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  • Bundibugyo Hospital transformed by capacity development  project.

    Bundibugyo Hospital transformed by capacity development project.


    Rachael AYEBALE | 17/08/2018

    Bundibugyo hospital is situated at a very volatile location, at the border of Uganda with the Democratic Republic of Congo. This means that they receive patients from across the borders that often times pause great risk to the medical staff of the hospital. As was the case in 2008, they were badly hit by Ebola that took with it about 5 staff members. The need to build their capacity to handle complex cases was something they had wanted for a very long time but  unfortunately resources were insufficient.  And then came Enabel, with its capacity building project the Support to the Development of Human Resources (SDHR)project. “We have received many courses both long term and short term ranging from leadership and governance, strategic planning, Monitoring and evaluation, and many others.” Francis Ndahura testifies. Francis Ndahura is himself a long time scholarship beneficiary of the project. He pursued a post graduate diploma in Monitoring and Evaluation at Mountains of the Moon University and with this acquired knowledge he has been able to draw a 5 year strategic plan for the hospital that was part of the action plans SDHR project tasked them to do. Internal processes in drug tracking have greatly at the hospital ever since he finished his course. The World Health Organisation (WHO) visited the hospital and were impressed with the way the hospital is operating. The hospital has set up a minor theatre at the hospital as part of their action plans after receiving a training in emergency care from the SDHR project. Their laboratory is also now able to carry out all kinds of tests including culture and sensitivity. This is a test carried out to detect  different kinds of bacteria in a given sample.                    Ejoku Emmanuel a lab technician at Bundibudgyo hospital also received a scholarship from the SDHR project and pursued a bachelors degree in Medical laboratory science. “The knowledge gap I had has been bridged” he testifies. The hospital laboratory for a long time suffered insufficient staffing with only 4 lab attendants and yet they attend to over 150 patients on a daily basis. This was a major challenge. However, ever since he returned from his studies the performance of the hospital laboratory has significantly improved from about 40% to 98%. “Your investment was not for nothing,’’ he speaks about the project happily. He has since been appointed the laboratory quality manager as well as the district laboratory focal person for the whole of Bundibugyo .Many more staff have also benefited from the project trainings and as such they have only gratitude for Enabel. Muhindo Samuel was also sponsored to pursue a course in Sonography at Mengo Hospital. He is now the hospital sonographer from a nursing officer. “There was no sonographer at the hospital before my course. Now I am proud to be the only sonographer at Bundibugyo hospital ,” he proudly states.                               


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    Uganda UGA1188811

  • Success story : 100% de réussite des filles inscrites au BEPC 2018 dans le CEG de Malam Koira

    Success story : 100% de réussite des filles inscrites au BEPC 2018 dans le CEG de Malam Koira


    Céline MEWISSEN | 12/08/2018

    Le CEG de Malam Koira est un collège rural de la commune de Falwell dans le sud-ouest du Niger. Créé en 2014 avec peu de moyens, l’établissement n’avait pas encore eu l’occasion de faire ses preuves. C’était jusqu’à cette année puisqu’avec des résultats impressionnants au BEPC, le collège vient se classer deuxième de la région de Dosso. Le CEG Malam Koira totalise en effet 100% de réussite pour les filles et 92% pour les garçons inscrits à l’épreuve. Cette remontée fulgurante est le fruit d’un processus entamé il y a plusieurs mois. De l’avis de tous, c’est le comportement même des filles et de la communauté vis-à-vis des études qui a changé. La réussite scolaire est valorisée et cela donne le courage nécessaire aux élèves pour étudier. La motivation est le premier pas vers le succès de ces jeunes ! Mais qu’est-ce qui les motive ? Un lieu d’étude équipé et sécurisé En milieu rural, certains élèves sont parfois contraints de s’éloigner du village pour pouvoir effectuer tranquillement leur révisions. Cette pratique comporte un risque pour leur sécurité, plus particulièrement en ce qui concerne les jeunes filles, et peut donc s’avérer décourageante. Pour remédier à cette problématique, le projet Sarraounia a mis en place une action pilote : la construction de cases d’étude au niveau de villages et collèges. Elles représentent un espace sécurisé permettant aux élèves de faire l'expérience inédite de la fréquentation d'une bibliothèque. Le CEG de Malam Koira bénéficie ainsi de sa propre salle d’étude en matériaux définitifs et reliée à l’électricité grâce à des panneaux solaires. La case contient quantité de livres d’exercices, manuels scolaires, dictionnaires ou encore romans mais également un tableau. Des séances de remédiations y sont organisées et les élèves peuvent venir lire et réviser, seuls ou en groupe. Narba Oumarou Souley qui a obtenu son BEPC à l’écrit nous raconte : « L’année dernière j’ai échoué au BEPC mais cette année j’ai étudié plus et j’ai réussi. Je viens d’un autre village à 8 km d’ici. Après les cours, je vais à la case d’étude jusque 18h puis je rentre à la maison et je travaille encore un peu. J’utilise beaucoup les annales avec les anciennes épreuves et les corrections. On fait des groupes, on fait les exercices des annales et puis on les corrige ensemble au tableau de la case d’étude. Quand je fini les révisions, je lis des romans. » Un appui aux enseignants Les enseignants sont en première ligne non seulement pour transmettre leur savoir mais également l’envie de réussir. Ils ont donc eux aussi été soutenus afin de pouvoir exercer leur profession dans de meilleures conditions. Ceux-ci ont bénéficié de formations et de matériel pédagogiques. « Pour les sciences, on a reçu du matériel, nous explique Saley Idrissa professeur de mathématiques et de sciences. Nous avons également reçu la visite d’un laborantin venu faire des démonstrations et des expériences devant les élèves. À l’examen, une question a été posée sur une de ces expériences. Avec ce qu’ils ont vu de leurs propres yeux, de façon concrète, ils ont pu répondre au questionnaire. Le fait d’avoir fait des TP a donc directement contribué à leur réussite au BEPC. » Des stagiaires modèles pour inspirer les jeunes élèves Au-delà de ces deux facteurs, c’est aussi et surtout la sensibilisation des jeunes filles et de leurs parents qui a eu un effet positif sur les résultats de cette année. Pour la première fois, en partenariat avec l’Ecole Normale d’Instituteurs de Dosso, des enseignantes stagiaires se sont rendues dans les collèges d’intervention. Pendant deux mois et demi, elles y ont sensibilisé la population à propos de la réussite scolaire et appuyé les élèves dans les cases d’étude. Cela a eu un impact certain sur les jeunes filles qui bénéficiaient à la fois d’un modèle et d’un mentor vers qui se tourner en cas de difficulté. Boubacar Ibrahim Bozari, directeur de l’ENI nous confie : « Au départ, on se demandait quel apport nous pouvions faire. Mais lorsque les stagiaires sont arrivées, elles nous ont téléphoné pour nous dire qu’elles étaient restées à la case d’étude avec les collégiennes jusque 23h. C’était nouveau, inédit. Ce qui a fait le succès de la sensibilisation c’est que les enseignantes stagiaires étaient des femmes. Cela a rassuré les parents et surtout les mères pour laisser les filles. Elles ont appuyé, elles ont travaillé ensemble avec les filles pour apprendre leurs leçons, faire leurs exercices. À la fin du stage, lors de l’évaluation, on a eu la confirmation du changement de comportement des filles en classe. Elles donnaient l’impression d’être plus intéressées aux études. Notamment en math et en français, on a vu que la participation de la classe a changé. Même au niveau des évaluations, ils ont constaté le changement. Maintenant, après les résultats du BEPC, je suis convaincu. L’amélioration est claire et nette. On est surpris et dépassé par les résultats. »  


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    Niger NER1506411

  •  Apprentissage de la production de briques de qualité au Centre Elikya, à Gemena

    Apprentissage de la production de briques de qualité au Centre Elikya, à Gemena


    Michael MALEMBA | 08/08/2018

    Le programme a fait le choix de s’appuyer sur le dispositif « chantier-pédagogique » au niveau du Centre de formation ELIKYA dans la province du Sud-Ubangi, dans une hypothèse d’améliorer le mécanisme d’insertion socio-professionnelle des jeunes dans  l’apprentissage de la production de briques de qualité.   Cette formation théorique et pratique s’est déroulée  pendant 35 jours et a permis aux 24 lauréats (filles et garçons), d’acquérir  les compétences pratiques additionnelles et un savoir-faire professionnel de base, dans une approche basée sur  la mise en situation  réelle avec des exercices pratiques intenses, dans  le cadre d’une réalisation collective de la construction d’un dortoir pour les filles au sein de ce centre Elikya ;   Cet apprentissage leur  permettra  de s’adapter à  l’environnement professionnel tout en affrontant ses contraintes et ses exigences, de consolider leur orientation professionnelle et d’explorer les pistes d’emploi.                                                                          Equipe  EDUMOSU


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    DR Congo RDC1217511

  • Un collège rural inclusif au Niger

    Un collège rural inclusif au Niger


    Céline MEWISSEN | 08/08/2018

    Au Niger, le défi d'une éducation inclusive demeure une réalité incontestable, tout particulièrement dans l'enseignement secondaire où persiste des inégalités entre filles et garçons. Le manque d'infrastructures et des normes sociales privilégiant le mariage précoce rendent souvent difficile l'accès et l'achèvement des études pour les filles.Découvrez les réalisations du Projet Sarraounia de Enabel dans 6 collèges ruraux de la région de Dosso afin de rendre l'environnement scolaire plus favorable au maintien des jeunes filles à l'école.


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    Niger NER1506411

  • Le devenir du pastoralisme au Niger, Conférence-débat

    Le devenir du pastoralisme au Niger, Conférence-débat


    Céline MEWISSEN | 07/08/2018

    Le 5 juillet 2018, le ministère de l’Agriculture et de l’Elevage, en collaboration avec l’ambassade du Royaume de Belgique au Niger et avec l’appui du PRADEL (Programme d’Appui au Développement de l’Elevage), a organisé une conférence sur le pastoralisme au Niger.   A travers l’exposé du Dr Sambo Bodé, Chef du Département Géographie à l’Université Abdou Moumouni, il s’agissait de sensibiliser les décideurs, chercheurs, acteurs de la profession et partenaires techniques et financiers par rapport au contexte actuel de contraintes socioéconomiques, climatiques et sécuritaires auquel font face les producteurs, en particulier les éleveurs. Mais également de mettre en évidence la nécessité de concevoir une politique de développement agricole.   Importance du pastoralisme au Niger Dans la région sahélienne, le pastoralisme transhumant est un des systèmes d’élevage dominant. Au Niger, 80 % du cheptel constitué de plus de 40 millions de têtes de bétail suit un mode de production mobile. Le pastoralisme transhumant assure la sécurité alimentaire des communautés d’éleveurs et présente beaucoup d’atouts économiques, environnementaux, culturels et sociaux. Il permet de valoriser des ressources naturelles (terre, eaux, sous-produits agricoles) inégalement réparties entre les zones agro-écologiques à différentes saisons de l’année.   En chiffre : L’élevage contribue pour 13% au PIB national ; Cette activité fournit 7% des recettes d’exportation du pays ; On estime qu’environ 95% de la population est concernée par les activités d’élevage ;  …et que 20% en tirent l’essentiel de leurs revenus.   Constats et défis du pastoralisme A l’heure actuelle, l’élevage pastoral fait face à de nombreux obstacles liés à  l’accès aux ressources et aux services sociaux de base, à la complexité des conflits sociaux entre transhumants et « sédentaires », la faible complémentarité entre agriculture et élevage, au faible investissement sur les exploitations familiales pour renforcer leur résilience, à la faible prise en compte des aspects du pastoralisme dans la gouvernance dans le contexte de la décentralisation ou encore à la  fermeture de la transhumance transfrontalière.   On assiste à une rupture d’équilibre entre les ressources naturelles et les besoins des populations. Il est donc urgent de repenser la gestion des systèmes agricoles pour éviter une catastrophe écologique et humaine.   Réflexions sur la nécessité d’une politique de développement agricole A l’issue des discussions, l’auditoire a adressé des suggestions à trois acteurs cibles. Tout d’abord et  vu le rôle important de l’élevage dans l’économie nigérienne, les participants recommandent à l’Etat d’investir dans : La viabilisation des frontières qui permettent de mieux contrôler les mouvements des animaux ;Une réglementation adéquate de l’accès aux ressources ;La maîtrise de la sécurité des transhumants et leurs bétails ;La mise en place d’une véritable politique éducative pour les enfants en milieu pastoral, l’éducation des acteurs étant une nécessité pour apporter des changements à la hauteur des défis.   Ensuite, certaines actions préalables à la mise en œuvre d’une politique d’envergure par le Ministère en charge de l’élevage ont été relevées par l’audience telles que : La maîtrise des statistiques animales ; L’harmonisation, popularisation et internalisation des textes sur le pastoralisme ; L’innovation en santé animale (pour circonscrire les pathologies contagieuses surtout), en alimentation (ensemencement ou diffusion d’espèces fourragères résistantes, complémentation en eau en début de saison humide, …), en pratique d’exploitation (abattoirs modernes permettant de mieux tirer profit que le commerce d’animaux sur pieds, …).   Enfin, il y a un intérêt certain à trouver des solutions pour la transhumance transfrontalière au niveau des Institutions sous régionales et régionales car cette pratique procure des bénéfices tant pour les transhumants que pour les pays d’accueil. Des textes existent (par exemple, CEDEAO de 1998) mais il est fondamental de les adapter aux réalités actuelles pour ensuite les mettre en application.   Dans le contexte actuel de changement climatique, il est nécessaire de mettre en œuvre un élevage résilient et intelligent. La solution du pastoralisme au Niger est nationale et les réponses sont à chercher, entre autres, dans une nouvelle politique foncière (recommandation des états généraux du foncier, 2018) et dans l’aménagement du territoire. Cette solution doit également compter sur la complémentarité avec l’agriculture au Sud du pays.


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    Niger NER1606911

  • Skilling mechanics with the Skills Development Fund

    Skilling mechanics with the Skills Development Fund


    Hanna DEKERK | 07/08/2018

     “I’m doing this class to earn a living so I can take care of myself and my family.” says 19 year-old  Tom Elwelu. He is one of the 13 Motorcycle Repair trainees at the Aridland Development Programme (ADP) in Abim. “Today we are assembling an engine but my favorite thing is tuning carburetors.“ After the 6-month training Tom wants to open his own garage in Abim and one day become a district engineer for the local government. He believes that there will be sufficient demand on the labour market, as confirmed by his teacher Opoke Helikiah: “There are few motorcycle  mechanics in Abim. But trainees don’t need to focus on their own district because this kind of mechanics are needed all over Karamoja.“ Already for 6 years Opoke has his own garage in Abim, but ever since he started teaching the garage has been managed by his brother. Now Opoke has a plan for his current trainees: “The best ones can work in my garage, to gain experience at first and afterwards also to make money.” Trainees can request additional support from ADP to start a business in the domain that was taught to them, if they successfully prove the viability of their work plan. In that case ADP can provide financial start-up support and regular follow-ups. Trainings are organized by Enabel’s Support to Skilling Uganda project, as part of the Skills Development Fund and with financial support from Irish Aid. The aim is to equip young Karamojong with employable skills to increase their livelihood in the region.  


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    Uganda UGA160331T

  • Cooking up livelihood opportunities with eco-friendly stoves

    Cooking up livelihood opportunities with eco-friendly stoves


    Hanna DEKERK | 07/08/2018

    “We improve the lives of the most vulnerable women while contributing to a better  environment.”, says Alex Okurut, program officer at Homebased Care, an NGO in Moroto. Homebased Care partnered with Enabel to organize instant-trainings to teach single mothers with HIV the construction of energy-saving stoves. “These women can earn extra money by building such stoves for their neighbors.” The energy-saving stoves provide an eco-friendly alternative to traditional fire pits as they need less firewood and produce less smoke. All the materials can be sourced locally in nature as the stoves are built with a mixture of water, grass and soil from a termite hill. Thanks to the fluids of termites, the soil is reinforced and the materials become more solid. After the stove is shaped, it simply needs to dry in the sun. 40-year old Katherine Nakiru is one of the 9 women who recently finished the 1-week training. She appreciates the opportunity because her sources of income are limited. "Life is not easy. My husband died and I can not get remarried because of the disease. So I need to take care of myself and my children, even when I feel ill." But now she receives compensations for demonstrating the building techniques to other village members. “You can see it is very strong and works well.” confirms a smiling Katherine, while she cooks the beans for supper on her newly-constructed stove. Equipping Karamojong women with employable skills increases their livelihood opportunities, all while protecting the natural resources of the region. These qualitative and relevant instant-trainings of 10 to maximum 100 hours are organized through Enabel’s Skills Development Fund, with financial support from Irish Aid.  


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    Uganda UGA160331T

  • Learning to bake? A piece of cake!

    Learning to bake? A piece of cake!


    Hanna DEKERK | 07/08/2018

    Amid the delicious smells of oven-fresh bread, 24-year old John Ndiuwayezu enthusiastically explains how to bake a bun. “Today we learned to make bread. We already know donuts, samosas, cakes and cookies. Our next challenge is fruit pie.” John is one of the 36 bakery trainees at the learning center of Cooperation and Development (C&D) in Moroto. After class, the trainees’ products sell like hot cakes on the Moroto market. “When there is a birthday they place an order with us. They know we make good quality.” These funds are  re-purposed to buy the necessary ingredients such as sugar and flour. After finishing the 6-month training, John wants to continue practicing his skills in a hotel, with the hope of one day opening his own bakery. According to Kul Chandra Timalsina, Area Coordinator for C&D, the goal is to become a bakery testing center of the Ugandan Directorate of Industrial Training, with the aim of gathering the expertise in the region and to keep the trainings going for many more years. Trainer Helen Lorika  is a Karamojong with 20 years of cooking experience in hotels all over the country. She decided to returned to her birth village to unlock the bakery skills in the region. “I came to teach in Karamoja because I want to give back to my community. There is much potential here.” Helen loves teaching and says that it requires sensitivity and good social skills, especially because there are some physically disabled trainees in her class.  “Instead of calling it special needs, I call it special abilities. They are just as motivated as the other ones to learn.” The bakery trainings are organized by Enabel’s Support to Skilling Uganda (SSU) project, as part of the Skills Development Fund, with financial support from Irish Aid. The aim is to equip young Karamojong with employable skills to increase the livelihood opportunities in the region.


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    Uganda UGA160331T

  • Enabel et APEFE œuvrent pour « Zéro » discontinuité des services et soins pour cause de défaut de maintenance.

    Enabel et APEFE œuvrent pour « Zéro » discontinuité des services et soins pour cause de défaut de maintenance.


    Reece-hermine ADANWENON | 06/08/2018

    23 agents électriciens et frigoristes en fonction dans les hôpitaux publics du Bénin renforcent leurs capacités depuis ce jour lundi 06 Août 2018 au #Lycée Technique de Kpondéhou de Cotonou. Durant deux semaines de cours, ces agents pourront acquérir de nouvelles connaissances en lien avec la Maintenance Biomédicale et Hospitalière. Ceci dans le seul et unique objectif : « Zéro » dysfonctionnement des services et soins pour cause de mauvaise maintenance des appareils médicotechniques. C’est grâce à la Convention de subsides EnabelL/APEFE n° BN01302511/CSUB/03 signée le 01er Avril 2018 que cette formation a été initiée, préparée et financée. L’objectif poursuivi par l’Agence belge de développement Enabel et l’Association pour la Promotion de l’Education et de la Formation à l’Etranger (APEFE) est de renforcer les capacités techniques et managériales des techniciens de maintenance en poste dans les centres de santé et hôpitaux publics du Bénin afin d’améliorer la fonctionnalité des équipements médicaux et infrastructures. D’un montant global de 12 millions de Fcfa ces formations qui se dérouleront par vague  à l’endroit des agents de santé diplômés et en activité (infirmiers, sages-femmes, Kinésithérapeutes,  aides –soignants, techniciens supérieurs en maintenance biomédicale et hospitalière) permettront d’offrir aux agents une formation continue qualifiante et/ou de recyclage-perfectionnement, en adéquation avec les besoins en compétence du marché du travail, et en prenant en compte le genre et l’environnement.   Dans son mot de bienvenue, le proviseur du Lycée Technique de Kpondehou qui accueille les apprenants n’a pas manqué de remercié Enabel et l’APEFE pour le choix porté sur son lycée. Selon Monsieur Christian Gilles GOMEZ, c’est essentiel de se recycler et ceci régulièrement car la révolution engendrée par l’apparition des Nouvelles technologies de l’information et de la Communication impose à tout personnel de se mettre à jour. Il salue cette initiative de Enabel et APEFE.   Pour Madame Nicole CURTI KANYOKO, Coordonnatrice du Programme Pass-Sourou, la disponibilité 24 Heures sur 24 d’un plateau technique performant et fonctionnel est une condition sine qua non d’une offre de service et soins de santé de qualité. Malheureusement, la situation observée dans les centres de santé est bien loin de cette exigence. On note une vétusté des équipements, les coupures et dysfonctionnement de l’alimentation en énergie, les pannes fréquentes, les immobilisations de longue durée sont des éléments qui ternissent l’image des structures hospitalières, a-t-elle déploré.  De même, avec la rapide évolution de la technologie dans le domaine et la multiplicité, les compétences des techniciens en maintenant biomédicale se retrouvent très vite en décalage avec l’appui attendu.     Au cours de cette formation, plusieurs thématiques seront abordés à savoir :  -        Le management de la maintenance,  -        Les bases de l’électronique, -        La sécurité électrique en milieux hospitalier, les bases de l’électrotechnique, -         La maintenance des machines électriques ; -         Le froid et la climatisation.  A en croire Monsieur Nassirou BOUKARY, représentant la Directrice des Infrastructures et des Equipements et de la Maintenance (DIEM) à la cérémonie de lancement des cours, ces différents thèmes n’ont pas été choisi au hasard. Ils constituent le résultat d’un état des lieux qui a mis en exergue les maillons faibles de la chaîne de maintenance des équipements médicotechniques, a-t ’il indiqué Pour fini, Nassirou BOUKARY a invité les participants à faire montre d’assiduité, de ponctualité durant les quinze jours que va durer cette formation. « Ceci est d’autant plus important que le secteur attend beaucoup de vous pour un meilleur fonctionnement des équipements acquis la plupart du temps à grand frais » a-t-martelé. A la suite des discours officiels, une visite guidée des sites de formation a été faite par l’équipe de Enabel présente. Ceci dans le but de s’assurer de la disponibilité des outils et matériaux nécessaires pour permettre aux agents de faire plus de pratique que de la théorie. C’est avec une note de satisfaction que la coordonnatrice du Pass-Sourou, a quitté le Lycée Technique de Kpondehou dont la capacité technique et professionnelle n’est plus à démontrer.    


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    Benin BEN1302511

  • La journée internationale des coopératives

    La journée internationale des coopératives


    Meriem HILALI | 03/08/2018

    Le projet safran-dattes a célébré la journée internationale des coopératives le 31 juillet dernier à Taliouine en compagnie de la FIMASAFRAN, l’ORMVAO, l’ODCO, l’association Migrations et Développement et Enabel, l'Agence belge de développement. Sous le thème "Coopérer pour une société durable", plus de 100 personnes ont eu l’occasion de revoir les principes de la loi régissant les coopératives & GIE, de mettre en exergue le rôle des coopératives en tant qu’acteur pour la mise en œuvre des objectifs du développement durable, d’en apprendre davantage sur l’agriculture biologique et de bénéficier de témoignages de coopératives ayant prouvé leur succès.


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    Morocco MOR1204311

  • ENABEL FORME LES COMMUNICATEURS DE LA PASCIB POUR PLUS DE VISIBILITÉ

    Formation des communicateurs de la société civile au Bénin pour plus de visibilité


    Reece-hermine ADANWENON | 02/08/2018

    L’Infosec de Cotonou abrite du lundi 30 juillet au vendredi 3 août 2018 un atelier de formation sur la conception et l’élaboration d’un plan de communication. Initiée par l’agence belge de développement au profit des chargés de communication de la Plateforme des Acteurs de la Société Civile au Bénin (PASCiB), la session vise à outiller les participants sur les techniques de conception, d’élaboration et d’évaluation du plan de communication des organisations de la société civile. L’organisation de cette session de formation sur la conception et l’élaboration d’un plan de communication est l’un des volets d’un ensemble du parcours d’acquisition de compétences sur les outils de communication interne et externe. Phase B du parcours d’acquisition de compétences, elle vient à la suite de la phase A consacrée au diagnostic et de préparation de la formation. Pour la présente session, neuf participants provenant de divers réseaux, membres de la PASCiB vont se familiariser avec les techniques de conception et d’élaboration d’un plan de communication. C’est pourquoi, sous la conduite du formateur Dr Charles Dossou Ligan, expert en communication, les participants ont suivi des présentations sur trois sous-modules du premier module intitulé « le plan de communication : pour quoi faire ? ». Il s’agit des généralités sur la communication, l’importance et l’utilité d’un plan de communication et le processus de planification d’une stratégie de communication. Il en résulte que la communication est un processus d’échange, de partage d’informations, de connaissances, d’idées, etc. dans le but de persuader, influencer ou convaincre un interlocuteur. Dans l’une de ses présentations, le communicateur a abordé la typologie de la communication, ses catégories, domaines, types et formes avant les enjeux et les contextes. Il a insisté sur les supports et outils de communication de même que sur les moyens pour la visibilité et le développement d’une structure. Après cette phase théorique, les participants ont été répartis en deux groupes de travail pour suivre le second module consacré à la conception et la rédaction d’un plan de communication. Il s’agit d’une phase véritablement pratique en application des notions théoriques avec des exercices de conception d’un plan de communication. Motivés par la qualité des contenus et des échanges autour de la formation, les participants n’ont pas hésité à sacrifier les plaisirs du 1er août, journée de commémoration de la fête nationale, pour avancer dans les travaux. La session prend fin le vendredi 03 août 2018. La phase C de ce parcours d’acquisition de compétences sera amorcée à la suite de la phase B.


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    Benin BEN1388811

  • Appui de l'opérateur Belge TIBI aux actions de sensibilisation de la société civile.

    Appui de l'opérateur Belge TIBI aux actions de sensibilisation de la société civile.


    Halima HORRI | 02/08/2018

    L'opérateur Belge TIBI, chargé de la gestion Intégrée des déchets dans la région de Charleroi, représenté par Mme Mme Françoise Lardenoey et Mme Pierrine Meessens, ont effectué une première mission d'appui du 01 au 05 Juillet à Mostaganem.Cette mission avait pour objectif de soutenir la société civile pour la mise en œuvre d'actions de sensibilisation faisant appel au kit de sensibilisation réalisé dans le cadre du projet AGID.Le programme de sensibilisation a été conçu en commun accord entre la direction de l’environnement, l’équipe du projet AGID et la société civile, et avait 04 thèmes selon le public et le lieu cible de l’animation: 1- Comportement d’achat: Animation au niveau de la placette de la mairie de Mostaganem avoisinant un marché populaire.Animation au niveau de l’Hyper-Marché UNO. 2-Vivre ensemble/espace public: Animation au niveau de la placette de la mairie de Ain Tedles. 3- Éducation des enfants en matière de gestion des déchets: Animation au niveau de la maison de culture Ould Abderahmane Kaki.Animation au niveau du Parc Mostaland 4- Plage propre/Combattre la pollution Plastique: Animation au niveau de plage Sablette.Animation au niveau de la plage de Salamandre. Durant les 07 animations, les animateurs de la société civile appuyés par les Experts de TIBI et accompagnés par les animateurs des acteurs déchets de la Wilaya, ont su démontré leur capacité et leur volonté pour bien mener les campagne de sensibilisation ayant trait à la bonne gestion des déchets. D’autres missions similaires sont à prévoir au niveau des Wilayas de :Mascara et Sidi Bel Abbes.


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    Algeria ALG1402011

  • Réalisation des Investissements Communaux:  Enabel au Bénin finance 30 Projets communaux dans le secteur agricole

    Réalisation des Investissements Communaux: Enabel au Bénin finance 30 Projets communaux dans le secteur agricole


    Reece-hermine ADANWENON | 27/07/2018

    Le Ministre de l'Agriculture, de l'Élevage et de la Pêche, Monsieur Gaston Cossi DOSSOUHOUI et le Représentant Résident de l’Agence belge de développement au Bénin (Enabel) ont procédé dans l'après-midi du jeudi 26 juillet 2018 à la Préfecture de Lokossa, à la remise de chèques aux organisations professionnelles agricoles (OPA).  Au total 25 communes des départements du Mono, du Couffo, de l'Atacora et de la Donga ont bénéficié de cet appui financier d’Enabel estimé à 904.026.468 Fcfa (neuf cent quatre millions vingt-six mille quatre cent soixante-huit de Francs FCFA) pour la réalisation de 30 projets communaux. L’agence belge de développement (Enabel) soutient le développement de l’Agriculture au Bénin depuis de nombreuses années.  A travers  son Programme d’appui au développement des filières agricoles (PROFI) lancé en janvier 2016 et doté d’un budget de près de 10,5 milliards de FCFA, Enabel  poursuit l’ambition  avec l’ensemble des agri-entrepreneurs et des acteurs associés, de renforcer la compétitivité, l’attractivité et l’accès aux marchés des productions et produits transformés soutenant le développement global des filières Riz, Anacarde et Maraîchage. Le Programme profite à plus de 7.000 agri-entrepreneurs et leurs familles, 400 coopératives, 66 unions de coopératives et faîtières nationales dans les 25 communes des 04 départements.  Par ailleurs, l’un des résultats dudit programme est dédié essentiellement à un paquet d’appuis aux  25 communes du Mono-Couffo et Atacora-Donga dont des fonds pour la réalisation d’Investissements Communaux (IC) dans le secteur agricole. Cet appui s’inscrit dans le mécanisme de FADeC-Agriculture et suit son manuel de procédures. Les montants des chèques remis aux Préfets de chacun des départements concernés se présentent comme suit :   ü  Atacora : 237.092.939 (deux cent trente-sept millions quatre-vingt-douze mille neuf cent trente-neuf francs CFA) ; ü  Donga : 96.113.324 XOF (quatre-vingt-seize millions cent treize mille trois cent vingt-quatre francs CFA) ; ü  Mono de 257.122.936 XOF – (deux cent cinquante-sept millions cent vingt- deux mille neuf cent trente-six francs CFA) et enfin ü  le Couffo avec la plus grosse enveloppe 313.697.269 XOF – (trois cent treize millions six cent quatre-vingt-dix-sept mille deux cent soixante- neuf francs CFA).  « A l’issue d’un processus d’analyse et de sélection conjoint, et grâce à l’accompagnement technique que Enabel a apporté aux communes, ce sont en effet 30 projets de tels investissements structurants qui ont été retenus et faire l’objet d’un financement par notre Programme PROFI, au bénéfice de près de 1.400 bénéficiaires, dont 700 femmes », s’est réjouit Olivier HECK, Représentant Résident de Enabel au Bénin. Selon lui, l’ensemble de ces projets permettront d’aménager 184 hectares de périmètres irrigués afin d’assurer une meilleure maîtrise de l’eau et cultiver en toutes saisons ; d’aménager près de 20 km de pistes de désenclavement permettant d’assurer de meilleure condition de transport et un écoulement plus facile des produits à partir des sites de production vers les unités de groupage, de transformation et les marchés et de construire 2 hangars, 3 magasins, 1 boutique permettant  ainsi de faciliter le stockage et la commercialisation des intrants et des produits.Le Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Monsieur Gaston Cossi DOSSOUHOUI s’est félicité du processus transparent et concurrentiel conduit par les Communes elles-mêmes avec tous les services déconcentrés du MAEP et plusieurs autres acteurs membres des Comités Départementaux d’Approbation et de Validation (CDAV) qui a abouti à la sélection des projets retenus.  Il a félicité la Coopération belge qui selon lui a vite compris la nécessité de relever le défi agricole communal en s’engageant depuis 2012 aux côtés du gouvernement du Bénin pour une plus grande implication des autorités communales dans l’accompagnement du développement agricole à la base et notamment dans la promotion des filières agricoles.  « Cet appui est en adéquation avec le Programme d’Action du Gouvernement (PAG) qui veut faire du secteur agricole le véritable révélateur du Bénin Révélé et qui met un point d’honneur sur le financement du secteur agricole à travers les instruments que sont le Fonds National de Développement Agricole (FNDA) et le FADeC-Agriculture », a martelé Monsieur Gaston Cossi DOSSOUHOUI. Tout en félicitant toutes les communes retenues, le Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche les a également exhortées à faire un bon usage de ce soutien financier et à réaliser de bonnes performances en faveur des investissements agricoles.  C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, le choix des investissements publics à réaliser résulte d’une bonne concertation entre les acteurs à ce niveau, notamment les autorités communales, les services déconcentrés du MAEP et les unions communales de coopératives, représentatives des producteurs ; et il reste à s’assurer de la même collaboration dans la mise en œuvre. "Tant qu'il restera à faire, rien est encore fait", dira le Ministre Gaston DOSSOUHOUI pour renvoyer les participants à cette cérémonie sur le chantier de l'édification du Bénin de rêve dans lequel le développement durable rime aussi avec la souveraineté alimentaire et nutritionnelle.


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    Benin BEN1302811

  • Tailoring course restores hope for young university drop-out

    Tailoring course restores hope for young university drop-out


    Sylvia NABANOBA | 27/07/2018

    He is a rare sight – one of only two boys bent at the sewing machine in a class of 22. Quiet, the only sound one hears is the squeaking of the machines as the young people’s hands and feet work them.Today the class is making babies’ dresses, and every now and then he lifts up, as if to appreciate his efforts, the piece of white cloth that is slowly taking the shape of a dress big enough to fit a two-month-old baby. This is 23-year-old Jacob Akoy, a refugee from South Sudan. A few years ago, Akoy would never have imagined himself at a sewing machine, learning tailoring. He was a first year student at Juba University, pursuing a Bachelor’s degree in Business Administration. He hoped to become a successful businessman but the onset of the war in South Sudan in 2013 did not let these dreams become a reality. The family of seven children had to flee to Uganda with their mother but not their father, who had been killed during the fighting.Accessing university education when you are in a refugee settlement is almost impossible, so for the last four years Akoy has not gone to school. “Everything changed when I heard on the radio an announcement for training courses at Siripi Skills Training Centre in Rhino Camp refugee settlement,” he says. Akoy submitted his application, and luckily was shortlisted and invited for interviews. Interviews are carried out by a selection committee made up of a wide range of representatives that include members of the private sector, the Office of the Prime Minister, UNHCR as well as refugee welfare committees. This committee selects entrants basing on set selection criteria. Akoy sailed through the interviews and has therefore enrolled for a tailoring course at the Welthungerhilfe-run centre in Siripi, Rhino Camp refugee settlement. “My dreams did not end with the war,” he says with a soft smile. “I chose to study tailoring because it is a marketable trade. I hope to use my skills to earn money and help my mother take care of the family.”Early this year (2018), Enabel, the Belgian development agency, signed a grant agreement with Welthungerhilfe, an NGO, under the European Union Trust Fund’s (EUTF) Support Programme for Refugee Settlements in Northern Uganda, to train 300 young people, women and girls, in market-relevant skills for six months. In Northern Uganda, where the majority of refugees from South Sudan are resettled, the absence of vocational skills forms a major barrier for personal development and increased livelihoods. Furthermore, formal employment in the region is often scarce, so Enabel, through the EUTF, provides the necessary funding and expertise for skills training and entrepreneurial know-how for the targeted beneficiaries. The training at Siripi Skills Training Centre uses three models: institution-based training (100 trainees), apprenticeship (50 trainees) and training through Farmer Field Schools (150 trainees).The centre offers five courses under the institution-based training – Bricklaying and Concrete Practice, Welding and Metal Fabrication, Carpentry and Joinery, Catering and Hotel Management and Tailoring and Garment Cutting. Although he is now learning tailoring, Akoy still nurses the dream of becoming a university graduate. “I will save some of my earnings and hopefully those savings will help me return to school and complete my university education. I encourage my friends to take up skills training instead of staying idle in the settlement,” he says.Besides skills training, the students also learn agriculture. Each has a plot of land that they have developed and planted crops in. Welthungerhilfe also has the mandate to deliver soft skills training to the youth, and under this category they learn life skills and entrepreneurship. Adolescents and youth are generally more vulnerable to protection and health risks, including early marriage, teenage pregnancy, unsafe sexual relationships, violence as well as HIV/AIDS. “Schools and places of informal learning can provide life skills training in a safe and protective environment, and help these adolescents maneuver through the challenges of life,” says Freda Anek, Skills Development Fund Manager at Enabel.Welthungerhilfe is only one of five organisations that Enabel has signed training agreements with. The others are BRAC (360 trainees), Cheshire Services Uganda (200), OXFAM (350) and Action Africa Help International (270). The five grant agreements are worth 1,000,000 Euros and intended to ultimately benefit 1,480 young people (685 males and 795 females). 


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    Uganda UGA160321T

  • Palestinian heritage in the spotlight in Deir Istiya

    Palestinian heritage in the spotlight in Deir Istiya


    Laura SCHILLEMANS | 26/07/2018

    On the 25th of July, Deir Istiya organized a "Palestinian Customs Day" at the Abu Hijleh palace.The Regeneration of Historic Centers in Local Government Units (RHC) project recently finished the rehabilitation of the Abd Al Rahim Abu Hijleh historic building in Deir Istiya. The aim of the RHC project is to bring life back to historic centers by focusing on their social, cultural and economic development. That's why the building will be used as a guesthouse and a cafeteria for Deir Istiya’s citizens and guests. During the heritage day, visitors could join a walk from the Municipality Square to the Old City Square and discover the Abu Hijleh Exhibition where old photos and traditional costumes were showcased. The evening ended with traditional Palestinian songs and Dabka dancing.To encourage the younger generation to discover their heritage and traditional Palestinian skills, Enabel distributed embroidery kits amongst the participants.


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    Palestine PZA1203011