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Clôture du Programme d’Appui au Secteur de la Santé (PASS-Sourou) Le Maintien des acquis au cœur des échanges
Reece-hermine ADANWENON | 26/09/2019
L’ensemble des acteurs du système sanitaire du Bénin est réuni depuis la matinée de ce Jeudi 26 septembre 2019, à l’Hôtel Azalaï de Cotonou. Objectif de cette rencontre : - s'approprier les principales actions et performances atteintes dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’Appui au Secteur de la Santé (PASS-Sourou) ; - analyser les stratégies et expériences développées par ledit programme ;- appréhender les défis pour le secteur et de- Synthétiser les acquis pertinents à pérenniser.Initié par l’Agence belge de développement « Enabel au Bénin » depuis 05 ans, le Programme PASS Sourou, sous la guidance du Secrétariat Général du Ministère de la Santé et ensemble avec les acteurs de tous les niveaux de la pyramide sanitaire, a dans une harmonieuse approche de cogestion, patiemment, difficilement parfois, mais toujours avec persévérance, appuyé, facilité des processus et initié des actions dans de nombreux domaines en ligne avec les axes prioritaires du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS). Inscrit dans une dynamique réflexive de recherche, action et capitalisation, l’atelier de partage des expériences du PASS permet de donner un signal fort pour tirer les leçons des expériences afin de consolider les interventions en santé pour l’avenir. Dans son mot de bienvenue, le Coordonnateur du PASS, Dr Elysée SOMASSE n’a pas manqué de remercier et de féliciter tous les acteurs du système sanitaire qui ont œuvré à la mise en œuvre du programme et surtout qui ont contribué efficacement à l’atteinte des résultats assignés. Pour lui cet atelier offre l’occasion de faire une revue des expériences développées en cinq années, de célébrer les succès mais aussi d’analyser les défis qui restent à relever. Pour Mélanie SCHELLENS, chef de la Coopération à l’Ambassade de Belgique près le Bénin, la coopération entre le Bénin et la République du Bénin s’est construite au fil des années avec ‘Sourou’, c’est-à-dire patience et persévérance, mais aussi avec efficacité, et se traduit par de nombreuses réalisations concrètes au profit des populations béninoises. L’amélioration continue de la qualité des soins et services, le développement des ressources humaines en santé, la redevabilité sociale, l’accessibilité à une offre de soins obstétricaux néonataux d’urgence (SONU) de qualité, la prévention et le contrôle des maladies chroniques non-transmissibles, la maintenance des infrastructures et des équipements, les services conviviaux de santé sexuelle et reproductive aux adolescents et jeunes, l’utilisation de l’information sanitaires de qualité pour la prise de décision sont autant de domaines qui ont bénéficié avec succès du soutien technique et financier du PASS Sourou.« Pendant que le PASS Sourou est en train de se terminer, les produits qui sortiront de ces réflexions permettront d’écrire les dernières belles pages de ce programme, pages d’enseignements qui poseront le fondement pour la pérennisation de ses acquis et contribueront à renforcer le système de santé du Bénin » a déclaré M. Jean-François MICHEL, représentant Résident de Enabel au Bénin. Selon lui, cet atelier de partage est le creuset pour inviter tous les acteurs à un exercice pragmatique et sans concession. A ce propos, Jean-François MICHEL reste confiant et garde espoir que de riches enseignements émaneront de l’atelier de partage, et serviront d’intrants aux réformes en cours pour assurer l’accès de tous les citoyens béninois aux soins de santé de qualité.Représentant le Ministre de la Santé à la cérémonie d’ouverture, Dr Didier AGOSSADOU, Secrétaire Général du Ministère de la Santé dira que le PASS-Sourou a accompagné les cinq domaines stratégiques du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS). Il a souligné les performances réalisées au travers de ses principales composantes à savoir : - la démarche qualité des soins développée et pratiquée dans 43 formations sanitaires pour les préparer au volet assurance maladie de l’ARCH.- la prise en charge intégrée, promotionnelle, préventive et curative des maladies non transmissibles (MNT) dans les 5 Zones Sanitaires - la couverture des soins obstétricaux et néonataux d’urgence de base (SONUB) et les soins obstétricaux et néonataux d’urgence complets (SONUC) - l’amélioration du système de référence et de contre-référence (RCR) avec entre autres, la mise à disposition du ministère de dix (10) ambulances médicalisées- la promotion des cadres de redevabilité notamment les PUSS dont les expériences sont capitalisées à travers le projet de gestion des plaintes des usagers initiés par le cabinet du Secrétariat appelé « je t’écoute ». - l’amélioration de la formation et de la gestion des RHS à travers la construction de l’IFSIO à Parakou et la réhabilitation de l’INMES de Cotonou puis la mise en place du logiciel IHRIS - l’amélioration du système de maintenancePour Dr Didier AGOSSADOU, ce bilan sommaire met en évidence non seulement un excellent alignement sur les priorités nationales mais aussi sur l’approche systémique de l’appui du partenaire belge. Aussi l’ancrage au sein des structures pérennes du ministère offre-t-il un potentiel de durabilité des acquis, a-t-il indiqué. Par ailleurs, il a martelé que la coopération entre la République du Bénin et le Royaume de Belgique a, depuis des décennies, épousé et conservé un caractère exemplaire, eu égard à toutes les réalisations faites avec l'appui dudit partenaire.
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Signature de la convention du nouveau portefeuille Guinée 2019-2023
Cindy SPIEKART | 25/09/2019
Signature de la convention du nouveau portefeuille Guinée 2019-2023
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Projet d'approvisionnement en eau potable
Djene Deen KOUYATE | 20/09/2019
Projet d'approvisionnement en eau potable
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DAKMA
Djene Deen KOUYATE | 20/09/2019
Appui au développement agricole dans la zone de Kindia-Mamou - DAKMA
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Projet d'approvisionnement en eau potable
Djene Deen KOUYATE | 20/09/2019
Projet d'approvisionnement en eau potable
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Les jeunes bénéficiaires du programme INTEGRA en Chantier-école sur la piste de Badarayah à KIndia
Djene Deen KOUYATE | 20/09/2019
A l'issu de la pré-identification à Badarayah des futurs apprenants menée par les agents d'Enabel et du Ministère de la Jeunesse et de Emplois Jeunes (sensibilisation des communautés de Badarayah sur les risques de la #migrationirrégulière, information sur le programme #INTEGRA, les missions d'INTEGRA Enabel à Badarayah ) , plus de 150 jeunes bénéficiaires du programme effectuent depuis plusieurs mois , leur formation chantier-école sur la piste rurale de Badarayah . Ils participent à la réalisation d'infrastructures socio-économiques au niveau local .Intégra est le programme d'insertion socio-économique des jeunes qui vise à créer des opportunités d'emplois pour les jeunes afin de leur permettre de réussir en Guinée .
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Les résultats de l’évaluation finale du Programme satisfaisants
Reece-hermine ADANWENON | 19/09/2019
La salle de réunion de la représentation de l’Agence belge de développement (Enabel au Bénin) a servi de cadre à la session de la Structure Mixte de Concertation Locale (SMCL) du Programme d’Appui au Secteur de la Santé (PASS-Sourou) ce mercredi 18 Septembre 2019. Trois points étaient inscrits à l’ordre du jour: la mise en œuvre des recommandations de la SMCL du 19 Février 2019 ; la présentation des résultats de l’évaluation finale du Programme et les points d’exécution du Plan de clôture du projet. Occasion également pour les membres de la SMCL de rencontrer et de féliciter Monsieur Jean-François MICHEL, nouveau Représentant Résident de Enabel au Bénin. Présidée par le Secrétaire Général du Ministère de la Santé, Dr Didier AGOSSADOU, la SMCL a validé le nouveau réajustement budgétaire du PASS. Sur le point des recommandations, il a été noté que sur 21 recommandations formulées lors de la SMCL du 19 février 2019, 19 ont été entièrement exécutées pour un taux de 90.4% et 02 sont en cours d’exécution pour un taux de 9,6%. Monsieur Coffi AGOSSOU, responsable National du Programme a rassuré les membres de la SMCL quant à l’exécution à 100% des recommandations avant la clôture définitive du Programme. Le PASS Sourou, un programme d’apprentissage et de changement de pratiques et de comportements…Conduite en juin 2019 par Mme Valéria CAMPOS DA SILVEIRA, spécialiste en santé publique, chef de mission ; Mr Christophe COMMEYRA, économiste de la santé ; et Mr Adolphe KPATCHAVI, Socio-Anthropologue, tous membres du Cabinet TRANSTEC, l’évaluation finale du PASS Sourou a permis de mettre en lumière les résultats du programme mais également les obstacles et défis par rapport aux ambitions de départ. Selon les résultats de l’étude, le Programme PASS Sourou était un programme d’apprentissage et de changement de pratiques et de comportements. En effet l’évaluation a relevé qu’au niveau local, le processus de recherche-action a très bien fonctionné et donné de très bons résultats, à la satisfaction de tous les acteurs et au niveau central, le contexte politique a influencé la mise en œuvre et a restreint les décisions et les engagements attendus (par exemple le mécanisme du Financement Basé sur les Résultats (FBR), Le Régime d’Assurance Maladie Universelle (RAMU), et la Gestion des Ressources Humaines de la Santé (GRHS), …). Sur les 05 critères de l’évaluation CAD (Coopération Au Développement) à savoir : la pertinence ; l’efficacité, l’efficience, l’impact et la durabilité (viabilité) ; 02 critères ont été jugés très performants ; et 02 performants avec des problèmes mineurs. En effet, selon les évaluateurs, le programme PASS Sourou tout en tenant compte des orientations de la politique belge au développement est très pertinent puisqu’il répond aux problèmes et besoins des bénéficiaires, aux priorités nationales et aux politiques de développement nationales et locales (l’appui au PNDS). De même, l’appui aux cinq piliers du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS) dans un processus adaptable a été jugé pertinent avec une démarche participative, inclusive, transparente très appréciée.Quant à son efficacité, il a été noté que les interventions du PASS Sourou ont permis d’augmenter l’accessibilité des populations à des soins de santé de qualité, grâce à un appui aux fonctions régaliennes du Ministère de la Santé en vue d’une efficience accrue des structures opérationnelles. De plus, il a été observé une progression de la qualité des soins offerts aux usagers avec la disponibilité et la qualité de l’offre de soins pour les Maladies Non Transmissibles (MNT) ; une amélioration de la qualité et de la disponibilité des Soins obstétricaux Néonataux d’Urgence (SONU) avec un appui conséquent au secteur des Ressources Humaines en Santé. Dans son ensemble, le rapport souligne que le PASS Sourou a impacté tous les acteurs avec des acquis irréversibles tels que : les formations des agents santé de toutes les zones d’intervention, l’équipement des formations sanitaires des Zones d’intervention, la mise à disposition des protocoles et normes, la description de postes, la base de données RHS (iHRIS), la construction et l’équipement de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers et Obstétricaux (IFSIO) à Parakou et l’implantation et l’équipement des Centres de formation SONU à Djougou et à Lokossa. Le Pass, "passe" avec beaucoup de regret dixit le Dr Jacob NAMBONI, Directeur Départemental de la Santé de l’Atacora. Selon lui, avec le Programme PASS, la synergie d’action était de mise. « Le PASS n’a jamais rien fait seul », a martelé Dr Jacob NAMBONI en soulignant que grâce à cette implication des acteurs à tous les niveaux, la pérennisation des acquis du programme est aujourd’hui une réalité. A ce propos, il a invité le Ministère de la Santé à s’imprégner du modèle de montage institutionnel du Programme belge pour monter d’autres projets/programmes dans le but d’obtenir des résultats aussi probants et indéniables. A sa suite, le Préfet du département du Couffo M. Christophe MEGBEDJI a invité l’ensemble des acteurs à ne pas baisser les bras afin de maintenir dans la continuité, les acquis du programme en phase de clôture. Selon lui, le PASS a profondément et sincèrement agit sur les comportements et nous nous en réjouissons dira-t-il. Il a par ailleurs souligné la flexibilité observée dans les relations de coopération entre la Belgique et le Bénin. « C’est l’un de nos meilleurs partenaires » a-t-il ajouté. Pour M. Jean-François MICHEL, Représentant Résident de Enabel au Bénin, cette évaluation positive du programme met en lumière la bonne collaboration qui a existé et qui se dénote encore entre les différents acteurs du système. Il se rejouit de cette bonne collaboration qui augure d’une belle perspective pour les prochaines interventions du nouveau programme de coopération entre le Bénin et la Belgique pour la période de 2019-2023.
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Field visit of leaders from the Region of Arusha
Mathias LARDINOIS | 17/09/2019
On 12 and 13 September, a small group of regional officers from Arusha lead by the Assistant Administrative Secretary member of the Steering Committee of Maisha Bora visited some of the results of the programme and engaged with the population to assess their level of satisfaction in meeting their needs.We are pleased that their initial feed-back is very positive.
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Enabel and British Council support the Tourism Sector Skills Council in Uganda
Thibaut MONNIER | 12/09/2019
From 12 to 14 June 2019 in Kampala, representatives from the private sector, Ministries, trade unions, civil society organisations and VET trainers working in the sector of tourism and hospitality, participated in a 3-day VET Toolbox training to make the Tourism and Hospitality Sector Skills Council (T&H SSC) more operational and support the continuous establishment of a secretariat to handle the day-to-day business of the T&H SSC. This workshop was hosted by Enabel with support of British Council, both implementing partners of the VET Toolbox. The goal was to gain the requisite knowledge, skills and experience, and expertise to enhance the T&H SSC systems, approaches and processes and deliver on the Council’s mandate and objectives. The T&H SSC in Uganda is the main public-private entity to enhance skills development in this sector. It supports the shifting from supply- to more relevant, demand-led, market-oriented training in line with Uganda’s skills reform agenda.The intervention generated outcomes in three result areas:Clear governance structures are in place, entailing vision, mission, and objectives;Operational action plan is established, consisting of steps and activities to be taken in short, medium and long-term, including well defined roles and responsibilities;Endorsed partnerships with industry and public providers.
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Nane nane Kakonko-Kigoma
Deogratius KIMENA | 05/09/2019
Nane nane is one of national holiday in Tanzania observed on 8th August each year, also referred to as Farmers’ Day. During this day all Tanzanian are celebrating the contribution of Agriculture in to the national economy. In Tanzania agriculture is termed as the backbone of country economy due to the fact that almost fifty percent of the people living in Tanzania are employed in agriculture sector. National exhibition of Nane nane celebration 2019 was arrange in Simiyu region. Kigoma, Nane nane (2019) was arranged and organized in three districts Kigoma DC, Kasulu and Kakonko where the show was organization and then executed in three wards Kidahwe, Nyakitonto and Kiziguzigu respectively. This video displays what happened in Kiziguzigu-Kakonko on 8th Aug 2019.
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DREAMS OF FATHERS AND SONS
Elizabeth NAKIRU | 03/09/2019
Muhindo Rueben is a 24 year old young man who has a bright face and a calm aura, his face breaks into a wide smile as we shake hands and exchange pleasantries. He then leads us to Kambale metal workshop where he is currently employed. Muhindo is from kikonzo village in Kasese district the second born of eight children, he dropped out of school in 2012 after his father could not raise money for his school fees in senior two. He later got involved in laying bricks for a living until he heard about the skills training which his father encouraged to go and join. He went to Kasese youth polytechnic where he applied and got enrolled for a course in welding and metal fabrication. ”I enjoyed the training and my best experience was learning how to make and weld a metallic door,” reveals Muhindo. He later did his industrial training at Kilembe Quarter workshop for three months before getting a job at Kambale workshop. He can ably make doors, windows, home gates, and weld any other metals into usable material. Muhindo earns about 5000 per job he gets done, he has also spent six months at the workshop as an employee. He plans to open a workshop with the help of his dad as he is saving to have enough capital which his father promised to top up when he is ready to start working on his own. “The training has helped me have a business mindset whereby I am now thinking of how best I can invest my savings,” says Muhindo.
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A WALK IN THE LIFE OF A SKILLED YOUTH
Elizabeth NAKIRU | 03/09/2019
Lenard Aganyira was a peasant farmer living in kiryetete village in Hoima district surviving on the little income he got from selling his crops after harvesting. He got to know about an opportunity to get skills training over a radio announcement. He went to St. Simon’s vocational institute where he got enrolled and did a training in welding and metal fabrications supported by Enabel. Aganyira was retained soon after doing his industrial training at Bwendero Dairy Farm. He is currently working as a welder and head of production at Bwendero Dairy Farm in Hoima town, the second position came after showing competence, commitment and discipline as reported by his supervisor Kaisaja Henry. “He is a good performer and very punctual hence the promotion and pay raise,” said his supervisor. “Learning how to make a good weld was my best experience during the training,”he said.Aganyira can now weld metals into windows, doors and machinery that is used at the farm for production. He has been employed at the farm for one year now and he earns 10,000 shs. Per day. Using his savings, he is investing in piggery, started up a sports shop where he sells sports items like balls, shoes, sports attires among others and ably hires casual workers to cultivate his garden in his village home since getting a job and moving to live in Hoima town. “I am also saving some money to buy welding machines which I can use to start up my own workshop and be self-employed in future,” said Aganyira. He notes that the training helped him regain his self-confidence and self-esteem after being unskilled and unemployed for a couple of years. ”I was not comfortable with myself when I was depending on my parents for every need but now iam earning and iam happy,” he said
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ACCIDENT- FREE ROADS NEED SKILLED DEFENSIVE DRIVERS
Elizabeth NAKIRU | 03/09/2019
Byanganga Julius 43, hails from Kiryatete village in Hoima district where he lives with his family of 1 wife and four children. He is a defensive driver who was trained by Better World with support from Enabel. Prior to becoming a skilled defensive driver, Julius was involved in doing casual works like being a tools man, carrying, offloading and loading luggage at the bus parks among others. He heard about the opportunity to do a training in skills development through a radio announcement for those who are interested. He went to Better World offices and registered for a training in defensive driving, this is where drivers are taught how to foresee, control and avoid accidents. They are also taught how to interact with other road users like taxis, private car drivers, pedestrians and rowdy drivers. Byanganga’s take during the training was vehicle and client handling, and how to relate with other drivers on the road. He now has skills in defensive driving which he says have enabled him to have multiple job opportunities to be a driver. He earns 450,000shs per month which he saves half of it to his bank account and also provide for his family members. “The skills of defensive driving are vital for road users in order to avoid accidents and save lives that could have been lost due to careless and reckless driving,” said Byanganga. Also basing on the companies and individuals he has worked for, the first requirement they usually ask for is a defensive driving certificate which he has and easily finds one job after another. He is currently employed by a private individual
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I HAVE MADE A STEP FORWARD!
Elizabeth NAKIRU | 03/09/2019
Aletwa Messach is a 25 year old young man who hails from Bunjonjo village in Fort Portal. He is a senior six leaver who gave up school in 2017 after failing to join university due to financial constraints, he lives with his parents who he helps in cultivating and maintaining their banana plantation farm. It was one afternoon as he was listening to the radio when he heard about the opportunity to receive skills training that he immediately saw a chance to acquire hands on skills. He went for enrollment at Kabarole District Farmers Association (KADFA) training center which was conducting the training supported by Enabel. He registered to do a training in Nursery Management and Grafting where he learned how to make a nursery bed and graft different types of crops, when to graft them and how. The training had sessions of basic business management tips, self-awareness and confidence building of trainees who enrolled for the course.” I developed a new positive attitude towards farming since I had previously wanted to go to university but failed, my self-esteem was boosted and I am now able to solicit new ideas from people with no fear or shame,” says Aletwa. “I have also been able to make a step forward by adding on my knowledge of farming like grafting which was my best experience during the training,” reveals Aletwa. After the training he asked his father for a piece of land where he began a nursery bed and grafting the seedlings of various crops. He intends to become a seedlings supplier mainly growing and supplying grafted seedlings. There is ready market for grafted seedlings whereby one seedling fetches 40,000shs per sale. Aletwa currently has over 1000 seedlings some of which he already transplanted to the main garden after grafting them. He has grafted over 100 seedlings of avocado. Aletwa’s passion for grafting enables him offer his colleagues with advice and sometimes help in grafting and nursery bed management. They were taught how to make oil from avocado, this helps them in the production of avocado oil that is also a good business venture for the trainees.
