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  • Au Niger, le Ministre de la santé Publique reçoit officiellement les conclusions de la conférence internationale sur la Protection Sociale en Santé.

    Au Niger, le Ministre de la santé Publique reçoit les conclusions de la conférence internationale sur la Protection Sociale en Santé!


    Halissa HASSAN DAN AZOUMI | 15/08/2022

    Du 10 au 13 mai 2022, le ministère nigérien de la Santé publique, de la Population et des Affaires sociales, l’Ambassade du Royaume de Belgique et Enabel, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Niger, l’Organisation internationale du travail (OIT) et la plateforme des acteurs belges du secteur de la santé internationale Be-cause health (BCH) organisaient à Niamey, une conférence internationale sur la protection sociale en santé.Plus de 300 participants et participantes y ont étudié - en présentiel et en ligne - les différentes dimensions politiques, stratégiques et techniques de la protection sociale ainsi que les conditions nécessaires pour la mettre en place.Au terme de la conférence sur la PSS, le Ministre de la santé Publique, de la Population et des Affaires Sociales, Dr Idi Illiassou Mainassara, dans son discours de clôture s’exprimait en ces termes : « Je voudrais demander aux co- organisateurs dont la légitimité n’est plus à démontrer sur la question de la protection sociale en santé à accompagner mon département en lien avec celui de l’emploi et de la protection sociale, sur l’élaboration d’une feuille de route pour la mise en œuvre de la protection sociale en santé, comme moyen pour notre pays de progresser vers la couverture universelle »C’est pour répondre à cette requête du Ministre en charge de la santé que les co-organisateurs de la conférence internationale sur la santé tenue en mai ont organisé une conférence de Presse le 2 août dernier. Au cours de cette conférence de presse conjointement animée par le Ministre de la Santé Publique, de la population et des Affaire Sociales, Dr Idi Illiassou Mainassara, et l’Ambassadeure du Royaume de Belgique, Mme Myriam Bacquelaine, l’Ambassadeure du Royaume de Belgique a officiellement remis au Ministre en charge de la santé, une feuille de route issue de la conférence internationale sur la PSS et les autres supports développés dont : une note politique, des fiches techniques qui reprennent les conclusions des réflexions de la conférence PSS et une vidéo.Ces supports constituent un kit d’outils opérationnels pour les techniciens impliqués dans la réflexion sur la réforme de la Protection sociale en santé.


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    Niger NER1606811

  • Preparedness workshop to implement MSc Programme in Biotechnology

    Rwanda: Preparedness workshop to implement MSc Programme in Biotechnology


    Denise NSANGA | 15/08/2022

    The workshop to design the Master of Science in Biotechnology was organised by the College of Science and Technology of the University of Rwanda in partnership with Enabel’s Kwigira project. Held from 08-12 August 2022, the workshop brought together representatives of different institutions and centers that were involved in the development of this programme to define its implementation as well as entry requirements for the intake. With this MSc Program, Enabel intends to contribute to Rwanda's Vision 2050 by giving a boost to the field of Biotechnology human capital development. The program is tailored to national needs and societal demands, while improving professional skills in the field. Enabel, through the Access to quality vaccines, medicines and health technology in Rwanda – KWIGIRA project, funded by the European Union, will contribute to expert skills development through the master’s program in Biotechnology. KWIGIRA project will also assist Rwanda Foods and Drugs Authority (RFDA) to adequately perform its mission to protect public health and to reach and maintain maturity level 3 of WHO Global Benchmarking Tool (GBT) to fully regulate pharmaceutical products including vaccines manufacturing in Rwanda. Speaking to the program development team, Dirk Deprez, the Resident Representative of Enabel in Rwanda said that the Master of Science in Biotechnology is very important as far as expert skills development is concerned.  “Training is paramount in this project to ensure skilled Human Resources. The MSc in Biotechnology will strengthen Rwanda’s ambition in the vaccines, medicines and other bio-products manufacturing thus achieving the third Sustainable Development Goal “Good Health and Well-being”. He stressed. Kwigira project, the 4-year intervention, started in April 2022. It will strengthen the Rwanda FDA (including regulatory strengthening and policy reforms) and develop the capacity of relevant staff. The project also expects Digital transformation and upgrading of pharmaceutical systems and strengthening of quality control laboratories for efficient, transparent, and accessible information management.    


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    Rwanda RWA21001

  • Enabel contribue à l’équipement des acteurs de la filière anacarde pour accroître leur production

    Bénin: Enabel soutien l’équipement des acteurs de la filière anacarde pour accroître leur production


    Reece-hermine ADANWENON | 11/08/2022

    Au Bénin, Enabel, via le projet PROFI-Anacarde, vient de faire des nouveaux heureux dans le rang des acteurs de la filière anacarde. Un lot de matériels d’un coût global de 87.500.000 FCFA, constitué de :• 11 tricycles,  • 66 balances, • 4 diables, • 4 Kit Kor, • 4 humidimètres, • Des bâches de séchage • 2 nouveaux magasins destinés au stockage des noix bio• 24 tronçonneuses, • 24 scies, • 24 pulvérisateurs, et plusieurs autres petits matériaux tels que des machettes, habits de protection, ruban métrique, cordeaux, bottes. Ces équipements ont été remis courant mois de juillet 2022 aux meilleurs producteurs des Coopératives les plus performantes, aux prestataires d’entretien des plantations, aux pépiniéristes,  et aux membres des comités de gestion des magasins de stockage des noix bio. Ils permettront de contribuer à améliorer leurs services aux clients, amener le producteur à produire davantage et répondra aux exigences du marché. « Pour le matériel qu’on vient de nous donner, on a même pas besoin de nous dire qu’il faut bien l’entretenir et bien l’utiliser. Chacun de nous savons la valeur de chaque matériel reçu et nous rassurons Enabel du bon usage qui sera fait de ces précieux outils », a laissé entendre Zacharie WIYODE, porte-parole des bénéficiaires. 


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    Benin BEN1302811

  • Enabel renforce les capacités des interprètes judiciaires du Burkina Faso sur l’Approche Basée sur les Droits Humains (ABDH)

    Enabel renforce les capacités des interprètes judiciaires du Burkina Faso sur l’Approche Basée sur les Droits Humains (ABDH)


    Geoffroy ZONGO | 11/08/2022

    Du 08 au 11 août 2022 à Koudougou, Enabel, à travers le Projet d'Appui au Renforcement de la Justice pour lutter contre l'Impunité (PARJI) a appuyé la tenue d'une session de formation au bénéfice des interprètes judiciaires du Burkina Faso . La session qui a porté sur l'Approche basée sur les Droits humains (ABDH) a été organisée par la Direction des ressources humaines du Ministère de la justice et des droits humains, chargée des relations avec les institutions et animée par la Directrice Générale de la Promotion des droits humains et le directeur de l'éducation aux droits humains dudit  ministère.Cette formation avait pour objectif de permettre aux interprètes judiciaires de s'approprier l'ABDH et de l'implémenter dans leurs missions d'interprétation judiciaire. L'ABDH a pour avantage, entre autres, de lutter contre la pauvreté en corrigeant les inégalités et en considérant l'individu comme un sujet actif capable de participer au processus de développement. Cette initiative a été saluée par Maître Barthélémy KERÉ, Ministre de la justice et des droits humains, chargé des relations avec les institutions, Garde des Sceaux, qui a présidé la cérémonie d'ouverture de cette session de formation. S'adressant aux participants, Maître Barthélémy KERÉ a nourri l'espoir que : «cette rencontre permettra d'impulser la dynamique de la prise en compte de l'ABDH dans tous les actes que vous aurez à poser dans le cadre de l'exécution du service public de la justice  ». Pour une amélioration du fonctionnement de la chaîne pénaleL'amélioration du fonctionnement de la chaîne pénale requiert le renforcement des capacités de tous les acteurs judiciaires. Ce bon fonctionnement incombe aux magistrats et aux autres acteurs judiciaires que sont notamment, les greffiers et les interprètes judiciaires, qui jouent un rôle fondamental dans la bonne tenue du procès. Le respect des droits humains incombe à tous les acteurs judiciaires au nombre desquels les interprètes judiciaires. Aussi, comme les autres acteurs, ils doivent respecter les droits des justiciables avant, pendant et après le procès. C'est pourquoi, cette formation visait à leur donner des rudiments nécessaires qui leur permettront de respecter les droits des justiciables avant, pendant et après le procès. «  La présente session de formation continue des interprètes judiciaires du Burkina Faso, troisième du genre, fait suite aux formations sur l'organisation judiciaire au Burkina Faso et sur la déontologie de la fonction publique dont ils ont déjà été bénéficiaires. (…) Je reste convaincu qu'au terme de cette session, nous aurons dans les juridictions des interprètes judiciaires, soucieux du respect des droits des justiciables, toute chose qui facilitera le rapprochement de la justice du justiciable et contribuera ainsi à améliorer l 'accès à la justice et à lutter contre le sentiment d'impunité. », Rodrigue BILGHO, Intervention Officer - Appui aux juridictions, représentant le Représentant Résident d'Enabel au Burkina Faso à la cérémonie d'ouverture.  En rappel, le Projet d'appui au renforcement de la justice pour lutter contre l'impunité (PARJI) est financé par l'Union européenne et mis en œuvre par Enabel au Burkina Faso. Yamnoma Geoffroy ZONGO / Communication Officer


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    Burkina Faso BFA20003

  • Amélioration de la qualité de la formation médicale au Bénin : Les professionnels de la santé de la 24ème promotion de la FSS abordent des pistes de r

    VIDEO - Amélioration de la qualité de la formation médicale au Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 10/08/2022

    Au Bénin, les professionnels de la santé issues de la 24ème promotion de la Faculté des Sciences de la Santé (FSS) du Bénin se sont réunis le 23 juillet 2022 à Azalaï Hôtel de Cotonou pour réfléchir sur la qualité de la formation médicale. Au menu de ces échanges :• L’identification des déficits en termes de contenu pour répondre aux besoins de la pratique et des préoccupations des populations ;• l’analyse des compétences en pédagogie médicale ;• l’amélioration de l’encadrement clinique et pratique des médecins en formation ; et• la proposition de pistes de réflexion pour une amélioration de la formation médicale au Bénin.Procédant à l’ouverture des échanges, le ministre de la Santé, le Dr Benjamin Hounkpatin, a invité les participants à cette rencontre à proposer des pistes de solutions efficaces pour améliorer la qualité de la formation médicale et accroître la qualité des soins de santé dans les formations sanitaires du pays. A sa suite plusieurs voix autorisées se sont également élevées pour contribuer à cette réflexion.


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    Benin BEN19007

  • Les SAEI à l’école du montage des dossiers d’appels d’offres (DAO)

    Bénin: formation à la rédaction de dossiers d’Appel d’Offre fructueux!


    Reece-hermine ADANWENON | 10/08/2022

    « J’ai essuyé plusieurs échecs, j’ai perdu de nombreuses opportunités d’affaires tout simplement parce que mes dossiers étaient mal montés », témoigne Olive, une entrepreneure.« Aujourd’hui, c’est pour moi un grand jour car je sais qu’avec tout ce que j’ai reçu comme enseignements, cas pratiques étudiées et les conseils reçus, de nouveaux jours victorieux se lèveront sur mon entreprise. Plus d’échecs pour moi et mon équipe mais plutôt que des victoires », ajoute-elle fièrement. Avec l’appui technique et financier du projet Digiboost, financé par l’Union Européenne et mis en œuvre par Enabel au Bénin, les membres des Structures d’Accompagnement à l’Entreprenariat Innovant (SAEI) ont bénéficié durant le mois de juillet 2022, d’une formation en rédaction de propositions gagnantes tant dans le montage des Dossiers d’Appel d’Offre (DAO) que l’élaboration des Termes de Référence (TDR). Désormais, le montage des dossiers d’appels d’offres (DAO) est bien maîtrisé par les membres des SAEI. Cette formation a contribué à renforcer leurs capacités afin de leur permettre d’aller rechercher les financements nécessaires et complémentaires à l’appui de DigiBoost et pouvoir jouer leur rôle et avoir un meilleur impact sur la communauté tant dans l’incubation, l’accélération, la mise en place de services de co-working et les services de prototypage.


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    Benin BEN170321T

  • RIMDIR améliore les capacités de gestion des zones rurales en Mauritanie

    Le projet RIMDIR améliore les capacités de gestion des zones rurales en Mauritanie


    Aminata KANE | 09/08/2022

    RIMDIR financé par l'UE améliore les capacités de gestion et de coordination du secteur des infrastructures rurales en Mauritanie grâce à la réalisation de documents de capitalisation et par la diffusion des bonnes pratiques qui ont été élaborées et proposées en concertation avec les populations. Les communautés locales participe activement à l’élaboration de ces bonnes pratiques visant à pérenniser les IRP (infrastructures rurales productives). Le programme RIMDIR a produit 4 documents de capitalisation:Le cadre légal des IRP Les outils socio-fonciers Le référentiel technico-économique Guide d’entretien et de maintenance des IRP  La diffusion des documents de capitalisation a été enclenchée cette année…      


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    Mauritanië MIE170031T

  • Technical and vocational student faces uncertainty — but also opportunity

    Jordan: Technical and Vocational Student Faces Uncertainty — but also Opportunity


    Ibrahim NASHWATI | 08/08/2022

    Za'atari Refugee Camp, Mafraq - Alaa’ Al Haraki, 18-years-old young Syrian, tells us of his exciting and inspirational journey into his career in sewing, and the obstacles he had to overcome along the way.Knowing what he wanted, Alaa’ was not the one to be held back by failure. “Not finishing my high school was not a setback for me”, he said, and added, “in fact, it was just the beginning of my adventure of becoming a professional tailor.” Though he encountered many naysayers and much resistance from his surroundings alike, if they could see things from his perspective, he told us; “my grandmother was my only inspiration, she taught me how to sew and further motivated me to realise my talent in the domain”.Looking back at 2011 when the Syrian war erupted, Alaa’ and his family took their first steps toward Jordan, leaving their hometown behind knowing nothing but uncertainty. Years after living in Za’atari refugee camp; Alaa’ took initiative and applied for the Qudra 2 programme implemented by Enabel in partnership with the Norwegian Refugee Council (NRC). “Happily, it was my lucky day when I received a call saying that my application had been accepted”, said Alaa’. He applied for the semi-skilled first level of vocational education training in tailoring. Cherishing this opportunity, he continued to ace all his training classes and eagerly scored high marks than his classmates. That being the case, he was inspired to apply to the second level of the course provided by Qudra 2 programme, and got accepted. The Qudra 2 programme scholarships are special as they are part of the Enabel “Developing skills for employability of Syrian refugees and vulnerable youth in Jordan” intervention. The training Alaa’ applied to is known to be the second phase of a large multi-country, a multi-donor programme named: “Qudra– Resilience for Refugees, IDPs, Returnees and Host Communities in response to the protracted Syrian and Iraqi Crises”. Qudra 2 is implemented by five European development agencies; the Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) GmbH, Expertise France, Spanish Agency for International Development (AECID), Hungarian Interchurch Aid (HIA), and Belgian Development Agency (Enabel) in programme partner countries of Iraq, Jordan, Lebanon and Turkey.The close partnership between Enabel and NRC provides support to aspiring young students to build their capacities in particular vocations. This intervention is fully aligned with the 2030 Agenda for Sustainable Development Global Goals and, in particular, SDG4, which ensures inclusive and equitable quality education and promotes lifelong learning opportunities for all. Regarding any other support Alaa’ had during this time, he had told us: “my grandmother was my backbone; she supported me the whole way, no matter what the obstacle was. She believed in me as much, if not more, as I believed in myself, and I will be eternally grateful to her”, shared Alaa’ and added, “I remember after graduating, I worked at her little tailor shop across the corner in the camp, she started assigning me with many technical tasks besides running errands and doing some chores around”.Besides working at his grandmother’s shop, Alaa’ had to work and study simultaneously to earn some money for the house, otherwise, things would’ve been more challenging, as he was the young breadwinner of the family. “My brother started supporting the house just recently and is helping out with the day-to-day expenses. I am grateful for his support”, said Alaa’.While Alaa’ grew to become a confident and competent tailor, he has plans to apply for advanced programmes to extend his knowledge and competencies in the domain. “I will apply for level three, to shift from the semi-skilled to skilled level of education. I am sure with the right skill set I’ve built, I’m ready now for the skilled training level”, Alaa’ said and continued, “during my free time I search for scholarships online and apply, to further my education".Straightening up his back and taking a deep breath, Alaa’ told us as grateful as he is for all the support he received from the Qudra 2 programme and Enabel with emphasis if he had the chance to go back to his hometown and rebuild what has been torn down, he’d do it in a heartbeat, and added; “never give up on your dreams and always move forward regardless how hard things are, we have got to learn to enjoy where we are today, because what's meant to be will eventually find its way. That is the secret to a healthy life”.


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    Jordanië JOR180011T

  • “Digital skills and qualitative education can lay the foundation for further positive evolution” - Four questions on digital education

    “Digital skills and qualitative education can lay the foundation for further positive evolution” - Four questions on digital education to our experts


    Philippine DE BRUYN | 05/08/2022

    Four questions on digital education - Interview with Tom Ntambara and Astrid Génard, Education Experts, Digital for Development (D4D)   1. You are both education experts within Enabel’s D4D — Digital for Development — team. Can you tell us what your role consists of?Astrid Génard: I am an expert in digital tools and lifelong learning. It means that I work on various trainings with teachers to develop digital skills but part of my work is also Improving pedagogical skills, also those needed to teach with digital tools. Tom Ntambara: As Learning Management System Specialist, I work on a variety of technical aspects in digital education. I am in charge of improving and maintain server performance but also managing the structure of the LMS to make sure roles and categories are relevant. I provide technical support to my colleagues but also for all users of the LMS. Last but not least I am also in charge of developing learning resources on the use of the platform for different roles such as students and teachers. 2. Is there any innovative approach that is tackled by Enabel? What is specific to those activities? A.G.: One of the most constructive aspect, from my opinion is the way we integrate teachers in their own learning process. For example at the IPRC Kitabi, some teachers are intensively following trainings on the creation of their own interactive courses online, on blended learning and the use of digital tools so that they become the experts and focal points. We see that it not only give support in developing their digital skills but it also tremendously increases collaboration with their colleagues. T.N.: We try to take into account the realities faced by participants and partners to ensure that we deliver the most viable plan possible in the long term. For example, we encourage the use of offline systems and we use little resources to disseminate the knowledge to all, by training digital champions, proving them with training materials to assist others. 3.     You have just spent three days organizing a workshop at IPRC Kitabi. How do you feel? What did you learn? A.G.: Seeing the teachers working together, focusing during hours, sharing their ideas and rethinking on the way some topics can be taught brings me a lot of joy. I hope that their commitment will receive the recognition it deserves. T.N.: First of all, I have been delighted to organise this workshop with the rest of the education team. I am really impressed to see the collaboration and engagement from the participants. I can see how trainings are now successful and will be implemented on the long term at the IPRC Kitabi.  4.     What are the long-term expectations? What do you expect within the next few months? A.G.: I have to say that, from my opinion, projects often focus on delivery and reaching specific objectives. Nevertheless, the human aspect of the work is crucial. From what I see, teachers now feel empowered and confident to use the solution. I hope that RESICODI in Rwanda will inspire other education programs on how to work directly with the teachers to reach objectives while empowering them. Besides, I also want to point out that digital skills trainings cannot be standardised but need to be adapted to each context and trainee. I hope the program can be considered as a pilot and be scaled up in Rwanda with the other IPRCs. I am really enthusiastic and with patience and some optimism these teachers could even become vector of change in Rwanda. T.N.: I really hope that, together with partners, we will be able to keep putting efforts and resources into ICT for education. Having a qualitative education is the source of transformation for a society.  


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    België BEL2000611SP1

  • Kinshasa : Les commissions Défense et sécurité du Parlement s'imprègnent des problèmes de l'Académie de Police pour appuyer son opérationnalisation

    Kinshasa : Les commissions Défense et sécurité du Parlement s'imprègnent des problèmes de l'Académie de Police pour appuyer son opérationnalisation


    Grâce MALI FAIDA | 04/08/2022

    Les députés nationaux et sénateurs membres des Commissions Défense et sécurité de l'Assemblée nationale et du Sénat de la République démocratique du Congo ont visité, le jeudi 28 juillet 2022, les nouveaux bâtiments de l'Académie de Police (ACAPOL) situés dans la commune de la N'sele à 65Km du centre-ville de Kinshasa.Ces bâtiments ont été construits avec le financement de l'Union européenne (UE), à hauteur de 3,5 millions d'euros dans le cadre du Programme d'appui à la réforme de la police (PARP) dont la mise en œuvre de la 3ème phase est assurée par l'Agence belge au développement (Enabel), le Centre pour la gouvernance du secteur de la sécurité (DCAF) et l'association (COGINTA). Sur place, les responsables de l'ACAPOL ont soumis à ces élus les différents problèmes qui bloquent l'opérationnalisation de ce centre de formation de la police. Il s'agit notamment de la construction d'autres bâtiments (réfectoire, cuisine et dortoirs) comme prévu dans le projet (19 bâtiments au total), et la disponibilisation des équipements ainsi que des frais de fonctionnement par l'État congolais.Au terme de cette visite, le président de la Commission Défense et sécurité de l'Assemblée nationale, Bertin Mombozi, a, au nom de ses collègues, promis de poursuivre les plaidoyers pour l'opérationnalisation de l'ACAPOL. "Vous êtes revenus sur l'engagement que nous avons par rapport à la réforme de la Police, il est vrai que nous sommes suffisamment engagées : les deux Commissions Défense et sécurité Assemblée et Sénat. Et il y a une détermination manifeste qui part du commandant suprême pour que nous puissions voir la réforme de la police aller de l'avant. C'est pour cette raison qu'on n'a pas réfléchi deux fois lorsque la demande a été faite pour que pour que nous puissions venir voir, on a vu et ça va nous permettre de poursuivre le travail de plaidoiries pour que nous puissions espérer voir ce centre de formation accueillir des policiers qui viendraient pour leur formation", a-t-il déclaré.Bien avant cela, la représentante du DCAF, le docteur Fatoumata Sira Diallo, a laissé entendre que le pouvoir législatif joue un rôle important dans la réforme de la police. "La réforme de la PNC est un projet de grande envergure dans lequel le pouvoir législatif joue un rôle important, tant au travers le vote des lois qu'à l'occasion du contrôle qu'il exerce sur le gouvernement. C'est d'ailleurs à ce titre que les honorables présidents des Commissions Défense et sécurité de deux chambres siègent au Comité de pilotage du Programme d'appui à la réforme de la police, phase 3. Cette académie a vocation à former la tête pensante d'une institution régalienne en charge d'assurer l'un des droits les plus fondamentaux des congolaises et congolais : la sécurité. Il est donc légitime et souhaitable que le pouvoir législatif s'y intéresse et puisse acquérir une compréhension fine en vue notamment d'appuyer son déploiement", a-t-elle dit.Elle a, par ailleurs, exprimé son vœu de voir la visite des députés nationaux et sénateurs puisse se traduire par l'inscription durable de l'ACAPOL à l'agenda du Parlement.Le délégué d'Enabel a, pour sa part, indiqué que cette visite traduit  l'engagement des élus du peuple sur la formation de la PNC. "Cette visite traduit l'engagement des représentants du peuple sur cette thématique cruciale qu'est la formation des cadres du PNC, dont l'Académie de Police se veut le fer de lance. L'Union européenne accompagne depuis plusieurs années la PNC via les deux précédentes phases du Programme PARP. La 3ème phase actuellement en cours permet de mettre en œuvre ses ambitions de réforme et de professionnalisation du corps. La construction des premiers bâtiments avec l'appui de l'Union européenne et le concours du gouvernement offre à la PNC un cadre à la hauteur de ses ambitions", a dit Jean-Luc Mutombo, senior program officer.De son côté, le chef du projet au niveau de l'ACAPOL, le commissaire supérieur André Kibaya, s'est réjoui de la visite des élus du peuple qui, selon lui, pourront aider à trouver des solutions aux problèmes de ce centre. "Les impressions sont bonnes puisque c'est tout ce que nous attendions, que les autorités viennent voir pour qu'elles nous amènent la solution. Nous sommes très contents de leur visite puisque c'est à eux que nous devons soumettre nos problèmes", a-t-il affirmé.L'ACAPOL a déjà formé deux vagues depuis 2017. La première était composée de 87 policiers et la seconde de 32. Elle forme essentiellement les commissaires (sous-lieutenants), les officiers supérieurs (majors) et les commissaires divisionnaires (généraux). Cependant, elle n'a pas encore occupé les bâtiments construits suite aux différents problèmes précités.Le gouvernement de la RDC a lancé, en partenariat avec l’UE, la mise en œuvre de la 3ème phase du Programme d’appui à la réforme de la Police nationale congolaise (PARP III) en juin dernier. Ce dernier a pour objectif global de contribuer à la paix, à la sécurité et au renforcement de l’état de droit, en améliorant la gouvernance, la protection des droits humains, ainsi que la lutte contre l’impunité et la corruption au pays. Rappelons que l'Union européenne a agréé avec la COFED de la mise en œuvre de la 3ème phase du PARP par un regroupement d'opérateurs, à savoir : Enabel, DCAF et COGINTA, dont le lancement a eu lieu le 19 juin de l'année en cours. Prince Mayiro


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    DR Congo COD21002

  • RDC : Les participants au colloque formation sur la décentralisation fiscale plaident pour la mise en oeuvre d'une vraie politique fiscale  la mise

    RDC : Les participants au colloque formation sur la décentralisation fiscale plaident pour la mise en oeuvre d'une vraie politique fiscale


    Grâce MALI FAIDA | 04/08/2022

    Le Colloque formation sur le fédéralisme et la décentralisation fiscale a pris fin ce samedi 23 juillet 2022 à Kinshasa.Durant 2 deux jours, les participants à ces assises ont échangé notamment sur le fédéralisme et concurrence fiscale entre les provinces ainsi que l'opérationnalisation de la compétence fiscale dans les collectivités locales, cas de la ville de Kinshasa.Il a été question de faire l'analyse pratique de la situation réelle de la décentralisation fiscale et savoir comment entre plusieurs provinces une certaine concurrence fiscale peut naître à la suite de la décentralisation fiscale.De ce fait, les participants ont recommandé la mise en place d'une véritable politique fiscale dont la décentralisation fiscale sera le pont." Il faut qu'il y ait une politique fiscale et la décentralisation fiscale doit être un pont de cette politique fiscale. Nous recommandons vivement la mise en place d'une vraie politique fiscale", a déclaré Me Mavinga, Directeur du cabinet Mavinga Declerc & Partners .Il a aussi déploré l'ignorance de chaque régime fiscal liée à chaque loi qui conduit à non application."S'agissant du rôle des droits sectoriels qui est l'une des difficultés aujourd'hui dans les sources des droits fiscale,  vous n'avez pas que des lois qui créent les impôts de manière classique par exemple la loi relative au secteur de l'électricité,  code de l'assurance , la loi relative aux hydrocarbures et autres chaque loi qui vient actuellement a un régime fiscal. C'est tout ça le problème. Non seulement elles ne sont pas connues mais aussi elles ne sont pas appliquées or le système fiscal congolais est déclaratif et non liquidatif.  Il faut que nous puissions faire un travail de recensement des droits sectoriels mais en réalité le tout va rentrer dans la mise en œuvre d'une vraie politique fiscale", a ajouté Me Mavinga Leclerc. Pour sa part, le président de l'assemblée provinciale de Kinshasa, Godé Mpoyi qui a clôturé cet atelier, a loué l'importance de la tenue de cet exercice scientifique qui, selon lui, vise une fiscalité développementaliste dans la ville de province Kinshasa ."Je suis très heureux de constater que pendant deux jours, nous nous sommes donnés à cet exercice scientifique, lequel exercice nous a permis de comprendre ensemble l'immensité et la complexité de la fiscalité. J'ose croire que nous sortirons de cette salle avec une précision nette sur la décentralisation fiscale", s'est réjoui Godé Mpoyi.Mme  Murielle Hermouet, représentante du portefeuille pays ENABEL /RDC et M. Jyan  Boagaert, Professeur à  l'université de Liège, ont remis à main propre des brevets aux participants.Lors de l'ouverture de ce colloque formation, Mme  Murielle Hermouet avait expliqué que ce colloque formation avait pour objectif de  dégager les problèmes pratiques posés par la décentralisation fiscale et les ébauches de solution,  apporter des recommandations aux organes délibérant ( nationaux et provinciaux) sur le dysfonctionnement dans la mise en oeuvre du fédéralisme fiscal ou de la décentralisation fiscale,  et des difficultés de recouvrement de certainestaxes,  mais également de s'inspirer des expériences des systèmes comparés compatibles et des perspectives économiques en matière de décentralisation.Pour rappel, ces assises ont été organisées par le Tax Institute, structure d'Afrique centrale de de l'Université de Liège (Belgique) en partenariat avec le Cabinet Mavinga Leclerc & Partners. Elles ont bénéficié du soutien financier de l'Agence belge de Développement (ENABEL).Grâce Guka 


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    DR Congo RDC1088811

  • RDC : formation à Kinshasa sur la décentralisation fiscale avec l'appuie d'ENABEL

    RDC : Formation à Kinshasa sur la décentralisation fiscale


    Grâce MALI FAIDA | 04/08/2022

    Le Tax Institute de l'Université de Liège avec le Cabinet Mavinga Leclerc & Partenaires ont ouvert, ce vendredi 22 juillet 2022 à Kinshasa, une formation essentiellement consacrée au fédéralisme fiscal et à la décentralisation fiscale.Plusieurs cadres de l'administration fiscale, du ministère national et provincial des finances, régies financières, députés et sénateurs, une délégation du ministère de plan, une autre du conseil supérieur de la magistrature et de l'ordre des avocats mais aussi du monde scientifique et des affaires prennent part à cette formation.Il sera question pour les participants de dégager les problèmes pratiques posés par la décentralisation fiscale et les ébauches de solution aux difficultés liées au recouvrement de certaines taxes mais également s'inspirer des expériences des systèmes comparés compatibles et des perspectives économiques en matière de décentralisation.Murielle hermouet responsable du portefeuille pays Enabel /RDC, explique que l'objectif est d'amener les agents de l'État à faire profiter à toute la population des entités décentralisées les services de qualité dans le domaine de fiscalité." Cette formation est là pour débattre, apprendre et échanger sur la décentralisation fiscale. Nous sommes dans un grand pays qui a fait le choix de la décentralisation et quand on parle décentralisation, on voit des entités territoriales décentralisées. Ceci demande les moyens, c’est-à-dire, ces entités doivent collecter différentes formes de taxes et d'impôts pour améliorer la qualité de service public. Il est important que les recettes et les dépenses soient gérées au plus près du citoyen. L'objectif est que l'ensemble des citoyens congolais puissent bénéficier de service public de qualité ", a-t-elle expliqué.Pour sa part, Godé Mpoyi Kadima, Président de l'Assemblée provinciale de Kinshasa, salué cette formation, une première pour la RDC. Il espère qu'elle conduira certainement le pays à une fiscalité développementaliste." Je crois que c'est une première qu'on organise une conférence internationale en matière de fiscalité tout simplement parce que, nous avons besoin d'une fiscalité non seulement qui mobilise de manière à massifier les recettes mais nous avons besoin d'une fiscalité développementaliste. Ensemble avec l'Université de Liège, nous avons estimé qu'il fallait tenir cet atelier de manière à cogiter sur la bonne fiscalité qui va nous permettre de booster la finance publique de notre pays ", a précisé Godé Mpoyi, Président de L'assemblée Provinciale de Kinshasa.Cette formation rejoint les objectifs fixés par l'Université de Liège (Belgique) dont celui de renforcement de capacité notamment dans les pays du Sud. Elle a bénéficié du soutien financier de l'Agence belge de Développement (Enabel). Ladite formation sera organisée également dans d'autres provinces de la RDC.Ce forum qui va se clôturer ce samedi 23 juillet 2022.Grace Guka


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  • MAISONS DIGITALES CONNECT’ELLES : La Belgique équipe les Bajenu Gox de Fatick, Kaffrine et Koungheul pour renforcer leurs compétences digitales dans l

    Sénégal: Maisons digitales Connect’ELLES : La Belgique équipe les Bajenu Gox pour renforcer leurs compétences digitales


    Papa Djibril DIEYE | 03/08/2022

    M. Vincent Drieskens, Attaché adjoint à la coopération au développement, en sa qualité de représentant de l’ambassadeur de la Belgique au Sénégal et M. Cheikh  Bakhoum, Directeur général de Sénégal Numérique SA, en sa qualité de représentant du Ministre de l'Économie Numérique et des Télécommunications du Sénégal, ont procédé à l’inauguration de la Maison Digitale Connect’Elles des Bajenu Gox de Fatick le mercredi 29 juin 2022.Bajenu Gox est un programme national mis en place par le gouvernement du Sénégal pour la réduction de la morbidité et de la mortalité maternelle, néo natale et infanto juvénile. Les Bajenu Gox sont ainsi constituées en réseau d’appui aux structures de santé dans le domaine de la santé reproductive. Comme des relais communautaires, les femmes Bajenu Gox sont les intermédiaires entre les structures sanitaires et leurs communautés. Elles jouent un rôle très important dans la réalisation des campagnes de vaccination, la sensibilisation des populations sur la santé de la reproduction des jeunes et des adolescents, la planification familiale, le suivi des femmes enceintes etc.Depuis 2021, Enabel à travers l’intervention « Formation, Étude et Expertise » du programme bilatéral sénégalo-belge 2019-2024 et en partenariat avec le Ministère de l’Économie Numérique et des Télécommunications, a initié un programme de formation à l’alphabétisation numérique pour renforcer les compétences digitales des « Bajenu Gox » dans la zone centre du Sénégal.Ce programme de formation vise à contribuer de manière significative à la réduction de la fracture numérique du genre et favoriser la lutte contre la mortalité maternelle et infantile en milieu rural. Une quinzaine de sessions de formations ont été déroulées et plus de 460 femmes « Bajenu Gox » formées à l’utilisation des outils informatiques et les smartphones pour assurer la collecte, le traitement et la transmission des données sur le terrain.Afin de consolider les acquis de ce programme et garantir sa pérennisation, la Belgique s’est engagée à financer l’aménagement et l’équipement de salles en matériels informatiques et réseau internet. Avec la collaboration des médecins chefs de district, trois maisons digitales sont déjà équipées à savoir celles de Kaffrine, Fatick et Koungheul. L’aménagement de la salle de Kaolack est sous réserve de trouver un local convenable répondant aux exigences et aux normes requises pour une bonne utilisation. Ces salles communément appelées Maisons Digitales avec le concept « Connect’Elles » donnent aux « Bajenu Gox » l’opportunité de mettre en pratique les compétences acquises pendant les sessions de formation et plus encore, de faire un transfert de compétences entre elles.Grâce à l’intervention de Enabel et ses partenaires, les femmes « Bajenu Gox » sont aujourd’hui formées et outillées en compétences digitales et en outils informatiques qu’elles peuvent désormais utiliser dans le cadre de leurs activités, ce qui les rend plus performantes et rentables.


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  • Interview / Estelle Yougbre, conseillère de l’administration pénitentiaire de la MONUSCO :

    RDC: Interview d'Estelle Yougbre, au sujet des travaux d’assainissement de la prison d’Uvira


    Rodrigue NIYONGABO | 03/08/2022

    En mai 2022, dans la ville d’Uvira, en République Démocratique du Congo, le projet LATAWAMA, en collaboration avec la Mission des Nations Unies pour le Congo (MONUSCO), a finalisé les travaux d’assainissement de la prison d’Uvira. Estelle Yougbre, conseillère de l’administration pénitentiaire de la MONUSCO, a livré ses impressions sur cette collaboration efficace. Parlez-nous de votre contribution dans les travaux d’assainissement de la prison d’Uvira. La MONUSCO a collaboré avec le projet LATAWAMA dans les travaux d’assainissement de la prison d’Uvira. L’objectif de ces deux organisations était de permettre aux prisonniers d’avoir accès à des toilettes et douches propres, et de prévenir les maladies liées au manque d’hygiène. Les travaux ont aussi permis aux prisonniers d’accéder au biogaz pour la cuisson des aliments. En tant que conseillère pénitentiaire, nous avons participé au suivi de la bonne exécution du projet, mais aussi au financement de celui-ci. Nous avons également mis à contribution les prisonniers volontaires, ce qui participe à leur réinsertion sociale. Êtes-vous satisfaite de cette collaboration ? Nous sommes satisfaits de la collaboration avec le projet LATAWAMA. Les visiteurs de la prison, le personnel et les détenus, témoignent de la qualité des travaux de l’assainissement. Je n’étais pas là au lancement des travaux, mais ayant quitté une prison pour une autre, j’ai pu voir une nette différence, au point où la question de l’assainissement ne se pose plus à la prison d’Uvira. Mes collaborateurs m’ont raconté comment cela se passait avant. Ils m’ont fait savoir que les prisonniers faisaient leurs besoins dans des seaux à l’intérieur des cellules. L’odeur y était insupportable, et les détenus avaient beaucoup de problèmes de santé. Depuis la construction des toilettes, il faut reconnaitre qu’il n’y a plus d’épidémies liées au manque d’hygiène. Est-ce un modèle exportable à d’autres prisons ? Effectivement, je pense que s’il y avait des possibilités de reproduire la même activité dans d’autres prisons, ça pourrait être très bénéfique pour les détenus. Avez-vous un message particulier à adresser à Enabel ou à l’Union européenne ? Je voudrais juste dire un grand merci à Enabel et à l’Union européenne pour ce partenariat réussi. Nous n’avons pas eu de problèmes de collaboration dans le cadre de l’exécution de ce projet, ça s’est bien déroulé et nous avons apprécié le projet. Je voudrais aussi lancer un appel à d’autres partenaires pour la réalisation d’autres projets. Il est important qu’on puisse expérimenter dans d’autres prisons ce que j’ai vu ici à Uvira et qui est vraiment louable. Propos recueillis par Rodrigue Niyongabo, chargé de communication du projet LATAWAMA


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  • Au Sud-Est du Maroc : l'énergie solaire contribue à la lutte contre le changement climatique

    Au Sud-Est du Maroc : l'énergie solaire contribue à la lutte contre le changement climatique


    Julie GEERTS | 02/08/2022

    Le PAGIE contribue à la lutte contre le réchauffement climatique et vise à améliorer les conditions de vie des agriculteur·rice·s de dattes avec l’installation des systèmes d’énergie solaire photovoltaïque au sein de 11 unités frigorifiques de valorisation de dattes.   La zone oasienne marocaine compte 25 groupements d’intérêt économique (GIE) de valorisation de dattes qui regroupent les agriculteur·rice·s de dattes et leur permettent de bénéficier d’économies d’échelles. Cependant, les unités de valorisation des dattes des GIE consomment beaucoup d’énergie, ce qui impacte l’environnement tout comme la rentabilité de l’unité.   Afin de remédier à cela, le PAGIE a équipé 7 unités frigorifiques avec des systèmes d’énergie solaire photovoltaïque, et prévoit en équiper encore quatre avant la fin de l’année 2022. Les résultats :  La facture énergétique de ces 7 unités a diminué de 70%, ce qui leur permet d’améliorer le processus de valorisation de dattes et d’augmenter leurs chiffres d’affaires. Une réduction de 770 Tonnes d’émissions de CO2 par année La production de 770 Tonnes de CO2 par année est évitée estimée pour l’ensemble des 11 unités équipées par le projet par année, ce qui équivaut à l’implantation de 665 hectares de forêt absorbant du CO2.  Pour rappel, le PAGIE « Projet d’Appui aux Groupements d’intérêt Économique pour le développement de la filière dattes au niveau des oasis marocaines » est une intervention de coopération bilatérale belgo-marocaine qui vise l’amélioration durable des revenus des petit·e·s agriculteurs et agricultrices de dattes dans les zones oasiennes. Le projet est mis en œuvre par l’Agence Nationale de Développement des Zones Oasiennes et l'Arganier (ANDZOA), Enabel, les deux Offices Régionaux de Mise en Valeur Agricole de Ouarzazate et Tafilalet (ORMAVAO et ORMVAT), l’Office National de Conseil Agricole (ONCA) et l’Agence de Développement Agricole (ADA).  


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