagnostiquées et des actions correctives sont mises en place pour assurer un apprentissage plus efficace. Cette formation s’inscrit dans le cadre d’un programme plus large qui, depuis le début de l’année scolaire 2024-2025, a permis à 73 enseignants de bénéficier de sessions similaires. La suite du programme prévoit des suivis réguliers en classe pour analyser les progrès réalisés et apporter des ajustements nécessaires.Le projet Sarraounia 2, qui fait la promotion d'une approche scolaire globale, repose sur l’implication active des communautés, des parents et des responsables locaux pour construire une école plus inclusive, protectrice et stimulante, notamment pour les jeunes filles.
Du 12 au 13 février 2025, la ville de Néma a accueilli un atelier de concertation et de mise à niveau des comités de gestion (COGES) en vue de leur transformation en Organisations de Gestion des Infrastructures Agropastorales (OGIAP). Cet atelier, qui s'inscrit dans le cadre du projet MIRECAM financé par l'Union européenne, vise à assurer une gestion harmonisée et durable des magasins de stockage d'aliments bétail (MAB) dans les communes de Timbédra, Djigueni et Adel Bagrou.L'atelier avait pour principaux objectifs :Dresser un état des lieux des COGES et analyser leurs besoins afin de faciliter leur transition vers le statut d'OGIAP.Définir une feuille de route pour garantir un accès équitable à l'aliment bétail pour les communautés hôtes ainsi que pour les éleveurs déplacés ou retournés.Identifier avec précision les besoins en aliment bétail en termes de typologies, de quantités et de modalités d'accès.Une implication institutionnelle et locale forteL'atelier a enregistré la participation de nombreux acteurs institutionnels et locaux, notamment la Wilaya, le Conseil Régional, la Cellule de Coordination des Projets et le UNHCR, ainsi que les Hakems et maires des communes concernées.Les autorités locales ont insisté sur la nécessité pour les gérants des MAB d'adopter des pratiques transparentes et équitables dans la distribution et la vente de l'aliment bétail, y compris pour les éleveurs déplacés.Un levier pour l'inclusion et la concertationLe projet MIRECAM favorise le dialogue entre les autorités locales, les élus, les organisations paysannes (OP) et les comités de gestion, encourageant ainsi des initiatives communes pour une meilleure inclusion des personnes déplacées et retournées.L'atelier a également permis de revisiter l'historique des magasins d'aliment bétail et de souligner leur importance, en faisant le lien entre les réalisations du programme RIMFIL et celles du projet MIRECAM.Cette rencontre marque une étape cruciale vers une gestion plus efficace et inclusive des infrastructures agropastorales au bénéfice de toutes les communautés concernées.À travers le projet MIRECAM, Enabel réaffirme son engagement en faveur d’une gestion durable et inclusive des infrastructures agropastorales, en accompagnant les acteurs locaux vers des solutions pérennes au service des éleveurs et des communautés rurales.
La disponibilité des données actualisées et fiables sur les questions liées aux inégalités liées au genre demeure un défi majeur pour le développement durable au Burkina Faso. C’est dans ce cadre qu’Enabel, l’Agence belge de développement, en partenariat avec le Ministère de l’Action Humanitaire et de la Solidarité Nationale (MAHSN), a soutenu l’élaboration et la validation de l’annuaire statistique et du tableau de bord « Femme et Genre » 2023. L’atelier de validation des deux documents tenu les 14 et 15 Janvier 2024 à Ouagadougou, marque une étape cruciale dans la mise à disposition de données fiables et actualisées sur les inégalités de genre. Il avait pour objectif de mettre à la disposition des producteurs et des utilisateurs, des informations statistiques genre sensibles actualisées. Ainsi, il s’est agi, pour l’annuaire statistique, de vérifier la cohérence et l’exactitude des données compilées, de recueillir les données pour compléter les informations manquantes, de formuler des recommandations pour les prochaines éditions et de valider l’annuaire statistique « Femme et Genre » 2023. Quant au tableau de bord, il a été question de présenter sa maquette « action sociale » aux participants.tes, de recueillir leurs amendements et leurs éventuelles propositions, de compléter les données des autres structures, d’améliorer les commentaires des tableaux et des graphiques et de valider le tableau de bord « Femme et Genre » 2023. Les informations contenues dans ces deux documents serviront d’outils d’aide à la prise de décision pour la réduction des inégalités de genre dans les domaines de développement et d’intensifier les actions en faveur de l’autonomisation des femmes et des jeunes. À travers cet engagement, Enabel renforce son rôle de partenaire stratégique dans la promotion d’un développement durable, inclusif et équitable. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Du bon maïs bien de chez nous dans le panier du sénégalais ! C'est l'engagement pris par les industriels, producteurs, commerçants et institutionnels qui viennent de signer les documents cadres de commercialisation du maïs sénégalais sous l'autorité de l'Agence de Régulation des Marchés (ARM). Enabel, avec le soutien de L'Union européenne au Sénégal , soutient la filière prioritaire du maïs qui est au cœur des ambitions de souveraineté alimentaire du gouvernement du Sénégal. Lasignature de cet accord cadre contribuera à améliorer la compétitivité de la production locale face au maïs importé, avec des engagements pris notamment sur les normes de qualité et la rémunération juste. Pour rappel, Enabel, à travers le projet Gunge Mbay, appuie près de 10 000 producteurs de céréales pour l'intégration de bonnes pratiques agricoles. Une stratégie d'appui à la formalisation des filières, à la commercialisation et à la contractualisation B2B permet de renforcer les liens de confiance entre tous les opérateurs.
The Wezesha Binti Project, a groundbreaking bilateral initiative led by the Belgium Development Agency (Enabel) in partnership with the Tanzanian Government, has sparked a wave of community-driven action in the Kigoma region. By addressing the systemic barriers faced by young women and youth, the project has ignited a collective effort to promote gender equality, improve access to education, and create sustainable economic opportunities. Through a series of inclusive community dialogues and impactful video screenings across 25 wards in five districts, the initiative has not only raised awareness but also inspired tangible solutions to long-standing challenges. A Platform for Open Dialogue and Collective Action From December 2 to December 17, 2024, the Wezesha Binti team, supported by Jamii-Lab consultants, brought together local leaders, parents, students, educators, and community members to tackle critical issues such as menstrual hygiene management (MHM), violence against women and girls (VAWG), youth unemployment, and sexual and reproductive health rights (SRHR). The innovative approach of combining facilitated discussions with thematic video screenings created a safe and inclusive space for participants to confront deeply entrenched societal norms. "The dialogues allowed communities to move beyond simply identifying problems to actively proposing solutions," shared a Jamii-Lab facilitator. "It was inspiring to see people commit to actionable steps that could transform lives." Uncovering Challenges, Proposing Solutions The dialogues highlighted several pressing issues that continue to impede the progress of young women and youth in Kigoma: Menstrual Hygiene Challenges Issue: Many schools lack adequate MHM facilities, forcing girls to miss school during their menstrual cycles. Solutions: Build gender-sensitive toilets, distribute reusable sanitary pads, and integrate menstrual health education into school curricula. Violence Against Women and Girls (VAWG) Issue: Cultural stigma and fear of reprisal prevent survivors from reporting gender-based violence. Solutions: Establish GBV support desks in schools and community centers, train law enforcement to handle cases sensitively, and launch awareness campaigns to challenge harmful norms. Youth Unemployment and Skills Gaps Issue: Limited access to vocational training and mentorship programs restricts economic opportunities, particularly for young women. Solutions: Expand vocational training in emerging sectors like green jobs, create mentorship networks, and provide seed funding for youth-led entrepreneurship initiatives. Long Commutes to Schools Issue: Many students, especially girls, drop out due to the dangers and exhaustion of traveling long distances to school. Solutions: Construct hostels near schools and improve affordable, safe transportation options for students. A Community Ready for Change The dialogues revealed a strong desire among community members to break free from cultural barriers and embrace progress. Local leaders played a pivotal role in mobilizing participants, while young people actively contributed ideas for shaping their futures. However, participants emphasized the need for sustained support and resources to ensure the proposed solutions are implemented effectively. A Call to Action for Sustainable Impact As the Wezesha Binti Project moves into its next phase, stakeholders are calling for continued collaboration between government agencies, NGOs, and local communities. "This initiative has laid a strong foundation, but lasting change requires ongoing investment in education, gender-sensitive policies, and economic empowerment programs," emphasized a regional education officer. The project's next steps will focus on implementing the district-specific action plans, strengthening partnerships with vocational institutions, and securing funding for infrastructural improvements. With the momentum generated by these community dialogues, Wezesha Binti is set to be a catalyst for positive change in Kigoma, fostering a future where young women and youth can thrive in a more equitable and supportive society.
Enabel a organisé le 10 janvier 2025 un atelier de lancement officiel des Projets Lasso Santé et Lasso WaSH dans la ville de Boromo, chef-lieu de la province des Balé. La cérémonie de lancement a été présidée par le Gouverneur de la Région de la Boucle du Mouhoun qui a donné le top de départ officiel de la mise en œuvre des activités des deux projets. Le Gouverneur Babo Pierre BASSINGA avait à ses côtés Marc Duponcel, Chef de la Coopération de la Délégation de l’Union européenne au Burkina Faso, NOORDHOLLAND DE JONG Jozef, Programme Manager à Enabel au Burkina Faso. Mis en œuvre par Enabel, ces deux projets - Lasso Santé et Lasso WaSH - sont financés par l’Union européenne d’un montant total de 11,1 millions d’euros, soit environ 7.281.122.700 FCFA. De façon globale, ces deux projets visent d’une part à « Contribuer à la résilience du système de santé par le renforcement de l’accessibilité, de l'adaptabilité, de l'inclusivité et de la qualité des services de santé pour les populations de la Boucle du Mouhoun » et d’autre part à « Contribuer au renforcement de la résilience des populations en particulier les femmes, les jeunes filles et les personnes déplacées de la Boucle du Mouhoun par le renforcement de la qualité, de l’accessibilité et de l’inclusivité des services d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement ».Selon le Gouverneur de la région d’intervention des deux projets, les objectifs « sont en cohérence avec la vision de développement du pays qui est de renforcer la résilience des populations vulnérables de la région, prenant en compte leurs besoins spécifiques, améliorant leur accès à des services de santé, d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement de qualité. » Avant de souhaiter plein succès aux Projets Lasso Santé et Lasso WaSH et de les déclarer officiellement lancés, le Gouverneur a rassuré Enabel de la disponibilité de l’administration de son ressort territorial à l’accompagner dans la mise en œuvre des activités desdits projets.Les deux projets couvrent 17 villages des communes de Dédougou et de Boromo et les Districts sanitaires des deux communes. Ils s’articulent autour d’une approche territoriale intégrée, une approche basée sur les droits humains et une approche transformatrice de genre. Les bénéficiaires finaux sont les femmes, les hommes, les jeunes filles et les garçons de la région de la Boucle du Mouhoun, y compris les Personnes Déplacées Internes (PDI) et les populations hôtes de la Boucle du Mouhoun ainsi que les personnes vulnérables.
Enabel a organisé le 10 janvier 2025 un atelier de lancement officiel des Projets Lasso Santé et Lasso WaSH dans la ville de Boromo, chef-lieu de la province des Balé. La cérémonie de lancement a été présidée par le Gouverneur de la Région de la Boucle du Mouhoun qui a donné le top de départ officiel de la mise en œuvre des activités des deux projets. Le Gouverneur Babo Pierre BASSINGA avait à ses côtés Marc Duponcel, Chef de la Coopération de la Délégation de l’Union européenne au Burkina Faso, NOORDHOLLAND DE JONG Jozef, Programme Manager à Enabel au Burkina Faso. Mis en œuvre par Enabel, ces deux projets - Lasso Santé et Lasso WaSH - sont financés par l’Union européenne d’un montant total de 11,1 millions d’euros, soit environ 7.281.122.700 FCFA. De façon globale, ces deux projets visent d’une part à « Contribuer à la résilience du système de santé par le renforcement de l’accessibilité, de l'adaptabilité, de l'inclusivité et de la qualité des services de santé pour les populations de la Boucle du Mouhoun » et d’autre part à « Contribuer au renforcement de la résilience des populations en particulier les femmes, les jeunes filles et les personnes déplacées de la Boucle du Mouhoun par le renforcement de la qualité, de l’accessibilité et de l’inclusivité des services d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement ».Selon le Gouverneur de la région d’intervention des deux projets, les objectifs « sont en cohérence avec la vision de développement du pays qui est de renforcer la résilience des populations vulnérables de la région, prenant en compte leurs besoins spécifiques, améliorant leur accès à des services de santé, d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement de qualité. » Avant de souhaiter plein succès aux Projets Lasso Santé et Lasso WaSH et de les déclarer officiellement lancés, le Gouverneur a rassuré Enabel de la disponibilité de l’administration de son ressort territorial à l’accompagner dans la mise en œuvre des activités desdits projets.Les deux projets couvrent 17 villages des communes de Dédougou et de Boromo et les Districts sanitaires des deux communes. Ils s’articulent autour d’une approche territoriale intégrée, une approche basée sur les droits humains et une approche transformatrice de genre. Les bénéficiaires finaux sont les femmes, les hommes, les jeunes filles et les garçons de la région de la Boucle du Mouhoun, y compris les Personnes Déplacées Internes (PDI) et les populations hôtes de la Boucle du Mouhoun ainsi que les personnes vulnérables.
Du 29 au 31 janvier 2025, Enabel, en collaboration avec ses partenaires étatiques, a organisé à Koupéla un atelier de planification des activités pour l’année 2025 des volets santé et genre. Cet atelier avait pour objectif d’échanger sur les priorités de l’année 2025, définies par les acteurs et actrices techniques étatiques des territoires d’intervention du portefeuille bilatéral 2023-2027. Cette planification s’inscrit dans la mise en œuvre du portefeuille et contribue à l’atteinte des objectifs spécifiques de la convention du programme de coopération bilatérale 2023-2027, signée entre le Gouvernement du Burkina Faso et le Royaume de Belgique. L'initiative vise à renforcer l’accès aux services sociaux de base pour les populations vulnérables, en particulier les femmes et les jeunes. Elle a réuni une diversité d’acteurs, notamment des représentants des ministères sectoriels, des services déconcentrés de l’État ainsi que des partenaires techniques et financiers. Au cours de ces trois jours, les participants on évalué les acquis de l’année 2024, analysé les défis rencontrés et défini une feuille de route pour 2025. Un accent particulier a été mis sur l’amélioration des services en santé sexuelle et reproductive (SDRS), la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG) et l’intégration du genre dans les politiques publiques locales. L’atelier a alterné présentations, travaux de groupes et échanges interactifs afin de garantir une planification alignée sur les besoins réels des communautés. Parmi ces priorités identifiées figurent : le renforcement des capacités des acteurs en matière de SDRS et de lutte contre les VBG, l’amélioration de la gouvernance sanitaire et la coordination entre les différentes parties prenantes, la budgétisation sensible au genre pour une meilleure allocation des ressources, l’élaboration d’un calendrier détaillé pour le déploiement des interventions sur le terrain. Les résultats de cet atelier permettront d’assurer un déploiement efficace des interventions d’Enabel en 2025. Une planification détaillée a été élaborée et validée par l’ensemble des participants garantissant ainsi une mise en œuvre cordonnée et efficace des activités sur le terrain. Un suivi rigoureux sera assuré tout au long de l’année afin d’évaluer l’impact des actions mises en œuvre et d’adapter les stratégies en fonction des réalités du terrain. Un rendez-vous a d’ores-et-déjà été fixe pour le mois d’Aout 2025, afin de procéder à une évaluation intermédiaire et d’effectuer des ajustements nécessaires au planning. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Du 29 au 31 janvier 2025, Enabel, en collaboration avec ses partenaires étatiques, a organisé à Koupéla un atelier de planification des activités pour l’année 2025 des volets santé et genre. Cet atelier avait pour objectif d’échanger sur les priorités de l’année 2025, définies par les acteurs et actrices techniques étatiques des territoires d’intervention du portefeuille bilatéral 2023-2027. Cette planification s’inscrit dans la mise en œuvre du portefeuille et contribue à l’atteinte des objectifs spécifiques de la convention du programme de coopération bilatérale 2023-2027, signée entre le Gouvernement du Burkina Faso et le Royaume de Belgique. L'initiative vise à renforcer l’accès aux services sociaux de base pour les populations vulnérables, en particulier les femmes et les jeunes. Elle a réuni une diversité d’acteurs, notamment des représentants des ministères sectoriels, des services déconcentrés de l’État ainsi que des partenaires techniques et financiers. Au cours de ces trois jours, les participants on évalué les acquis de l’année 2024, analysé les défis rencontrés et défini une feuille de route pour 2025. Un accent particulier a été mis sur l’amélioration des services en santé sexuelle et reproductive (SDRS), la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG) et l’intégration du genre dans les politiques publiques locales. L’atelier a alterné présentations, travaux de groupes et échanges interactifs afin de garantir une planification alignée sur les besoins réels des communautés. Parmi ces priorités identifiées figurent : le renforcement des capacités des acteurs en matière de SDRS et de lutte contre les VBG, l’amélioration de la gouvernance sanitaire et la coordination entre les différentes parties prenantes, la budgétisation sensible au genre pour une meilleure allocation des ressources, l’élaboration d’un calendrier détaillé pour le déploiement des interventions sur le terrain. Les résultats de cet atelier permettront d’assurer un déploiement efficace des interventions d’Enabel en 2025. Une planification détaillée a été élaborée et validée par l’ensemble des participants garantissant ainsi une mise en œuvre cordonnée et efficace des activités sur le terrain.Un suivi rigoureux sera assuré tout au long de l’année afin d’évaluer l’impact des actions mises en œuvre et d’adapter les stratégies en fonction des réalités du terrain. Un rendez-vous a d’ores-et-déjà été fixe pour le mois d’Aout 2025, afin de procéder à une évaluation intermédiaire et d’effectuer des ajustements nécessaires au planning. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Du 17 au 19 décembre 2024, Kaya, dans la région du Centre-Nord, a abrité un atelier de formation sur les cadres législatifs et réglementaires des Sociétés Coopératives Simplifiées (SCOOP) et des Sociétés de Cautionnement Mutuel (SCM). Organisé par Enabel à travers son programme OKDD , cet atelier a permis de renforcer les capacités de 43 participants issus d’institutions publiques et privées, ainsi que de la société civile. En rappel, OKDD est un programme qui se concentre sur le développement économique durable et inclusif des territoires. De plus, il vise à renforcer la gouvernance locale et à favoriser une meilleure organisation des acteurs économiques. En promouvant les SCOOP et SCM, OKDD contribue directement à la formalisation des entreprises informelles, un levier essentiel pour l'accès aux crédits, la mutualisation des ressources et la création d'opportunités économiques pérennes. Au cours de ces trois jours, les participants ont exploré des thématiques variées, telles que : les étapes de création et de gestion des SCOOP et SCM ; les rôles et responsabilités des autorités locales dans leur reconnaissance juridique ; les bénéfices économiques et sociaux de ces structures pour la relance des économies locales. Les échanges ont été enrichis par des communications dispensées par les représentants de la Direction Générale du Foncier, de la Formation et de l’Organisation du Monde Rural (DGFORM) , de l’ONG TRIAS et du Haut-commissariat de la province de la Sanmatenga . Ils ont partagé des expériences et des pratiques exemplaires, illustrant le potentiel des SCOOP et SCM à renforcer la résilience économique des communautés. À l’issue des travaux, des recommandations ont été proposées afin que les différentes parties prenantes puissent jouer convenablement leur rôle. Un des participants, M. ZIDA Zalem chef de projet economie verte du consortium Autre Terre - _CEAS Burkina a confié : « Cette formation a clarifié les démarches administratives et légales nécessaires pour transformer nos initiatives informelles en structures reconnues. Nous avons maintenant des outils concrets pour collaborer efficacement avec les autorités locales. »En clôturant cette formation, les organisateurs et participants ont souligné la nécessité de poursuivre de telles initiatives pour encourager la formalisation des structures économiques et promouvoir une relance économique inclusive. Les résultats obtenus à Kaya marquent une étape clé pour le développement économique des communautés du Centre-Nord.Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Le 17 décembre 2024, Enabel, en partenariat avec la Direction Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi, a organisé des cérémonies de remise de kits d’installation dans les communes de Kaya, Boulsa, Korsimoro et Boussouma. Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Programme d'Appui à la Stabilisation de l’Axe Ouagadougou-Kaya-Dori-Djibo (OKDD). Ce programme est financé par l'Union Européenne avec 10 229 023 euros . Il est mis en œuvre par le consortium Enabel -GIZ. OKDD a pour objectif de renforcer la résilience des populations et de stabiliser la région du Centre-Nord au Burkina Faso. Il vise également à améliorer la cohésion sociale, la gouvernance locale, ainsi qu'à relancer l’économie locale dans cette région. Une composante essentielle de ce programme est la promotion de l’entrepreneuriat inclusif et durable, en particulier chez les jeunes et les femmes vulnérables. Ce volet est destiné à stimuler la création d’emplois décents et à améliorer la compétitivité des entreprises rurales et urbaines. C’est dans ce cadre qu’Enabel et la GIZ, en collaboration avec la Direction Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi, ont accompagné 112 jeunes (dont 74 femmes et 38 hommes) porteurs de projets. L’objectif visé est de permettre le développement de leurs entreprises. Après trois mois de stages pratiques de perfectionnement , les bénéficiaires se sont vu remettre des kits spécifiques adaptés à leurs besoins, favorisant ainsi leur autonomisation et la création d’emplois dans leurs communautés. La cérémonie, présidée par Madame la Directrice Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi du Centre-Nord, a rassemblé divers acteurs : bénéficiaires, autorités locales, partenaires techniques et financiers, ainsi que des parrains et marraines. La remise s’est déroulée en trois phases divisées en lot, chaque lot représentant des domaines spécifiques : lot 1 : intrants et équipements d’élevage; lot 2 : équipements solaires et électriques; lot 3 : matériels d’artisanat, quincaillerie et divers. Lors de cet événement, chaque bénéficiaire a signé un engagement pour une utilisation efficace des kits. Les autorités ont profité de l’occasion pour sensibiliser les jeunes sur la bonne gestion des outils reçus. Avec ces kits, il est espéré que : les entreprises portées par ces jeunes soient renforcées, consolidant ainsi les emplois existants ; de nouveaux emplois soient créés au profit des femmes et des jeunes ; les capacités opérationnelles des entreprises soient améliorées, contribuant à une relance économique durable dans la région. Les bénéficiaires ont exprimé leur gratitude pour cette initiative. TAPSOBA Prisca , jeune coiffeuse, a confié : « avant, je manquais de certains matériels dans mon salon de coiffure. Aujourd’hui, grâce à Enabel, mon salon aura fière allure et me permettra d’avoir plus de clientes et je pourrai embaucher des personnes pour m’aider ».Cette cérémonie marque une étape clé dans l’engagement d’Enabel et de ses partenaires en faveur des jeunes et des femmes du Centre-Nord. À travers ce geste, ils réaffirment leur volonté de contribuer à la stabilité et à la résilience socio-économique des populations vulnérables. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
A passionate call to dismantle systemic barriers facing Tanzania’s women and girls dominated a landmark high level policy dialogue held in Kigoma, bringing together over 50 government, civil society and private leaders united to demand urgent action on education and economic justice. Organized by Enabel’s Wezesha Binti (Empower a Girl) project and titled “Advancing Gender Equality: Accelerating Secondary Education and Improving Economic Opportunities for Young Women and Girls” with one rallying cry of no more broken promises. The participants were moved by an emotional testimony from a 17-year-old young mother who defied stigma to reclaim her education. “I want to be a doctor, but my community says I’m ‘spoiled.’ How can I prove them wrong if even teachers don’t know the re-entry rules? she stated, detailing how unclear re-entry policies and teacher bias nearly denied her a chance to continue with her education. Her story is anchored from a presentation by Dr. Wilberforce Meena of Haki Elimu (Right to Education), a leading NGO on education sector in Tanzania, on a study they conducted on Tanzania’s 2021 re-entry policy, allowing teen mothers back to school. While the law revived hope for many teenage mothers when it was introduced in 2021, Dr. Meena revealed glaring gaps that only 12% of schools in the country fully comply with stigma, untrained staff, and inconsistent implementation locking young mothers out of school. “We need nationwide teacher training, community anti-stigma campaigns, and clear guidelines to prevent arbitrary implementation of the re-entry policy.” On the discussion about economic empowerment, the panelists highlighted economic exclusion of women in high-growth sectors like renewable energy and construction despite Tanzania’s push for “greener jobs” in climate-resilient sectors. Women entrepreneurs flagged persistent challenges citing exclusion from male dominated industries, limited access to financing as banks demand collateral, complex business registration processes and punitive tax regimes that discourage formalization of their businesses. They pushed for faster reforms—simplified business licensing, gender-responsive financing, and tax incentives to formalize women-led enterprises. The government through Vocational Education and Training (VETA) centres is tasked with coming up with strategies to attract young women and girls to join Technical and Vocational Education and Training (TVET) programs by revising the curricula to align with job market demands, offering scholarships, childcare support and mentorship led by women. In his closing remarks, Mr. Msafiri Nzunuri, Kigoma’s Regional Community Development Officer and Wezesha Binti regional focal point, pledged collaboration with all stakeholders “We cannot solve these issues in silos. From enforcing anti-GBV laws to supporting women’s markets, this is a collective fight.” He lauded Enabel’s role in fostering dialogue but urged faster action: “Let’s move from talk to tangible change—our girls are watching.” As the teenage mother who stirred the room later said the dialogue was a lifeline: “Today, I feel heard. Maybe now my daughter won’t face the same battles.”
Le 6 février 2025, Gourdiama, près de Kaédi, a accueilli une journée portes ouvertes dédiée à l’approche CEAP « champ-école agropastoral ». Cet événement visait à renforcer les capacités des producteurs locaux grâce à des méthodes participatives adaptées à leurs réalités agroécologiques. Il marquait la fin de quatre mois de formation pour la première cohorte des facilitateurs fourragers dans les régions Sud.ObjectifsRenforcer les capacités des producteurs locaux : Grâce à des méthodes participatives et adaptées.Clôturer la formation : Présenter les acquis des facilitateurs fourragers.Promouvoir l’approche CEAP : Permettre aux non-participants de découvrir et expérimenter les leçons apprises.L'événement a réuni :La participation active des autorités localesÉlus locauxAutorités administrativesServices techniques étatiquesPartenaires au développementOrganisations paysannesActeurs clés du secteur agropastoralLes participants ont souligné l’importance de cette approche pour la souveraineté alimentaire et la résilience face au changement climatique.Activités de la journéePrésentations et visites de sites : Découverte des résultats concrets des champs-écoles.Présentation des acquis : Les producteurs fourragers ont mis en avant de nouvelles techniques adaptées à leurs contextes.Échanges et discussions : Identification de pistes pour diffuser l’approche et capitaliser sur les leçons apprises.Les partenaires ont réaffirmé leur engagement à soutenir cette dynamique, essentielle pour un développement agricole inclusif.Cette journée a été une opportunité exceptionnelle pour renforcer la cohésion entre les facilitateurs, encourager les échanges d’expériences et promouvoir l’adoption de solutions durables au service du développement rural. Merci à tous les participants pour leur engagement en faveur d’un agropastoralisme durable en Mauritanie !
At the Connected Africa Summit 2024, experts and students explain how they build careers in ICT through pathways in education and entrepreneurship.The video features interviews with:Jesca Tracy Wanyony, Erly Sheilla Odhiambo, Angeline Ndanu, students from the Technical Training Institute in Nairobi.Millicent Obara, instructor at the Thika Technical Training Institute in Nairobi.Margaret Wangui, instructor and students from the Nairobi Technical Institute.H.E. Peter Maddens, Ambassador of Belgium to Kenya.Ada Nduka Oyom (Nigeria), Executive Director of She Code Africa.Shamira Ahmed (South Africa), Chair of the D4D Hub civil society and academia advisory group for Africa.Vanessa Onek Tandekwiri, Consultant with Startup Uganda.Video: The Path to Leadership for Women and Girls in ICT | D4D