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Retour sur la formation des facilitateurs de la filière riz à Tekane (Trarza), organisée dans le cadre du programme SECURALIM, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Enabel, en partenariat avec Irchady.Cette session, axée sur le renforcement des compétences des acteurs de la filière, a été rythmée par :des travaux de groupe dynamiques, des échanges riches autour des thématiques clés du riz, des partages d’expériences entre producteurs.Les participants ont également bénéficié de conseils pratiques et de démonstrations, notamment sur la technique d’incubation des semences, afin d’améliorer leurs pratiques agricoles et accroître leur productivité. Une étape importante où collaboration, apprentissage et engagement collectif se sont conjugués pour appuyer le développement de la filière rizicole en Mauritanie.
Dans le cadre de ses actions pour renforcer la cohésion sociale et la résilience des communautés, le projet MIRECAM financé par l' Union européenne, en collaboration avec le Conseil Régional du Hodh El Chargui, organise une caravane de sensibilisation combinée à des activités de réhabilitation d’infrastructures. Cette initiative vise à :Créer des opportunités de collaboration entre personnes déplacées, retournées et communautés hôtes à travers des activités communes, renforçant ainsi la solidarité et la cohésion sociale.Changer les perceptions en favorisant l’acceptation et la réintégration des personnes déplacées et retournées au sein des communautés d’accueil.Informer et sensibiliser les populations sur les actions de MIRECAM en matière de prévention des conflits, de gestion durable des ressources naturelles et de renforcement de la cohésion sociale intercommunautaire.Promouvoir une exploitation responsable des ressources naturelles, en encourageant les bonnes pratiques de reboisement, d’utilisation rationnelle du bois, et de gestion durable des infrastructures.Cette caravane s’adresse à tous :Aux communautés déplacées et hôtes, invitées à initier des projets communs, valoriser leurs savoirs et diversifier leurs activités agropastorales.À l’administration et aux élus, appelés à stimuler la participation inclusive, veiller au respect des lois et accompagner efficacement l’intégration et la réintégration des personnes déplacées, tout en tenant compte des besoins spécifiques des femmes et des jeunes.Aux éleveurs et agropasteurs, encouragés à adopter des pratiques durables et à protéger les ressources partagées pour les générations futures.La caravane rappelle également les comportements à éviter : la coupe abusive du bois, le tarissement des puits, les feux de brousse ou encore l’abandon de mégots en pleine nature.À travers cette initiative, Enabel contribue à bâtir des communautés inclusives, solidaires et durables, où chaque acteur – déplacé, retourné, hôte, élu ou éleveur – participe activement à la construction d’un avenir commun.
Ce lundi 4 août 2025, 156 micro, petites et moyennes entreprises (MPME) ont officiellement reçu à Kaya, leurs certificats de fin de parcours après six mois d’accompagnement intensif. Portée par le consortium Enabel-GIZ et financée par l’Union européenne, l’initiative a permis de renforcer les compétences entrepreneuriales de ces acteur·rice·s économiques locaux et de consolider leur rôle dans la création d’emplois et la dynamique de développement régional.Au total 165 MPME des provinces du Namentenga et du Sanmatenga ont bénéficié d’un appui sur mesure du consortium Enabel-GIZ, dans le cadre du Projet d’amélioration de la compétitivité des MPME dans la région du Centre-Nord (PACOM-MPME), mis en œuvre par la Maison de l’Entreprise du Burkina Faso (MEBF). L’objectif était de renforcer les capacités techniques, managériales et commerciales, améliorer l’accès au financement et aux marchés, et stimuler la création d’emplois durables à travers une approche novatrice dénommé SME LOOP. Parmi ces entreprises, 156 sont arrivées en fin de parcours à la certification.En six mois, le projet a permis :• 156 MPME certifiées, dont 68 % dirigées par des femmes• 164 dotées d’un plan de développement entrepreneurial et 44 d’un plan d’affaires• 74 entreprises formalisées• 55 ayant ouvert un compte bancaire• 95 ayant investi entre 20 000 FCFA et 7 000 000 FCFA• 157 emplois permanents et 316 temporaires créés• 18 ayant mobilisé plus de 56,7 millions FCFA en financements• Une hausse moyenne de 61 % du chiffre d’affairesLa cérémonie de certification, présidée par Madame Bernadette ADENYO/SERME, Secrétaire Générale de la région du Centre-Nord, a été l’occasion pour les chefs d’entreprise d’exprimer leurs satisfactions mais aussi leurs doléances à l’égard d’Enabel et de la GIZ, en vue de capitaliser sur les acquis alors que le projet approche de sa clôture. « La certification n’est pas seulement une formalité administrative. C’est un gage de qualité, de sérieux et d’engagement envers l’excellence qui peut ouvrir de nouvelles opportunités pour nos entrepreneurs », a déclaré Mme ADENYO/SERME, au nom du Gouverneur. Aussi, présent au nom du Directeur Général de la MEBF, Ismaël Tannamda SAWADOGO a salué « l’aboutissement d’un processus rigoureux, porteur d’effets durables » et exhorté les bénéficiaires à « rentabiliser leurs affaires tout en créant des emplois et des richesses ».A l’issue de la cérémonie, plusieurs entrepreneurs ont témoigné de l’impact du programme. M. Cristian Armel, tailleur à Boulsa affirme à ce propos : « Nous avons appris plusieurs choses, entre autres la gestion de la clientèle et les normes d’hygiène. Ce certificat nous sera très bénéfique car il sera la preuve que nous avons acquis des formations et il nous ouvrira des opportunités. ». Mme NABALOUM/OUEDRAOGO Elice, gérante de SAMI Sarl (transformation du maïs en farine) renchérit : « Nous avons bénéficié de formations en gestion financière, en entrepreneuriat et en marketing digitale. Ce projet nous a aidés à améliorer notre gestion, notre organisation structurelle, et il va nous permettre de monter à l’échelle. »La cérémonie a rassemblé 212 participants parmi lesquels des autorités, institutions de financement, structures d’appui et entrepreneurs et a permis un partage d’expériences entre les bénéficiaires et leurs partenaires techniques. Avec cette certification, Enabel, la GIZ et la MEBF réaffirment leur ambition : faire des MPME du Centre-Nord un moteur durable de croissance, d’emplois et de résilience économique.NANA Wendpouiré Julien Florantin
Ouagadougou, 11-14 août 2025. – L’Observatoire National du Développement Durable (ONDD) a tenu, dans la capitale burkinabè, une importante session technique consacrée à la conception de produits cartographiques et statistiques destinés à la mise à jour des indicateurs environnementaux.Organisée par le Secrétariat Permanent du Conseil National pour le Développement Durable (SP/CNDD), cette rencontre a bénéficié du soutien financier de l’Agence belge de coopération internationale (Enabel), dans le cadre du Portefeuille Thématique Climat Sahel – volet Burkina Faso (PTCS-BFA).Un cadre stratégique pour suivre l’état de l’environnementDurant quatre jours, une vingtaine d’experts issus des structures centrales du Ministère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement (MEEA) ont travaillé à renforcer les capacités de suivi et d’analyse environnementale du pays.Trois étapes méthodologiques ont structuré leurs travaux :1. Importer les données collectées au format CSV afin de les rendre exploitables dans un système numérique ;2. Structurer ces données pour assurer leur cohérence et leur intégration dans un système d’information géographique (SIG) ;3. Traiter et valoriser les données en produisant des cartes, tableaux de bord et représentations graphiques accessibles via le géoportail web-mapping de l’ONEDD (www.onedd-burkina.info).Ce processus permettra de disposer de produits fiables et dynamiques, facilitant la mise à jour régulière des indicateurs environnementaux, et par conséquent d’améliorer la gouvernance des ressources naturelles au Burkina Faso.Une contribution aux engagements internationauxLa cérémonie d’ouverture a été présidée par M. François Xavier Bahire, Directeur de l’ONDD, représentant le Secrétaire Permanent du CNDD, M. Pamoussa Ouédraogo. Dans son allocution, M. Bahire a rappelé l’importance de cette session qui, selon lui, « constitue une opportunité de renforcer les compétences des participants dans la mise à jour des indicateurs en lien avec les trois conventions issues du Sommet de la Terre de Rio ». Il s’agit des conventions relatives : (i) à la lutte contre les changements climatiques ; (ii) à la lutte contre la désertification, (iii) et à la préservation de la diversité biologique.Les produits générés – cartes thématiques, graphiques, tableaux de bord – permettront d’assurer un suivi précis de l’évolution de l’environnement dans les 13 communes d’intervention du PTCS-BFA, mais aussi de mettre en évidence les impacts des actions de développement durable menées sur le terrain.L’appui déterminant d’EnabelCette session technique a pu se tenir grâce au soutien financier d’Enabel, l’agence belge de coopération internationale, dans le cadre du Portefeuille Thématique Climat Sahel – volet Burkina Faso (PTCS-BFA).À travers ce programme, la coopération belge accompagne le Burkina Faso dans le renforcement de la gouvernance climatique et la planification intégrée des ressources naturelles. L’appui d’Enabel vise à renforcer les outils et mécanismes nationaux pour un meilleur suivi des politiques environnementales et climatiques.Une valeur ajoutée pour la gouvernance locale et nationaleLes données issues de cette mise à jour ne serviront pas uniquement au niveau central. Elles auront un impact direct pour :• les communes bénéficiaires, qui disposeront d’informations fiables pour planifier leurs actions de développement ;• les décideurs politiques, qui pourront orienter leurs choix en se basant sur des données factuelles ;• les partenaires techniques et financiers, qui pourront suivre les résultats des projets financés dans le domaine de l’environnement et du climat.Ce travail de fond est d’autant plus important qu’il contribue à instaurer une culture de la transparence et de la redevabilité en matière de gestion environnementale.Comme l’a souligné M. Bahire, « les produits obtenus permettront de suivre, de manière fine, l’évolution de l’état de l’environnement et des ressources naturelles… et d’éclairer ainsi la prise de décision et l’orientation des politiques publiques ».
Du 28 juillet au 6 août 2025, quinze accoucheuses villageoises ont pris part à une formation organisée à Dédougou par Enabel, à travers son projet Lasso Santé, en collaboration avec le district sanitaire. L’initiative vise à renforcer les capacités techniques de ces actrices communautaires afin de contribuer à des accouchements hygiéniques, à l’accompagnement des femmes enceintes et à l’amélioration des soins néonatals dans leurs localités.La session de dix jours a combiné trois jours de théorie, deux jours de travaux pratiques sur mannequin et cinq jours de stage clinique en maternité. Les modules ont porté sur la conduite de l’accouchement normal, l’hygiène et l’asepsie, la préparation et l’accueil de la parturiente, la gestion des soins post-partum, la vaccination et le planning familial. Un accent particulier a été mis sur la reconnaissance des signes de complications et le rôle des accoucheuses villageoises dans le référencement rapide vers les structures sanitaires.Selon la Médecin-cheffe du district sanitaire de Dédougou, Dr Nathalie Wendso Ouadeba, les attentes sont « d’avoir des accoucheuses villageoises compétentes, capables de prodiguer des conseils de santé aux femmes enceintes et aux nouvelles accouchées, mais aussi de réaliser des accouchements hygiéniques au profit des parturientes dans les villages où l’offre de soins reste limitée ». Elle a ajouté que cette initiative s’inscrit dans la collaboration fructueuse entre l’Agence belge de coopération internationale et le ministère de la Santé, et qu’elle répond directement aux priorités inscrites dans le plan d’action du district sanitaire.Pour Paré Seydou, Project Officer - Santé communautaire à Enabel, cette formation répond à une demande exprimée par le district sanitaire et à un besoin crucial des populations. « Certaines communautés n’ont pas toujours accès à des soins de qualité. Former les accoucheuses villageoises sur l’accouchement hygiénique s’inscrit dans notre vision de réduire les décès maternels et néonatals et d’améliorer l’accessibilité aux soins de qualité, en particulier dans le domaine de la santé de la reproduction », a-t-il expliqué. Il a également insisté sur le fait que les participantes seront suivies dans leurs localités pour s’assurer que les connaissances acquises se traduisent en meilleures pratiques sur le terrain.Les bénéficiaires se disent satisfaites des acquis. Mme Tamini/Kam Aminata explique que son engagement est né de la volonté d’accompagner les femmes de sa communauté : « Nous avons été choisies pour venir apprendre à assister les femmes dans les accouchements et le planning familial. Avec les dix jours de formation déjà passés, nous avons beaucoup appris et cela nous permettra de soulager les souffrances des femmes dans les villages. » Mme Dongo Assia Solange ajoute : « Nous sommes venues apprendre pour aider les femmes au village. Nous avons acquis des compétences en pesée, accouchement, suivi des grossesses, planning familial et vaccination. »Au-delà du renforcement des connaissances, la formation vise des effets durables. À court terme, elle permettra d’améliorer les pratiques professionnelles des accoucheuses villageoises et la sensibilisation des communautés. À moyen terme, elle contribuera à une meilleure qualité des services de santé de proximité. À long terme, elle participera à la réduction de la mortalité maternelle et néonatale grâce à l’adoption durable de bonnes pratiques et au suivi régulier assuré par le district sanitaire avec l’appui d’Enabel.À travers cette action, Enabel confirme son engagement à soutenir le Burkina Faso dans le renforcement de son système de santé communautaire. L’agence place au cœur de son intervention la valorisation des compétences locales, l’amélioration de l’accès aux soins de qualité et la promotion de changements durables qui contribuent à protéger la santé et le bien-être des populations les plus vulnérables.NANA Wendpouiré Julien Florantin
L’élimination du paludisme au Niger franchit une nouvelle étape. Le Centre Hospitalier Régional (CHR) et le Centre Mère et Enfant (CSME) de Dosso viennent de recevoir deux analyseurs hématologiques de dernière génération, le Sysmex XN-31, grâce au projet « Renforcement du système de santé axé sur le paludisme au Niger », financé par la Fondation Gates et Enabel, en collaboration avec le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP). Ces équipements constituent une avancée majeure pour le diagnostic et la prise en charge des patients. Capables de traiter jusqu’à 500 échantillons par jour, ils offrent en quelques minutes des résultats fiables, tout en combinant la détection des parasites du paludisme et une numération sanguine complète. Un gain de temps précieux pour les soignants, qui pourront désormais poser des diagnostics plus précis et agir plus rapidement. Pour la population de Dosso et des environs, cela signifie un accès à des soins de meilleure qualité et une réduction de la mortalité liée à cette maladie qui demeure l’un des principaux défis de santé publique au Niger. En renforçant les capacités techniques de ses hôpitaux de référence, cette initiative s’inscrit dans une dynamique plus large : bâtir un système de santé plus résilient et accompagner le pays vers un avenir sans paludisme.
Through exclusive interviews with graduates, supervisors, and employers, this video showcases the outcomes and the value of Enabel’s Work Readiness Programme in the job market. Join us as we explore how this initiative is shaping careers and creating opportunities for recent graduates in Uganda.Watch more: http://bit.ly/3UvUE1k
Unemployment remains a challenge in Uganda. The Work Readiness Programme was launched under the Skills, Attitude, Governance and Anti-corruption (SG+) project to address this issue while meeting the labor demands of the private sector. By providing young people with the skills and experience needed by employers, the programme bridged the gap between education and job opportunities, creating a brighter future for the country's youth.Watch video more; http://bit.ly/45PWAbb
Follow the journey of Work Readiness Programme graduates working at Busitema University and Akvo International in Uganda. They share how the programme shaped their professional attitude, improved their workplace relationships, and helped them adapt to their role. Their experience reflects the lasting impact of work readiness training in preparing graduates for successful careers.Learn more here:http://bit.ly/4mN0OGr
The Work Readiness Programme under the Skills, Attitude, Governance and Anti-Corruption (SG+) project bridges the gap between education and employment by aligning training with private sector needs. By understanding labor demands, the programme skills recent graduates and prepares them to contribute effectively in the workplace. Discover how this initiative is creating a workforce that meets industry expectations and drives economic growth.More here;http://bit.ly/4mC2vpO
Edwins Maseruka joined Yopsa Ltd with no experience—now he leads the collections team. Rhonah Nafuka thought she had strong soft skills until training showed her gaps, transforming how she works as an accountant. Moses Byaruhanga, an ICT officer, gained coding expertise at Busitema University. Watch video here:http://bit.ly/4fzo87U
One of the biggest challenges facing Uganda’s health sector is the lack of reliable transportation for health workers and essential supplies, which limits access to quality healthcare—especially in remote and underserved areas.To help address this critical gap, Enabel has handed over four vehicles to the Ministry of Health to strengthen the health system’s ability to reach those most in need. This support aims to ensure that timely and effective health services are accessible to all Ugandans, no matter where they live. The vehicles will help the Ministry of Health respond faster to emergencies, deliver medicines and supplies, conduct outreach and supervision activities, and ensure quality health services across the country. With better mobility, health workers will reach more people faster, leading to timely treatment and reduced deaths.For communities, this translates into faster access to care, timely interventions, and ultimately, a reduction in disease morbidity and mortality. The vehicles will play a crucial role in supporting quality assurance activities, responding to epidemics, outreach activities, emergency response, and routine supervision, all of which are vital for a resilient health system. This hand-over is part of the long-standing partnership between Enabel and the Ministry of Health, built on a shared goal to strengthen health systems, ensuring quality services reach every corner of Uganda. "These vehicles have come at a critical time when the health sector is under increasing pressure to serve all communities,” said Mr. David Katabarwa, Principal Assistant Secretary at the Ministry of Health. “We thank Enabel for the continuous partnership in strengthening health services across the country.” Imakit Richard, Quality Assurance Expert at Enabel, noted that these vehicles represent more than just transportation. They symbolize Enabel’s ongoing commitment to partnership, progress, and impact. “By investing in the tools and resources that empower our partners, we are helping to build a stronger, more responsive health system. This handover is a testament to what can be achieved when partners and government institutions work hand in hand, guided by a common purpose”
Maternal mortality remains a significant public health challenge in Uganda, with postpartum hemorrhage (PPH) standing out as one of the leading causes of preventable maternal deaths according to the 2022/23 Maternal and Perinatal Death Surveillance and Response (MPDS) report. Despite ongoing efforts to improve maternal health outcomes, many health workers—especially those in rural regions face barriers to accessing up-to-date, practical training on managing life-threatening complications like PPH. To address this critical gap, Enabel, in partnership with the Ministry of Health, has introduced Virtual Reality (VR) technology to train midwives in the Rwenzori and Busoga regions. Health workers in Enabel-supported health centers are now using VR headsets to learn and practice essential skills for managing PPH, equipping them with hands-on experience that can help save lives. Even with more mothers giving birth in health facilities and improvements in clinical guidelines, PPH remains a big challenge. This shows the need for new solutions that help midwives not only learn the right procedures but also apply them quickly and effectively during emergencies. The VR training focuses on the EMOTIVE procedure—Early detection, Massage, Oxytocics, Tranexamic acid, IV fluids, and Examination. This method is based on evidence and helps midwives manage heavy bleeding after childbirth step by step. With VR headsets, they can practice in a realistic, risk-free environment, repeating the procedure as many times as needed. Through interactive simulations, trainees experience real-life scenarios, make critical decisions, and refine their skills in managing PPH. This hands-on approach not only boosts confidence but also ensures that midwives are better prepared to act swiftly and effectively when faced with real emergencies. Rita Niwamanya, the National Treasurer of the Uganda National Midwives Association and a member of the national safe motherhood experts committee, noted that the VR device is an excellent tool that improves how midwives think and act in emergencies. It helps to strengthen their decision-making, problem-solving, and hands-on skills needed for medical procedures. Marion Kainza, a nurse at Bukuku Health Center IV, shares a similar view. She highlighted that practicing with VR technology allows midwives to use their hands in a realistic, safe setting, helping them refine their techniques before working with actual patients, thereby improving the quality of care to mothers and newborns. “Empowering midwives with practical, hands-on training is essential to reducing maternal mortality,” says Okello Ambrose, Digitalization for Development Officer at Enabel. “VR technology enables us to scale up training efficiently, reaching more health workers across different locations while maintaining high-quality and consistent learning, which is vital for building a resilient health system.” Enabel and the Ministry of Health remain committed to ending preventable maternal deaths in Uganda. With each simulation, every skill mastered, and each life saved, Uganda moves closer to a future where childbirth is a moment of joy, not loss.
Strong leadership is the backbone of any institution and in Uganda’s health training schools, it can mean the difference between producing well-prepared graduates or sending under-trained professionals into the Health Sector. A recent self-assessment at Jinja School of Nursing and Midwifery, Hoima School of Nursing and Fort Portal College of Health Sciences revealed pressing gaps in leadership and governance. Weak internal communication, unclear decision-making, and ineffective delegation were slowing down operations, creating confusion among staff, and ultimately affecting the quality of training and services. When leadership falters, graduates are less equipped to deliver quality care to the communities they serve.In response, Enabel, through the WeTrain4Health project, designed a targeted leadership and management training programme for key staff from the three institutions. The training includes modules such as “Foundations of Delegation”, “Segregation of Duties” and "Applying Mentorship and Support Supervision.” The sessions are interactive and practical, focusing on helping leadership teams understand their roles, communicate more effectively, and build systems that promote accountability and continuous improvement. Kate Kamanda, Principal at Fort Portal College of Health Sciences, noted how the training had helped them rethink leadership with the institution. “Previously we had challenges in delegation and leadership. However, the training has equipped us with practical tools to delegate effectively, communicate clearly, and foster a culture of accountability. I am confident that these new skills will not only strengthen our institution but also enhance the quality of training we provide to our students.” Hannah Nayoga, the Project Manager for the WeTrain4Health project at Enabel, explained that building leadership capacity is essential in transforming the health sector. “Effective leadership not only improves day-to-day operations but also creates an environment where staff feel empowered, students receive quality training, and communities benefit from better healthcare service and ultimately outcomes.” At Jinja School of Nursing and Midwifery, Deputy Principal Kobusinge Juliet said that the training had helped their team to see the importance of mentorship and defined roles. “By improving our internal processes and support systems, we are better positioned to nurture competent, confident health professionals who will make a real difference in our communities.” Through investment in leadership development, Enabel is not just addressing immediate operational challenges but is also laying the foundation for sustainable institutional growth. Strong leadership and good governance are essential for creating an environment where staff feel valued; students are well-trained, and communities ultimately benefit from higher standards of care.
Health expenses remain one of the most significant financial burdens for many households in Uganda. While saving groups such as SACCOs and Village Savings and Loan Associations (VSLAs) have helped families manage various costs, few specifically focus on health-related expenses. This gap leaves many vulnerable to unexpected medical bills, especially pregnant mothers who require timely and safe deliveries. Enabel’s “saving for health” model addresses this challenge by encouraging families, particularly mothers, to set aside savings dedicated to health needs. By promoting this targeted saving strategy, Enabel is helping communities improve their financial preparedness for medical care, making access to health facilities more affordable and reliable—particularly in areas where health insurance coverage is limited.