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  • Bénin: les acteurs de la sécurité publique mobilisés pour une Police communautaire au service des populations

    Bénin: les acteurs de la sécurité publique mobilisés pour une Police communautaire au service des populations


    Reece-hermine ADANWENON | 08/09/2021

    Présenter la vision conceptuelle de la Direction Générale de la Police Républicaine (DGPR) en matière de Police Communautaire, analyser les textes et manuels en cours d’élaboration sur le concept de la Police Communautaire et concerter l’ensemble des acteurs à s’impliquer dans cette nouvelle façon de « faire police ». Tels sont les objectifs d’un séminaire stratégique multi-acteurs qui s'est tenu à Grand-Popo au Ghana Hôtel du 07 au 09 Septembre 2021.Organisé avec l’appui technique et financier d'Enabel à travers le Projet d’Appui à l’Opérationnalisation de la Police Républicaine (PAOP), cet atelier a été l’occasion de valider l’approche de police communautaire en concertation avec tous les acteurs tant au niveau local que national. La sécurité des populations est un prérequis au développement. Au Bénin, le concept de Police Communautaire reste méconnu par les populations qui voient la police plus à travers son rôle de répression. Pour changer de paradigme et améliorer les relations entre la police et les populations, Enabel à travers le PAOP s’associe au Ministère de l’intérieur et de la sécurité publique à travers la Direction Générale de la Police Républicaine (DGPR) pour revisiter ensemble les documents de base régissant cette fonction capitale de la Police. A Grand Popo, au cours du séminaire stratégique multi acteurs, les échanges ont porté sur le partage d’expériences et de bonnes pratiques des Partenaires Techniques et Financiers en matière de Police Communautaire et sur les mécanismes de mise en œuvre de l’expérience béninoise. M. Ouorou BARO MORA, Directeur de Cabinet du Ministre de l’intérieur et de la sécurité publique a procédé au lancement du séminaire en présence de Mme Mélanie Xuereb, Country Portfolio Manager d'Enabel au Bénin, de Martin Deroover, chef de coopération de l’Ambassade de Belgique près le Bénin, de M. Christophe Aspeel, Intervention manager, du directeur général de la police républicaine, de M. Yaya Soumaïla DGPR, des préfets maires et élus locaux des zones pilotes du projet PAOP. Pour Mme Mélanie Xuereb, la coopération belge est très heureuse de soutenir le ministère de l’intérieur et de la sécurité publique et la DGPR dans l’organisation de cet atelier qui va permettre à l’institution policière de proposer un modèle de prestation de services qui mise sur la proximité avec les communautés dont elle assure la sécurité ; le respect des droits de l’homme et l’analyse précoce des causes de l’insécurité. Une insécurité qui peut être une conséquence de la rupture totale de relation entre la police et les citoyens, a précisé M. Martin Deroover, chef de coopération à l’Ambassade de la Belgique au Bénin. Ce séminaire est donc pour lui, l’occasion pour les différents acteurs d’approfondir et d’enrichir leurs connaissances en matière de police communautaire afin d’aboutir à des pistes d’amélioration pour une mise en pratique efficace du concept. M. Ouorou BARO MORA, Directeur de Cabinet du Ministère de l’intérieur, a reconnu les avantages de la police communautaire dans la sécurisation des communautés en luttant contre la criminalité et en améliorant le sentiment de sécurité des citoyens. Il a donc souhaité que les recommandations issues des échanges soient vivement mises en œuvre. Saisissant l’occasion, M. Christophe Aspeel, Intervention Manager du projet PAOP a présenté aux participants les objectifs du projet PAOP financé par la Belgique à hauteur de 3,715 millions d’euros et qui ambitionne de définir et de compléter le cadre organique ainsi que la couverture territoriale de la Police Républicaine, mais aussi d’améliorer le contrôle qualité des différents processus et d’élargir le soutien à la Police Républicaine.


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    Benin BEN19011

  • Amuddu partage ses bonnes pratiques en matière d’employabilité des personnes migrantes en marge de la Revue régionale africaine du Pacte mondial des m

    Amuddu partage ses bonnes pratiques en matière d’employabilité des personnes migrantes en marge de la Revue régionale du Pacte mondial des migrations


    Clara HUYGHE | 07/09/2021

    Le 26 août 2021, à l’occasion de l’Examen régional africain sur la mise en œuvre du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, le projet Amuddu : appui à la mise en œuvre de la Stratégie nationale d’Immigration et d’Asile a organisé un évènement parallèle intitulé « L’employabilité des personnes migrantes comme levier d’intégration. Initiatives et bonnes pratiques en Afrique : cas du Maroc ».La participation active des populations migrantes et du secteur privé, un bon référencement et l’approche multi acteurs sont des aspects clés identifiés comme facteurs de réussite de plusieurs interventions visant l’employabilité des personnes migrantes. L’évènement hybride visait à souligner l’importance de penser des interventions multi partites, qui impliquent des institutions publiques, la société civile ainsi que le secteur privé tout en sollicitant la participation active des populations migrantes. L’implication des acteurs locaux a été soulignée comme primordiale pour assurer la réussite de ce type d’actions. Cette rencontre fut l’occasion de présenter plusieurs bonnes pratiques menées dans le cadre de l’intervention Amuddu, telles que le travail partenarial, l’accompagnement social vers la formation professionnelle, l’adoption de l’approche communautaire par le service public de l’emploi, des mesures d’incitation au recrutement des personnes migrantes et la sensibilisation du secteur privé ou la territorialisation des mécanismes de gouvernance de la Stratégie nationale d’immigration et d’asile (SNIA). « Des progrès considérables dans la mise en œuvre de la SNIA ont été accomplis lors de ces sept dernières années, notamment en ce qui concerne la régularisation de la situation administrative de 50 000 migrants en séjour irrégulier au Maroc ainsi que l’ouverture des services de base à l’ensemble des migrants que ce soit l’éducation, la santé, le logement, l’assistance sociale et humanitaire, la protection juridique, la formation professionnelle et l’emploi. » M. Skim, Directeur des Affaires de la migration au MDCMRE. L’Objectif 18 du Pacte mondial met en exergue l’importance de trouver des solutions inédites pour promouvoir le perfectionnement des compétences dans les secteurs en demande en vue d’améliorer l’employabilité des personnes migrantes sur le marché du travail formel. Selon les intervenants, cela est d’autant plus important dans le contexte actuel où la crise sanitaire liée à la COVID-19 a fortement impacté les facteurs qui motivent la mobilité des personnes, mais aussi leurs aspirations et leurs capacités. La mise en place d’initiatives visant l’intégration économique des personnes migrantes nécessite d’identifier préalablement les facteurs constituant des barrières à l’emploi ou à l’entrepreneuriat puisque d’une certaine manière l’objectif de l’action cherchera à les atténuer pour favoriser l’employabilité de ces personnes. C’est dans ce cadre que les intervenants de cet évènement ont présenté des initiatives testées dans la pratique visant à améliorer l’employabilité des personnes migrantes et ont étayé les facteurs de réussite et les défis de ce type de pratiques. L’Entraide Nationale - institution nationale de référence en matière d’assistance sociale - a souligné l’importance de renforcer les synergies avec les autres acteurs concernés par l’insertion socio-économique des personnes migrantes et l’implication ainsi que la sensibilisation du secteur privé. Cela a également été appuyé, par la suite, par l’intervention de l’Agence Nationale de Promotion des Emplois et des Compétences (ANAPEC) - service public de l’emploi - en soulignant que les mesures d’incitation au recrutement déployées à travers le projet Amuddu ont déjà permis l’intégration de plusieurs personnes migrantes dans le secteur privé par la signature de 52 contrats aidés. La participation de l’entreprise AFD.Tech à cet évènement a permis de démontrer le succès de tout ce travail de sensibilisation auprès du secteur privé, ainsi que de la mise en place des contrats aidés. En effet, M. Marvis Akkafou Vannesse Adou a rencontré de nombreuses difficultés pour s’insérer dans le marché du travail au Maroc. Grâce à l’approche de la mobilisation communautaire, mise également en place par le projet Amuddu, Marvis a pu être accompagné par un des agent.es communautaires qui collaborent avec l’ANAPEC et bénéficier des services offerts par le service public de l’emploi. Informé de la mesure des contrats aidés, il se vit offrir un stage au sein de l’AFD.Tech dont il intégra l’équipe récemment en tant que Chef de projet. L’approche innovante de la mobilisation communautaire au service des agences publiques de l’emploi a aussi été mise en avant au cours de cette rencontre. L’ANAPEC a mis en exergue l’impact positif de l’intégration de quatre agent.es communautaire au sein de leurs agences, dont deux à Casablanca et deux à Rabat. L’adoption de cette approche au niveau institutionnel a permis d’informer adéquatement et de façon efficiente la population cible, d’instaurer un climat de confiance et de faciliter l’accompagnement. M. Alpha Camara, agent communautaire du projet Amuddu et inséré dans une agence de l’ANAPEC à Rabat, ajouta que « l’animation communautaire assure deux rôles essentiels dans le processus d’intégration économique de la cible. Un rôle d’intermédiation entre les partenaires du programme, mais également un rôle de relais facilitant l’accès à l’information. »Pour sa part, le Ministère délégué chargé des Marocains résidant à l’étranger a présenté le travail réalisé visant à décliner les mécanismes de gouvernance de la SNIA au niveau régional afin d’impliquer les acteurs locaux et de renforcer le référencement et la coordination sur le terrain. 


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    Marokko MOR1605211

  • Centrale Hydroélectrique de la Tshopo : L’implication d’Enabel pour sortir la ville de l’obscurité.

    Centrale Hydroélectrique de la Tshopo : L’implication d’Enabel pour sortir la ville de l’obscurité.


    Grâce MALI FAIDA | 06/09/2021

    La ville de Kisangani connaît depuis plusieurs années une pénurie considérable en électricité. Les turbines 1 & 3 de la centrale étant à ce jour à l’arrêt, la turbine 2 encore partiellement en fonction, n’alimente la ville qu’à hauteur de 2.5MW pour un besoin global estimé à 4OMW.Enabel a débuté son appui à la centrale en 2010 avec le projet AFEK qui a permis la réhabilitation de la turbine 1 ainsi que d’autres éléments du réseau électrique en 2013. En 2017, un accident technique de maintenance survenu a conduit à l’arrêt de la turbine 1 (groupe 1). En août 2021, la turbine 3 est elle aussi à l’arrêt - son troisème - en dépit de quelques travaux de maintenance déjà effectués en décembre 2019 et en février 2020. Au vu de la nécessité et de l’importance que revêt cette centrale pour la ville de Kisangani, Enabel a débuté en juin 2020 un échange avec le gouvernement provincial pour appuyer la réhabilitation du groupe 1. Cet échange positif a conduit à la signature d’un protocole d’accord avec la SNEL en février 2020 relatif au projet d’amélioration de la desserte de la ville de Kisangani par la réhabilitation, le redémarrage et la maintenance de la turbine n°1 de la Centrale Hydroélectrique de Tshopo à hauteur de 3 millions d’euros (~ 3,6 millions de dollars). Vu son caractère urgent, ce projet est intégré comme résultat au sein du programme EDUT d’Enabel (Education / Formation / Emploi) déjà en cours d’exécution et dont la portée est bien plus large que l’appui sur la centrale hydroélectrique. En vue de la réalisation des travaux sur la centrale, plusieurs missions de consultants étrangers se sont succédées en novembre 2020 et en mai 2021, notamment afin de réaliser des études détaillées sur le groupe 1 et permettre de publier un appel d’offres selon les normes de marchés publics, mais aussi de réaliser le Masterplan (études sommaires) de réhabilitation globale et d’extension éventuelle, en faisant ressortir les critères de bonne gouvernance qui permettront une exécution et une maintenance efficace de la part du partenaire SNEL.Ce projet fait appel à un chef de projet international qui s’assure de la collaboration technique active avec SNEL et supervise les équipes de consultants chargés des différentes études préparatoires. En attendant le résultat des études attendu en novembre 2021, des actions d’appui urgentes sont menées afin de préserver le rendement de la turbine 2 ainsi que la préparation aux travaux sur la turbine 1. Enabel prévoit une procédure de marchés publics pour la réalisation des travaux sur la centrale entre décembre 2021 et février 2022. Les travaux proprement dit interviendront sans doute sur la centrale dès mars 2022 pour une durée de 12 mois.   Rappelons qu’Enabel travaille dans 5 secteurs en RDC à savoir : le développement rural, la santé, l’éducation, l’eau et l’énergie, tous en phase avec les priorités du gouvernement de la RDC. Le projet de réhabilitation de la centrale hydroélectrique de la Tshopo n’étant pas initialement prévu, a cependant pu être intégré dans un programme existant de la coopération belgo-congolaise, signe d’une collaboration flexible et efficace entre la Belgique et la RDC.


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    DR Congo RDC1217911

  • Enabel au Bénin accompagne les acteurs du sous-secteur du transport routier dans la refonte du cadre réglementaire

    Enabel au Bénin accompagne les acteurs du sous-secteur du transport routier dans la refonte du cadre réglementaire


    Reece-hermine ADANWENON | 06/09/2021

    Le cadre réglementaire régissant le sous-secteur du transport routier s’est révélé vétuste et obsolète, car datant de 1979. Il ne tient plus compte des évolutions récentes et des nouveaux enjeux nationaux, sous-régionaux et internationaux.Conscient de cet enjeu, le Programme d’Appui au Secteur Portuaire et para-Portuaire (PASPort) d'Enabel au Bénin a retenu d’accompagner le Ministère des Infrastructures et des Transports (MIT) via la Direction des Transports Terrestres pour l’actualisation du décret n°79-109 du 15 mai 1979 portant règlementation du transport routier en République Populaire du Bénin et l’élaboration de nouveaux arrêtés d’application.Le processus engagé avec l’apport d’un consultant se trouve à l’étape de propositions du nouveau décret et des arrêtés d’application. Après l’atelier de pré-validation du décret tenu les 15, 16 et 17 juillet 2021, s’en est suivi celui de pré-validation des arrêtés d’application. Ce dernier s’est tenu du 2 au 7 Août 2021 à Grand -Popo. Les participants, constitués des cadres du Ministère des Infrastructures et des Transports, du Ministère de l’Intérieur, du Ministère de la Justice, des mandataires des transporteurs de tous genre, des auto-écoles, ont fait des observations sur 22 projets d’arrêtés proposés par les consultants. Tous les arrêtés ont été passés au peigne fin en termes de cohérence/pertinence avec le projet du nouveau décret, de qualité du contenu et de format. A l’issue des travaux, sur les 22 projets d’arrêtés, 14 ont été améliorés sur le fond et la forme et 8 ont été jugés non pertinents avec le nouveau décret ou de nature spécifique à des structures telles que le Centre National de Sécurité Routière (CNSR), l’Agence Nationale des transports terrestres (ANaTT) ou pouvant faire objet de notes de services. La nature et le contenu du décret et des arrêtés d’application issus des ateliers de pré-validation, leur adéquation avec les enjeux actuels du sous-secteur du transport routier de même que les différentes impressions des participants, démontrent la pertinence de l’accompagnement de Enabel à travers le PASPort. La prochaine étape du processus consiste à la validation dudit décret et divers arrêtés d’appplication par un éventail plus large de parties prenantes avant son introduction dans le circuit d’adoption par le gouvernement. Pour rappel, le Port de Cotonou sert de porte d’entrée principale pour plusieurs pays de l’Hinterland (Niger, Burkina Faso, Mali, Tchad...) et de port de transit vers le géant voisin du Bénin, le Nigéria. Vu l’importance de la satisfaction du client en termes de célérité et de coût de transport et d’intégrité de ses marchandises, la qualité du processus/modalité de transport, prend de fait toute son importance dans une dynamique d’amélioration de la compétitivité du Port de Cotonou. Les deux principaux modes de transport des marchandises sont les rails et la route. Or depuis quelques années, le transport par les rails a pris un coup du fait de la mauvaise qualité des infrastructures et des services ferroviaires qui a conduit à l’arrêt de ce mode avec la disparition de la société de gestion. La route devient dès lors le seul mode d’acheminement des marchandises du port de Cotonou vers les clients et vice versa. La qualité du service lié au transport routier des marchandises influence donc grandement le niveau de satisfaction du client et par ricochet, la compétitivité du port de Cotonou.


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    Benin BEN1803811

  • Fin de mission de Nicolas OEBEL, Chef de Projet STABEST

    Fin de mission de Nicolas OEBEL, Chef de Projet STABEST


    Kimsegninga SAVADOGO | 03/09/2021

    Le personnel d’Enabel au Burkina Faso organise un pot d’aurevoir à son honneur.Le vendredi 20 août 2021, le personnel d’Enabel au Burkina Faso a organisé une cérémonie d’au revoir en l’honneur de Nicolas OEBEL, chef du projet STABEST dont la mission est arrivée à terme le 31 août.  Nicolas OEBEL déposera ses valises au Royaume Chérifien du Maroc dans ce mois de septembre 2021, où il portera la casquette de Country Portfolio Manager (CPM). Une ascension professionnelle qui réjouit plus d’un et n’étonne personne au regard des résultats engrangés par Enabel Burkina Faso grâce à ses capacités et compétences managériales.   Arrivé au Burkina Faso en 2016, Nicolas OEBEL a occupé le poste d’Expert en contractualisation du projet PARSIB 1. Depuis le mois d’août 2018 à ce jour, il a été respectivement : Chef du projet PARSIB 1, Chef du projet PARSIB RSS, Chef du projet PARSIB 2, Chef du projet STABEST   et enfin Chef du projet STABEST + en cours de démarrage. En somme, il a été le manager qu’il fallait pour la mise en œuvre de 5 projets pilotés par Enabel au Burkina Faso. Les qualités de l’homme ne sont plus à démontrer.  Ceux qui l’ont côtoyé reconnaissent en lui un homme qui   sait aligner le professionnalisme au social, un très bon manager avec un esprit d’écoute et d’attention jamais égalé. Sa qualité de leader a marqué les esprits. Un de ses collaborateurs se confie en ces termes : « personnellement il m’a beaucoup soutenu pendant des moments difficiles que je traversais parce qu’il est compréhensif ». Un autre nous confie ceci : « Vraiment c’est un homme de justice, c’est un homme bien !». A l’occasion de la cérémonie d’au revoir organisée par Enabel au Burkina Faso en son honneur  , le porte-parole  du personnel Alpha Tidjane YAMEOGO renchérit : « Nicolas, tu es un très bon mentor. A tes côtés nous avons énormément appris tant sur le plan professionnel que social ». Bref, les témoignages sont légions sur les exploits professionnels de  Nicolas OEBEL. Bien avant le porte-parole du personnel, le CPM François DESSAMBRE, assurant l’intérim du Représentant Résident d’Enabel au Burkina Faso a remercié Nicolas OEBEL pour tout ce qu’il a apporté à Enabel  . Il a salué son courage, sa détermination et son savoir-faire qui ont contribué à propulser Enabel à un rang privilégié parmi les partenaires au développement.    Emu de la marque d’amitié et de sympathie de l’assistance, Nicolas OEBEL a exprimé sa profonde gratitude à tous ses collaborateurs au cours de sa mission au Burkina Faso, les responsables du Ministère en charge de la sécurité, ceux de la délégation de l’Union européenne, les prestataires et toutes les personnes qui l’ont  accompagné  de quelle que manière que ce soit dans l’exécution de sa mission.   Des séances de remise de présents à Nicolas OEBEL et à sa femme, de prise de photos de famille et une petite collation ont mis fin à cette cérémonie sobre et symbolique mais riche de gratitudes et d’émotions.   Geoffroy ZONGO Communication Officer


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    Burkina Faso BFA20002

  •  NTC Lecturers Ready to Design Online Courses

    NTC Lecturers Ready to Design Online Courses - Uganda


    Peace NERIMA | 03/09/2021

    John Dewey, one of the influential minds behind education progressive reforms once said, “If we teach today’s students as we taught them yesterday, we rob them of tomorrow.” This statement is relevant in Uganda’s context today as we have experienced a paradigm shift within the education sector which has caused learning models to change and required us to adopt new teaching methods that suit the current times.   Cognizant of this, on Monday 16th August 2021, the TTE project and Ministry of Education and Sports launched a weeklong EduHack on E-learning Instructional Design for the lecturers of the National Teachers’ Colleges (NTCs) in Uganda. This EduHack which was aimed at teaching NTC lecturers how to design online courses was the 3rd out of a series of co-creation workshops that was first launched in May 2021. In the 1st and 2nd EduHacks, lectures experienced e-learning and the creation of online educational content. In the 3rd EduHack, emphasis was put on E-learning Instructional Design. Here, teacher trainers were expected to part with the knowledge and skills of designing an online course and roll out these skills to the rest of the NTCs’ staff.    E-learning Instructional design is the process by which one plans out the structure and flow of their online courses, using different digital tools, strategies and creativity, ensuring that all steps and parts are included. In the 3rd EduHack, NTC lecturers went through a training process where they practiced online course design using ‘Moodle', a popular Learning Management System. As part of the training, NTC lecturers explored the ‘ADDIE model’, a 5-step guide to successful e-learning course design and the ‘Bloom's Digital Taxonomy’ to inform them on how to use technology and digital tools to facilitate student learning experiences and outcomes.   While exploring the ADDIE model, the training was focused on the Analysis and Design phases of the instructional design model. In the Analysis phase, emphasis was put on teaching NTC lecturers how to identify the course required and the overall teaching goal. Focus was also put on identifying one’s students, their needs and their motivations to study a course. The Analysis phase was key in triggering empathy from the teachers to enable them to see the world through the eyes of their learners. Teacher trainers were then introduced to what is known as an ‘Empathy Map’, a tool that is used to gain a deeper understanding of learners. As practice, they created empathy maps for their students as a starting point to their e-learning course design.    Regarding the Design phase of the ADDIE model, lecturers learnt how to set overall course objectives, plan and structure content, and write storyboards for online content. The teacher trainers then ventured into content creation using an Action Map for the course they had identified during the analysis phase. With the Action Map, they experimented creating realistic practice activities out of their set learning objectives. They also set the overall goals for their respective courses, the main objectives and created activities that allow learners to achieve the learning outcomes in an online environment. Finally, the teacher trainers went through a session on E-assessment where they gained insight on the different techniques and types of e-assessment to use while evaluating the overall learning objectives of their students. All this was done following the different cognitive levels of Bloom’s digital taxonomy.    By the end of the weeklong workshop, a total of 63 Moodle accounts had been created by the teacher trainers who can now design their own online educational material tailored to the needs of the students. In addition, 49 action maps and 53 empathy maps were created by the teacher trainers as part of their online course design process. A Community of Practice session was also held on 26th August 2021 where the TTE Sandbox help desk team presented to NTC lecturers their rollout plans of the knowledge and skills acquired from the 3rd EduHack. 


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    Oeganda UGA1503111

  • NIMBA : Le digital au service de la précollecte des déchets ménagers

    En Guinée, le digital au service de la précollecte des déchets ménagers


    Djene Deen KOUYATE | 02/09/2021

    La digitalisation du service de précollecte des déchets est une démarche développée par le projet Sanita villes propres en collaboration avec les acteurs d'assainissement. Un atelier de lancement de la phase pilote de l'application NIMBA s'est tenu ce mercredi 25 août 2021. Cette application digitale a pour objectif d'aider les PME de précollecte de déchets à gérer leur clientèle et leurs factures.  La séance a rassemblé ainsi 4 PME intégrées dans le pilote, que 2 ONGs de responsables aident à s'approprier l'outil.La phase pilote débouchera sur une mise à l'échelle avec le lancement de NIMBA chez 75 PME identifiées au niveau de la CONAAG (Coordination nationale des acteurs de l'assainissement de Guinée).Nimba est la suite logique de l'accompagnement engagé par Sanita villes propres auprès des PME afin d'optimiser leur service. Un lot de matériel informatique a également été mis à disposition afin de faciliter la mise en pratique de cette phase de test.Sanita villes propres est un projet financé par l'Union européenne et exécuté par Enabel.


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    Guinee GIN170111T

  • Kindia : la commune urbaine  bénéficie de matériels roulants, informatiques et des fournitures pour la décharge municipale de Koliady

    La commune de Kindia en Guinée bénéficie d'une décharge moderne afin de faciliter l'acheminement des déchets


    Djene Deen KOUYATE | 02/09/2021

    Le projet SANITA Villes propres intervient dans les 5 communes de Conakry et la commune urbaine de Kindia. Il vise à contribuer au développement économique et social de la République de Guinée et à la résilience des populations dans l'amélioration de la gestion et de la qualité de vie des villes.Dans le cadre de la mise en œuvre du programme SANITA Villes propres financé par l'Union européenne dans le cadre du 11ème FED, la commune de Kindia a été dotée d'une décharge moderne à Koliady afin de faciliter l'acheminement des déchets par les acteurs de la précollecte. SANITA  et la commune de Kindia ont défini deux axes d'interventions pour aboutir à la mise en place et au renforcement d'un système performant et durable de gestion des déchets solides. Axe 1 : il consiste en des actions d'urgences. On peut citer entre autres la relance de la plateforme de compostage de Koliady, l'amélioration de la piste d'accès et de la plateforme de la décharge municipale, la désignation d'un point focal, la construction des plateformes de transferts de déchets dans les marchés et lieux publics, la dotation de la commune et l'ACEA en matériel roulant et informatique. Axe 2 ou actions stratégiques : il s'inscrit dans un processus de schéma directeur ou de planification stratégique de la gestion des déchets solides sur l'aire urbaine de Kindia qui tient compte d'un renforcement de la capacité des acteurs pour la mise en place et le fonctionnement d'un véritable et performant service communal de gestion des déchets. Pour matérialiser toutes ces actions sur le terrain, Enabel a procédé à la remise des matériels roulant, informatique et de fournitures ; et la décharge municipale de Koliady à la commune urbaine de Kindia. Le renforcement de capacités des acteurs d'assainissement se poursuit également dans la zone urbaine de Kindia.


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    Guinee GIN170111T

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    En Guinée, le projet SANITA célèbre la journée citoyenne d'assainissement


    Djene Deen KOUYATE | 02/09/2021

    Sanita villes propres, un projet financé par l'Union européenne, a accompagné ce samedi 28 août 2021 la première phase pilote d'assainissement des points noirs à Kaloum initiée par la commune en collaboration avec le ministère de l'hydraulique et de l'assainissement dans la dynamique du Plan Communal de Gestion des Déchets Solides « PCGDS 2021-2023 ». Cette action citoyenne faisant suite au lancement de la campagne de sensibilisation « Mon quartier propre » a connu la mobilisation des acteurs de l'assainissement ( CONAAG - ANASP-ONG ), des femmes et jeunes leaders de Kaloum.Cette activité d'assainissement citoyen a pour but de contribuer davantage à la sensibilisation des citoyens sur les notions d'hygiène et de salubrité au niveau des espaces publics et leur implication efficace pour l'amélioration du cadre de vie des populations.


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    Guinee GIN170111T

  • National Teachers’ Colleges Embrace E-learning

    National Teachers’ Colleges Embrace E-learning - Uganda


    Peace NERIMA | 02/09/2021

    The Ministry of Education and Sports recently drafted its 2022-2026 Digital Education Agenda to leverage the utilisation of ICT in education. This digital strategy serves to develop an integrated direction in which ICT shall facilitate teaching, learning, and management of service delivery in the education sector. It also aims to support the continuity of learning especially during disruptions (emergencies or disasters) such as the COVID-19 pandemic which has led to the closure of schools.   With this in mind, the Teacher Training and Education (TTE) project is implementing this agenda to popularize hybrid education in the National Teachers’ Colleges (NTCs). In May 2021, Enabel launched the EduHack; a series of co-creation workshops with the NTC teacher trainers. During the First EduHack, NTC lecturers were introduced to different Learning Management Systems (LMS) and were instructed to identify and select the most appropriate LMS for the teacher colleges. A popular Learning Management System called Moodle was selected.    A Learning Management system is a software application for administration, documentation, tracking, reporting, automation and delivery of education courses or training programmes. It is also known as a software used to administer courses to learners or a web-based system that allows learners to register for courses, complete courses and take assessments remotely. Learning Management Systems are mainly used as a complement to other forms of teaching to enable the blended learning approach.    Due to the shift in trends within the educational sector, learning models have changed in order to absorb the current pressure to innovate and deliver education that is relevant with the times. Some of the factors that have led to the shift include advancement in technology, the emergence of digital natives and migrants, and the COVID-19 pandemic. It is because of some of these factors that having an LMS in the National Teacher’s Colleges is beneficial to those who adopt it in more ways than one.   Firstly, an LMS is user-friendly and has customized management features that enable users to tailor learning courses for educators and trainers to achieve learning goals. It can be customized to fit the learning institutions’ style and also allows institutions to track the progress of their students and identify areas that need improvement. A Learning Management System is also cost-effective for both administrators and students as all the learning material is uploaded and accessed online. This helps to reduce the printing costs for both beneficiaries since all that the institution needs to ensure is that the content on the site is up-to-date. With regard to students, they can access educational resources at their own convenience and refer to them whenever they see fit.   For lecturers, an LMS enhances active teaching and learning through knowledge sharing and helps lecturers teach without the limitations of time, pace and venue. It allows lecturers to access teaching material remotely and interact with their students at any given time. Bridget Dribareo, a female lecturer from NTC Muni shares her first-time experience navigating a Learning Management System.“Attending the first EduHack was very rewarding. I learnt that with an LMS, I can conduct live quizzes for my students to assess their knowledge of a given topic, chat directly with them to get feedback and adjust my lessons accordingly.”  To leverage on this, Enabel installed Moodle as an LMS in the National Teachers’ Colleges with a series of e-learning courses to support 150 NTC staff in the management of Education Institutions. These courses include: Financial Planning, Budgeting and Management, HRM Course, Leadership and management, Gender course and Communication skills. Additionally, the TTE project is procuring cloud hosting for Moodle in all NTCs to ease information access which will require less technical expertise from NTC staff in trying to make it function. This will enable the NTCs to customize their own Moodle websites, brand their own Learning Management Systems and manage them autonomously. In order to facilitate self-management of the LMS in the NTCs, Enabel has trained teacher trainers and administrators on how to create their own online learning content which has resulted into the opening of 62 Moodle accounts. This way, teacher trainers will be able to navigate Moodle using the different features on the site as they embark on their online content creation journeys.   Soon, the TTE project plans to pilot an automation link between the Learning Management System and, the Financial and Academic Management Systems to enable staff to compute exam results, fees balances, carry out registrations, file student information and alumni, and avail course timetables.


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    Oeganda UGA1503111

  • National Teachers’ Colleges Step into the Digital Era

    National Teachers’ Colleges Step into the Digital Era - Uganda


    Peace NERIMA | 02/09/2021

    The COVID-19 pandemic caused major difficulties on the education system worldwide leading to the closure of schools to curb the spread of the virus. In Uganda alone, schools were closed twice (in 2020 and 2021) interrupting learning for about 15 million students nationwide. Because of this, the Teacher Training and Education project which is funded by the Belgian and Ugandan Governments, saw the need to adopt distance education for the continuity of learning during and after the lockdowns. This led to the introduction of digital learning innovations in the National Teachers’ Colleges of Muni, Unyama, Kaliro, Mubende and Kabale. The strategy of digitalizing teacher education in the NTCs, a concept that Enabel has been supporting in the teacher colleges since 2014, is to foster hybrid education and prepare colleges for future setbacks that could interrupt learning.  In April 2020, a distance learning strategy the ‘Teacher Training Education Sandbox’ that ensures continuity of learning was introduced in the NTCs. The TTE Sandbox provided a number of ICT tools that enabled continuous interaction between college management, staff and students by use of bulk SMS and video conferencing through Zoom during school closures. Communities of Practice for the staff and ICT Masterclasses for the teacher trainees were organized to build on NTC lecturers’ and students’ capacities in using digital channels and tools such as Google Classroom, YouTube, Screencasting, Podcasting, Zoom and e-books to plan and deliver lessons. To date, these trainings still run on a monthly basis.   As part of the TTE Sandbox strategy, NTCs’ teaching staff developed lessons with the support of the Help Desk and Quality assurance team, which were uploaded on a one-stop portal for students to access. The one-stop portal was eventually zero-rated through a partnership with MTN Uganda which enabled students to access learning material for free. What is more, NTC lecturers were taken through the EduHack series from which they were trained to compare the features of different Learning Management Systems, create e-learning material and design an online course. Resulting from these trainings, the next phase will be to roll out the knowledge and skills of creating e-learning content to the rest of the staff in the NTCs, secure each college a Learning Management System called Moodle, and train staff to create their online course in it.   To build on Management capacities, 150 NTCs’ administrators were trained through a variety of online management courses. These management courses were accessed through Moodle to help new and existing NTC staff access information and the required skill set to implement their roles effectively. The courses include: Communication skills; Human Resource Management; Leadership and Management; Gender; Finance was installed Management; and, Planning and budgeting. Furthermore, an ICT tool ‘Time on Task’ that records staff attendance installed in the NTCs. This monitoring tool has helped tackle the issue of staff absenteeism and improved human resource management in the Teacher Colleges by digitalizing and simplifying the teacher attendance system. The attendance tool has also eased records’ keeping and will be adjusted to record information on the actual activities the NTCs’ staff take part in while at the colleges.   Concerning Infrastructure, work has been done on the design and construction of climate responsive learning facilities with digital needs in mind to support EdTech in the National Teachers’ Colleges. Classrooms and computer laboratories have been constructed and renovated to accommodate projects, movable desks and accessible power sources to facilitate ICT in teaching and learning. More still, computer labs have been resupplied with ICT equipment and projectors which are being installed in the colleges.  Currently, NTC lecturers and students are taking an online course on General Teaching Methods (GTM), which provides up to date interactive and practical digital resources to help prepare them to teach. This course involves the use of different media which builds on the teachers’ and teacher trainees’ ICT skills and has so far been successfully completed by 56% of the NTCs’ total population (2632 out of 4699). Enabel is also piloting the establishment of a digital hub in the NTCs that will play a key role in harnessing EdTech and benefit NTCs' neighbouring communities by providing basic ICT training and services.   Enabel has partnered with Uganda for 21 years and continues to strive to improve the quality of secondary teacher education as part of its development initiatives. The move to digitalizing systems in the National Teachers’ Colleges has tremendously changed the face of education and generally improved the quality of teacher training. With the digitalization of NTCs, administrators can now remotely manage NTCs effectively, lectures create and conduct interesting and interactive lessons using digital tools; and equip their learners with the same skills that will turn them into 21st-century teachers.       


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    Oeganda UGA1503111

  • Enabel participe à l’amélioration des  performances du Port Autonome de Cotonou : un drone professionnel acquis et l’équipe SETHO formée à son utilisa

    Enabel participe à l’amélioration des performances du Port Autonome de Cotonou


    Reece-hermine ADANWENON | 01/09/2021

    Dans le but d’améliorer les performances du Service des Etudes Topographiques, Hydrographiques et Océanographiques (SETHO), le Port Autonome de Cotonou a bénéficié d’un appui financier d’Enabel, à travers son projet PASPort, pour l’acquisition d’un drone aérien, d’un ordinateur muni d’un logiciel de traitement de données, d’un stock de pièces détachées, et de batteries de recharge, et d’un appui entretien maintenance sur 2 années. Ce drone topographique Leica Aibot AX2 permettra ainsi au service SETHO de : 1. Générer des cartographies aériennes 2. Exécuter des études topographiques (cartographie 3D, levées topographiques des terrains portuaires, mesure de parcelles) 3. Suivre des travaux de construction 4. Inspecter les actifs sur le domaine portuaire.Suite à l’acquisition de ce matériel, les agents du SETHO ont été formés à son utilisation par une équipe de formateurs dont un ayant la certification au télé pilotage de drone. Il s’agit d’un drone à « indice IP élevé qui lui permet de résister à l’humidité marine [...] puisque le drone est à voilure tournante [...] il est mieux disposé à garder sa stabilité en l’air et à résister aux vents marins qu’un drone à voilure fixe » a confié M. Jawharoddine MAFTOUH, formateur principal. Cinq (05) agents dont le Construction Manager du PAC et la Cheffe Service ont pris part à cette formation qui a duré 6 jours au cours du mois de juin 2021, mixant la théorie et la pratique. Elle a permis entre autres aux bénéficiaires de développer et d'approfondir leurs connaissances en photogrammétrie ; d’acquérir les compétences idoines pour planifier une mission de prise de vue en utilisant le logiciel Leica Aibot SKYCAPP, piloter le drone et les techniques nécessaires pour le traitement numérique des images avec le logiciel INFINITY, etc. Le drone fonctionne avec un jeu de 6 batteries et dispose d’une autonomie de 25 minutes environ de vol. Il peut voler jusqu’à une altitude de 2500 mètres à une vitesse maximum de 18 m/s, il supportera un vent allant jusqu’à 8 m/s. Au terme de la formation, les impressions des uns et des autres étaient plus que bonnes : « Cette formation permettra à mon service de mieux faire le suivi des ouvrages notamment les zones inaccessibles telles que les musoirs des digues et épis d’arrêt des sables, le suivi du trait de côte (depuis la frontière nigériane à la frontière togolaise) en un temps record, le suivi des divers chantiers », a déclaré Mme MAMA SAMBO Fatimatou, Cheffe du SETHO.M. Jawharoddine MAFTOUH a confirmé les propos de la Cheffe du SETHO en précisant que « la solution drone est un outil photogrammétrique qui permettra à l’équipe topographique de réaliser leurs livrables en beaucoup moins de temps... le traitement des images acquises par le drone amène à obtenir des nuages de points denses de la zone survolée qui permet de réaliser le besoin crucial de l’équipe SETHO : le calcul des volumes de sable qui se déposent chaque jour sur la côte du port. Ce calcul prend un temps immense en utilisant les autres instruments ». Pour le PAC, l’un des objectifs est notamment de surveiller régulièrement le trait de côte pour suivre les phénomènes d’érosion et dépôt de sable. Compte tenu des performances du drone livré et du jeu de batteries disponible, ce relevé sera fait 3 à 4 fois par an et supposera au moins 170 heures de vol uniquement sur cette fonction. Etant donné que la réglementation liée au télé pilotage du drone au Bénin exige la certification des agents pour effectuer les vols en toute autonomie, il est prévu pour un groupe de 6 à 7 agents une formation pour la certification de l’équipe au télé pilotage du drone, reconnue par l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC). Des prestataires locaux seront consultés pour répondre à ce besoin.


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    Benin BEN1803811

  • Strengthening private veterinarians and veterinary technicians to increase access to quality private animal health services in Rwanda

    Strengthening private veterinarians and veterinary technicians to increase access to quality private animal health services


    Denise NSANGA | 01/09/2021

    Veterinaires Sans Frontières – Belgium (VSF-B) in partnership with Rwanda Farmers Organisation (Imbaraga) with Enabel’s funding have launched a project that will provide support to proximity private veterinary service delivery in 10 Districts of Rwanda, thus increasing productivity and profitability of actors in the poultry and pig value chains. In this regard, on August 26th 2021, the project handed over the first package including medicines and other livestock equipment to an initial 50 proximity private veterinarians and veterinary technicians, 22% of them being women, from 10 districts of PRISM-Enabel's intervention. After delivery of motorcycles, medicines, and other livestock equipment, the project will continue to support private vets through capacity building, coaching and mentorship to ensure the sustainability of the action prior to the next package. PRISM is the Partnership for Resilient and Inclusive Small stock Market. Through PRISM-Enabel’s intervention, with emphasis on public-private partnerships, the Kingdom of Belgium is working with the Government of Rwanda through the Ministry of Agriculture and Rwanda Agriculture Board to develop inclusive and sustainable Feed, Pig and Poultry value chains in which all actors run a profitable business.


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    Rwanda RWA19007

  • En Mauritanie, Enabel diagnostique les besoins en financement des acteurs de la filière maraichère

    En Mauritanie, Enabel diagnostique les besoins en financement des acteurs de la filière maraichère


    Aminata KANE | 01/09/2021

    A travers une mission ayant pour objectif le diagnostic des besoins de financement des producteurs maraîchers de l'Assaba et du Guidimakha (région en Mauritanie), plusieurs villes ont été visitées afin d'identifier les besoins en financement des: • Producteurs maraîchers; • Organisations de producteurs maraîchers; et •  L'offre de services financiers au niveau localCe diagnostic consistait en des entretiens avec les différents acteurs concernés; les représentants des coopératives (+ d'une vingtaine), les coopératives, les producteurs... Grâce à ces entretiens, un état des lieux a été élaboré.Les enseignements ressorties pour la filière agro-maraichères permettent de mettre en avant le contexte des producteurs des périmètres maraîchers et les modes de financement identifiés. Les capacités de production sont influencées par les méthodes d'irrigation peu efficaces, ce qui impacte sur les capacités de production. Il existe également un manque d'harmonisation pour ce qui est des moyens d'exploitation des productions. Les coopératives ont le rôle de représentant pour les producteurs face aux autorités locales. Cet aspect pourrait être renforcé si ces derniers s'identifiaient en "groupement paysan", afin d'avoir accès à des meilleurs intrants, accès au financement, marchés...Le mode de financement des coopératives maraichères repose sur la mise en place de caisses qui répondent aux différents types de besoins, par exemple en cas de maladie ou de saison de soudure ainsi que pour le fonctionnement des coopératives.Les principales contraintes identifiées concernent: • L'accès à l'eau; • Le transport; • L'accès au marché;• La divagation des animaux et; • La qualité des semencesL'offre et l'accès aux services financiers sont restreints car peu d'intérêt est porté au monde rural. Un portefeuille dédié au financement pour l'activité agricole est inexistant. Un CDD (Crédit public de développement rural) a été mis en place cette année, étalé sur 3 ans et avec un taux d'intérêt de 3% mais la politique d'octroi de crédit est contraignante et aucune vérification n'est faite pour constater l'existence de l'activité des bénéficiaires. Aucune mesure n'existe donc pour évaluer l'impact des crédits. Les modes de remboursement ne sont pas adaptés au contexte des producteurs. Les recommandations sont : • d'adapter les produits financiers; • d'octroyer une éducation financière et; • d'appuyer par des formations et de vulgariser les techniques culturalesCe diagnostique permettra à Enabel de se rapprocher de ses objectifs pour le programme RIMFIL, tels qu'une meilleure organisation des filières agro-pastorales, une infrastructure économique plus établie, un apprentissage sur l’accès au financement pour ne citer que ces derniers. 


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    Mauritanië MRT19001

  • L’Union Européenne contribue à travers Enabel à l’amélioration de l’état de santé de la population (soins de santé maternels et infantiles)

    L’Union Européenne contribue à travers Enabel à l’amélioration de l’état de santé de la population (soins de santé maternels et infantiles)


    Jean BIRONKWA | 30/08/2021

    Grâce au financement de l'Union Européenne, Enabel exécute un programme d'appui au système de santé à travers l'outil de financement basé sur la performance, en abrégé « PASS-FBP ». Depuis juillet 2016, période de démarrage de la première phase du programme, le système de santé au Burundi a connu des résultats palpables. Ainsi, si la mortalité maternelle est passée de 500 à 339 pour 100M tandis que le taux de mortalité infantile est passé de 96‰ à 78‰  selon les études démographique de santé, et d'autres indicateurs de santé au Burundi ont également été améliorés.Ce programme, qui est destiné à plus de 80% à soutenir les plus vulnérables en vue d'améliorer leur accès aux soins de santé de qualité, s'est référé aux documents de politique de la santé au Burundi comme la politique nationale de santé 2016-2025, les Plans Nationaux de Développement Sanitaire et d'autres. Améliorer l'état de la santé de la population burundaise par l'accès aux soins de santé de qualité pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans, tel est l'objectif du programme. Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique du gouvernement du Burundi de garantir la gratuité des soins de santé pour cette catégorie, l'Union Européenne a décidé de cofinancer les performances des prestations des soins et services de santé couplés à la gratuité des soins des femmes enceintes et des enfants de moins de 5 ans. Pour contribuer à cet objectif, le Programme d'Appui aux Systèmes de Santé « PASS- FBP » exécuté par Enabel, assure le cofinancement du secteur de santé avec le paiement des factures des formations sanitaires et l'appui aux FOSA en vue de garantir une offre de soins de qualité et une gestion financière performante, les renforcements des capacités, le contrôle interne, les évaluations de la qualité des soins à l'improviste, les audits les cliniques dans hôpitaux, ou la contre-vérification. Chaque mois, le Programme contribue à hauteur de 917.000 euros - soit deux milliards de francs bu - pour que les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans bénéficient des soins gratuits et de qualité. Ainsi, de 2016 à 2019, lors de la première phase du programme, plus de quarante-deux millions d'euros (42 522 846 €), dont plus de 37 millions d'euros (37.511.101 €) ayant contribué au cofinancement du paiement des factures des FOSA. Soit plus de quatre-vingt-cinq milliards de francs depuis l'été mobilisés par l'Union Européenne pour défendre le secteur. Plus de 88% du Budget consommé pour la première phase a été utilisé pour le paiement des factures des prestations des FOSA. Cette contribution du Programme PASS-FBP représente 40,06 % de la facture globale des centres de santé et des hôpitaux de district du pays. Pour la deuxième phase du Programme en cours qui couvre la période 2019 - 2022, un budget de plus de vingt-sept millions d'euros (27.750.000 €) dont plus de vingt-deux millions (22.630.307 €) prévus pour le cofinancement des factures des FOSA, sont destinés au financement des formations sanitaires du Burundi en vue de garantir l'accès aux soins de santé de la population burundaise, avec un accent sur les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans. Le programme d'Appui au Système de Santé à travers l'outil du FBP est en phase avec les documents de planification de la santé au Burundi comme le Plan de Développement Sanitaire 2019 -2023 qui rappelle que l'amélioration de l'offre des soins et service de santé maternelle, du nouveau-né, de l'enfant, de l'adolescent(e) et du jeune, de la personne âgée ainsi que de la santé nutritionnelle de qualité est une obligation pour le Burundi. « Cette publication a été produite avec le soutien financier de l'Union européenne. Son contenu de la seule responsabilité d'Enabel et ne relève pas nécessairement les opinions de l'Union européenne »


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    Burundi BDI19003