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Nos communautés partenaires du Hodh El Gharbi célèbrent une saison de récolte prometteuse dans les Jardins Maraîchers Circulaires (JMC), avec des productions diversifiées et une dynamique de commercialisation en pleine expansion.Focus sur le JMC de Timzine et autres productions en cours de récolteTomates : 2 100 kgChou : 500 kgPiment : 10 kgPoivron : 80 kgCourgette : 300 kgCarottes : 1 685 kgNavet : 415 kgGombo : 7 039 kgAubergine : 6 900 kgCourge : 1 950 kgOignon : 300 kgDeux de ces JMC approvisionnent déjà le marché d’Aioun, contribuant à dynamiser la filière maraîchère locale.Vers une meilleure structuration du secteurPour optimiser la vente des produits locaux, une réunion de concertation a rassemblé les acteurs de la filière maraîchère au Hodh El Gharbi. Cette rencontre a permis de jeter les bases d’un cadre de concertation régional, favorisant une meilleure coordination entre producteurs, commerçants et partenaires pour une intégration renforcée des produits locaux sur le marché national.Une avancée essentielle pour la structuration de la filière et la résilience économique de nos communautés rurales.Un projet financé par l'Union européenne en Mauritanie et mis en œuvre par Enabel.
L’Agence belge de développement, Enabel, a commémoré la journée internationale de la tolérance zéro (0) à l’égard des mutilations génitales féminines (MGF), à travers un atelier de plaidoyer auprès des leaders d’opinion de la région du Centre-est. Tenue le 6 février 2025 à Tenkodogo, l’activité vise à contribuer au renforcement de l’engagement des leaders dans la prévention et la lutte contre les MGF. Enabel est engagée dans la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) ainsi que la prévention et la lutte contre les mutilations génitales féminines (MGF). C’est dans cette dynamique qu’elle accompagne, le Ministère en charge de l’Action Humanitaire et de la Solidarité Nationale à travers sa direction régionale du Centre-Est dans les actions visant à alléger la souffrance des femmes et des hommes. En commémorant la journée internationale de la tolérance 0 à l’égard des MGF à travers la tenue du plaidoyer à l’endroit des leaders communautaires de la région, Enabel en partenariat avec l’action sociale, entend engager la responsabilité de toutes et tous dans la noble mission qu’est la prévention et la lutte contre les MGF dans la région du Centre-Est. Ce fut l’occasion de sensibiliser les leaders coutumiers, religieux, militaires, paramilitaire, les responsables des associations féminines sur les méfaits de la pratique ; d’échanger sur l’état des lieux des VBG en l’occurrence les MGF dans la région, et de définir les rôles et responsabilités de chaque acteur dans la prévention et la lutte. Le Secrétaire Général de la Région, qui a présidé l’ouverture des travaux a rappelé l’importance de la journée du 6 février, instaurée en 2012 par l’assemblée générale de l’ONU. Il a également fait remarquer, que malgré les multiples efforts, les VBG persistent et constituent une menace sur la santé mentale et physique de la femme. Le bilan reste toujours mitigé dans la région du Centre-est selon les données de la direction régionale de l’action humanitaire et de la solidarité nationale avec 565 cas de VBG dont 11 cas d’excision en 2022, 425 en 2023 et 432 dont 3 cas d’excision en 2024. Pour Madame SANDWIDI/ YAMBRE Marie Thérèse, coordonnatrice provinciale des femmes du Kouritenga, son rôle majeur est la sensibilisation de l’ensemble de la population-hommes-femmes-jeunes sur les VBG et l’excision afin qu’ensemble ils puissent bannir l’excision de la région. Elle prévoit orienter ses actions sur les conséquences qu’engendre la pratique et le témoignage des personnes vivant avec les séquelles.KABORE Sidnoma Rosine (Stagiaire en Communication)
Dans le sud-est du pays, face aux défis de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle, les Jardins Maraîchers Circulaires (JMC) offrent une solution durable. Grâce au programme RIMFIL mis en oeuvre par Enabel et financé par l'Union européenne, ces jardins agroécologiques produisent toute l’année des récoltes saines et diversifiées.Irrigation au goutte-à-goutteSemences locales adaptées Traitements naturels Les récoltes nourrissent les familles et dynamisent les marchés locaux, renforçant ainsi la résilience des communautés rurales.
Grâce au programme RIMFIL financé par l'Union européenne, Enabel a facilité l’accès au financement pour les agriculteurs, les éleveurs et les autres acteurs du monde rural dans le zone couverte par le programme. En partenariat avec AL-IBDAA Bank et la Coopérative DJIKKE, ce soutien a permis : L’ouverture de 10 nouvelles agences et guichets2 377 nouveaux adhérents ayant désormais accès aux services financiers1 877 crédits octroyés, représentant un total de 20,29 millions MRU (480 000 euros)4,67 millions MRU (110 000 euros) d’épargne collectée, témoignant du dynamisme du secteurEnabel a également accompagné Al IBDAA dans la digitalisation de son processus de gestion des demandes de crédit de crédit d’IBDAA, réduisant les délais de traitement et facilitant l’accès au financement des producteurs. Après cinq mois de développement, l’outil est désormais opérationnel. Une avancée majeure pour une inclusion financière renforcée !Al IBDAA franchit une étape clé dans la gestion de ses opérations La banque Al IBDAA aspire à numériser l’ensemble de son processus de gestion des opérations. La digitalisation de la gestion des demandes de crédit, soutenue par Enabel, représente une étape clé de cette initiative.Cette avancée est particulièrement bénéfique pour les producteurs agricoles et pastoraux, dont les décaissements de crédit sont étroitement liés aux cycles de leurs activités. Grâce à cette application, le délai de traitement des demandes de crédit sera considérablement réduit, leur offrant ainsi un accès plus rapide aux financements.Une solution adaptée aux réalités du terrain Le développement de cette application va permettre de surmonter plusieurs défis majeurs : Éloignement géographique : auparavant, les clients devaient se déplacer pour soumettre une demande de crédit. Désormais, les agents de crédit peuvent eux-mêmes aller à leur rencontre, sans procédures administratives lourdes. Mode hors ligne : même dans les villages éloignés, l'application permet de traiter plusieurs dossiers à la fois sans connexion Internet. Les données peuvent ensuite être synchronisées avec le système d’IBDAA dès qu’une connexion est disponible. Simplification du processus : l’ouverture de compte est désormais plus rapide et ne nécessite plus de documents papier ou de photos. Quels bénéfices pour les communautés et pour IBDAA ? Pour les communautés Réduction du délai de traitement des demandes de crédit Possibilité pour les agents de crédit de traiter directement les demandes depuis leur smartphone Pour IBDAA Renforcement des compétences du personnel pour une meilleure efficacité Réduction des coûts d’impression et d’archivage des dossiers Suivi amélioré des demandes et statistiques de crédit Possibilité d’évaluer les clients via un système de notation basé sur leur historique de crédit, facilitant ainsi le renouvellement ou l’octroi des crédits Avec cette nouvelle plateforme, Al IBDAA s’engage dans une gestion plus moderne et efficace du crédit agricole et pastoral, offrant aux bénéficiaires un service plus rapide et adapté à leurs besoins. Grâce à cet appui d’Enabel, la banque Al IBDAA franchit un cap décisif dans la modernisation de ses services financiers. Enabel confirme ainsi son engagement en faveur de solutions innovantes qui améliorent l’accès au crédit pour les producteurs agricoles et pastoraux. En réduisant les délais de traitement, en optimisant la gestion des demandes et en facilitant le travail des agents de crédit, cette initiative contribue directement au renforcement des capacités des institutions de microfinance et à la résilience économique des populations. Enabel continue d’accompagner ses partenaires dans la mise en place de solutions durables et adaptées aux réalités du terrain, afin de favoriser un développement inclusif et un accès équitable aux ressources financières pour tous.
Enabel has delivered the first batch of mobile generators on diesel fuel to the city of Chernihiv, Ukraine. This will help local public utility companies maintain an uninterrupted power supply during outages or disruptions to the national grid. Six generators were donated to Teplocomunenergo public utility company. The device with the highest capacity (280 KW) can power the heating substation that supplies heat to 15 residential buildings, two kindergartens, and five administrative facilities.Eight generators were provided to Cherhihivvodokanal to keep the largest potable water booster pumping stations up and running. Given Russia’s targeted attacks on energy production facilities, investing in decentralised backup energy production remains crucial to ensure continuous access to energy and heating. Enabel is already working on providing public facilities across the Chernihiv region with the second batch of generators.
Le vendredi 14 février 2025, la commune de Malgorou a accueilli une importante journée d'animation pédagogique, soutenue par Enabel dans le cadre du projet Sarraounia 2. Cette session de formation, dédiée à la remédiation pédagogique, a réuni 33 enseignants.L’objectif principal de cette journée était d’aider les enseignants à mieux identifier et corriger les lacunes d’apprentissage des élèves. À travers des évaluations régulières, ces difficultés sont diagnostiquées et des actions correctives sont mises en place pour assurer un apprentissage plus efficace. Cette formation s’inscrit dans le cadre d’un programme plus large qui, depuis le début de l’année scolaire 2024-2025, a permis à 73 enseignants de bénéficier de sessions similaires. La suite du programme prévoit des suivis réguliers en classe pour analyser les progrès réalisés et apporter des ajustements nécessaires.Le projet Sarraounia 2, qui fait la promotion d'une approche scolaire globale, repose sur l’implication active des communautés, des parents et des responsables locaux pour construire une école plus inclusive, protectrice et stimulante, notamment pour les jeunes filles.
Du 12 au 13 février 2025, la ville de Néma a accueilli un atelier de concertation et de mise à niveau des comités de gestion (COGES) en vue de leur transformation en Organisations de Gestion des Infrastructures Agropastorales (OGIAP). Cet atelier, qui s'inscrit dans le cadre du projet MIRECAM financé par l'Union européenne, vise à assurer une gestion harmonisée et durable des magasins de stockage d'aliments bétail (MAB) dans les communes de Timbédra, Djigueni et Adel Bagrou.L'atelier avait pour principaux objectifs :Dresser un état des lieux des COGES et analyser leurs besoins afin de faciliter leur transition vers le statut d'OGIAP.Définir une feuille de route pour garantir un accès équitable à l'aliment bétail pour les communautés hôtes ainsi que pour les éleveurs déplacés ou retournés.Identifier avec précision les besoins en aliment bétail en termes de typologies, de quantités et de modalités d'accès.Une implication institutionnelle et locale forteL'atelier a enregistré la participation de nombreux acteurs institutionnels et locaux, notamment la Wilaya, le Conseil Régional, la Cellule de Coordination des Projets et le UNHCR, ainsi que les Hakems et maires des communes concernées.Les autorités locales ont insisté sur la nécessité pour les gérants des MAB d'adopter des pratiques transparentes et équitables dans la distribution et la vente de l'aliment bétail, y compris pour les éleveurs déplacés.Un levier pour l'inclusion et la concertationLe projet MIRECAM favorise le dialogue entre les autorités locales, les élus, les organisations paysannes (OP) et les comités de gestion, encourageant ainsi des initiatives communes pour une meilleure inclusion des personnes déplacées et retournées.L'atelier a également permis de revisiter l'historique des magasins d'aliment bétail et de souligner leur importance, en faisant le lien entre les réalisations du programme RIMFIL et celles du projet MIRECAM.Cette rencontre marque une étape cruciale vers une gestion plus efficace et inclusive des infrastructures agropastorales au bénéfice de toutes les communautés concernées.À travers le projet MIRECAM, Enabel réaffirme son engagement en faveur d’une gestion durable et inclusive des infrastructures agropastorales, en accompagnant les acteurs locaux vers des solutions pérennes au service des éleveurs et des communautés rurales.
La disponibilité des données actualisées et fiables sur les questions liées aux inégalités liées au genre demeure un défi majeur pour le développement durable au Burkina Faso. C’est dans ce cadre qu’Enabel, l’Agence belge de développement, en partenariat avec le Ministère de l’Action Humanitaire et de la Solidarité Nationale (MAHSN), a soutenu l’élaboration et la validation de l’annuaire statistique et du tableau de bord « Femme et Genre » 2023. L’atelier de validation des deux documents tenu les 14 et 15 Janvier 2024 à Ouagadougou, marque une étape cruciale dans la mise à disposition de données fiables et actualisées sur les inégalités de genre. Il avait pour objectif de mettre à la disposition des producteurs et des utilisateurs, des informations statistiques genre sensibles actualisées. Ainsi, il s’est agi, pour l’annuaire statistique, de vérifier la cohérence et l’exactitude des données compilées, de recueillir les données pour compléter les informations manquantes, de formuler des recommandations pour les prochaines éditions et de valider l’annuaire statistique « Femme et Genre » 2023. Quant au tableau de bord, il a été question de présenter sa maquette « action sociale » aux participants.tes, de recueillir leurs amendements et leurs éventuelles propositions, de compléter les données des autres structures, d’améliorer les commentaires des tableaux et des graphiques et de valider le tableau de bord « Femme et Genre » 2023. Les informations contenues dans ces deux documents serviront d’outils d’aide à la prise de décision pour la réduction des inégalités de genre dans les domaines de développement et d’intensifier les actions en faveur de l’autonomisation des femmes et des jeunes. À travers cet engagement, Enabel renforce son rôle de partenaire stratégique dans la promotion d’un développement durable, inclusif et équitable. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Du bon maïs bien de chez nous dans le panier du sénégalais ! C'est l'engagement pris par les industriels, producteurs, commerçants et institutionnels qui viennent de signer les documents cadres de commercialisation du maïs sénégalais sous l'autorité de l'Agence de Régulation des Marchés (ARM). Enabel, avec le soutien de L'Union européenne au Sénégal , soutient la filière prioritaire du maïs qui est au cœur des ambitions de souveraineté alimentaire du gouvernement du Sénégal. Lasignature de cet accord cadre contribuera à améliorer la compétitivité de la production locale face au maïs importé, avec des engagements pris notamment sur les normes de qualité et la rémunération juste. Pour rappel, Enabel, à travers le projet Gunge Mbay, appuie près de 10 000 producteurs de céréales pour l'intégration de bonnes pratiques agricoles. Une stratégie d'appui à la formalisation des filières, à la commercialisation et à la contractualisation B2B permet de renforcer les liens de confiance entre tous les opérateurs.
Du bon maïs bien de chez nous dans le panier du sénégalais ! C'est l'engagement pris par les industriels, producteurs, commerçants et institutionnels qui viennent de signer les documents cadres de commercialisation du maïs sénégalais sous l'autorité de l'Agence de Régulation des Marchés (ARM). Enabel, avec le soutien de L'Union européenne au Sénégal , soutient la filière prioritaire du maïs qui est au cœur des ambitions de souveraineté alimentaire du gouvernement du Sénégal. La signature de cet accord cadre contribuera à améliorer la compétitivité de la production locale face au maïs importé, avec des engagements pris notamment sur les normes de qualité et la rémunération juste. Pour rappel, Enabel, à travers le projet Gunge Mbay, appuie près de 10 000 producteurs de céréales pour l'intégration de bonnes pratiques agricoles. Une stratégie d'appui à la formalisation des filières, à la commercialisation et à la contractualisation B2B permet de renforcer les liens de confiance entre tous les opérateurs. #GungeMbay #souverainetealimentaire #B2B #partenariatpublicprivé Ministère de l'Economie, du Plan et de la Coopération du Sénégal Ministère de l'Industrie et du Commerce Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage du Sénégal - MASAE Enabel
Du bon maïs bien de chez nous dans le panier du sénégalais ! C'est l'engagement pris par les industriels, producteurs, commerçants et institutionnels qui viennent de signer les documents cadres de commercialisation du maïs sénégalais sous l'autorité de l'Agence de Régulation des Marchés (ARM). Enabel, avec le soutien de L'Union européenne au Sénégal , soutient la filière prioritaire du maïs qui est au cœur des ambitions de souveraineté alimentaire du gouvernement du Sénégal. La signature de cet accord cadre contribuera à améliorer la compétitivité de la production locale face au maïs importé, avec des engagements pris notamment sur les normes de qualité et la rémunération juste. Pour rappel, Enabel, à travers le projet Gunge Mbay, appuie près de 10 000 producteurs de céréales pour l'intégration de bonnes pratiques agricoles. Une stratégie d'appui à la formalisation des filières, à la commercialisation et à la contractualisation B2B permet de renforcer les liens de confiance entre tous les opérateurs. #GungeMbay #souverainetealimentaire #B2B #partenariatpublicprivé Ministère de l'Economie, du Plan et de la Coopération du Sénégal Ministère de l'Industrie et du Commerce Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage du Sénégal - MASAE Enabel
The Wezesha Binti Project, a groundbreaking bilateral initiative led by the Belgium Development Agency (Enabel) in partnership with the Tanzanian Government, has sparked a wave of community-driven action in the Kigoma region. By addressing the systemic barriers faced by young women and youth, the project has ignited a collective effort to promote gender equality, improve access to education, and create sustainable economic opportunities. Through a series of inclusive community dialogues and impactful video screenings across 25 wards in five districts, the initiative has not only raised awareness but also inspired tangible solutions to long-standing challenges. A Platform for Open Dialogue and Collective Action From December 2 to December 17, 2024, the Wezesha Binti team, supported by Jamii-Lab consultants, brought together local leaders, parents, students, educators, and community members to tackle critical issues such as menstrual hygiene management (MHM), violence against women and girls (VAWG), youth unemployment, and sexual and reproductive health rights (SRHR). The innovative approach of combining facilitated discussions with thematic video screenings created a safe and inclusive space for participants to confront deeply entrenched societal norms. "The dialogues allowed communities to move beyond simply identifying problems to actively proposing solutions," shared a Jamii-Lab facilitator. "It was inspiring to see people commit to actionable steps that could transform lives." Uncovering Challenges, Proposing Solutions The dialogues highlighted several pressing issues that continue to impede the progress of young women and youth in Kigoma: Menstrual Hygiene Challenges Issue: Many schools lack adequate MHM facilities, forcing girls to miss school during their menstrual cycles. Solutions: Build gender-sensitive toilets, distribute reusable sanitary pads, and integrate menstrual health education into school curricula. Violence Against Women and Girls (VAWG) Issue: Cultural stigma and fear of reprisal prevent survivors from reporting gender-based violence. Solutions: Establish GBV support desks in schools and community centers, train law enforcement to handle cases sensitively, and launch awareness campaigns to challenge harmful norms. Youth Unemployment and Skills Gaps Issue: Limited access to vocational training and mentorship programs restricts economic opportunities, particularly for young women. Solutions: Expand vocational training in emerging sectors like green jobs, create mentorship networks, and provide seed funding for youth-led entrepreneurship initiatives. Long Commutes to Schools Issue: Many students, especially girls, drop out due to the dangers and exhaustion of traveling long distances to school. Solutions: Construct hostels near schools and improve affordable, safe transportation options for students. A Community Ready for Change The dialogues revealed a strong desire among community members to break free from cultural barriers and embrace progress. Local leaders played a pivotal role in mobilizing participants, while young people actively contributed ideas for shaping their futures. However, participants emphasized the need for sustained support and resources to ensure the proposed solutions are implemented effectively. A Call to Action for Sustainable Impact As the Wezesha Binti Project moves into its next phase, stakeholders are calling for continued collaboration between government agencies, NGOs, and local communities. "This initiative has laid a strong foundation, but lasting change requires ongoing investment in education, gender-sensitive policies, and economic empowerment programs," emphasized a regional education officer. The project's next steps will focus on implementing the district-specific action plans, strengthening partnerships with vocational institutions, and securing funding for infrastructural improvements. With the momentum generated by these community dialogues, Wezesha Binti is set to be a catalyst for positive change in Kigoma, fostering a future where young women and youth can thrive in a more equitable and supportive society.
The Wezesha Binti Project, a groundbreaking bilateral initiative led by the Belgium Development Agency (Enabel) in partnership with the Tanzanian Government, has sparked a wave of community-driven action in the Kigoma region. By addressing the systemic barriers faced by young women and youth, the project has ignited a collective effort to promote gender equality, improve access to education, and create sustainable economic opportunities. Through a series of inclusive community dialogues and impactful video screenings across 25 wards in five districts, the initiative has not only raised awareness but also inspired tangible solutions to long-standing challenges. A Platform for Open Dialogue and Collective Action From December 2 to December 17, 2024, the Wezesha Binti team, supported by Jamii-Lab consultants, brought together local leaders, parents, students, educators, and community members to tackle critical issues such as menstrual hygiene management (MHM), violence against women and girls (VAWG), youth unemployment, and sexual and reproductive health rights (SRHR). The innovative approach of combining facilitated discussions with thematic video screenings created a safe and inclusive space for participants to confront deeply entrenched societal norms. "The dialogues allowed communities to move beyond simply identifying problems to actively proposing solutions," shared a Jamii-Lab facilitator. "It was inspiring to see people commit to actionable steps that could transform lives." Uncovering Challenges, Proposing Solutions The dialogues highlighted several pressing issues that continue to impede the progress of young women and youth in Kigoma: Menstrual Hygiene Challenges Issue: Many schools lack adequate MHM facilities, forcing girls to miss school during their menstrual cycles. Solutions: Build gender-sensitive toilets, distribute reusable sanitary pads, and integrate menstrual health education into school curricula. Violence Against Women and Girls (VAWG) Issue: Cultural stigma and fear of reprisal prevent survivors from reporting gender-based violence. Solutions: Establish GBV support desks in schools and community centers, train law enforcement to handle cases sensitively, and launch awareness campaigns to challenge harmful norms. Youth Unemployment and Skills Gaps Issue: Limited access to vocational training and mentorship programs restricts economic opportunities, particularly for young women. Solutions: Expand vocational training in emerging sectors like green jobs, create mentorship networks, and provide seed funding for youth-led entrepreneurship initiatives. Long Commutes to Schools Issue: Many students, especially girls, drop out due to the dangers and exhaustion of traveling long distances to school. Solutions: Construct hostels near schools and improve affordable, safe transportation options for students. A Community Ready for Change The dialogues revealed a strong desire among community members to break free from cultural barriers and embrace progress. Local leaders played a pivotal role in mobilizing participants, while young people actively contributed ideas for shaping their futures. However, participants emphasized the need for sustained support and resources to ensure the proposed solutions are implemented effectively. A Call to Action for Sustainable Impact As the Wezesha Binti Project moves into its next phase, stakeholders are calling for continued collaboration between government agencies, NGOs, and local communities. "This initiative has laid a strong foundation, but lasting change requires ongoing investment in education, gender-sensitive policies, and economic empowerment programs," emphasized a regional education officer. The project's next steps will focus on implementing the district-specific action plans, strengthening partnerships with vocational institutions, and securing funding for infrastructural improvements. With the momentum generated by these community dialogues, Wezesha Binti is set to be a catalyst for positive change in Kigoma, fostering a future where young women and youth can thrive in a more equitable and supportive society.
Enabel a organisé le 10 janvier 2025 un atelier de lancement officiel des Projets Lasso Santé et Lasso WaSH dans la ville de Boromo, chef-lieu de la province des Balé. La cérémonie de lancement a été présidée par le Gouverneur de la Région de la Boucle du Mouhoun qui a donné le top de départ officiel de la mise en œuvre des activités des deux projets. Le Gouverneur Babo Pierre BASSINGA avait à ses côtés Marc Duponcel, Chef de la Coopération de la Délégation de l’Union européenne au Burkina Faso, NOORDHOLLAND DE JONG Jozef, Programme Manager à Enabel au Burkina Faso. Mis en œuvre par Enabel, ces deux projets - Lasso Santé et Lasso WaSH - sont financés par l’Union européenne d’un montant total de 11,1 millions d’euros, soit environ 7.281.122.700 FCFA. De façon globale, ces deux projets visent d’une part à « Contribuer à la résilience du système de santé par le renforcement de l’accessibilité, de l'adaptabilité, de l'inclusivité et de la qualité des services de santé pour les populations de la Boucle du Mouhoun » et d’autre part à « Contribuer au renforcement de la résilience des populations en particulier les femmes, les jeunes filles et les personnes déplacées de la Boucle du Mouhoun par le renforcement de la qualité, de l’accessibilité et de l’inclusivité des services d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement ».Selon le Gouverneur de la région d’intervention des deux projets, les objectifs « sont en cohérence avec la vision de développement du pays qui est de renforcer la résilience des populations vulnérables de la région, prenant en compte leurs besoins spécifiques, améliorant leur accès à des services de santé, d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement de qualité. » Avant de souhaiter plein succès aux Projets Lasso Santé et Lasso WaSH et de les déclarer officiellement lancés, le Gouverneur a rassuré Enabel de la disponibilité de l’administration de son ressort territorial à l’accompagner dans la mise en œuvre des activités desdits projets.Les deux projets couvrent 17 villages des communes de Dédougou et de Boromo et les Districts sanitaires des deux communes. Ils s’articulent autour d’une approche territoriale intégrée, une approche basée sur les droits humains et une approche transformatrice de genre. Les bénéficiaires finaux sont les femmes, les hommes, les jeunes filles et les garçons de la région de la Boucle du Mouhoun, y compris les Personnes Déplacées Internes (PDI) et les populations hôtes de la Boucle du Mouhoun ainsi que les personnes vulnérables.
Enabel a organisé le 10 janvier 2025 un atelier de lancement officiel des Projets Lasso Santé et Lasso WaSH dans la ville de Boromo, chef-lieu de la province des Balé. La cérémonie de lancement a été présidée par le Gouverneur de la Région de la Boucle du Mouhoun qui a donné le top de départ officiel de la mise en œuvre des activités des deux projets. Le Gouverneur Babo Pierre BASSINGA avait à ses côtés Marc Duponcel, Chef de la Coopération de la Délégation de l’Union européenne au Burkina Faso, NOORDHOLLAND DE JONG Jozef, Programme Manager à Enabel au Burkina Faso. Mis en œuvre par Enabel, ces deux projets - Lasso Santé et Lasso WaSH - sont financés par l’Union européenne d’un montant total de 11,1 millions d’euros, soit environ 7.281.122.700 FCFA. De façon globale, ces deux projets visent d’une part à « Contribuer à la résilience du système de santé par le renforcement de l’accessibilité, de l'adaptabilité, de l'inclusivité et de la qualité des services de santé pour les populations de la Boucle du Mouhoun » et d’autre part à « Contribuer au renforcement de la résilience des populations en particulier les femmes, les jeunes filles et les personnes déplacées de la Boucle du Mouhoun par le renforcement de la qualité, de l’accessibilité et de l’inclusivité des services d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement ».Selon le Gouverneur de la région d’intervention des deux projets, les objectifs « sont en cohérence avec la vision de développement du pays qui est de renforcer la résilience des populations vulnérables de la région, prenant en compte leurs besoins spécifiques, améliorant leur accès à des services de santé, d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement de qualité. » Avant de souhaiter plein succès aux Projets Lasso Santé et Lasso WaSH et de les déclarer officiellement lancés, le Gouverneur a rassuré Enabel de la disponibilité de l’administration de son ressort territorial à l’accompagner dans la mise en œuvre des activités desdits projets.Les deux projets couvrent 17 villages des communes de Dédougou et de Boromo et les Districts sanitaires des deux communes. Ils s’articulent autour d’une approche territoriale intégrée, une approche basée sur les droits humains et une approche transformatrice de genre. Les bénéficiaires finaux sont les femmes, les hommes, les jeunes filles et les garçons de la région de la Boucle du Mouhoun, y compris les Personnes Déplacées Internes (PDI) et les populations hôtes de la Boucle du Mouhoun ainsi que les personnes vulnérables.