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  • Transition Agro-Ecologique par la Recherche Agricole (TAERA)

    Transition Agro-Ecologique par la Recherche Agricole (TAERA)


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    L’agriculture est le moteur de l’économie du Bénin et occupe la majorité de la population du pays. Elle repose sur l’agriculture familiale, qui peine à satisfaire une population urbaine croissante et en demande de produits de qualité constante. Le manque de compétitivité des exploitations agricoles familiales ne leur permet pas de répondre à l’évolution des besoins et des marchés, de plus en plus ouverts et dynamiques. Le changement climatique induit une plus grande variabilité des pluies et le développement de pathologies, qui rendent aléatoires la réussite des cultures. La pression sur les ressources naturelles a atteint ses limites, avec un risque de tarissement des puits ou de salinisation des eaux. Le changement climatique renforce les problèmes liés à la perte de la fertilité des sols. Pour faire face aux enjeux environnementaux et satisfaire les besoins des populations en termes de sécurité alimentaire et nutritionnelle, il sera nécessaire de développer des technologies mieux adaptées aux contextes locaux, durables, résilientes aux changements climatiques et socialement viables. Ambitions du Programme : « TAERA »L’Initiative de l’Union Européenne intitulée « Development Smart Innovation through Research in Agriculture (DeSIRA) » vise à stimuler les innovations dans le secteur de l'agriculture et les systèmes de transformation alimentaire. Enabel a été retenu pour sa mise en œuvre au Bénin à travers le Programme Transition Agro-Ecologique par la Recherche Agricole (TAERA) avec les objectifs et résultats suivants.La stratégie opérationnelle De façon opérationnelle l’intervention travaille sur :   Les systèmes de production spécifiques du Sud Bénin, confrontés à de forts enjeux en matière de sécurité alimentaire et de gestion des ressources naturelles : La Recherche Action Participative pour aider les populations et les chercheurs multidisciplinaires dans l’identification de problématiques, la recherche de solutions et l’action collective. Les aspects socio-économiques et de mise en marché avec un accent de prise en compte des contraintes sociaux et économiques parfois des innovations.Processus de diffusion des innovations. La transition agro-écologique de l’agriculture implique des changements au niveau des exploitations agricoles, mais également à d’autres niveaux en aval et en amont des chaînes de valeur.


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  • Promouvoir les corps de métiers portuaires auprès des femmes

    Promouvoir les corps de métiers portuaires auprès des femmes


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    Dans le but de Promouvoir les corps de métiers portuaires auprès des femmes, Enabel à travers son projet PASPort a donné la parole à des femmes exerçant dans le milieu portuaire. En effet, au Port Autonome de Cotonou, seulement 10% du personnel est féminin. Sur 487 agents, 49 sont des femmes. Au nombre des femmes rencontrées figure Pascaline ADJOFOGUE, première femme capitaine des remorqueurs à être formée au Port d’Anvers dans l’équipage du Bénin grâce au partenariat Bénino-Belge. Pour cette jeune femme de 25 ans, son genre ne constitue pas une barrière. Elle a partagé avec nous son histoire de vie inspirante. Nous avons également rencontré Mireille HEHOMEY Epouse KASSAVI, agent en poste à la Direction Générale du Port Autonome de Cotonou, qui s’est entretenue avec nous sur la lutte des femmes pour leurs droits. Elle a invité les femmes à croire en elles, à briser les barrières professionnelles, à sortir de leur zone de confort, à s’affirmer et à oser.


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  • Près de 500 femmes dépistées gratuitement du Cancer du Col de l’utérus, de l'Hypertension Artérielle (HTA) et du Diabète.

    Près de 500 femmes dépistées gratuitement au cancer du col de l’utérus, dà l'hypertension artérielle (HTA) et au diabète.


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    Une campagne de dépistage gratuit du Cancer du col de l’Utérus, de l’Hypertension Artérielle et du Diabète a été organisée du 06 au 07 mars dans les communes de Sô-Ava et de Ouidah, situés dans le département de l’Atlantique et à Klouékanmè dans le département du Couffo. Du 09 au 13 mars, ladite campagne a été poursuivie dans les ministères de la Santé, de la Fonction Publique et des Affaires Sociales. Près de 500 femmes âgées de 25 à 65 ans ont été dépistées gratuitement du Cancer du Col de l’utérus, de l'Hypertension Artérielle (HTA) et du Diabète. Initiée par Enabel au Bénin à travers son Programme d'Appui à la Santé Sexuelle et Reproductive et à l'Information Sanitaire P@SRIS, cette campagne a également permis de sensibiliser de nombreuses femmes des zones d’intervention du programme sur les moyens de prévention contre ces différentes maladies qui déciment la gente féminine.


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  • Promouvoir et développer les activités des femmes intervenant dans la filière ananas

    Promouvoir et développer les activités des femmes intervenant dans la filière ananas


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    Du 05 au 13 mars 2020, les projets/programmes initiés par Enabel au Bénin ont célébré chacun à leur manière la Journée Internationale de la Femme avec pour thème de célébration : Génération Egalité : Levons-nous pour les droits des femmes ! L’égalité des genres et l’autonomisation des femmes constituent une priorité pour Enabel à travers sa stratégie genre #WeforHer et son Plan d’entreprise 2020.    Le lundi 09 mars, le personnel féminin de l’Agence Territoriale de Développement Agricole (ATDA7) et de DEFIA avec des femmes de la filière ananas, ont parcouru les rues de la Commune d’Abomey-Calavi. Au cours de cette caravane qui a mobilisé environ une centaine de personnes (hommes et femmes), les participants ont distribué des affiches, brandis des messages d’appel de lutte pour les droits des femmes. Cette marche qui s’est achevée dans les locaux de l’ATDA a été suivie d’un atelier d’échanges et de réflexions sur des thématiques liées au genre et à l’égalité. A la suite des échanges, onze (11) propositions d’actions ont été faites pour la promotion et le développement des activités des femmes intervenant dans la filière ananas. Parmi toutes les actions proposées, les femmes ont identifié trois (03) qui seront soumises conjointement au Directeur Général de l’ATDA7 et la Manager de DEFIA. Il s’agit de : i) appui aux femmes productrices pour l’accès au film plastique biodégradable ; ii) facilitation de l’accès aux crédits pour les femmes (producteurs, transformatrices, exportatrices et commerçantes d’ananas à des taux d’intérêts bonifiés à un chiffre (5%) avec un appui de fonds de garantie ; iii) appui à la mise aux normes des infrastructures et équipements des femmes transformatrices en priorité pour celles concernées par les subventions en cours.   De même, DEFIA a appuyé les femmes membres de la Coopérative des Entreprises de Transformation d’Ananas du Bénin (CETRAB) pour l’organisation d’un atelier de réflexions qui a eu lieu, le 08 mars 2020 à la salle de réunion de GERME à Allada. Cette rencontre d’échange et de partage a enregistré la participation de 70 personnes dont 35 femmes. Trois (03) communications ont été développées:  -  L’inégalité du genre, de la naissance à l’âge adulte présentée par M Alidou M. Awelou. Elle a permis de mettre en exergue les formes d’inégalités que subissent les femmes depuis leur enfance. Un accent particulier a été mis sur la nécessité pour les femmes de quitter leur zone de confort et de révéler leur talent en prenant exemple sur des femmes leaders qui ont réussi à émerger. - Le leadership féminin présenté par Madame Bertille G. Marcos, Directrice de l’Usine de transformation du jus d’Ananas « les Fruits TILOU ». La communicatrice a expliqué de long en large les qualités que doivent avoir une femme de grande vision. Il s’agit notamment des qualités de femme battante, travailleuse et forte. - La santé sexuelle et reproductive des adolescents et jeunes. Cette communication a permis d’éveiller la conscience des participants sur le rôle des parents dans l’éducation des filles, futures mères. Par ailleurs, l’Union du personnel féminin (UPF) du Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP) a organisé avec l’appui de DEFIA, une rencontre des femmes et une mini-foire sur les produits agricoles, du 10 au 13 mars 2020 à Cotonou. Cette foire a connu la participation de quatre (04) transformatrices d’ananas membres de la Fédération Nationale des Coopératives de Transformateurs d’Ananas du Bénin (FENACOTAB). Cette participation a permis de mettre en valeur le potentiel des femmes dans la valorisation des produits agricoles, de faire la promotion de l’ananas et de ses produits transformés.


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    Benin BEN19004

  • Développement de l’Entreprenariat dans la Filière Ananas (DEFIA)  88 coopératives et 35 producteurs bénéficient de la subvention de dessouchage, labou

    Développement de l’Entreprenariat dans la Filière Ananas (DEFIA) 88 coopératives et 35 producteurs bénéficient de la subvention de dessouchage, labou


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    Sur un total de 2674 demandes présélectionnées avec une superficie totale de 3258 ha, une sélection a été faite suivant des critères de plantations tenues par les coopératives et les femmes et la localisation du champ dans les zones non traditionnelles de production ou zones d’extension. Elle a abouti à l’attribution de 123 demandes pour une superficie de 928 ha dont 32% dans les zones d’extension de production d’ananas à savoir : Ouidah, Kpomassè, Ifangni, Adja-Ouèrè, Kétou, Aplahoué, Klouékanmey, Lalo, Athiémé, Comè, Lokossa, Adjohoun, Akpro-Missérété, Abomey, Ouinhi, Za-Kpota , etc.. Après un appel à projet lancé au niveau des producteurs d’ananas et une présélection réalisée par les Cellules communales des Agences Territoriales de Développement Agricole (ATDA) des pôles 7, 6 et 5, une phase d’attribution définitive aux bénéficiaires retenus a été organisée. Le comité d’attribution était composé des représentants de l’Agence Territoriale de Développement Agricole (ATDA) du pôle 7, de l’Association Interprofessionnelle de l’Ananas du Bénin (AIAB), de la Direction Départementale de l’Agriculture, de l’Elevage et de la pêche, et du programme DEFIA. Le programme DEFIA, à travers cette opération ambitionne de contribuer à augmenter les volumes de production d’ananas à travers l’amélioration de la productivité et l’extension des superficies. En plus de l’accompagnement financier, les producteurs seront également accompagnés sur le plan technique, de gestion et de mise en marché de leurs productions, organisés en clusters agricoles.Pour l’évaluation des demandes de subvention, les chefs cellules communales, président des comités de présélection formés L’étude des dossiers de demandes pour la présélection des producteurs actuels ou potentiels pour l’obtention des subventions pour le dessouchage, le labour, la fourniture et la plantation de rejets d’ananas de qualité obéit à des critères prédéfinis. En effet, le processus de la présélection s’est fait suivant un outil d’analyse qui résume l’ensemble des critères ainsi que les principales étapes à franchir par chaque producteur candidat à la subvention. Au cours de l’atelier de formation qui s’est tenu le 08 janvier 2020 à Allada, Salami TENAKAH, responsable de l’intervention 1 de DEFIA et Aristophane APLOGAN, Assistant Technique National Recherche et Innovation de Production, ont passé au peigne fin, les différents points de l’outil d’analyse que les membres des comités communaux de présélection doivent comprendre afin de mieux aborder l’étude des demandes de subvention des producteurs. Après l‘étape d’analyse des fiches de demande, les membres des comités ont procédé à la visite de terrain dans les champs des producteurs à présélectionner pour l’obtention des subventions demandées.


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  • Impact de l’intervention de DEFIA sur le Genre : L’université de Namur s’intéresse aux femmes productrices

    Impact de l’intervention de DEFIA sur le Genre : L’université de Namur s’intéresse aux femmes productrices


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    Evaluer le niveau d’implication des femmes productrices d’ananas dans le processus d’appel à candidatures des producteurs pour l’obtention des subventions pour le dessouchage, le labour et l’accès aux rejets. Tel est l’objectif principal de la rencontre d’une délégation de l’université de Namur en Belgique avec les responsables du programme de Développement de l’Entreprenariat dans la Filière Ananas (DEFIA), le lundi 20 janvier 2020.   Pour évaluer l’impact des actions de DEFIA sur la prise en compte du Genre, l’université de Namur s’est concentrée sur trois volets à savoir : la subvention au dessouchage, l’intervention ciblée « femmes » et l’intervention « champs écoles ». L’évaluation du volet subvention au dessouchage se fonde sur la technique de randomisation par laquelle des groupes de contrôle et de traitement seront choisis aléatoirement dans la catégorie des producteurs ayant les scores intermédiaires. Concernant l’intervention ciblée « femmes », il s’agira d’évaluer l’impact qu’auront les formations techniques spécifiques aux femmes, les formations à l’inclusion financière, etc. sur les femmes productrices d’ananas. Pour le volet 3, il s’agira d’évaluer l’impact de l’intervention « champs écoles » dont l’objectif est d’encourager les femmes à adopter de nouvelles techniques culturales. La collaboration entre Namur et DEFIA a démarré par le volet « subvention au dessouchage » qui était au cœur des échanges lors de la rencontre. Divers sujets dont l’organisation de la présélection, l’attribution de la subvention aux bénéficiaires, la composition des groupes de femmes, etc. ont été débattus.  Soulignons au passage que le programme DEFIA dispose d’un volet transversale « Genre » visant à faciliter l’implication des femmes et des jeunes dans les chaînes de valeurs d’ananas à travers la levée des contraintes spécifiques auxquelles font face ces acteurs.


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  • Stop propagation du Coronavirus Enabel au Bénin accompagne le Ministère de la Santé pour la mise en place d’un centre d’information et de conseils sur

    Pour stopper la propagation du Coronavirus, Enabel accompagne le Ministère de la Santé du Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    Allô : 51 02 00 00 et 51 04 00 00 ! Ce sont les numéros gratuits que vous pouvez désormais appeler pour avoir la réponse à vos diverses préoccupations et inquiétudes sur le #Coronavirus ; recueillir des d’informations et des conseils afin de vous protéger et de protéger les autres du Coronavirus et signaler des cas suspects… Depuis le lundi 23 mars 2020, un call center  est donc érigé au sein du ministère de la santé et assure un volume de 150 appels journaliers environ avec pour la majorité une recherche d’informations sur les signes de la maladie et comment se protéger mais aussi des cas de dénonciation et d’alerte. Ce Call Center dispose d’un système développé pour prendre plusieurs appels simultanés : 4 à 10 puis 30 dans les jours à venir. Les appelants sont accueillis avec des messages de prévention automatique en plusieurs langues internationales (français, anglais) et nationales (fon, yoruba, bariba, dendi). Le centre est animé 24/24 par des téléopérateurs mis en place par le Ministère de la santé avec une gestion spécialisée des appels nécessitant une prise en charge immédiate. Ce centre d’informations s’intègre dans un projet initial du Ministère de la Santé, le projet « je t’écoute » appuyé par Enabel et Affaires Mondiales Canada et destiné à la  gestion des plaintes des usagers des services de santé.


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  • EQUITE : Ensemble pour une Qualité des soins Inclusive et Transparente, orientée vers l’Egalité genre

    EQUITE : Ensemble pour une Qualité des soins Inclusive et Transparente, orientée vers l’Egalité genre


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    L’Agence Française de développement (AFD) en concertation avec l’Etat béninois a décidé de confier la mise en œuvre du Projet «EQUITE»  à Enabel, présente au Bénin dans le secteur de la santé depuis 20 ans. D’un montant de onze (11) Millions d’Euros,  cette intervention se focalise sur les Maladies Non-Transmissibles (MNT), les Soins Obstétricaux et Néonataux d’Urgence (SONU), le genre, le renforcement des Ressources Humaines en Santé (et les institutions de formation) et le développement du système de santé local au niveau des Zones Sanitaires (ZS) et Directions Départementales de la Santé (DDS) appuyées. L’intervention proposée comprend un objectif transversal de réduction des inégalités femmes/hommes, qui se traduit par la mise en place d’activités spécifiques dans chaque sous-composante de l’intervention:Composante 1 : Rendre disponibles des services de santé promotionnels, préventifs et curatifs de qualité SONU et MNT, en tenant compte des besoins spécifiques des femmes, des adolescent(e)s et des enfants dans les Collines et au niveau du pôle pédiatrie du CHD du Borgou avec une meilleure  redevabilité envers les patients. Composante 2 : Renforcer les capacités du  personnel soignant disponible et mieux former en tenant compte des enjeux de genre dans les formations sanitaires. Composante 3 : Renforcer les capacités techniques et la gouvernance des institutions partenaires du projet, dans le respect de l’égalité femmes/hommes des structures ciblées par le projet. Ambitions du Projet : « EQUITE »L’objectif général est de contribuer à l’amélioration de la santé des populations du Bénin en particulier les plus vulnérables, en visant l’égalité femmes/hommes. L’objectif spécifique vise à ce que la population du Bénin dispose d’une offre de soins intégrée de qualité pour les Soins Obstétricaux & Néonatals d’Urgence (SONU) et les Maladies Non Transmissibles (MNT), en tenant compte des besoins spécifiques liés au genre, principalement dans le département des Collines et au niveau du pôle pédiatrie du Centre Hospitalier Départemental du Borgou. Zones d’intervention - Le département des Collines qui comprend trois zones sanitaires (ZS) : Les Zones Sanitaires Dassa-Glazoué (DAGLA), Savé-Ouèssè (SAO), Savalou-Bantè (SABA). - Le service de pédiatrie du Centre Hospitalier Départemental (CHD) du Borgou - Les institutions de formation (IFSIO à Parakou, INMES à Cotonou).Résultats attendus de la Composante 1 ·         Amélioration du Plateau Technique avec acquisition et maintenance des équipements biomédicaux ; ·         Mise en place de la démarche qualité dans l’ensemble des formations sanitaires appuyées ciblant les services SONU et MNT comme ‘services traceurs’ ; ·         Renforcement de la disponibilité des produits sanguins labiles au niveau des formations sanitaires ; ·         Amélioration de l’offre intégrée des services promotionnels, préventifs et curatifs des MNT ; Mise en place d’un dispositif de redevabilité patient (Plateformes des Utilisateurs des Services de Santé (PUSS) et un appui à la structuration de la demande au sein des zones sanitaires (ZS). Résultats attendus de la Composante 2 ·        Deux instituts de formation d’infirmiers et de sages-femmes du pays, l’Institut National Médico-sanitaire (INMeS) situé à Cotonou et l’Institut de Formation en Soins Infirmiers et Obstétricaux (IFSIO) situé à Parakou sont ciblés par cette intervention.  De nouvelles formations de qualité seront créées dans ces deux institutions pour pallier l’insuffisance du personnel soignant au Bénin dans certaines spécialités. Des bourses pour les étudiants seront accessibles de façon équitable (femmes/hommes) afin de lever l’obstacle financier rencontré précédemment pour l’accès à des masters ;  ·         Une politique de stabilisation des ressources humaines formées est développée afin de limiter le turnover du personnel ou réduire son impact en remplaçant du personnel formé. Dans cette politique de stabilisation, le projet travaillera avec les acteurs des SYLOS (Systèmes locaux de santé) à améliorer les conditions de vie et de travail pour le personnel travaillant des zones rurales enclavées.   Résultats attendus de la Composante 3 ·        Les capacités du Ministère de la Santé (MS, de la DDS et des ZS des Collines), de l’IFSIO et de l’INMeS sont renforcées pour appuyer : o   i) la mise en œuvre de la stratégie genre au niveau départemental ; o   ii) l’intégration du thème de l’environnement/lutte contre le changement climatique dans toutes les stratégies sectorielles ;  o   iii) l’opérationnalisation des stratégies MNT & SONU au niveau départemental ; o   iv) la gestion rationnelle des équipements et infrastructures.   o   Au niveau local, un audit organisationnel et de capacités incluant un plan d’actions et des indicateurs de suivi est réalisé en début de projet au niveau de la DDS et des ZS afin d’améliorer leur performance pour le pilotage et la gestion du système local de santé.


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    Benin BEN19010

  • Appui à l’opérationnalisation de la Police Républicaine

    Appui à l’opérationnalisation de la Police Républicaine


    Reece-hermine ADANWENON | 08/04/2020

    La Police Nationale et la Gendarmerie, deux corps d'armée initialement distincts en République du Bénin avaient fusionné en décembre 2017 pour donner naissance  à une Police républicaine en application de la Loi N°2017-41 du 28/12/17 portant création de la Police Républicaine. Cette réforme, qui s’inscrit dans une dynamique globale nationale de lutte contre la corruption, de la recherche d’efficience pour une orientation  « client » est l'occasion du lancement de grands chantiers tels que la digitalisation, la revue du cadre organique de la nouvelle organisation et l'amélioration de la couverture nationale. La Belgique ayant opéré cette fusion,  a décidé de s’investir de manière significative aux côtés des acteurs de la sécurité nationale béninoise, afin d’appuyer l’opérationnalisation de cette nouvelle institution.Ambitions du programme PAOPL’ambition est de définir et de compléter le cadre organique et la couverture territoriale de la Police Républicaine ; d’améliorer le contrôle qualité des différents processus et d’élargir le soutien à la Police Républicaine. L’objectif général est de promouvoir l’avènement d'une société pacifique et ouverte à tous aux fins d'un développement durable, d’assurer l’accès de tous à la justice et  de mettre en place, à tous les niveaux, des institutions efficaces, responsables et ouvertes à tous. L’objectif spécifique est d’appuyer l’opérationnalisation de la Police Républicaine.Résultats attendus de l’interventionLe concept de Police communautaire est développé et mis en œuvre. Ce premier résultat ne pourra être atteint qu’à travers plusieurs actions concernant (i) l’amélioration de la couverture territoriale des Commissariats d’arrondissement, (ii) le renforcement des capacités de projection des policiers dans leur territoire  (iii) le renforcement des mécanismes d’appui, de suivi et de contrôle des commissariats d’arrondissement (iv) le développement et la mise en œuvre du concept de Police Communautaire, (v) amélioration des fonctions de base des commissariats d’arrondissement.Les phénomènes prioritaires locaux liés à la délinquance informatique sont mieux gérés. Il s’agira pour atteindre ce deuxième résultat de : (i) définir le rôle et le cahier des charges des différents services, (ii)  renforcer les capacités en matière d’analyse criminelle et de planification stratégique, (iii) d’appuyer à la mise en œuvre du plan de lutte contre la cybercriminalité, la création de partenariats et de développement de réseau  (iv), et l’appui à l’accueil et l’accompagnement des victimes.La Gestion des Ressources Humaines, et de son axe formation, sont renforcés. Ce troisième résultat sera atteint grâce à un (i) appui à la gestion et à la planification du personnel de la Police Républicaine, (ii) la prise en compte du genre dans le recrutement et la gestion du personnel, (iii) la finalisation des formations statutaires et à la constitution du répertoire des formateurs, (iv)  l’amélioration des processus de Gestion des Ressources Humaines avec le développement de la formation continue, (v) le recueil et la prise en compte des besoins des policiers, (vi) la création de partenariats externes et mise en réseau des structures de formations.


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  • A year later: slowly recovering from Idai, but shielding from Covid-19

    Mozambique: A year later: slowly recovering from Idai cyclone, but shielding from Covid-19


    Akila MUNIR | 06/04/2020

    By Evert WAETERLOOS, Enabel MaputoOn March 15th last year, a major humanitarian crisis hit Mozambique. Cyclone Idai brought heavy rains and floods to the provinces of Tete, Manica, Niassa, Zambezia and Sofala, and destroyed most of the city of Beira (see Van de Velde, A. and E.Waeterloos ‘Climate and energy crises in Mozambique: time to refuel the debate?’ on open.enabel.be April 2019). Mozambique and Belgium have ongoing collaboration projects in capacity building for sustainable access to energy, with an emphasis on renewable and decentralised energy for rural areas in the provinces of Zambezia, Manica and Sofala. Partners are the Ministry of Mineral Resources and Energy (MIREME), selected Provincial Directorates of Mineral Resources and Energy (DIPREME), the new National Energy Regulatory Authority ARENE, and the Energy Fund FUNAE. Idai caused significant damage to the DIPREME offices in the cities of Beira (Sofala) and Chimoio (Manica); windows and roofs were blown away causing considerable water damage to the IT Equipment. To support MIREME at national and provincial level in its reporting and planning tasks, Enabel responded positively to the request to replace the necessary equipment in both provincial DIPREME offices, and to improve the internet connectivity between the central and provincial offices. This support was also deemed urgent, as it provides the basic infrastructure for the presently ongoing financing of an integrated country-wide IT platform for energy data management in MIREME. In collaboration with the IT technicians of MIREME, appropriate equipment and services were identified, assessed and sourced through public procurement. All IT material was eventually sourced through local suppliers. These face sometimes challenges with stock and foreign exchange management, as well as security risks with transport, as threats of armed attacks along the main highway linking Maputo with the central provinces resurface regularly.  In addition, setting up all systems locally proved to be a challenge as well. Building repairs in the provincial offices took place at the same time, as the necessary budget allocations from central government were delayed. And as local DIPREME internet capacity failed for the installation of software downloads, a solution was found in temporarily borrowing the project modem from Enabel. However, in the end and unfortunately later than planned, all equipment was delivered and installed as designed by the partner’s technical team, and are now able to run promising IT applications for improved communication and reporting in the near future.   With the promised aid for recovery from last year’s Idai disaster trickling in only very slowly from different corners, Mozambique is facing a new disaster. Because of the Covid-19 pandemic, a state of emergency of 30 days has been declared as from April 1st.  The state of emergency intends to restrict movements to reduce transmission of the disease, which at present stands at 10 officially confirmed cases out of around 360 tested. While this is not yet a full lockdown, there is an intense debate of the possible impact on livelihoods of a total lockdown such as the one in neighbouring South Africa with 1655 confirmed cases and 11 deaths. With the degree of poverty and informal or low-grade urbanisation prevailing in Mozambique, most people live from day-to-day without money or food reserves, in self-built houses, in close vicinity of each other, and without access to proper water and sanitation. This renders the idea of a preventive forced isolation unfeasible. Unless it is accompanied by extraordinary compensatory public services and costly crisis measures. However, the alternative of the same poor households having to cope with an exponential growth in sick and dying people because of a weak health system - with an officially reported 22,000 test kits available only - is equally undesirable. The delayed release of the Government of Mozambique’s new 5-year plan 2020-2024 has allowed a last-minute inclusion of additional management and resilience promotion activities in view of the increased risk of natural and man-made disasters. At a meeting with donors last week, government asked for US$703 million to fight Covid-19. However, part of it is requested as budget support and the majority of the resources are earmarked for the construction of district hospitals promised during last year’s election campaign. The resumption of budget support is not likely since donors stopped it in 2016 when secret public debts to the tune of US$2 billion were revealed. Hence, additional or ahead of schedule-financing of the common fund for the health sector PROSAUDE - of which Enabel manages technical assistance in Public Finance Management financed by Flanders - is a valid alternative being considered. Meanwhile, the promotion of emergency measures in the formal public and work places is necessary to reduce the risk of a rapid spread of the pandemic. However, it is clear that in the case of disasters such as these, Mozambique’s poor populace is again caught between a rock and a hard place. Their precarious livelihoods do unfortunately not leave much room for increased risk aversion practices. These are reminders that development cooperation needs to address both emergency situations as well as the structural causes of inequality in the face of such emergencies.


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    Mozambique MOZ1403011

  • Le projet Amuddu contribue à l’économie sociale et solidaire territoriale en promouvant le rôle de 13 femmes migrantes entrepreneuses

    Le projet Amuddu contribue à l’économie sociale et solidaire territoriale en promouvant le rôle des femmes migrantes entrepreneuses


    Clara HUYGHE | 02/04/2020

    6 coopératives de personnes migrantes à Casablanca ont été accomapgnées dans le cadre de la mise en œuvre du projet Amuddu de concert avec ses partenaires, l’Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC) et l’appui de l’Office du Développement de la Coopération (ODCO), à travers l’accompagnement et la mobilisation communautaire de proximité déployée par ses 4 agent.e.s communautaires.En effet, grâce à l’accompagnement et la mobilisation communautaire assurés par les agent.e.s communautaires, équipes opérationnelles et de proximité du projet Amuddu, ainsi que des partenaires institutionnels de référence sur ce domaine -l’ANAPEC et l’ODCO-, six coopératives sont accomapgnées à Casablanca, couvrant les secteurs des services, notamment la restauration et l’artisanat. Il s’agit des coopératives :  Grillade Party (5 membres du Gabon, Cameroun et Congo) Food Ivoire (5 membres de Côte d’Ivoire) Chez Maman Nathou (5 membres de Côte d’Ivoire) Ezer Coiffure (5 membres de Côte d’Ivoire) AB (5 membres du Congo) AKWABA (5 membre de Côte d'Ivoire et Sénégal)Accompagnées par des collaborateurs Enabel, agents communautaires du projet Amuddu, ces premières coopératives de service ont vu le jour entre février et mars 2020. C’est au travers d’ateliers de création de coopératives, organisés en partenariat avec l’ANAPEC et l’ODCO, que les coopérant.e.s ont été informé.e.s sur les modalités et procédures à suivre puis accompagné.e.s jusqu’à la création juridique et administrative de ces entités.  Désormais, ces groupements économiques seront intégrés dans le processus d’accompagnement prévu dans le cadre de l’intervention Amuddu, visant des actions de renforcement de capacités allant de formations en gestion jusqu’aux ateliers dédiés aux techniques de commercialisation et en passant par d’autres thématiques telles que le réseautage et le marketing.


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    Morocco MOR1605211

  • Sessions de formation des formateurs en genre et développement des organisations de la société civile de la région de Koulikoro

    Formation de formateurs en genre et développement des organisations de la société civile de la région de Koulikoro


    Nènè TRAORE | 01/04/2020

    La ville de Fana a abrité pendant dix jours deux séances de formations des formateurs en genre et développement à l’intention de vingt personnes des organisations de la société civile de Koulikoro. Facilitée par l’ONG Internationale « Le Monde selon les femmes », cette formation visait à renforcer les compétences du personnel de différentes organisations afin de constituer un vivier de ressources humaines compétentes en genre et développement. Elle envisageait par ailleurs de contribuer à l’amélioration de la prise en compte de la problématique genre dans les projets et programmes de développement dans la région de Koulikoro.Découvrons d’avantage les thématiques abordées dans la vidéo.


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    Mali MLI1604711

  • Le personnel de l’Entraide Nationale -service social publique- améliore ses compétences digitales

    Le personnel de l’Entraide Nationale -service social publique- améliore ses compétences digitales


    Clara HUYGHE | 27/03/2020

    Les capacités des ressources humaines des centres de formation relevant de l’Entraide Nationale (EN) à Rabat ont été renforcées en matière de digitalisation (gestion informatique). Cela permettra, entre autres, d’améliorer la remontée de l’information sur le nombre de personnes migrantes bénéficiant des services de l’Entraide Nationale à Rabat et de favoriser l’utilisation de contenus multimédia lors des cours de formation professionnelle offerts par cette institution.Organisée dans le cadre du projet Amuddu, cette action de formation a permis de former 12 personnes, parmi elles 5 femmes et d’améliorer la mise à niveau informatique des ressources humaines des centres de formation par apprentissage de l’Entraide nationale. Ensemble avec les apprentis marocains, cette institution accueille également des personnes migrantes souhaitant apprendre un métier de manière pratique.La formation informatique dispensée contribuera ainsi à favoriser un meilleur suivi, rapportage et remontée de données statistiques au niveau central sur le nombre d’apprentis et leurs profils, ainsi qu’une meilleure utilisation de l’outil digital dans l’animation des cours de formation professionnelle au profit des bénéficiaires, y inclus les personnes migrantes.À l’issue de cette formation action, Madame Ghizlane Messrour, directrice du centre de formation par apprentissage (CFA) de l’Akkari à Rabat souligne que ; « l’appui d’Enabel est très important, grâce à ce matériel et à la formation, nous allons pouvoir améliorer nos services aux apprentis y compris les migrants ». Cette action de formation a été complétée également par la dotation d’équipement informatique pour plusieurs centres de formation à Rabat, Salé, Mohammedia et à Casablanca.En outre, cette initiative s’inscrit dans un processus plus large visant le renforcement de capacités inhérent à l’amélioration du système de monitoring de l’EN, notamment en ce qui concerne la dimension migratoire. Dans ce cadre, une sensibilisation des points focaux « migration » au niveau des coordinations de l’institution à Rabat et Casablanca a été réalisée précédemment afin d’améliorer le travail de suivi de l’Entraide nationale en ce qui concerne la Stratégie nationale d’immigration et d’asile. 


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    Morocco MOR1605211

  • CHRIS AND YUDATA, TWO SKILLED WELDING EXPERTS LIVING THEIR DREAMS

    CHRIS AND YUDATA, TWO SKILLED WELDING EXPERTS LIVING THEIR DREAMS


    Racheal AKELLO | 18/03/2020

    At Bwendel Diary and Fabrication farm in Hoima, the duo Chris Byamukama, and Yudatha Agonzebwa, both graduates of St. Simon Peter's Vocational Training Institute in Hoima, are busy carrying out assigned tasks. Bwendel, 23, grew up in Kyangwali seeing many of his seniors operate machines at a nearby printery. To him this was magic. This affected his craving to become a teacher. “I always wanted to do something practical and sophisticated,” he says.  His dream turned into reality when he chanced upon a radio announcement that was mobilizing for the enrolment of students in vocational training in Hoima. “When I came here, I wanted to become a motor vehicle mechanic but the course did not seem so “hi-tech” so I settled for welding because of the opportunity presented by the construction boom in the town and availability of machinery at the training institute,” he affirms.The story is not very different for Yudatha. The 21-year-old lady wanted to be either an Electrical engineer or a teacher.   This decision became easier to make when the principal of St. Simon Peter's VTI Hoima, passionately gave a lecture on skilling at her local church after mass. “This motivational talk about ready employment particularly enticed me to quickly make a decision,” she says with a smile. Out of over 40 students who were on an internship, four interns were retained for employment at Bwendel and Yudatha was the only lady. The duo earn UGX 240,000 ($80) per month and Yudatha dedicatedly spends half the money to her young sister’s school fees. Chris is saving up to realise his dream of venturing into real estate (rentals) in the far future. He believes that rental space is easy to manage and he has the skill to do part of the work needed.Yudatha and Chris said that their biggest challenge is that they work 7 days a week and have no time to run personal errands. They, however, believe that the chance and opportunity to gain employment immediately after school has given them the needed exposure in the world of work. 


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    Uganda UGA1402711

  • ELIZABETH MUKONYEZI, THE DOUBLE EMPLOYED CATERER.

    ELIZABETH MUKONYEZI, THE DOUBLE EMPLOYED CATERER.


    Racheal AKELLO | 18/03/2020

    Liz, as she prefers to be called, is 23 years old and is employed as a chef at Karibuni fast food restaurant and bar in Hoima. Two weeks before this interview, she had opened a roadside fast food business selling potato fries and roasted sausages.   The agile chef from Kiombozi Hoima, earns UGX 150,000 (USD 35) per month as salary from her regular job at Karibuni Restaurant, but was also able to save some money for 6 months before she ventured into her own food business.  “I only set up my roadside restaurant when I break off from work in the evening and I’m happy it supplements my income,” she says.Her dream of becoming a chef did not materialize on a silver platter. She had wanted to become a nurse but she did not pass her core science subjects to qualify for a nursing certificate course.  Catering was her only available next option.  She then counseled herself and enrolled. She says that she does not look back with regret because her choice is paying off well.She adds that at first it was boring to be a cook but she was motivated by the fact that the food business needs little capital to start, has a readymade market and a non-limited number of customers. “You see, everyone, whether poor or rich has to eat; you just have to position yourself well where your product can sell,” she affirms.Liz was exposed to an environment where girls are particularly skilled to compete favorably in a male-dominated world. She says that her roadside business has provided her with an environment to learn extra skills like budgeting and accounting for resources, managing sales and costs of production plus others related to running a business.Like most business people, Liz has a dream of growing bigger in business.  The present challenge is that fact the tax collectors who collect market dues want all the little money she makes but she adds that she has endured knowing that tomorrow will be better.   Millennium Business School, which is located in the Western region of Uganda in the district of Hoima, mainly specializes in Catering and Hospitality, Hairdressing and other female-dominated trades. 


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    Uganda UGA1402711