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Ugandan First Lady Praises BTC's Support for Education
Thea MATHUES | 27/02/2017
The Teacher Training Education project of BTC has been supporting 4 teacher colleges for the past 5 years. With the first phase of the project coming to an end in 2017 to project prepares it self for a next chapter in supporting future teachers. Two extra colleges, Mubende and Kabale, will receive support and the colleges in Muni and Kaliro will continue to get assistance from the project team. The team will strive to achieve a mix between smart infrastructural works and the promoting of active teaching and learningThe Ugandan First Lady Janet Museveni applauded the work of BTC in the education sector during a farewell meeting with Nebeyu Shone, retiring resident representative of BTC Uganda. His successor, Christelle Jocquet was warmly welcomed by the First Lady.
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La réhabilitation du bac de Kasansa: une bouée de sauvetage pour la population
Julie CLAASSENS | 24/02/2017
Depuis plusieurs années, les paysans riverains du territoire de Tshilenge éprouvaient des difficultés à évacuer leurs produits agricoles vers les territoires de Ngandajika, Kabinda et autres. Les routes de desserte agricole et surtout le bac de Kasansa étaient dans un état de délabrement absolu. Cette situation a conduit les paysans à se rabattre sur une agriculture de subsistance destinée essentiellement à la consommation familiale et à l’échange local, avec comme conséquence majeure la diminution de la production agricole et par ricochet la chute des revenus des paysans. Cette situation a plongé la population dans un état de précarité et d’incertitude. Considérant l’urgence et la nécessité d’intervenir, PRODEKOR s’est investie dans la réhabilitation du bac de Kasansa. Notamment toutes les tôles de fond, des tableaux, de pont et des murailles des flotteurs endommagées ont été remplacées par des nouvelles tôles. Pour récupérer la ligne de flottaison du bac, les agrafes inférieures ont été remplacées par des chapes et pivots. Cette réhabilitation avait pour objectif de sortir les communautés de l’extrême pauvreté et les appuyer à revitaliser leurs activités économiques, notamment l’agriculture. Le bac opère sur l’axe Lukalaba-Ngandajika, distance de 120 mètres. Sa capacité est de 20 tonnes et la coque est composée de flotteurs préfabriqués et assemblés sur place. Il mesure 14 mètres de longueur et plus que 5 mètres de large. A cause de cette réhabilitation, les échanges ralentis depuis plusieurs années entre Lukalaba et Ngandajika sont relancés de plus belle, de quoi faciliter l’évacuation des produits, booster avec vigueur les activités agricoles de part et d’autres de la rivière Luilu et par là contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations. De ce fait, il est vivement sollicité à la population et aux autorités d’assurer une gestion rationnelle de cet équipement communautaire afin d’en pérenniser les acquis. Cette gestion consiste, entre autres, du respect du tonnage indiqué, l’entretien du bac, etcetera. Les travaux ont couté près de 150 000 USD et ont duré 7 mois.
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Workshop Community Oriented Approaches to Flood Early Warning and Risk Reduction – Experiences from Quy Nhon, Binh Dinh Province
Huong TRANTHANH | 24/02/2017
Thursday, 26 May 2016. QUY NHON– a Workshop was held with the stakeholders of the Belgian-supported program for Integrated Water Management and Urban Development in Relation to Climate Change on Community Oriented Approaches to Flood Early Warning and Risk Reduction. Representatives from the Project Coordination Units (PCUs) and relevant government departments from the three program provinces (Ha Tinh, Ninh Thuan and Binh Thuan), as well as experts from the Hanoi-based Technical Support Unit (TSU) listened to the shared experiences from the recently completed project on Community Engagement in Flood Early Warning and Risk Reduction of Quy Nhon City. This project, implemented by Institute for Social and Environmental Transition-International (ISET) and the Climate Change Coordination Office of Binh Dinh Province (CCCO Binh Dinh), was funded by the Rockefeller Foundation under The Asian Cities Climate Change Resilience Network (ACCCRN)[1]. At the workshop, ISET project officer Ms. Nghiem Phuong Tuyen delivered presentations as well as project beneficiaries from the local level in the flood affected communities in Nhon Binh and Nhon Phu wards of Quy Nhon city. The workshop provided the unique opportunity for stakeholders from the Belgian-supported climate change program to learn from the recent experiences in Quy Nhon and consider how these lessons-learned can be applied in their own provinces. In addition to flood early warning and community response, the Belgian climate change program focuses on developing capacity at provincial and central levels for assessing existing and future climate related risk and designing and implementing response measures such as a revised climate change action plan and climate-sensitive approaches in urban planning. The key lesson learned from the workshop was that in order to provide a comprehensive solution for disaster risk management it is necessary to integrate systems for forecasting, warning, preparedness and response. The Quy Nhon project demonstrated that an effective system for risk reduction consists of not only equipment for rainfall and river level monitoring, but also a computer based system for forecasting river levels, flood maps to interpret the meaning of expected flood levels, and an organized system for disseminating the flood warning and conducting flood response activities. The Quy Nhon experience highlighted the importance of engaging with local government and local communities to prepare procedures for sharing warning messages and initiating response activities such as evacuation. By using the very accessible technology of SMS messages, it was shown how the time to receive the forecast, communicate with leadership, and initiate flood response actions could be reduced just 15 minutes. Coordinated as part of the workshop, the delegates conducted a site visit to inspect of river level monitoring equipment and a newly constructed multi-purpose flood shelter. The event concluded with reflection by delegates on what they had seen and how these lessons could be transferred for application in their own province. More information can be found at http://bdkh.mpi.gov.vn/
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Un curriculum mieux adapté à la réalité
Julie CLAASSENS | 23/02/2017
Au regard du diagnostic posé lors de l’élaboration de la stratégie par le gouvernement congolais concernant la qualité de l’enseignement, il en est ressorti que : - Les enseignants qualifiés sont insuffisants et cela réduit l’efficacité de l’encadrement pédagogique; - Le matériel didactique, les laboratoires et les ateliers de formation pratique sont rares dans les institutions de formation; - Les programmes d’études sont obsolescents et quasi indisponibles dans la plupart des filières organisées. Socles de compétences, ces supports pédagogiques indispensables ne sont pas actualisés et adaptés aux évolutions technologique et scientifique observées à travers le monde et d’autres programmes d’éducation. Tel est aussi le cas pour la filière Secrétariat – Administration appuyée par notre projet. Le constat est que le contenu du programme national pour la branche Informatique est trop limité et fortement en retard par rapport aux nouvelles technologies de l’information et de la communication dans le cadre de l’éducation. Nous avons saisi cette opportunité pour appuyer un atelier de relecture du curriculum national des humanités techniques commerciales pour la branche informatique où les participants deviont relire, amender et enrichir ce programme d’études actuel. Entre-temps, le curriculum adapté est approuvé par le Ministère de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel.
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Première unité de concassage et de valorisation des amandes
Meriem HILALI | 22/02/2017
Les travaux de construction d’une unité de concassage et de valorisation des amandes ont débuté ce 20 février 2017, dans la commune rurale de Rislane, Province de Berkane. D’une superficie de 1200 m2, l'unité sera capable de traiter jusqu’à dix tonnes d’amandes en coque par jour. Une telle capacité est une première pour la région! Le coût des travaux s’élève à plus de 155 000 euros (soit 1,6 millions de MAD). Deux autres unités de concassage seront construites au cours de l'année, dans la préfecture d’Oujda-Angad et la province de Taourirt. Ces unités sont réalisées dans le cadre du Projet de développement de la filière des amandiers dans la région de l’Oriental, projet cofinancé par le Maroc et la Belgique et doté d’un budget de huit millions d’euros. De 2011 à 2015, 6000 hectares de nouveaux vergers d’amandiers ont été installés dans quatre provinces: Berkane, Taourirt, Jerada et la Préfecture d’Oujda Angad. La construction des unités de transformation est une nouvelle étape pour valoriser la filière des amandes et stimuler l'économie locale.
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Pas de développement sans énergie!
Julie CLAASSENS | 22/02/2017
Au poste de la Société Nationale d'Electricité à Lubumbashi, les travaux civils ont démarré en août. On a commencé par enlever les vieilles fondations des années 1960 afin de préparer un nouveau fondement pour l'installation d'un transformateur de 150 megawatt, avec un poids total qui dépasse 137 tonnes. Entre-temps, les fondements qui recevront les transformateurs de 80 et 50 tonnes sont prêts. Le petit film ci-dessus montre ces travaux impressionnants. Les transformateurs viennent d'Inde et arriveront à Lubumbashi le lundi 27 février. Ils seront immédiatement installés. Tous les transformateurs assureront un courant stable et fiable pour chaque utilisateur, sans avoir de coupures. Enfin, dans la cité Karavia, les préparations pour l'installation de la ligne basse tension sont en cours. Quatre conteneurs ont apporté les 350 poteaux basse tension qui seront placés à la fin du mois.
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InnoFund supports 10 S&T Incubation Projects
Huong TRANTHANH | 22/02/2017
The BIPP Innovation Fund (InnoFund) is to increase the competitiveness of the Vietnamese economy through improved commercialization of national research and development. In this context it assists the Ministry of Science and Technology (MoST) in testing a functional tool through which valuable implementation feedback and lessons learnt that can be drawn for future policy formulation as well as future upscaling of such important support instrument. The InnoFund specifically aims to support two target groups: (i) Improved transfer of innovative concept of Vietnamese researchers and inventors into viable commercial products and enterprises; and (i) Strengthened capacity of technology business incubators in Vietnam thus enabling to deliver the full range of incubation support services. The BIPP InnoFund is implemented by the State Agency ‘Designing, Pilot Manufacturing and Testing Center (SATI-TECH)’, an agency under MoSTand technically supported by BIPP. Early 2017, a total of 10 Science and Technology projects were selected through anagreed/approved transparent selection mechanism. 5 R&D projects received funding to assist in prototyping and commercializing their research/invention products. The innovations are in the field of Food Production Nano-Technology, Spine-related diseases prevention, improved Fabrication Technologies and improved Waste Water treatment. Additional 5 S&T business incubators received funding with the aim to strengthen their incubation support services. The supported projects are based in Hanoi and Ho Chi Minh City. The average project amount is approx. EURO 30,000. The supporting period is for 12 months. All projects received the full endorsement of the Ministry of Science and Technology.
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Le cancer du col de l'utérus: à la recherche d'une meilleure prévention
Julie CLAASSENS | 21/02/2017
En Afrique, plus de 20% des cancers les plus fréquemment diagnostiqués concernent le cancer du col de l'utérus.En RDC, comme dans la plupart des pays africains, il n'existe pas de programme de dépistage et de traitement organisé. C'est pourquoi la faculté de médecine de l'Université de Kinshasa mène un projet dont l'objectif est l'amélioration de la lutte contre le cancer du col de l'utérus et les cancers en général. Le film ci-dessus montre comment notre Programme d'Etudes et d'Expertises a appuyé ce projet par une étude qui contribue à l'amélioration de la prise en charge de cancer de col utérin en rationalisant et en définissant des politiques (stratégies) nationales efficientes pour une meilleure prévention en se basant sur une évidence scientifique.
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L'économie informelle en RDC
Julie CLAASSENS | 21/02/2017
Le film ci-dessus explique comment notre Programme d'Etudes et d'Expertises (PEE) soutient le professeur Shomba dans sa recherche sur le secteur informel, en mettant en place une banque de données quantitatives et qualitatives. En effet, en République démocratique du Congo, l'importance du secteur informel, surtout sous la forme du petit commerce, n'est pas à démontrer. A Kinshasa, par exemple, environ 75% des activités économiques sont informelles. Sans doute, les statistiques sont aléatoires puisque, par sa nature, ce secteur échappe à tout contrôle. Il semblerait que près de 90% de la population active de la ville de Kisangani (troisième ville du Congo) occupent des emplois informels. Ainsi, du politicien à l'homme de la rue, de l'intellectuel à la personne analphabète, de l'Etat à l'individu, du citadin au paysan, tout le monde est soit opérateur, soit bénéficiaire des biens et services fournis par ce secteur. L'informel agit ainsi à la fois comme soupape de sécurité et amortisseur des chocs sociaux. Ce secteur de petits métiers et services est composé principalement des coiffeurs, cordonniers, réparateurs des pneus, laveurs de véhicules, chargeurs d'automobiles, marchands ambulants, tailleurs, ajusteurs, vendeurs des produits pétroliers, cireurs, boutiquiers, vendeurs de produits médicaux traditionnels, pousse-pousseurs, etc.Le but du projet est d'établir un corpus de connaissances, compétences et capacités sur l'économie informelle en RD Congo. De ce corpus résultera une base de données fiables et représentatives et une méthodologie qui permettra de la mettre à jour, des publications et journées d'étude, des ressources humaines spécialisées sous forme d'une équipe de chercheurs qui travaille en permanence sur le sujet et un réseau d'utilisateurs comme des gestionnaires, politiciens, centres de recherche scientifique, responsables de la société civile et de la coopération internationale.
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Le stage professionnel, David et Christian racontent
Julie CLAASSENS | 21/02/2017
Depuis plus d’une décennie, la RDC et plus particulièrement l’ex-province du Katanga, connaît un essor économique, drainé principalement par les entreprises du secteur minier. Malgré ces conditions favorables, les populations locales n’en profitent pas assez en termes d’emploi, car les entreprises recourent facilement à de la main d’œuvre étrangère pour assurer leur rentabilité.Le gouvernement de la RDC a pris l’engagement de développer le capital humain indispensable à la croissance et au développement économique en soutenant la promotion de l’Enseignement Technique et la Formation Professionnelle.En mars 2011, une « Convention de Partenariat Adéquation Formation Emploi » entre le Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel et les associations des entreprises a été signée. Cette convention a pour objet le renforcement de la coopération entre les établissements de formation technique et professionnelle et les différents partenaires de l’économie nationale, en vue d’une meilleure adéquation entre la formation dispensée et l’emploi dans les secteurs économiques de la vie nationale.Les parties s’engagent entre autres à organiser des stages professionnels. Ces stages de pré-emploi sont préalablement négociés et conventionnés avec un entrepreneur proposant des postes de travail vacants. Le stage vise à valider la capacité du lauréat à assumer les exigences de l’entreprise. A l’issue du stage, certains lauréats seront engagés et salariés dans la mesure où l’évaluation du stage s’est avérée probante.Le projet EDUKAT axe ses efforts notamment autour de la collaboration avec les entreprises pour assurer l’adéquation entre formation et emploi et la mise en œuvre de cette convention de partenariat public-privé.
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Renforcer la formation dans le domaine de l’environnement en Algérie
Lynda KHELIFI | 19/02/2017
En octobre 2016, six collaborateurs du Conservatoire National des Formations à l'Environnement ont participé à la séance de restitution et d’évaluation d’une formation de trois semaines en « Ingénierie de la formation dans le domaine de l’environnement ».Développée dans le cadre du Fonds d'études et d'expertise belgo-algérien, cette formation a été organisée par l’Institut Eco-Conseil et le Bureau d’Ingénierie en Education et en Formation. Elle s’est tenue du 18 septembre au 14 octobre à Namur. La journée a été clôturée par une remise de certificats aux participants.
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Formulation du projet de partenariat entre le Centre National des Formations sur les métiers de l’eau (CNFME) et la Société Wallone des Eaux (SWDE)
Lynda KHELIFI | 17/02/2017
Une délégation du CNFME s’est rendu à Verviers, au siège de la SWDE, du 9 au 15 octobre 2016 afin de découvrir ses installations et de préparer le projet. Une mission « retour » de la SWDE a été mise en place du 27 novembre au 2 décembre 2016 afin de finaliser le projet de partenariat qui sera financé par le PRCDE.
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Voyage d’étude sur l’incinération des déchets
Lynda KHELIFI | 17/02/2017
Dans le cadre du projet PRCDE, un voyage d’étude a été organisé sur « la maîtrise de l’incinération des déchets ménagers et assimilés » au profit de Douze (12) cadres du Secteur de l’environnement. Les bénéficiaires sont issus des directions de l’Environnement des wilayas de Tlemcen, Mascara, Bordj Bou Arerij, Ghardaia, Saida, Mostaganem et Ain Defla ainsi que l’Agence Nationale des Déchets (AND) et le Conservatoire National des Formations en Environnement (CNFE). Cette formation a été organisée par le bureau ALMADIUS. Elle s’est tenue du 11 septembre au 25 octobre 2016 à Namur.
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BTC Mozambique leading the way in water development in rural areas
Stephan CLAES | 17/02/2017
Since October 2013, BTC’s Water Supply Gaza project has been successfully improving access to drinkable water in rural areas of the Gaza Province, Mozambique. This relatively dry region is characterized by remote and widely dispersed communities, that rely on few and often salty water sources. Despite these challenges, the project has installed and updated many water and sanitation facilities in the region, improving the lives of over 15.000 local residents and their livestock. For 2017-2018, the project aims to reach another 40.000. Thanks to its expertise in this field, BTC is considered one of the leading organisations active in water development in Mozambique. In this light, BTC Mozambique recently participated in an experience sharing event (PRONASAR) which was organised by the Mozambican National Water Directorate to lay out the roadmap for the country’s water program 2017-2030. The event was attended by around 160 participants, consisting of other donors, local government officials from the provinces, private sector actors, ministers, civil society actors, university staff, and press. During this event, BTC presented the problems it has encountered, and the “lessons learned” of working in the Gaza region for past few years. In particular, BTC proposed its solutions to provide access to water in remote areas where most water sources are too salty to drink safely. To overcome this challenge, BTC focuses on a variety of possible solutions: Firstly, it is important to move away from manual pumps, since these can only be installed directly above drinkable water sources. In the Gaza province, fresh water sources are often located outside of communities, and not easily accessible to people living in the area. Therefore, BTC often relies on electric pumps: the project has successfully installed multiple electric solar pumps at boreholes containing drinkable water, which then pump water into reservoirs of nearby communities from a distance. Pumping the drinkable water directly into the communities greatly improves easy access to water. Secondly, it is important to invest in new water detection techniques to assess the quality and saltiness of the water in boreholes. In the Gaza region, many pockets of groundwater consist of different layers of water – some drinkable, and some not drinkable. After digging a borehole, this simple technology detects which layers of water could be tapped into in order to provide the population with fresh, drinkable water, and which water layers should be avoided. This technique ensures the most efficient exploitation of fresh water from a borehole, even if it contains both salty and drinkable water. Thirdly, in case no fresh water can be found within the groundwater in a particular area, investment in desalination installations should be made. BTC already has plans to construct several desalination installations in 2017-2018 in the region. Lastly, BTC is digitizing the rural water sector in the Gaza Province by providing local technicians with Akvo Flow Database software. This digital monitoring tool is easy to use, and gives ownership to the local population as it enables them to monitor their water installations and the water quality in the region independently. Thanks to the Akvo Flow Database, Mozambique's National Water Directorate can efficiently monitor the water situation in Gaza province. This is essential for planning effective, long-term development strategies. Indeed, the Belgian Cooperation’s extensive experience in improving access to water in rural Mozambique has not gone unnoticed. During and after the PRONASAR event, Belgium was praised for its innovative approach, and contacted by other donors and international organisations to obtain more information about BTC’s work. Also the Akvo Flow Database received quite a bit of attention, as the Gaza province is now recognised as the first province in the whole of Mozambique with a complete and reliable database on water infrastructures. Impressed by this result, different stakeholders have reached out to BTC with the idea to apply the same methodology in the other Provinces. In addition, BTC’s successes are greatly appreciated by the local population of the Gaza province and by the national Mozambican partners, including President Filipe Nyusi, who paid a special visit to the projects’ offices to learn more about BTC’s work. For 2017-2018, the BTC Water Supply Gaza project will continue its efforts to improve access to water in rural areas, and will continue to use its expertise to lead the way in water development in Mozambique.
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Inauguration of teachers college in Northern Uganda: a next step in the fight for quality education
Guido COUCK | 17/02/2017
The Ministry of Education and Sports (MoES) in partnership with the Belgian Development Agency officially commissioned the first phase of rehabilitated and constructed facilities at NTC Muni worth 9.2 billion under the Teacher Training Education (TTE) project.To officially commission this project was the Ambassador of Belgium, His Excellency Hugo Verbist and the, the Minister of State for Higher Education, represented by the Permanent Secretary of Ministry Education, Alex Kakooza at a colorful event that took place at the National Teachers College, Muni, Arua district. The TTE project is jointly implemented by the Ministry of Education of Sports (MoES) - Teacher Instructor Education and Training (TIET) Department and the Belgian Development Agency (BTC) to provide an improved student-centered and practice-oriented learning environment in 4 teacher training institutions (NTC Muni; NTC Kaliro; National Instructors College Abilonino; Health Tutors College Mulago). In his remarks at the commissioning, the Ambassador noted “the emphasis on infrastructure and creating a stimulating work environment is certainly no coincidence. Some would say that the Belgians like to build and are therefore ‘born with a brick in our stomach’. However, this is not why we are supporting the rehabilitation of these facilities. Together with our focus on training and management, this is a wider approach”. The results of the five-year commissioned TTE project that started in 2012 include; strengthening support supervision by central level (TIET department; Kyambogo University), strengthening the college management, strengthening pedagogy to improve the quality of teaching and learning, and rehabilitation, extension and equipment of the college facilities. The Permanent Secretary, Ministry of Education and Sports, Alex Kakooza, said that rehabilitation of National Teacher’s Colleges is one way through which the Government of Uganda is improving education standards. He further commended BTC and the Belgian Government for the great work done and the partnership.In terms of infrastructure, NTC Muni has been equipped with lecture rooms, offices, multipurpose hall, a user-friendly library as well as ICT facilities, laboratory equipment and easily movable furniture for active teaching and learning. The college design also incorporated construction of climate-smart approaches that factored in renewable energy and sustainable architecture with elements of solar energy & biogas and water harvesting for the college sustainability. In terms of pedagogy, all the academic staff (52 lecturers) of the college underwent training in student-centred Active Teaching and Learning (ATL) methodology. This was supplemented with distribution of ATL Manuals to all teaching staff and to the college Library for students’ access. Pedagogic projects such as green environment, chicken rearing as well as microteaching sessions were also incorporated with the aim of improving lecturers and students practice. In the past three years, frequent support supervision visits facilitated by the project were conducted by national experts from Kyambogo University and from MoES/TIET department to provide pedagogic support to the college Lecturers, Mentor Teachers, Librarians and Heads of Departments. To enhance the college management, the globally certified “Franklin Covey 7-Habits of Highly Effective People” training was delivered to management staff and execution grants were disbursed for the college to implement priority activities of their strategic plan. Management and support staff also received a series of training in assets and maintenance management as well as on Behavioral Change. It is with the above pedagogic, management and infrastructure support that the Ministry of Education in partnership with BTC is commissioning this project and launching the second phase of construction and institutional development works in NTC Muni. Mr. Alija Alaamvea, the Principal of NTC Muni said that the overall performance of students has significantly contributed to the improvement of student grades due to implementation of the Active Teaching and Learning (ATL) that was introduced to the college by the Teacher Training Education Project that is implemented with BTC Support. He thanked the Belgian Government for the support. Written by: Josephine Omunyidde
