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Les 21 et 22 mai 2025, l'équipe du Mali a organisé son Team Building annuel sous la présidence de Monsieur Danny Denolf, Directeur pays pour le Burkina Faso et le Mali. Placé sous le thème de la cohésion sociale , cet événement a rassemblé l'ensemble du personnel autour de moments forts de partage, de réflexion stratégique et de renforcement d'équipe. Un temps fort pour penser ensemble l'avenir Dès l'ouverture, les interventions du Program Manager et du Directeur pays ont donné le ton. Le premier a rappelé l'importance de tisser des liens authentiques entre collègues pour renforcer la collaboration. Le second a partagé une lecture lucide du contexte global, marqué par des défis budgétaires, tout en réaffirmant l'engagement d'Enabel dans la région du Sahel autour de trois priorités : Climat, Stabilité et Santé Globale , avec un accent sur la jeunesse et l' innovation économique . Deux invités de haut niveau ont également enrichi les échanges : Hazel Onkelinx , Responsable DGD pour le Sahel, le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord Régine Debrabandere , Responsable équipe régionale Enabel Afrique de l'Ouest Leurs interventions ont apporté une vision stratégique inspirante, tout en encourageant à faire preuve de résilience et d' engagement , même dans un contexte de ressources limitées. Un invité spécial, Moyloude Ndiaye , Contrôleur de gestion basé au Sénégal, était également présent. Il apportera désormais un appui financier au bureau du Mali, renforçant ainsi la dynamique de collaboration régionale et de mutualisation des ressources. Ateliers collaboratifs : mieux se comprendre pour mieux coopérer Les deux journées ont été rythmées par des ateliers interactifs et créatifs. Un premier exercice a permis aux équipes opérationnelles et de support de mieux comprendre leurs rôles respectifs, d'exprimer leurs attentes et de proposer des pistes concrètes d'amélioration, notamment en matière de communication interne, gestion des contrats, logistique et finance. Un deuxième atelier a invité les participants à réfléchir à des questions clés : Comment instaurer un climat de confiance ? Quel rôle joue le leadership dans la cohésion ? Comment favoriser l'inclusion, l'écoute et la prise d'initiatives ? Les échanges ont permis de faire émerger des propositions concrètes, comme la création d'espaces d'expression, l'amélioration du feedback ou encore le renforcement du soutien entre collègues . Créer ensemble, autrement Un moment particulièrement marquant fut l' atelier de peinture collective , animé par une artiste professionnelle. Répartis en groupes, les collègues ont illustré leur vision de la cohésion sociale à travers des œuvres originales, mettant en avant des valeurs telles que l'unité, la solidarité et le respect des différences. Au-delà du concours, ce fut une véritable célébration de la diversité des points de vue et de la créativité collective. Un nouveau souffle écologique Soucieuse de son impact environnemental, l'équipe a profité de ce Team Building pour lancer un Cercle Écologique , composé de cinq collègues volontaires. Leur mission : promouvoir les gestes écoresponsables au quotidien et sensibiliser l'ensemble du personnel à une démarche durable. Clôture sur une note d'espoirLe Team Building s'est conclu sur les mots du Program Manager et du Directeur pays, saluant la détermination, la solidarité et l'esprit d'équipe qui animent Enabel au Mali. Tous deux ont exprimé leur fierté et leur confiance en l'avenir malgré les défis.
Du 20 au 23 mai 2025, les acteurs des provinces du Kouritenga, du Gazourgou et du Namentenga se sont réunis, en partenariat avec Enabel et l’association Beo néeré Agroécologie pour mettre en place trois plateformes d’innovation en matière de résilience climatique et de gestion durable des écosystèmes sahéliens. Durant les quatre jours d’ateliers, les acteurs des trois régions ont mis en place les trois plateformes d’innovation avec des comités de gestion d’au moins 11 personnes chacun élus avec une forte implication des femmes et des jeunes. Une plateforme d’innovation se définit comme un réseau réunissant en présentiel, en virtuel ou selon un format hybride (présentiel et virtuel) des acteurs et des parties prenantes pour générer l’innovation (technique ou organisationnelle) à travers la facilitation des collaborations et des partenariats. Dans le cadre du Portefeuille Thématique Climat Sahel, trois Plateformes d’innovation sont mises en place dans les communes de Koupéla, Meguet et Boulsa. Pour renforcer la résilience des populations sahéliennes vulnérables aux effets du changement climatique, il était nécessaire d’accompagner les communautés locales en améliorant la disponibilité et l’accessibilité aux bonnes pratiques et aux innovations relatives à l’adaptation et à la mitigation du changement climatique, à l’agroécologie et à la restauration des terres. Le Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) d'Enabel au Burkina Faso mobilise donc les acteurs du monde scientifique et de la recherche, les organisations paysannes, les associations locales, les services techniques de l’Etat et les autorités locales des régions du Centre-Est, Plateau central et du Centre-Nord pour contribuer à l’identification, à l’expérimentation et à la diffusion de solutions adaptées et pérennes en matière de gestion durable des écosystèmes sahéliens et d’adaptation au changement climatique. Les plateformes d’innovation (PI) sont des dispositifs collaboratifs visant à faciliter la co-création et le partage de technologies et pratiques adaptées aux besoins des communautés vulnérables dans les trois régions. Pour animer ces plateformes d’innovation, trois fermes ou centres d’innovation, de promotion des pratiques agrosylvopastorales durables (ou agroécologiques) et climato-intelligentes seront aménagés. Ils constitueront des sites d’expérimentation et de démonstration et de diffusion des paquets technologiques et d’innovations agroécologiques ; de formation des producteurs agricoles. Des points focaux agroécologistes y sont formés et servent de relais dans leurs villages respectifs pour la vulgarisation à grande échelle des innovations agroécologiques.
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Digital for Girls and Women (D4GW), Enabel a organisé une série de sessions de sensibilisation sur la sécurité en ligne à destination des acteurs de l’éducation et des organisations de la société civile dans la région du Centre-Est au Burkina Faso. Ces ateliers se sont déroulés les 16 et 17 avril 2025 à Tenkodogo, puis les 18 et 19 avril à Koupéla et Pouytenga. L’objectif : renforcer les connaissances numériques des participants, promouvoir des comportements responsables en ligne et les mobiliser en tant qu’ambassadeurs de la sécurité digitale auprès des jeunes. Plus de 100 participants ont été formés pour mieux comprendre les risques liés à l’environnement numérique : phishing, faux profils, escroqueries en ligne et violation des données personnelles. Ces menaces, souvent méconnues du grand public, exposent particulièrement les femmes et les jeunes filles à de multiples dangers dans l’espace numérique. Madame Elisabeth BALIMA, proviseure du Lycée municipal de Tenkodogo, témoigne : « Cette formation m’a permis de découvrir des réalités numériques que j’ignorais. Je compte désormais sensibiliser mon entourage et appliquer ces bonnes pratiques au quotidien. » De son côté, Madame Brigitte MILLOGO, enseignante, a salué cette initiative « qui permet à chacun d’acquérir les bons réflexes pour se protéger contre les piratages et les arnaques numériques. » Ces sessions interactives s’inscrivent dans la vision d’Enabel d’un numérique inclusif, sécurisé et vecteur d’autonomisation. En dotant les cibles d’outils concrets pour naviguer en toute confiance, le projet D4GW transforme le digital en véritable levier d’opportunités économiques et sociales.Urielle KABORE (Stagiaire en Communication)
Du 22 au 25 avril 2025, Enabel, l'Agence belge de coopération internationale, à travers son projet Digital for Girls and Women (D4GW), a organisé une série de formations sur l'accès aux technologies numériques dans les communes de Tenkodogo, Koupéla, Pouytenga et Garango. Cette initiative visait à favoriser l'inclusion numérique, notamment des jeunes filles et des femmes, quel que soit leur niveau d'alphabétisation. Selon le rapport Burkina Faso Digital Report – janvier 2025, 30,4 % des internautes sont des femmes contre 69,6 % d'hommes, révélant une fracture numérique préoccupante. À travers ces ateliers, Enabel souhaite améliorer la tendance en dotant les cibles de compétences essentielles pour un usage sain, sécurisé et productif du numérique dans leur quotidien et leurs activités professionnelles. « Ces formations ont pour mais de vous préparer à utiliser Internet, les réseaux sociaux et l'informatique de manière responsable, en vous protégeant des dangers numériques », explique Malick TAPSOBA, Expert en digitalisation au compte du projet D4GW. Les formations ont permis à une trentaine de participants·es par commune — enseignants, acteurs de la société civile, communicateurs — de se familiariser avec des outils pratiques tels que Google Assistant ou ChatGPT, et d'explorer les services en ligne disponibles au Burkina Faso. M. YOGO Marcel, Directeur provincial de l'éducation préscolaire et non formelle du Kouritenga, a salué cette initiative « essentielle pour le monde scolaire et les OSC, à l'heure où le numérique est incontournable ». De son côté, Mme KONATÉ Arabie, enseignante à Koupéla, a exprimé son enthousiasme : « J'ai appris des choses très utiles comme la fracture numérique ou les e-services gouvernementaux dont je n'avais qu'une connaissance limitée. » Ces ateliers contribuent à favoriser l'inclusion numérique dans le Centre-Est. En rappel, celles-ci entrent dans le cadre du projet Digital for Girls and Women dont l'objectif est de permettre surtout aux jeunes filles et aux femmes de profiter pleinement des opportunités offertes par le numérique. Urielle KABORE (Stagiaire en Communication )
La salle Marie-Agnès de Mbuji-Mayi a vibré le 13 mai dernier au rythme d’un événement majeur consacré à la promotion de la masculinité positive. Placée sous le signe de l’engagement et du changement, cette journée a été organisée avec l’appui du projet Lutte contre les Violences Sexuelles et l'Impunité (LVSI) d’Enabel, mobilisant autorités, acteurs communautaires et partenaires autour d’une approche transformatrice des normes de genre. Célébration des hommes engagésCent (100) hommes, ayant participé pendant quatre mois à des groupes de réflexion sur la masculinité positive, ont été honorés pour les changements positifs observés dans leurs comportements au sein de leurs foyers. Quatre de ces épouses ont partagé des témoignages émouvants sur ces transformations, illustrant l'impact concret de cette approche dans la lutte contre les violences basées sur le genre. En reconnaissance de leur engagement, des diplômes d'honneur leur ont été remis par le Gouverneur du Kasaï Oriental et la Coordonnatrice nationale de la Cellule Technique Mixte de la Masculinité Positive (CTM+). Installation de la coordination provinciale de la CTM+La journée a également été marquée par l'installation officielle de la coordination provinciale de la CTM+ au Kasaï Oriental. Cette structure vise à renforcer l'ancrage institutionnel de la masculinité positive en dotant la province d'un cadre organisé de concertation, d'action et de redevabilité. Des sessions de sensibilisation sur les violences basées sur le genre et la vulgarisation de la stratégie nationale de promotion de la masculinité positive ont été abordées dans la salle, consolidant ainsi les efforts pour une transformation durable des normes sociales.Engagement des autorités provincialesDans son discours de clôture, le Gouverneur du Kasaï Oriental a exprimé un engagement ferme à intégrer la masculinité positive dans les secteurs clés de la province, notamment l'éducation, la santé, la justice et le développement. Il a souligné que "le changement commence ici, avec nous, par des actes", un message qui a résonné fortement auprès des participants. Cette journée a été ponctuée par une représentation théâtrale abordant les thématiques des violences basées sur le genre, offrant une illustration vivante des enjeux et des solutions proposées. Enabel, à travers son nouveau projet LVSI (Lutte contre les Violences Sexuelles et l’Impunité), réaffirme son engagement à accompagner les actions en lien avec la masculinité positive, soutenant ainsi les efforts du Gouvernement pour une société plus équitable et respectueuse des droits de tous.-------------------------------------------Doudou Kajangu, Chargé C4D.
En marge de la visite du Dr Stefaan Van Bastelaere, expert international en santé, un atelier de réflexion a été organisé le 22 mai 2025 à Bujumbura pour renforcer la vision du gouvernement visant à instaurer une Couverture Sanitaire Universelle (CSU). Cette rencontre a rassemblé des représentants du Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida (MSPLS), des membres de la Commission nationale de protection sociale (CNPS), ainsi que des experts d’Enabel.Objectif : Comprendre, harmoniser les points de vue sur ce chantier majeur, aux fins de garantir un accès équitable à des soins de qualité pour toute la population burundaise, sans distinction. Le système de santé burundais a déjà posé certaines bases importantes, notamment la gratuité des soins pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans, ainsi que le financement basé sur la performance, aujourd’hui l’un des principaux mécanismes de financement de la santé au Burundi, co-financé par l’Union européenne. Ceci est complété par la Carte d’Assistance Médicale (CAM). La stratégie de financement de santé (SFS) en cours de finalisation permettra au Burundi de rationnellement migrer vers un mécanisme d’Assurance Santé universelle. Cet atelier a été l’occasion de redécouvrir les activités de santé mise en œuvre auprès des projets Enabel pour appuyer la CSU. Les conclusions alimenteront les travaux de la Commission de pilotage et pourront contribuer à définir un modèle d’assurance adapté au contexte burundais. Avec l'appui de l’Union européenne à travers le programme UE-PASS-FBP3 "Amagara mu Muryango", des études sont en cours, menées par l’Institut National de Santé Publique (INSP), pour produire les évidences nécessaires à l’élaboration de la vision nationale de la CSU. D’autres appuis sont également prévus via le programme NTUSIGARE INYUMA - volet santé pour soutenir le MSPLS dans l’atteinte de cet objectif.
Du 19 au 21 mai, Enabel Mauritanie a accueilli à Nouakchott une mission d’expertise marocaine dans le cadre du projet Link up Africa, une initiative de coopération triangulaire mise en œuvre par l’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI) et Enabel au Maroc, avec le soutien de l’Union européenne.Cette session de formation, organisée en partenariat avec l’Agence de Promotion des Investissements en Mauritanie (APIM), visait à renforcer les capacités des structures locales d’accompagnement à l’entrepreneuriat. Pendant trois jours, une dizaine de structures ont pu bénéficier d’un transfert d’expertise animé par Naoufal CHAMA, expert marocain reconnu, autour d’un kit d’incubation structuré permettant de monter un dispositif complet en 14 semaines.Au-delà des apports méthodologiques, cette formation a offert un espace d’échange et de co-construction entre pairs, favorisant la diffusion de pratiques innovantes, concrètes et adaptées au contexte local.« À Enabel, nous croyons profondément au pouvoir du partage entre pairs, à la coopération équitable, et à l’importance d’outiller les structures locales pour qu’elles deviennent des moteurs de changement », a souligné Guedie Kane Conseillère Stratégique Pays, représentante d’Enabel en Mauritanie, lors de la cérémonie de clôture.L’événement a été marqué par la présence de l’Ambassade du Royaume du Maroc, de l’AMCI, ainsi que de nombreux acteurs clés de l’écosystème entrepreneurial mauritanien.Enabel, à travers cette initiative, réaffirme son engagement en faveur de la jeunesse, de l’innovation et d’un développement économique plus inclusif en Mauritanie, en misant sur des partenariats stratégiques et une mise en réseau des expertises africaines.
Du 20 au 22 mai 2025, une délégation du projet OKD s’est rendue dans la commune de Boulsa, au cœur de la région du Centre-Nord, pour une mission d’appui-conseil aux jeunes porteurs de projets. Cette sortie terrain avait pour objectif d’apprécier l’utilisation des kits fournis, de mesurer les effets des appuis entrepreneuriaux, et d’identifier les difficultés rencontrées par les bénéficiaires.La mission a débuté par une série de visites de courtoisie aux autorités locales, notamment au Haut-Commissariat de la province du Namentenga, à la Mairie de Boulsa, et à la Direction régionale en charge de la jeunesse. En l’absence du Haut-Commissaire en déplacement, son représentant a félicité Enabel pour sa présence active sur le terrain, dans un contexte où certains projets se retirent. Il a salué les actions mises en œuvre en faveur des populations vulnérables et a exprimé sa volonté d’accompagner le démarrage effectif des prochaines activités, notamment en lien avec les préfectures, les centres de formation, les groupements et les microprojets. M. Yaméogo Ferland, Secrétaire général de la mairie de Boulsa, a également accueilli chaleureusement la délégation et marqué son soutien au projet, notamment pour la visite des bénéficiaires appuyés par Enabel dans la commune.Par la suite, la délégation a visité le centre de formation Paog-sor-pakamin, qui forme des jeunes en couture, transformation agroalimentaire et autres métiers. Ce centre, fondé par l’association Wend Kuni, est appuyé par Enabel via l’ONG Self Help Africa. Selon Nonama Dieudonné, président de l’association Wend Kuni, « La formation est la meilleure solution. C’est pourquoi nous avons ainsi nommé notre centre Paog-sor-pakamin (le chemin de la réussite est ouvert). Cela s’explique par le fait que la formation rend financièrement autonome le formé ». La délégation a également rencontré les membres de la coopérative Pag-la-biig-yidigri (autonomisation de la femme et du jeune), spécialisée dans la transformation du moringa, qui a bénéficié d’un appui en matériel grâce au projet OKD.Au-delà des structures, ce sont les partenaires eux-mêmes qui témoignent de l’impact concret du projet dans leur vie quotidienne. Balima Hélène, jeune porteuse de projet, qui confectionne des articles à base de perles, affirme avec fierté : « Grâce à la formation et au matériel reçus via Enabel, j’ai un chiffre d’affaire qui tourne autour de 100 000 F CFA par mois, qui est nettement supérieur, voire le double de ce que j’avais avant. ». Ce genre de témoignage incarne la résilience locale que le projet OKD cherche à renforcer.L’équipe de mission a pu évaluer la pertinence des appuis en place, récolter les retours des jeunes et proposer des ajustements pour renforcer l’efficacité du programme. Les jeunes rencontrés expriment un besoin clair : voir le projet se poursuivre et s’étendre pour toucher davantage de cibles, et consolider les acquis.Enabel, à travers le projet OKD, réaffirme son engagement aux côtés des autorités locales et des jeunes du Centre-Nord, convaincue que l’autonomisation économique est une clé de la résilience communautaire et de la stabilité sociale.NANA Wendpouiré Julien Florantin
Dans le cadre du renforcement de la dynamique collective et inclusive de l'équipe Enabel au Mali, et pour accompagner un changement culturel à la fois personnel et organisationnel, le personnel a récemment acquis d'une formation en Communication Authentique . Cette formation a abordé des thématiques essentielles telles que la communication non violente, l'écoute active et la reconnaissance. L'objectif ? Aider chacun·e à trouver un équilibre harmonieux entre performance et intégrité, en favorisant des relations professionnelles plus humaines et bienveillantes. En cultivant ces compétences, nous construisons ensemble un environnement de travail où la collaboration intelligente et l'esprit collectif priment sur la performance individuelle. Car au fond, c'est en se sentant inclus·e, autonome et écoute·e que chacun·e peut donner le meilleur de lui-même. À l'issue de cette formation, les collaborateurs·rices ont exprimé un réel enthousiasme. Beaucoup ont partagé à quel point ces outils simples, mais puissants, allaient les aider à aborder les situations, tant professionnels que personnels, avec plus de respect, de compréhension et de bienveillance. Ils ont découvert des techniques de communication qu'ils ne soupçonnaient pas, et qui, désormais, leur permettront d'améliorer la qualité de leurs relations au quotidien. Parce qu'une équipe soudée et bienveillante est une équipe qui avance, nous continuons à nourrir cette culture d'écoute, de respect et de collaboration. Ensemble, nous grandissons, pour mieux agir.
À l’approche de la fête de la Tabaski, la campagne , “Tabaski Écolo”, initiée depuis 2017 par les Jeunes Volontaires pour l’Environnement (JVE Niger), reprend cette année avec une ambition renouvelée : sensibiliser la population nigérienne à l’utilisation responsable du bois énergie et à la protection de l’environnement.Sous le slogan « Un mouton sacrifié, un arbre planté », l’édition 2025 de la campagne bénéficie du soutien d’Enabel, l’agence belge de coopération internationale, à travers son portefeuille thématique climat au Niger. Cette collaboration vise à renforcer l’impact des actions de sensibilisation, en mettant l’accent sur le changement de comportement collectif et individuel en matière de consommation énergétique.Nouvelle stratégie cette année : des influenceurs locaux sont mobilisés pour relayer le message à travers des vidéos et contenus numériques produits lors d’un atelier soutenu par Enabel. Ces messages seront diffusés massivement sur les réseaux sociaux et les chaînes de télévision afin d’atteindre un large public. L’enjeu de la campagne est clair : réduire l’utilisation abusive du bois, qui subit chaque année une exploitation accrue à l’occasion de la Tabaski. En sensibilisant à des pratiques plus durables et à la reforestation, la campagne espère inscrire la fête dans une démarche écoresponsable.Pour renforcer cette dynamique, une caravane de sensibilisation menée par les enfants est également prévue dans la ville de Niamey. À travers chants, messages et animations, ces jeunes ambassadeurs de l’environnement iront à la rencontre des habitants pour encourager leurs parents et les communautés à adopter les bons gestes.Avec le soutien d’Enabel, “Tabaski Écolo” s’impose progressivement comme un rendez-vous citoyen pour conjuguer tradition, foi et écologie
In Tanzania, women’s organizations serve as critical platforms for addressing gender inequality, promoting economic empowerment, and advocating for social justice. However, in Kigoma Region, women movement often face serious structural challenges that hinder their collective impact. A lack of coordination among groups, coupled with limited resources and organizational capacity, has created fragmented efforts that struggle to gain traction. As a result, the women’s movement in the region, remains underdeveloped, despite the growing need for unified action. In this context, Wezesha Binti- a bilateral program in Tanzania is working in strengthening the women movement in Kigoma, by connecting fragmented efforts, building capacity and empower them to grow into a cohesive and influential force for gender equality. In the absence of strong networks linking women’s organizations, Wezesha Binti organized workshops for women’s, youths and People With Dissability organizations in Kigoma to coordinate their efforts, define the agenda and decide on the approaches that would challenge traditional power structures and reshaping local governance, specifically on Gender equality. With majority of these organizations work around social justice, environmental management, climate change and gender equality, the women movement are now organized to collectively work towards addressing violence against women and girls and challenge social norms that perpetuate inequality. With limited resources, these community level efforts lay the groundwork for more organized and powerful movements engaging the local government authorities, individuals, families, groups, traditional leaders, local markets, churches, and schools as the backbone of the movement. Through storytelling, community meetings, and small cooperatives, the movement will share strategies, mobilize support, and create spaces for collective action, strengthen their legitimacy and presence.
Enabel funded the installation of a ramp at the Volodymyr Dahl East Ukrainian National University premises in Kyiv. Mr. Shevtsov, Director of the Institute of Postgraduate Education and Professional Qualifications, notes that the entrance to the facility has become much more accessible."Throughout my life, in all of my positions, both public and governmental, I have had to fight for the rights of people with disabilities and for us to be as mobile and autonomous as possible," explains Professor Andrii Shevtsov. "Now both my colleagues and I can reach our offices without asking for extra assistance, which is crucial for us.""I use a special electric scooter which is quite bulky. Its turning radius is wider than that of a wheelchair," explains Professor Shevtsov. "Thank you for considering these details and ensuring the ramp is convenient for everyone."
Dans les régions de Tahoua et Dosso au Niger, l’agence belge de coopération internationale- Enabel mise sur l’innovation paysanne pour relever les défis climatiques. À travers la mise en place de 22 Champs-Écoles Agropastoraux (CEAP), ce sont 681 producteurs, dont 298 femmes, qui ont été formés durant les campagnes de cultures 2024-2025 à des pratiques agroécologiques intégrant agriculture et élevage.Inspirée des Champs-Écoles Paysans (CEP), cette approche renouvelée prend en compte la réalité des exploitations familiales mixtes en milieu rural. Véritables écoles "sans murs", les CEAP s’installent au cœur des villages, dans les champs ou fermes de producteurs volontaires, pour co-construire des solutions concrètes aux problèmes agricoles identifiés localement.Face à la baisse de rendement du chou et de l’oignon due aux parasites et à la "rosée", les apprenants ont expérimenté des biopesticides à base de neem, de piment et de tabac, ainsi que diverses densités de plantation. Du côté de l’élevage, la fabrication de blocs multi-nutritionnels et un protocole d’embouche adapté ont permis d’améliorer la valorisation des animaux. Chaque CEAP est animé par des structures de conseil privé recrutées par Enabel, en partenariat avec les services techniques de l’État. Les producteurs s’organisent en sous-groupes pour observer, expérimenter, analyser et décider collectivement, favorisant ainsi l’apprentissage participatif et la diffusion des pratiques agroécologiques au sein des communautés.Les CEAP ont également permis d’aborder des sujets transversaux essentiels : production de compost, gestion des organisations paysannes, épargne et crédit communautaire. Une dynamique de transformation qui contribue à bâtir une agriculture résiliente, adaptée aux réalités locales et aux enjeux climatiques du Sahel.
Le Climathon Niamey 2025 s’est tenu les 16 et 17 avril derniers, réunissant jeunes innovateurs, experts techniques et acteurs du développement autour du thème : « Foresterie et Utilisation Durable des Terres ». Cet événement, inscrit dans une dynamique mondiale, vise à répondre de manière concrète aux défis environnementaux locaux tels que la désertification, la dégradation des terres et l’urbanisation non maîtrisée.Portée par l’initiative mondiale Climathon, cette édition 2025 a mis l’accent sur la co-création de solutions locales pour lutter contre la déforestation, renforcer la séquestration du carbone et promouvoir une gestion durable des ressources naturelles. Véritable plateforme d’action et d’innovation, le Climathon se distingue comme un catalyseur d’engagement climatique citoyen.Enabel, agence belge de coopération internationale, a accompagné cette initiative à travers son portefeuille thématique Climat Sahel pour le Niger, témoignant de son engagement en faveur du développement durable. Pour Enabel, soutenir cette démarche s’inscrit pleinement dans sa vision de la résilience climatique et de la protection de l’environnement.Avec le soutien des autorités locales et des partenaires, le Climathon 2025 a marqué une nouvelle étape dans la mobilisation collective pour un Niger plus résilient et souverain face aux changements climatiques
A gender transformative step in the fight against gender-based violence has begun in Tanzania’s Kigoma region, as Wezesha Binti, in collaboration with Plan International, officially kicks off the implementation of the SASA! approach to address violence against women and girls (VAWG). SASA!, is an acronym that stands for Start, Awareness, Support, and Action, focusing on shifting social norms and power dynamics that perpetuate VAWG. Following a successful proposal selection, the SASA! initiative—a proven community mobilization methodology—is now being rolled out by a consortium of three organizations: Plan International, Kivulini Women’s Rights Organization, and the Women Promotion Center. These organizations has a long term programs and roots in the Kigoma region, working on gender justice. The program aims to mobilize communities in Kigoma to recognize and address the underlying drivers of gender inequality. Through grassroots engagement and cross-sector collaboration, the SASA! model encourages individuals, families, and institutions to examine beliefs around power and equality. With the Kick-Off meeting to start the implementation taking place in Kigoma, Enabel and partners are working to align workplans and discuss how the partners’ actions contribute to the broader goals and measurable outcomes of the Wezesha Binti (WB) program. The aim is to accelerate implementation and increase efficiency. By bringing together civil society, academic institutions, and international development actors, this project sets the foundation for a sustained, evidence-based response to violence against women and girls in Kigoma. “This collaboration is not just about delivering a project—it’s about building a movement,” said a representative from Wezesha Binti. “Through SASA!, we’re empowering communities to take ownership of the change we all need to see.” As the program unfolds, its success will serve as a model for broader replication across Tanzania and beyond—helping create a world where women and girls can live free from violence and discrimination.