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  • Au Bénin, Enabel participe à l’actualisation de la Stratégie Nationale de Protection, de Sécurité et de Sureté Maritime

    Au Bénin, Enabel participe à l’actualisation de la Stratégie Nationale de Protection, de Sécurité et de Sûreté Maritime


    Reece-hermine ADANWENON | 19/07/2021

    Elaborée en 2012 et validée en 2013, la Stratégie Nationale de Protection, de Sécurité et de Sûreté Maritime fait peau neuve. Actualisée, la nouvelle stratégie permettra de répondre efficacement aux nouvelles facettes de la criminalité maritime et de prendre en compte les enjeux liés à l’économie bleue qui fait de chaque produit de la mer, une ressource à haute portée économique.Un atelier de lancement du chantier d’actualisation de la stratégie et d’information sur le concept de l’économie bleue s’est tenu à Cotonou au chant d'oiseau, le 16 juillet 2021. Cet atelier était organisé par l’Agence Nationale Chargée de l’Action de l’Etat en Mer (ANCAEM), responsable sous l’autorité du préfet maritime du suivi de la mise en œuvre de cette stratégie, avec l’appui d’Enabel à travers son projet d’appui au développement du secteur portuaire (PASPort). Il a réuni le Cabinet du Ministère des Finances, l’Etat-major général des armées, plusieurs ministères et agences publiques concernées, les autorités traditionnelles, les ONG actives dans cet univers et les structures en charge de la recherche en milieu marin. Dans son mot de bienvenue, le Préfet maritime, capitaine de vaisseau Maxime Ahoyo, a laissé entendre que les travaux d’évaluation et d’actualisation du document de la SNPSSM permettront d’avoir un nouveau document de stratégie pour une transition vers une économie bleue. Ce concept est révélateur de la prise de conscience du rapport de l’homme avec le milieu marin ; le modèle économique actuel produit beaucoup de déchets très peu recyclés. L’actualisation de cette stratégie fait partie, comme l’a rappelé le représentant résident Mr Jean François Michel, d’un ensemble d’actions initiées à la demande du partenaire béninois dans le cadre de l’appui à la révision et l’actualisation du cadre stratégique et institutionnel du secteur portuaire et notamment celui qui a trait à la sûreté maritime, fondamentale pour le transport maritime. Il est prévu un processus participatif qui doit permettre successivement :1) d’identifier les évolutions du contexte national, régional, et international dans le domaine concerné qui doivent être prises en compte, 2) d’évaluer la mise en œuvre de la stratégie depuis la création de l’ANCAEM fin 2014, 3) d’identifier les nouveaux axes de la stratégie,4) de proposer un mécanisme de suivi évaluation de la stratégie ainsi qu’un mécanisme de financement. Ce processus sera conduit par l’ANCAEM avec l’appui d’une équipe de 3 consultants, dont un chef de mission consultant international, et deux consultants nationaux dont un juriste et un environnementaliste, qui ont eu l’occasion de développer brièvement devant les participants les concepts et les problématiques qui devront être abordés.Mr. Orou Herman Takou, Directeur de Cabinet du Ministère de l’Economie et des Finances a rappelé à l’ouverture des travaux « qu’ un nombre grandissant de problèmes sécuritaires persistent dans les zones maritimes tels que le trafic de drogues, la piraterie, la pêche illégale, les vols à main armée. Des acteurs illégaux exploitent librement l’espace maritime africain en raison de son immensité et du manque de dispositifs efficaces de surveillance ». Des mesures efficaces doivent être prises pour endiguer la criminalité maritime. Tout en remerciant Enabel, le directeur de cabinet du Ministère des Finances et de l’Economie, M. Orou Hermann Takou, a procédé à l'ouverture des travaux, en faisant remarquer la présence des chefs religieux qui, selon lui, aideront grâce aux religions endogènes à préserver l'écologie grâce entre autres à la sacralisation de certaines ressources naturelles telles que les forêts, la mer...Pour lui, le défi consiste également à mettre à disposition de la marine nationale les moyens de ses ambitions, à renforcer les capacités opérationnelles des autres acteurs en mer, à opérer des mutations ou des impulsions pour des secteurs historiques ou émergents, et, enfin à démontrer sa compétence en matière de gestion d'espaces naturels marins protégés. Une séance de questions réponses a permis aux participants présents au cours de ce premier atelier de faire des suggestions et de clarifier certains points. Le processus d’actualisation devrait s’étaler sur plusieurs semaines, et un comité de pilotage est en cours de constitution pour valider les divers livrables prévus. Plusieurs ateliers seront organisés au cours de ce processus.  


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    Benin BEN1803811

  • Mise en œuvre du Projet ARISA-B : l’évaluation à mi-parcours constate une bonne appropriation progressive de la réforme par les acteurs territoriaux d

    Projet ARISA-B : l’évaluation à mi-parcours constate une bonne appropriation progressive de la réforme


    Reece-hermine ADANWENON | 16/07/2021

    La mission d’évaluation à mi-parcours du Projet ARISA-B apporte un regard extérieur sur la performance de l’intervention. Conduite par une expertise mixte (internationale et nationale), elle est intervenue du 25 mai au 07 juin 2021 et a couvert l’ensemble du territoire national en se concentrant sur l’appropriation de la réforme et les espaces de coordination et de concertation. L’évaluation a constaté des avancées notables dans l’appropriation des réformes par les acteurs territoriaux pour un meilleur service aux privés. Afin d’avoir les données nécessaires à l’analyse du niveau d’avancement du projet, l’équipe d’évaluateurs a consulté 173 personnes représentant tous les acteurs au niveau des territoires et au niveau central. La mission a présenté son rapport provisoire en se basant sur les critères CAD (Comité d’Aide au Développement de l’OCDE) au terme de l’évaluation. Pour la pertinence, la mission a considéré le projet comme « excellent » sur tous les aspects essentiels, ceci au regard de la stratégie entièrement alignée sur la politique nationale du secteur agricole (PAG, PSDSA, PNIASAN) et couvrant tous les aspects stratégiques au niveau des territoires. En ce qui concerne l’opérationnalisation de la réforme du secteur agricole au niveau des acteurs territoriaux, et malgré la complexité de l’intervention, la combinaison d’une méthodologie adéquate assortie de ressources humaines de qualité et d’un engagement constant des acteurs à tous les niveaux, ont permis de fournir une série de produits de bonne qualité, appréciés par les acteurs, et de limiter les retards causés par les circonstances liées à la pandémie. Elle a également noté une « bonne cohérence » du projet avec les autres interventions d’appui au secteur agricole au Bénin même si des opportunités de synergie restent à exploiter dans la phase de consolidation des actions de renforcement de capacités. Les acteurs rencontrés ont témoigné de la qualité des services du projet, de son organisation opérationnelle et de sa gestion des ressources, avec l’assistance technique thématique travaillant en étroite complémentarité avec les facilitateur(trice)s au niveau des pôles. Aussi, l’efficience de mise en œuvre du projet a été jugée « très bonne ». En matière d’efficacité, les mécanismes d’ajustement et de contrôle de qualité introduits dans la démarche « Parcours d’Acquisition de Compétences (PAC) », avec un prestataire spécifique sur l’ingénierie de formation, ont permis d’ajuster rapidement les problèmes de qualité aux besoins. A cet effet, l’évaluation a noté que « le projet a réussi à délivrer des produits de haute qualité unanimement appréciés par les acteurs ». Enfin, la durabilité reste un défi car, selon la mission, les avancées en matière de renforcement des structures « ne peuvent pas encore être considérées comme acquises ». Elles nécessiteront une focalisation afin d’assurer la continuité des processus initiés, des connaissances et des pratiques diffusées et leur mise à l’échelle. L’évaluation n’a pas occulté les thématiques transversales. A cet effet, elle a noté la prise en compte systématique du genre dans le contenu des parcours d’acquisition de compétences. Les aspects pertinents relatifs à l’environnement et au changement climatique sont principalement liés au contenu technique du conseil agricole et du processus de priorisation des investissements structurants (IAS). Les outils de digitalisation sont également au cœur des modules d’apprentissage consacrés à l’efficience des processus de gestion et de concertation. Sur la base des différents niveaux d’évaluation, la mission a recommandé, entre autres, de mettre l’accent sur la phase d’accompagnement et de coaching des acteurs (bénéficiaires des formations) dans la pratique de leur métier et de veiller à mener une réflexion avec le MAEP sur les conditions nécessaires pour une participation et une implication encore plus forte des Organisations Professionnelles Agricoles (OPA) et l’Organisation Inter Professionnelle des producteurs (OIP), aux différents espaces de dialogue et cadres de concertation promus dans le cadre de la réforme. ARISA-B est la composante territoriale du Programme d’Appui au Développement Durable du Secteur Agricole (PADDSA) financé par l’Union Européenne et mise en œuvre par Enabel.


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    Benin BEN170311T

  • Bonne gouvernance du secteur agricole au Bénin : ARISA-B a accompagné la Mairie d’Athiémé pour la reddition de comptes dans le secteur agricole.

    Bonne gouvernance du secteur agricole au Bénin : ARISA-B a accompagné la Mairie d’Athiémé pour la reddition de comptes dans le secteur agricole


    Reece-hermine ADANWENON | 16/07/2021

    Le vendredi 9 juillet 2021, la Mairie d’Athiémé a organisé, dans le village d’Adjové, l’audience publique de reddition de comptes de l’année 2021 sur le secteur agricole. Cette session, axée sur le développement et la promotion des filières porteuses dans la commune, était l’occasion pour le maire et le Conseil communal de sacrifier à une obligation légale et d’aller au contact des difficultés des populations dans un contexte de promotion des filières.Le Groupement Intercommunal du Mono (GI-Mono) et le projet ARISA-B ont apporté leurs appuis technique et logistique à la réalisation de cette audience publique de reddition de comptes sacrifiant ainsi aux dispositions de l’article 2 de la loi 97-029 du 15 janvier 1999 portant organisation des Communes en République du Bénin et de l’article 40 de la charte nationale sur la gouvernance locale. Présidée par le maire de la commune, Monsieur Kocou Saturnin DANSOU, la session a vu la participation des organisations professionnelles agricoles, des conseillers communaux, des acteurs de la société civile, des élus locaux et surtout des producteurs à la base. Les services déconcentrés de l’Etat dont la DDAEP et l’ATDA 4 (C/CeC) ont également pris part à la session. L’occasion pour le maire de rappeler les réalisations en matière agricole de sa commune au cours de la période de 2019 – 2020 et de recueillir les préoccupations des producteurs pour améliorer la productivité dans différentes filières et les revenus des producteurs agricoles. En termes de réalisations, le maire, en langue locale et en français, a énuméré, entre autres : - les appuis apportés aux producteurs de la filière maraichère en renforçant leur résilience contre les effets du changement climatique ; - les aménagements de sites de production maraîchère et rizicole ; - la mise à disposition des producteurs de kits de semence pour contribuer à la réduction des effets du COVID-19, - les sessions de formations organisées à l’endroit des producteurs sur diverses thématiques ; - la mise en place d’intrants agricoles, matériels et équipements au profit des producteurs ; - les ouvertures de pistes donnant accès aux sites aménagés ; - l’organisation des sessions du conseil communal d’orientation et de suivi du secteur agricole (CCoS) L’autorité communale n’a pas manqué de rappeler les difficultés auxquelles est confrontée sa commune, dont l’insuffisance de ressources propres pour le financement de certaines actions agricoles prioritaires. Elle en a profité pour lancer un appel aux producteurs afin qu’ils contribuent à l’amélioration des recettes communales à travers le paiement de diverses contributions dont la taxes de développement local à travers la commercialisation de la production agricole. Enfin, l’exécutif communal a exposé les perspectives qui se rapportent, entre autres, à la bonne gestion des dotations FADeC pour lesquelles le montage diligent des dossiers conformément aux dispositions en la matière est une priorité. Il en est de même du suivi des actions mises en œuvre par divers projets et programmes dans la commune et qui nécessitent un suivi rapproché des services communaux en étroite collaboration avec les services déconcentrés du MAEP. Les populations d’Adjové, massivement rassemblées à la place publique, ont salué cet exercice qui est une première dans leur localité. Elles ont souligné la nécessité de rencontrer périodiquement l’autorité communale afin de partager avec elle leurs difficultés. Les participants en ont profité pour adresser leurs doléances au Maire et, à travers lui, au conseil Communal. Ces doléances sont entre autres, liées : - à la nécessité de répéter un tel exercice de reddition de comptes qui permet aux populations de porter leurs difficultés à leurs mandants ; - au dédommagement des propriétaires du site devant abriter le lycée agricole de la localité ; - à la destruction des cultures par les éleveurs transhumants (réalisation des aires de pâturage et délimitation des couloirs de transhumance) ; - aux dispositions prises par le maire pour la promotion du crincrin comme filière prioritaire ; - au processus de création et d’immatriculation des coopératives agricoles afin de bénéficier de financementLa reddition de comptes dans le secteur agricole est l’un des objectifs clés du projet ARISA-B afin de permettre une meilleure implication des élus locaux dans le développement agricole de leurs communes. Ces actions sont portées par cinq Associations de Communes qui bénéficient de l’accompagnement du projet pour renforcer leurs capacités ainsi que celles de leurs membres pour mieux assumer leurs rôles et mandats en matière agricole. La même activité est projetée par des communes des départements de l’Atacora, la Donga, l’Alibori, du Borgou et du Plateau. 


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    Benin BEN170311T

  • Manipulation des drones et interprétation des données : des agents de conseil agricole et de contrôle outillés !

    Manipulation des drones et interprétation des données : des agents de conseil agricole et de contrôle outillés


    Reece-hermine ADANWENON | 16/07/2021

    Démarré en 2019, le programme « Développement de l’Entreprenariat dans la Filière Ananas » (DEFIA) financé et exécuté par Enabel, œuvre pour contribuer à une agriculture intelligente face aux changements climatiques et pour l’amélioration des marges des producteurs. Dans cet optique, DEFIA a entrepris de mettre en place, avec la contribution de l’entreprise Global Partners, spécialisée dans les applications de drones, une solution digitalisée de conseil agricole basée sur l’usage des drones.  Elle propose aux producteurs d’ananas du Bénin un dispositif composé de drones et d’algorithmes d’interprétation d’images permettant :de déterminer la superficie des champs, de compter les fleurs et les fruits,et d'identifier les zones et natures des stress (maladies) des cultures.En prélude au déploiement de cette innovation sur le terrain, une formation à l’usage de la solution adressée aux agents de conseil agricole des ATDA 5, 6 et 7, des OPA et des DDAEP intervenant dans la filière ananas a eu lieu du 17 au 28 mai 2021 à Allada. Cette formation permettra aux agents de conseil agricole des ATDA 7,6,5, agents conseillers techniques spécialisés de structures privées en contrat avec DEFIA de disposer des compétences, connaissances en techniques et méthodologiques, attitudes et aptitudes requises à la réalisation des missions de survol de drones et à l’élaboration de diagnostic de l’état phytosanitaire des exploitations d’ananas.


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    Benin BEN19005

  • L’entrepreneuriat, un des piliers du développement pour les jeunes du secteur de l’enseignement des métiers

    L’entrepreneuriat, un des piliers du développement pour les jeunes du secteur de l’enseignement des métiers


    Donavine KWIZERA | 16/07/2021

    Le 13 juillet 2021, le projet ACFPT en partenariat avec Spark et le Centre de Formation Professionnelle de Rumonge a organisé une journée de sensibilisation sur l’entrepreneuriat. L’entrepreneuriat joue un rôle clé dans la progression de l'économie du Burundi. Il est donc important que les jeunes maîtrisent à la fois l'esprit entrepreneurial et ses compétences. C’est dans ce cadre qu'Enabel a démarré un partenariat avec l’ONG néerlandaise Spark et le Centre de Formation Professionnelle de Rumonge. Avec son programme Akazi Keza, Spark veut créer 6 000 emplois en quatre ans : pour atteindre cet objectif, une formation sera organisée par Spark à l’endroit de 100 lauréats de ce centre, dont 20 seront sélectionnés et accompagnés après un concours de plans d’affaires. Il est envisagé d'étendre cette expérience aux autres centres soutenus par le projet ACFPT.   Pour démarrer ce projet pilote à Rumonge, une journée de sensibilisation sur l’entrepreneuriat a été organisée à l’endroit des lauréats et des anciens de ladite école pour les conscientiser sur l’importance de créer leurs propres entreprises. Cette journée de sensibilisation a commencé par la visite de deux savonneries et d’un atelier de menuiserie, trois micro-entreprises accompagnées par Spark qui œuvrent dans le domaine de promotion de l’entrepreneuriat surtout des jeunes.   Les activités se sont poursuivies au CFP Rumonge par une visite des Unités d’Appui Pédagogique (UAP) au sein de l’école ; la journée était aussi agrémentée par les témoignages des anciens lauréats et des entrepreneurs accompagnés par Spark.  Ainsi, pour UWIMANA Claude de la promotion certifiée en 2019 son métier d’électricité lui a permis d’avoir un revenu stable et de construire sa propre maison. Il a prodigué des conseils aux autres lauréats en mentionnant que l’un des avantages d’un métier est de s’auto-employer, ce qui cadre avec l’entrepreneuriat. Un métier exige une certaine discipline pour gagner la confiance des clients. "Pour aller loin dans la vie en tant qu’entrepreneur, il faut toujours épargner " a poursuivi Claude.   Le coordonnateur de Spark à Rumonge, Vincent BIHIMVYUMUDERI, a fait savoir aux lauréats qu’après la formation ceux-ci seront appelés à participer à un concours de plans d’affaires qui permettra de sélectionner les projets les plus prometteurs. Spark accompagnera les projets sélectionnés par le biais de formations continues et de séances de coaching à travers son programme Akazi Keza. Les différents partenaires tels que l’administration, les membres des cellules d’insertion de 14 autres centres appuyés par le projet ACFPT, un représentant de la Direction Générale de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et des Métiers (DGETFPM) ont participé à cette journée ainsi qu’un représentant d’une institution financière qui a exhorté les lauréats à s’intéresser aussi à une éducation financière et à l’épargne.    Autour de 300 apprenants et 100 anciens lauréats étaient enthousiastes de participer à cette journée importante qui marque le début de leur voyage entrepreneurial.


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    Burundi BDI1307811

  • Réunion du 3ème comité de pilotage du programme e-TAMKEEN - Maroc

    Réunion du 3ème comité de pilotage du programme e-TAMKEEN - Maroc


    Bassam ALAOUI MDAGHRI | 15/07/2021

    Le 1er Juillet 2021, le programme e-TAMKEEN de renforcement des compétences des fonctionnaires femmes et hommes au niveau central et local en matière de digitalisation, a tenu son troisième Comité de Pilotage au sein du Département de la Réforme de l'Administration.La rencontre a regroupé des représentants d'Enabel, du Département de la Réforme de l'Administration, de l'Agence de développement du Digital (ADD), de l'Ecole Nationale Supérieure de l'Administration (ENSA) et de la Direction du Budget relevant du Ministère de l'Economie, des Finances et de la Réforme de l'Administration (MEFRA).Les discussions étaient centrées principalement sur la présentation de l'état d'avancement du programme et sur la validation des chantiers phares en cours de lancement lors de cette année 2021.


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    Morocco MOR1688811

  • Dual training, a Work-Place Learning programme of Enabel’s UEDi intervention

    Dual training, a Work-Place Learning programme of Enabel’s UEDi intervention in Rwanda


    Denise NSANGA | 15/07/2021

    As part of the intervention implemented in partnership with the Local Administrative Entities Development Agency (LODA), the Belgian Cooperation, through Enabel’s Urban Economic Development intervention (UEDi), funds a dual training programme implemented in partnership with Rwanda TVET Board (RTB). The programme focuses on skills development in construction trades including masonry, plumbing, welding, electricity, and carpentry. It puts more emphasis on the use of Made in Rwanda construction materials. Apprentices spend 1-3 months at school to acquire relevant theoretical and basic practical skills to prepare them for workplace integration. The UEDi Work-Place Learning (WPL) intervention focuses on cooperative modern training with companies in the formal construction sector with the aim to contribute to the implementation of TVET and WPL policies and to make TVET more relevant and demand-driven. Since March 2021, 145 candidates enrolled in the programme in three selected schools, namely Ecole Scientifique et Technique (EST) Busogo, Saint Martin Gisenyi, and Saint Kizito Musha TVET schools. In May 2021, all trainees were placed in construction companies for work-based learning where they are coached by in-company instructors to enhance their hands-on skills and workplace attitudes. In the workplaces, trainees acquired a variety of practical skills such as setting out a construction site, foundation and wall elevation, steel fixing and wall plastering to mention but some. Though the training is ongoing, some company owners and trainers had such appreciation for the work of trainees and their attitudes that they already hired some of them.


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    Rwanda RWA19011

  • Enabel accompagne la digitalisation et la professionnalisation de la filière ananas au Bénin

    Accompagnement à la digitalisation et à la professionnalisation de la filière ananas au Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 15/07/2021

    Les producteurs d’ananas du Bénin ont désormais accès aux portails officiels des statistiques de la filière ananas au Bénin. Le droit d’administrateur leur a été attribué après une formation intense sur la gestion de la plateforme AKVO FLOW.Les administrateurs désignés par la Fédération Nationale des Coopératives des Producteurs d’Ananas du Bénin (FENACOPAB), le Réseau des Producteurs d’Ananas du Bénin (RéPAB), l’Association des Grands Producteurs d’Ananas du Bénin (AGPAB), la plateforme IRA et l’Association Interprofessionnelle de l’Ananas du Bénin (AIAB) sont outillés et aptes à alimenter et mettre à jour les informations en ligne concernant les producteurs via le portail AKVO du MAEP. Cela contribuera à améliorer la fiabilité des statistiques sur les producteurs d’ananas et leurs exploitations agricoles. En effet, la collecte des informations se fera dorénavant en interne par les producteurs eux-mêmes, avec l’assistance de leurs animateurs. Ils utiliseront aussi des outils digitaux de collecte et de traitement des données. Les producteurs s'engagent à être à la hauteur de cette responsabilité afin de toujours mériter la confiance du ministère de tutelle et par ricochet du gouvernement, ainsi que l’accompagnement des partenaires techniques et financiers. Ils promettent de mettre régulièrement à jour la base de données cartographique des producteurs réalisée en 2019 avec l’appui de DEFIA et l’accompagnement technique de l’Agence Territoriale de Développement Agricole (ATDA) pôle 7 et la DSI/MAEP et en faire aussi bon usage. C’est la Direction des Systèmes d’Information (DSI/MAEP) qui a donné la formation et qui assurera l’accompagnement technique des Organisations Professionnelles Agricoles (OPA) jusqu’à leur prise en main totale. L’appui de DEFIA pour cette formation est motivé par la durabilité des actions d'Enabel au Bénin. C’est pourquoi la stratégie d’accompagnement du programme met au cœur du processus de changement, les acteurs directs. Ensemble, le changement qualitatif et durable est possible !


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    Benin BEN19005

  • Atelier bilan de la première année de mise en œuvre des actions RIMDIR et des actions d’intermédiation sociale des ONG de Conventions subsides

    Atelier bilan de la première année de mise en œuvre des actions RIMDIR et des actions d’intermédiation sociale des ONG de Conventions subsides


    Aminata KANE | 13/07/2021

    Les 1 et 2 juillet à Nouakchott, Enabel a reçu les 4 ONG avec qui elle a signé des conventions de subsides. Cette rencontre avait pour but de réunir tous les partenaires au bout d'une année afin de partager le bilan des activités (techniques, administratives et financières), les résultats et leur avancement. L'occasion également d'effectuer un partage d'expériences, de formuler des recommandations à suivre pour l'avenir et de tirer des leçons pour améliorer les performances des interventions.Les ONG, réparties par wilayas (régions), sont les suivantes : COOPI pour le Hodh El Chargui, OXFAM pour le Hodh El Garbi, GRET pour le Guidimakha et VSF (Vétérinaires Sans Frontières) pour l'Assaba.Pour arriver aux résultats attendus, plusieurs processus ont été mis en place pour chacune des ONG:• Identification et priorisation des infrastructures rurales et productives (IRP)•  Mise en place des accords sociaux (foncier et gestion) et des aménagements•  Accompagnement des COGES (Comité de Gestion)En partenariat avec COOPI, dont la mission est de favoriser la participation communautaire dans la sélection, construction et gestion des infrastructures productives, et les résultats atteints sont les suivants :• Approbation de l'accord par les autorités;• Appropriation de l'accord par les communautés;• 3 digues en cours de réhabilitation;• 376 km de pare-feu réalisés;• Protection de la Berge de Néma d'une longueur de 682 ml en cours de réalisation;• 368 personnes maitrisent les techniques de réalisation des pares-feux manuel dont 66 femmes soit 18%;• 103 personnes connaissent les techniques de protection des berges dont 15 femmes soit 15%;• 14 COGES (Comité de Gestion) qui maitrisent les sujets suivants  sont mis en place:1. 5 en gestion administrative et financière2. 5 COGES en techniques d’ouverture de pare-feu manuel3. 3 COGES ont des connaissances en techniques de réhabilitation des digues (HIMO)4. 1 COGES a des connaissances en techniques de protection des berges contre les ravinementsHodh El Garbi en partenariat avec OXFAM a mené des actions d'ingénierie sociale pour l'accès et la gestion durable des investissements productifs ruraux. Les résultats atteints sont les suivants :• 19 sites en cours de validation;• 3 ententes foncières établies et signées;• Répartitions foncières en cours ainsi que les ententes de gestion;• 5 ha de terres récupérées sur 10 prévues;• 2/3 des diguettes achevées, troisième en cours;• 55 Km de pare-feu mis en place et• 2 comités mis en place au niveau des sites pilotes (formés en gestion organisationnelle, maintenance et gestion des infrastructures hydro-agricoles)Les réalisations pour l'Assaba en partenariat avec VSF sont:• 4 accords sociaux signés• Formations sur la maitrise d'ouvrage communal et sur l'identification, la catégorisation et la priorisation des investissements: 60 représentants des parties prenantes, 3 inspecteurs du MDR et 3 du MEDD• Implication des parties prenantes dans la réalisation des infrastructures sans aucun problème lors des exécutions• Transfert des compétences• Identification des 21 sites pour la sélection des IRP à faire en 2021 - 2022• Identification de 39 zones agropastorales dégradées• Organisation des 3 réunions de CODEP (Comité Départemental)• Etablissement d’une carte avec les zones dégradées• Réalisation de 100 km de pares-feux manuels dans 2 communes• 130 ménages ont bénéficié de l’approche HIMO• 4 COGES sont mise en place des • Appui à la mise en place de services d’appui-conseil aux parties prenantes et aux points focaux de durabilité pour assurer l’entretien des infrastructures réalisées et leur exploitation durable• Appui à la participation équitable des hommes et des femmes à la gestion des investissements structurants et à la prise de décision au niveau communautaire.Pour le Guidimakha en partenariat avec GRET les résultats atteints sont les suivants :• 1 aménagement hydro-agricole• 3 points d'eau pastoraux• 1 axe de désenclavement• 4 parcs de vaccination• 4 périmètres maraichers• Ateliers de renforcement des capacités• Mise en place des comités de gestion dans les pôles de développement• Mise en place des accords sociaux • 900 km de bandes de pare-feu manuels réalisés• Mise en place des aménagements CES/DRS: 6 seuils en gabions avec des diguettes filtrantes sont réalisés à 80%.Pour le volet Enabel Représentation:• Présentation état d’avancement des infrastructures• Présentation état d’avancement appui institutionnel• Présentation outil suivi de catégorisation COGES• Présentation des activités du RIMFIL• Présentation PPT suivi administratif et financierPour illustrer l'état d'avancement des travaux des sites pilotes, quelques chiffres:• Lot 1    100%   Assaba• Lot 2    90%     Assaba/Hodh El Gharbi• Lot 3    82%     Hodh El Chargui/Hodh El Garbi  • Lot 4    60%     GuidimakhaLes recommandations qui sont ressorties de cet échange fructueux sont:• L'importance d'une synergie, harmonisation et cohérence entre les actions;• Un renforcement des capacités spécifiques;• La traduction en arabe des accords sociaux;• L'élaboration d'outils de suivi des comités de gestion et• Toutes les ONG doivent avoir achever les travaux avant décembre 2022 Pour conclure, on peut dire que les résultats rapprochent le RIMDIR de son objectif qui est d'améliorer durablement et équitablement l’accès aux services et infrastructures productives et énergétiques des populations les plus vulnérables. 


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    Mauritania MIE170031T

  • Zombo residents celebrate restoration of x-ray services

    Zombo residents celebrate restoration of x-ray services


    William YEKA | 13/07/2021

    Expectant mothers in Zombo and surrounding areas can now breathe a shy of relief following the reinstatement of the Imaging Unit at Holy Family Hospital Nyapea.   The unit was closed by the Atomic Energy Council of Uganda in 2015 over failure to meet basic minimum standards.     The shutdown meant that patients had to travel long distances to access x-ray services from private health facilities in neighbouring districts at exorbitant fees.   However, there is now a reason to smile.      The hospital was donated imaging equipment by the Strategic Purchasing of Health Services (SPHU) and Private Not for Profit (PNFP) projects of Enabel.   While the support was a major boost, the facility could not instantly use the items. Holy Family Hospital Nyapea lacked skilled manpower to operate the machines.   To address the challenge, Enabel, through the Support to the Development of Human Resources project, sponsored one staff member to pursue a diploma in diagnostic ultrasound.   The imaging unit, which 5 years ago was non-existent, is now fully functional and serves at least 30 patients daily, mostly expectant mothers.   “Timely performance of imaging examination has eased work since we make quick clinical care decisions,” says Dr Okello Pius, the Officer In charge of the Maternity Ward.   That is not all. The facility has registered an increase in revenue from user fees which management attributes to the imaging unit.   Measures are in place to ensure sustainability. The trained sonographer is currently mentoring colleagues to do the same work.    The hospital is also sponsoring another staff member to pursue a diploma in medical radiography to meet the growing demand.   Holy Family Hospital Nyapea commonly referred to as Nyapea Hospital is a private not-for-profit faith-based health facility in Zombo district.  


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    Uganda UGA1188811

  • Switching to light: Electricity access - Stories of change

    Switching to light: Electricity access - Stories of change


    Denise NSANGA | 07/07/2021

    The Government of Rwanda has a target of reaching 100% electricity access by 2024, where 52% of connections are planned through on-grid and 48% through off-grid connections. With Electricity Access Rollout Program (EARP), Belgium has a grant funding of 39M euros as a contribution to reach the universal electricity access target. Implemented in partnership with Rwanda Energy Group (REG), the BE-EARP project so far constructed over 1,000 km of power network particularly in the Eastern Province districts of Rwamagana, Kayonza, Ngoma and Kirehe. Alongside, the project has connected among others 25 schools, 11 health posts, 400 plus businesses and Small and Medium Enterprises (SMEs), and 32 public administrations. The project also funded the upgrade of 50 km of power distribution network in Rubavu, a picturesque western border town of Rwanda. Today, the stories of the beneficiaries reaping the benefits of BE-EARP electrification-funded projects, expectedly, have been amazing. Discover them below.


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    Rwanda RWA1509511

  • Burundi : Projet d’Appui Complémentaire à la Formation Professionnelle et Technique (ACFPT)

    Vers l’amélioration de l’adéquation formation-emploi dans le secteur de l’Enseignement de la Formation Technique et Professionnel (EFTP)


    Donavine KWIZERA | 07/07/2021

    Au Burundi, l’un des objectifs du projet ACFPT est de contribuer à améliorer la qualité de la formation dans les filières présentes dans 13 Centres d’Enseignement des Métiers (CEM). Cependant, d’immenses défis persistent au niveau du suivi post-formation, notamment pour l’insertion des lauréats et leur employabilité sur le marché du travail. C’est pour relever ces défis qu’Enabel vient de signer une convention ayant pour objet l’octroi d’un subside à un consortium de 5 chambres sectorielles membres de la Chambre Fédérale du Commerce et de l’Industrie du Burundi (CFCIB) identifiées sur base des filières enseignées dans les CEM appuyés par le projet. Dans le cadre du partenariat public-privé, ce consortium a pour mission de contribuer à l’amélioration de l’adéquation formation-emploi dans le secteur de l’EFTP à travers la participation des opérateurs économiques dans la gestion des mécanismes d’insertion durable et de qualité des lauréats des CEM. Il devra mettre en place des stratégies et des activités visant à réduire le fossé existant entre les besoins du marché et l’offre de formation. Les activités ont officiellement été lancées lors des ateliers organisés les 28, 30 juin et 2 juillet, respectivement dans les provinces de Gitega, Muyinga et Cibitoke. L’occasion de mettre en lien les différents acteurs concernés, de les sensibiliser et réfléchir ensemble sur les actions qui seront menées collectivement.Conscientes des enjeux, les autorités administratives présentes ont exprimé leur engagement à soutenir le sous-secteur de l’EFTP qui figure dans les stratégies nationales pouvant contribuer aux solutions durables pour renforcer l’emploi des jeunes burundais.    


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    Burundi BDI1307811

  • Kigoma, Tanzanie : Des actions d’optimisation de la gestion des déchets solides qui portent des fruits : les bénéficiaires s’expriment

    Kigoma, Tanzanie : Des actions d’optimisation de la gestion des déchets solides qui portent des fruits : les bénéficiaires s’expriment


    Rodrigue NIYONGABO | 02/07/2021

    Dans la ville de Kigoma, en Tanzanie, le projet LATAWAMA est opérationnel depuis janvier 2020. De nombreuses activités y sont menées. N’étant pas « un prêt à porter » les activités mises en œuvre ont été définies conjointement avec les principaux acteurs identifiés et divers intervenants. Les organisations à base communautaire sont des acteurs clés du cycle de gestion des déchets. D’autres actions à haut impact en matière de gestion des déchets ont été également initiées. Les bénéficiaires se sont confiés à l’équipe technique du projet. Les retours sont encourageants. Les organisations à base communautaire sont composées de femmes, chefs de ménages et de jeunes issus de milieux défavorisés avec un maximum de 10 personnes par organisation. Les membres de ces organisations sont responsables de la pré-collecte des déchets solides depuis différents lieux (ménages, marchés, institutions, etc.) jusqu’aux points de collecte (bennes basculantes gérées par la Municipalité). Elles sont une composante importante de la stratégie d’intervention du projet guidée par quatre principes: accroître la couverture des services, renforcer les capacités de gestion, introduire les principes de l’économie circulaire (utiliser les déchets d’hier comme ressource de demain), organiser des campagnes de sensibilisation et d’éducation.Initialement, les organisations à base communautaire étaient confrontées à deux grands défis : équipements insuffisants et inadéquats et capacités d’organisation et de gestion faibles. Face à ce constat, le projet LATAWAMA leur a fourni un premier soutien technique qui renforce leurs capacités d’intervention et a initié une série d’actions pour leur renforcement organisationnel. Des bénéficiaires satisfaits des réalisations du projet LATAWAMA Les membres des organisations à base communautaire ayant bénéficié directement de l’appui du projet LATAWAMA affirment que le matériel donné est venu à point nommé. Bahati Rhamadhani, mère d’environ 40 ans, vit dans la localité de Katubuka. Avec ses amies, en train de collecter les déchets, elle affirme que les équipements que le projet LATAWAMA a donné permettent de mener à bien le travail de collecte de déchets. « Avec ce travail, nous gagnons de l’argent et ça nous aide à satisfaire une partie de nos besoins. Nous remercions donc le projet LATAWAMA qui nous a donné du matériel. Comme vous pouvez le remarquer, Le défi majeur est que la population mélange encore les déchets ménagers avec d’autres choses comme les pierres, les briques et même les aiguilles. Nous essayons de les sensibiliser pour un changement de comportement », affirme-t-elle. Elishaphat Ruzemvya, Directeur du département en charge de la gestion des déchets solides, affirme que l’appui a été d’une grande importance pour améliorer la gestion des déchets solides à Kigoma. « Je suis ici pour témoigner de l’importance de l’appui apporté par le projet LATAWAMA en matière de gestion des déchets solides dans la municipalité de Kigoma. J’adresse mes remerciements à Enabel et à l’Union européenne pour l’appui apporté et je peux garantir que l’appui en termes d’équipement sera géré efficacement pour une grande durabilité ». D’autres actions ciblées initiées par le projet… A côté des actions menées à travers les organisations à base communautaire, des réalisations comme l’appui de l’hôpital Maweni en matière de gestion des déchets solides sont en cours. Rashidi Masoudi, agent d’hygiène, affirme que la situation s’est nettement améliorée en matière de gestion des déchets solides dans cet hôpital. « Avant le travail était beaucoup plus difficile. On brûlait les déchets dans un endroit qui n’était pas adéquat. Avec la réparation de l’incinérateur, le travail devient plus facile. Les déchets y sont brûlés. Nous avons été formés sur la gestion des déchets biomédicaux. C’est la 5ème année que je travaille à l’hôpital de Maweni. Les choses vont très bien maintenant ; tous les déchets qui sont produits ici sont brulés complètement ». Pour Rajabu Hassan, Ingénieur biomédical, avant, l’hôpital disposait d’un incinérateur de mauvaise qualité, qui ne pouvait pas brûler les déchets selon les standards environnementaux acceptables. « Le projet LATAWAMA nous a permis de réparer l’incinérateur qui permet de brûler les déchets rapidement. Les cendres qui sont générés sont également mis dans la nouvelle fosse qui répond aux normes de l’Organisation Mondiale de la Santé et du ministère ayant dans ses attributions la santé publique. Nous sommes tous conscients que les déchets biomédicaux sont dangereux et nous sommes reconnaissants envers le Projet LATAWAMA ». Rajabu Hassan souhaite néanmoins poursuivre la collaboration avec le projet qui financera la construction du bâtiment destiné au stockage des déchets biomédicaux triés en attente d’incinération. Financé par l’Union européenne, le projet LATAWAMA est mis en œuvre par Enabel, en collaboration avec l’Autorité du Lac Tanganyika.


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    Burundi BDI180971T

  • Kigoma, Tanzania: Actions to optimise solid waste management bear fruit: beneficiaries express themselves

    Kigoma, Tanzania: Actions to optimise solid waste management bear fruit


    Rodrigue NIYONGABO | 02/07/2021

    In the city of Kigoma, Tanzania, the LATAWAMA project has been active since January 2020. Many activities have been carried out. As the project was not a “ready-made project,” the activities have been defined and the main actors identified with the full participation of various stakeholders. Community-based organisations are one of the backbones of solid waste management operations. Besides, other actions in waste management have also been undertaken. Beneficiaries talked to the technical team. The feedback is heartening. Community-based organizations are composed of women heads of households and young people from disadvantaged backgrounds, with a maximum of 10 people per organisation. They are responsible for the pre-collection of solid waste from different places (households, markets, institutions, etc.) to the collection points (tippers managed by the Municipality). They are keys players of a project guided by four principles: increasing service coverage, strengthening management capacity, introducing the principles of the circular economy (using yesterday’s waste as a resource for tomorrow), organising awareness and education campaigns.   At the beginning of the project, community-based organizations faced two major challenges: inadequate facilities and weak organisational and management capacities. The LATAWAMA project provided technical support to community-based organisations to ensure that they could carry out their mission and initiated a series of actions for organisational strengthening.   Partners satisfied with LATAWAMA project achievements   The members of the community-based organizations directly supported by the LATAWAMA project said that the material given was of paramount importance. Bahati Rhamadhani is a mother of about 40 years, living in the locality of Katubuka. With her friends, while collecting the waste, she said that the equipment that the LATAWAMA project gave them makes it possible to collect the waste. “With this work, we get money, and it helps us meet some of our needs. We, therefore, thank the LATAWAMA project which gave us material”. The remaining challenge is that the population still mixing household waste with other things like stones, bricks, and even needles.“ We try to sensitize them for a behavior change”, she said.   The same goes for Elishaphat Ruzemvya, Director of the department responsible for solid waste management. He said that the support was of great importance for improving solid waste management in Kigoma: “I am here to attest to the importance of LATAWAMA’s support for solid waste management in the Municipality of Kigoma. I would like to thank Enabel and the European Union for their support. I can guarantee that the support in terms of equipment will be managed effectively for great sustainability”.           Other actions initiated by the project…   In addition to actions carried out through community-based organisations, further activities such as the support of the Maweni Hospital for solid waste management have also been initiated. Rashidi Masoudi, a health officer, said the situation had improved significantly in solid waste management at this hospital: “Before, the work was much more difficult. The waste was burnt in a place that was not adequate. With the repair of the incinerator, the work became easier. We have been trained in biomedical waste management. This is the 5th year that I work at Maweni Hospital. Things are going very well now; all the waste produced here is burned completely”. For Rajabu Hassan, Biomedical Engineer, the hospital used to have a poor-quality incinerator, which could not burn waste according to acceptable environmental standards. “The LATAWAMA project repaired the incinerator that allows us to burn waste quickly. The ashes generated are also put in the new pit that meets the standards of the World Health Organization and the ministry of public health. We are all aware that biomedical waste is dangerous, and we are grateful to the LATAWAMA Project.”   Nevertheless, he would like to further collaborate with the project, which will fund the construction of the disposal hall of sorted waste awaiting incineration.   Funded by the European Union, the LATAWAMA project is being implemented by Enabel in collaboration with the Tanganyika Lake Authority.


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    Burundi BDI180971T

  • Visite de partage d’expérience de la Mauritanie sur le modèle sénégalais afin de contribuer à l’opérationnalisation de l’Assurance Maladie Volontaire

    Visite de partage d’expérience de la Mauritanie sur le modèle sénégalais afin de contribuer à l’opérationnalisation de l’Assurance Maladie Volontaire


    Aminata KANE | 30/06/2021

    Afin de contribuer à l’amélioration de l’accessibilité financière des populations des secteurs informels et ruraux aux soins de santé de qualité, l’état mauritanien a procédé au lancement par le Ministre de la Santé, le mardi 18 novembre 2020 à Nouakchott, d’un régime d’assurance maladie volontaire (AMV) dénommé les Caisses Régionales de Solidarité Santé (CRESS).Les CRESS visent à concourir à la couverture sanitaire universelle en Mauritanie ; phase pilote de mise en œuvre effective dans trois régions sanitaires de la Mauritanie (Brakna, Dar Naim et Sebkha). En tenant compte de toutes les contraintes et défis que peut susciter l’opérationnalisation de ce régime d’assurance volontaire, un des piliers de ce programme est de renforcer les capacités du personnel administratif pour une gestion efficace et efficiente des CRESS, en se basant sur les expériences des autres pays de la sous-région. Dans ce cas ci celui du Sénégal. Le Sénégal qui a testé un modèle de mutualisation du risque lié à la maladie, avec l’Unité Départementale d’Assurance Maladie (UDAM) de Foundiougne et celle du département de Koungheul, constitue une opportunité pour l’équipe des CRESS d’apprendre des leçons de cette expérimentation. Une visite aux UDAM constitue un retour d’expérience enrichissant pour cette phase d’opérationnalisation de l’assurance maladie volontaire en Mauritanie. Ce voyage d’étude au Sénégal a permis de réaliser un retour d’expérience sur la gestion et l’opérationnalisation de la couverture maladie universelle dans les départements de Koungheul et de Foundiougne. Plus précisément:Un retour d’expérience sur le fonctionnement de l’UDAM au SénégalÉchanges sur les meilleures pratiques sur l’opérationnalisation et les difficultés rencontrées dans la mise en place de cette expérience d’assurance maladie volontaire.Visite de terrain pour analyser la gestion quotidienne des adhésions et des prestations de soins couvertes dans les deux districts sanitaires.Capitaliser sur les expériences du Sénégal au bénéfice de la MauritanieLes résultats qui sont ressortis de la mission sont:L’expérience des UDAM des départements de Koungheul et de Foundiougne est connue et comprise par les membres de la mission, notamment dans les domaines suivants : paquet de soins couverts, mode de gestion, régulation avec les prestataires, mise en œuvre du plan de communication pour la mobilisation sociale, etc.Les mécanismes de financement et de pérennisation des UDAM par l’état sénégalais sont connus et évaluésLes leçons sont apprises sur le modèle de management et de promotion de la mutualisation du risque lié à la maladie dans les départements de Koungheul et de Foundiougne : bonnes pratiques et difficultés rencontréesL’expérience du Sénégal est capitalisée pour l’initiative mauritanienne.Lors de la réunion de synthèse les points forts retenus sont que la mission a été un succès qui a permis à la Mauritanie d'avoir toutes les réponses aux questions qu'elle se posait. Les éléments qui ont été le plus mis en avant sont:l'importance de la qualité et proximité de l'offremission inspirante et enrichissantedévelopper la synergie entre l'offre et la demanderenforcement du dialogue interaction continue grâce à la mise en contact valorisation partenariat Mauritanie/Sénégalapproche inclusive de la populationéchanges de conseils techniques...Les priorités selon le représentant du ministère de la santé mauritanien Dr Moctar M’KHAITIR sont:une mise à niveau de l'offre de soins (répondre aux attentes de la population, améliorer équipements et Ressources Humaines)pousser à l’adhésion en donnant confiance via une sensibilisation efficace; " la santé n'a pas de prix mais elle a un cout"un engagement de l’État et des partenairesPour finir, cette mission a été productive et satisfaisante pour tous les partis. Une mise en lien a été faite et les équipes resteront en interaction continue. Les remerciements ont été chaleureux et indicateurs du bon déroulement tout au long de la mission. La réflexion sur l'ancrage des CRESS a été lancé, en attente des bons résultats à venir.


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    Mauritania MRT20002