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  • Des jeunes entrepreneurs de la deuxième cohorte en incubation présentent leur projet à des potentiels investisseurs

    RDC: Des jeunes entrepreneurs en parcours d'incubation présentent leur projet à de potentiels investisseurs


    Grâce MALI FAIDA | 02/11/2022

    Le samedi 22 octobre 2022, la 2ème édition « Demoday » de KinEmploi et du Centre de Ressources Mosala a une fois de plus permis à des entrepreneurs.es Kinois.es de présenter leur projet. Au cours de cette journée, 15 projets sélectionnés par un jury d’experts ont été présentés : de la transformation agro-alimentaire, en passant par les énergies renouvelables, la création et infographie, couture et mode, …  L’événement vise à créer des synergies entre les acteurs clés du développement urbain kinois et les entrepreneur/euse.s accompagné.es en incubation


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    DR Congo COD20001

  • Au Bénin, Enabel suscite le leadership féminin et la vocation pour des métiers du numérique.

    Au Bénin, Enabel suscite le leadership féminin et la vocation pour les métiers du numérique


    Reece-hermine ADANWENON | 02/11/2022

    Elles étaient 100 jeunes filles de 14 à 19 ans, issues des lycées et collègues des communes de Kpomassè et de Toffo à participer aux activités marquant la célébration de la 10e édition de la Journée Internationale de la Fille (JIFI 2022). Organisées par le Projet d’Appui à la Santé Sexuelle et Reproductive et à l’Information Sanitaire (P@SRIS) financé par Enabel au Bénin, ces journées d’information et d’éducation ont eu lieu à l’école EPITECH Bénin à Cotonou le 14 octobre et dans les Centres MAJICS de Kpomassè, Ouidah et Toffo du 18 au 20 octobre.L’objectif visé est d’assurer la promotion des droits des filles avec un accès à l’information, de susciter en elles des vocations pour les métiers du numérique et de développer le leadership féminin.Au menu :Etape de Cotonou :• La visite de l’école EPITECH Bénin, où une séance d’échange a eu lieu avec les encadreurs et les étudiantes de ladite école pour expliquer les filières porteuses dans les domaines du numérique.• Une communication portant sur les droits des filles au Bénin : État des lieux et perspectives, animée par Mme Evelyne QUENUM, Conseillère Technique aux affaires administratives du Ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance (MASM) ;• Une sortie découverte organisée à l’endroit des 100 filles pour visiter la statue de l’amazone et le mur de tags du Port Autonome de Cotonou avec la facilitation d’un guide historien.Etape de Kpomassè, Toffo et Ouidah• Dépistage de l’hépatite aux filles des localités de (Agonkanmé, Kpomassè, Coussi, Toffo) du 18 au 20 octobre ;• Au cours du dépistage, en dehors du counseling une information est portée aux filles sur l’hygiène menstruelle. À cette activité un kit d’un sachet de 06 paquets de serviettes hygiéniques par fille. Soit au total 100 sachets de 6 paquets de serviettes hygiéniques ont été distribués.Il est à noter que le Projet santé P@SRIS de Enabel au Bénin s’inscrit dans la dynamique de la protection des droits des filles et œuvre pour :- la création des centres amis et jeunes dans les communes d’intervention ;- l’élaboration d’outils d’éducation sexuelle comme les bandes dessinées pour faciliter le dialogue parent – enfant sur la sexualité et la plateforme d’éducation à la sexualité.


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    Benin BEN19007

  • Accueil et assistance aux victimes dans les postes de Police : les agents renforcés et un service d’appui psycho-social mis en place par la Police rép

    Bénin: Assistance aux victimes et un service d’appui psycho-social mis en place dans les postes de police de la Police républicaine


    Reece-hermine ADANWENON | 31/10/2022

    Les citoyens bénéficieront dorénavant d’un accueil et d’une assistance adaptées aux victimes.Grâce à l’accompagnement du Projet d’Appui à l’Opérationnalisation de la Police républicaine « Volet Gestion de crise » (PAOP-CRI), financé par l’Union Européenne et mis en œuvre par Enabel au Bénin, plus de 600 policiers des commissariats d'arrondissement répartis sur l'ensemble du territoire ont été renforcés sur l’assistance aux victimes et initiés au dispositif psycho-social. Ce dispositif consiste, pour les fonctionnaires de Police, à proposer une aide aux victimes, proches ou témoins d'actes de violence et/ou d'événements traumatisants. Il est marqué par un accueil chaleureux, une écoute, un soutien psychologique au moment des faits et juste après ceux-ci ; un accompagnement lors des démarches administratives ; une orientation vers des services spécialisés correspondant aux besoins de la victime ; la préparation et l'accompagnement lors de l'audition si nécessaire. Encore un bel exemple du peer-to-peer police belge et béninoise ! 


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    Benin BEN19012

  • “After Qudra 2 - Enabel scholarship, I am a step closer to where I want to be”

    Jordan: “After following the programme of scholarship, I am a step closer to where I want to be” says Abdelraheem Halawah


    Ibrahim NASHWATI | 31/10/2022

    Amman - Abdelraheem Halawah, a 19-years-old Jordanian, has a lot to teach us about persistence. In spite his setback in the “Tawjihi” secondary examinations, Abdelraheem never stopped pursing his educational journey. Having passion towards culinary arts, Abdelraheem believes that TVET is the right path for him. “I started looking for scholarships over the internet until I came across opportunities advertised by Enabel’s national partner – Education for Employment (EFE)” Abdelraheem said, and added; “I applied through a Facebook link with hopes I would get accepted”. This scholarship was offered as part of the Qudra 2 programme – Resilience for refugees, IDPs, returnees and host communities in response to the protracted Syrian and Iraqi crises​, co-funded from the European Union Regional Trust Fund "Madad", the German Federal Ministry for Economic Cooperation and Development (BMZ), and Spanish Agency for International Development Cooperation, implemented by Enabel under its on-going project “Skills Development for Employment of Syrian Refugees and Vulnerable Jordanian Youth” in cooperation with EFE. “When I learned that I had been accepted into the programme in September 2021, I was overwhelmed with happiness. It was at that moment I realised that I had a chance to prove and improve myself with my cooking powers. I knew things were going to change for me”, shared Abdelraheem. Wanting to grow in the cooking industry to become a prestigious pastry chef to make his dream come true and further support his family to make ends meet, Abdelraheem was eager to pass his theoretical and practical courses in the sweets making discipline. As he left a positive imprint during his semi-skilled courses and Work-based Learning phase, he was offered back in January 2022 a full-time job as pastry dessert assistant at one of Jordan’s 5-star hotels - where he was completing his practical training aka - Work-based Learning.   “I saw potential in Abdelraheem and offered him a full-time job at our hotel’s sweets kitchen. Today, he’s an official employee with the possibility to grow and thrive in the sector. Le Royal Hotels and Resorts provides Work-based Learning opportunities to youth and fresh graduates because we believe that youth must up-scale their competencies and experiences through real working environment to further acquire the skills they need for today’s labour market”.   -          Faris Ghouka, HR Manager at Le Royal Hotels & Resorts In early 2019, Abdelraheem would always tag along with his father to support him run his business as wedding videographer and photographer. “The way I see it, work is an important factor to productivity and becoming an active member of society. Whenever I had free time, I would accompany my father by being his second hand in parties and weddings, I learned a lot from him and there’s a lot to learn from him in the future”, said Abdelraheem.   Enabel supports youth to receive quality training programmes as a way of finding employment. This project is aligned with the 2030 Agenda for Sustainable Development Goals, and in particular, the Sustainable Development Goal 4, which directly aims to ensure inclusive and quality education for all and promoting lifelong learning.   “The objective of the intervention is to enhance employment outcomes, in particular for Syrian and vulnerable Jordanian youth and women. Today, in collaboration with the VET sector stakeholders, Enabel has developed the Jordan Work-based Learning Model aiming to further refine the trainees’ skills, and make the most of their involvement in their vocational training programmes through engaging them in real-work environments in collaboration with the private sector enterprises”.    -          Zaid Al – Qaisi, Enabel Acting Project Manager  Reflecting on what it means not to pass the his secondary examinations, Abdelraheem has a message for those searching for direction: “be persistent toward what you think about every single day. The way I see it, dreams are doable, through manifestation and daydreaming, which will help you get there soundly”, said Abdelraheem, “after this scholarship, I am a step closer to where I want to be and this is just the start, however, without Qudra 2 – Enabel scholarship, I have no idea how things might have turned out. Fingers crossed the best yet to come", he concluded.


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    Jordanië JOR180011T

  • Au Bénin le personnel organise la « marche rose » pour soutenir la lutte contre les cancers féminins

    Le personnel d'Enabel au Bénin organise la « marche rose » pour soutenir la lutte contre les cancers féminins


    Reece-hermine ADANWENON | 28/10/2022

    Plus de 100 personnes se sont retrouvées pour la marche organisée dans le cadre d’Octobre rose.Vendredi 21 Octobre 2022. Une belle matinée très ensoleillée s’annonce. Il sonnait 6h45. L’entrée des bureaux de la Représentation d’Enabel au Bénin, grouillait de monde. Venus de différents horizons (Abomey-Calavi, Dassa, Bohicon, Cotonou) la centaine de participants à la marche rose sont plus que déterminés. Vêtus de rose et scandant des slogans et chants, ils prennent départ de la représentation à 7H05 en direction du carrefour Fidjrossè. Rien ne pouvait émousser l’ardeur des participants à la marche rose qui ont parcouru près de 10Km en 2 heures en aller et retour.Organisée par Enabel et de l’Agence Française de Développemen à travers le projet EQUITE, cette marche a mobilisé le personnel des 2 agences pour sensibiliser les communautés sur les cancers féminins et rappeler aux femmes l’importance du dépistage précoce. Au terme de cette marche, le Dr Rachidi SIDI IMOROU, Gynécologue et Spécialiste des cancers gynécologiques s’est entretenu avec les participants. Dans sa communication sur les cancers gynécologiques et mammaires, le Dr Rachidi a souligné que le cancer du sein reste le premier cancer féminin au niveau mondial. S’en suit les cancers de l’endomètre et du col l’utérus qui occupent respectivement la 3ème  et la 4ème place sur le plan mondial. Autopalpation des seins une fois par mois recommandée et frottis vaginal chaque 2ans pour le dépistage des cancers féminins les plus fréquents : seins et col de l’utérus !Plusieurs facteurs de risque font le lit à ces cancers : il s’agit entre autres de l’âge (l’incidence du cancer du sein croit avec l’âge) des facteurs hormonaux tels que l’obésité, la puberté précoce, la ménopause tardive après 52 ans, la nulliparité, une 1ère grossesse tardive, et l’absence d’allaitement sans oublier les facteurs prédisposants tels que les antécédents familiaux de cancers et les mutations.  Parlant des symptômes le Dr Rachidi SIDI IMOROU a souligné qu’il peut s’agir de tumeur du sein, d’écoulement sanglant, d’érosion, d’anomalies du mamelon, de seins inflammatoires et des adénopathies.Ces maladies sont les plus fréquentes au Bénin et peu de femmes connaisse leur existence et les moyens de prévention. Selon le Dr Rachidi SIDI IMOROU, la majorité des cas sont dépistés tardivement et les pronostics vitaux souvent mitigés. A ce propos, il a invité les femmes à faire leur consultation gynécologique systématiquement chaque année pour un dépistage systématique de ces cancers. Aussi, il a exhorté les femmes à faire l’autopalpation des seins un moyen de détection précoce utilisable à l’échelon d’une population entière.La femme doit apprendre à examiner ses deux seins ainsi que les zones axillaires une fois par mois.Et chez la femme jeune de 20 ans et +, une fois par mois, le 5e ou 6e jour après le début des règles. Les femmes ménopausées doivent le faire une fois par mois, le 1er du mois a recommandé le Dr Rachidi SIDI IMOROU. 


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    Benin 2204BEN

  • Au Burundi, Enabel s’implique avec l’organisation suisse Skat pour une architecture durable utilisant la brique moderne « smart »

    Au Burundi, Enabel s’implique avec l’organisation suisse Skat pour une architecture durable utilisant la brique moderne « smart »


    Donavine KWIZERA | 28/10/2022

    Enabel et Skat, à travers son programme PROECCO (promotion de l’emploi et du revenu non-agricole à travers la production écologique des matériaux de construction), ont signé ce 17 Octobre 2022 un protocole d’entente pour le développement des compétences en technologie de construction. Ce protocole a pour objectif de vulgariser la nouvelle technologie de construction en système Row Lock Bond (RLB), afin de soutenir la promotion des matériaux de construction écologiques. Les briques RLB sont des briques modernes perforées et standardisées qui permettent de diminuer la quantité de matériaux dans les constructions, sans compromettre leur rigidité. Elles valorisent des ressources disponibles localement (l’argile présente en abondance dans la Région des grands lacs) et sont adaptées au climat et au contexte burundais. Les avantages sont à la fois d’ordre économique, technique et environnemental.Du point de vue économique, les infrastructures construites avec ces briques sont moins chères par rapport aux constructions classiques en béton armé. L’utilisation des matériaux locaux et corollairement la diminution des matériaux importés comme le ciment, permet la diminution des coûts de construction.Techniquement, grâce aux caractéristiques techniques des briques et à la technique d’assemblage, le confort thermique et acoustique des bâtiments est amélioré. Au niveau environnemental, la cuisson de la brique moderne Row Lock Bond utilise des combustibles de déchets végétaux qui contribue au respect de l’environnement et permet de mettre en œuvre davantage de bâtiments à faible empreinte carbone. Prenant en compte tous les facteurs de production et de construction, la brique moderne (RLB) utilise 70 à 80 % moins d’énergie que les briques traditionnelles.  Depuis 2018, Enabel a intégré cette nouvelle technique de la brique moderne dans plusieurs projets de construction dans les différents projets au Burundi. Ce procédé de construction innovant cumule la promotion de la protection de l’environnement et le développement socioéconomique par la création d’emplois porteurs. Skat/PROECCO a déjà construit 58 infrastructures avec la brique moderne au Burundi dont 15 appuyés par Enabel dans les différents projets déjà réalisés et planifiés. Compte tenu du changement climatique et du risque accru de catastrophes naturelles, et plus globalement de destruction de l’écosystème par les activités humaines, il est crucial de promouvoir des formes plus durables de bâtiments et d’infrastructures.  Enabel promeut ainsi les constructions durables qui font référence à diverses approches architecturales et solutions techniques visant à réduire leur empreinte écologique et leurs impacts négatifs sur l’environnement tout au long du cycle de vie. Le rôle de Skat dans ce protocole sera d’apporter son expertise technique pour garantir la faisabilité qui contribue au développement du secteur de la brique et de la construction au Burundi.


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    Burundi BDI1307811

  • Premier atelier de coopération entre services publics de l’emploi belges, tunisien et marocain.

    Au Maroc, tenue du 1er atelier de coopération entre les services publics de l’emploi belge, tunisien et marocain


    Valérie GILS | 24/10/2022

    Les 27 et 28 juillet derniers, les services publics de l’emploi de la Belgique (VDAB, FOREM et ACTIRIS), le Maroc (ANAPEC) et la Tunisie (ANETI & ATCT) se réunissaient pour la première fois dans le cadre du projet THAMM-Enabel, le projet belgo-tunisien-marocain (2020-2023) financé par l’Union européenne (Fonds Fiduciaire d’Urgence fenêtre Afrique du Nord) dans le cadre du Programme multi-acteurs THAMM qui vise à favoriser une migration légale et une mobilité mutuellement bénéfique.  THAMM-Enabel poursuit 2 objectifs spécifiques du programme : (i) L’établissement ou l’amélioration des schémas de mobilité (ii)l’amélioration du dialogue et la coopération entre les acteurs de la mobilité et de l’emploi. Dans le cadre de ces objectifs, l’organisation des ateliers thématiques de coopération entre les services publics de l’emploi constitue un cadre d'échange d'expériences et d'expertises dans les domaines de la promotion de l'emploi et de la mobilité. Ainsi, tout au long du projet THAMM-Enabel, une série d’ateliers thématiques sera organisée, ainsi que des visites d’études et des évènements d’échange d’expertise. La présente thématique du premier atelier de “placement depuis/vers l’international” était identifié comme stratégiquement prioritaire par la Direction de l’ANAPEC suite à un diagnostic réalisé par ILO, partenaire du projet THAMM. L’atelier se déroulait en modalité hybride entre les trois pays ; les participants se réunissaient physiquement en plénière au niveau national, l’atelier permettant donc de connecter les trois lieux d’échange national en favorisant les interactions intra- et inter-pays. En Belgique étaient présent le VDAB, le FOREM et Actiris, au Maroc l’ANAPEC et en Tunisie l’ANETI et l’ATCT. De plus, La Direction Générale de placement à l’étranger et de la Main d’œuvre Étrangère, qui relève du Ministère Tunisien de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, assistait en présentiel dans sa capacité du chef de file de programme THAMM en Tunisie. Ce premier atelier se focalisait sur un triple objectif visant à stimuler la coopération entre les services des trois pays, déterminer les métiers en pénurie communs aux différents marchés de l’emploi avec la définition des profils d’entrée et de sortie des talents et de leurs programmes de formation et enfin, valider les questions de la Recherche-Action qui étudie le modèle testé par le projet. L’ANAPEC, au Maroc et l’ANETI ainsi que l’ATCT, en Tunisie sont les acteurs clés en matière de sélection des talents du THAMM-Enabel, de leur formation et leur placement/intégration/réintégration tant à l’international qu’au niveau national. La coopération avec leurs homologues en Belgique est cruciale pour atteindre les objectifs attendus. C’est la raison pour laquelle un plan d’action relatif aux thématiques de coopération prioritaires a été élaboré à la suite du premier atelier et sera mis en œuvre tout au long du projet THAMM-Enabel. Composante essentielle du THAMM-Enabel, la recherche-action vise à ce que la recherche et l’action s’enrichissent mutuellement, dans une optique de moyen terme, mais également de court terme en intervenant lors de chaque étape du projet. Menée par l’Institut Egmont, elle repose notamment sur une vision holistique du projet, en travaillant sur les trois pays du THAMM-Enabel et entend insuffler la réflexion stratégique sur l’organisation des schémas de mobilité entre la Belgique, la Tunisie et le Maroc ainsi que la facilitation de la concertation entre les différents partenaires.


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    Marokko MAR20001

  • La mobilité humaine : “It’s the future ! : Visite Secrétaire d’Etat belge à l’Asile et à la Migration

    Maroc: visite de 2 de nos projets par la Secrétaire d’Etat belge à l’Asile et à la Migration


    Valérie GILS | 24/10/2022

    Le 13 juillet 2022, la nouvelle Secrétaire d’État belge à l’Asile et à la Migration, Mme Nicole De Moor, a effectué une première visite au Maroc. Au cours de sa visite de deux jours, la Secrétaire d’État a eu le plaisir d’échanger avec les autorités marocaines sur le renforcement de notre coopération en matière de migration. Une visite au projet THAMM et le projet Amuddu, mis en œuvre par Enabel, a donné un aperçu intéressant de l’impact de notre coopération bilatérale sur le terrain. Dans ce cadre, 3 talents ayant participé au projet PALIM et étant intégré dans le projet THAMM, ont partagé leur expérience de reconversion en IT et leur ré-integration dans le marché de travail (marocain et international) avec Mme Nicole de Moor. En effet, le Partenariat pour les Compétences (Global Skills Partnership) s’adresse à des talents qui ont obtenu un diplôme mais qui n’ont pas réussi à trouver leur place dans le marché de l’emploi et qui sont donc au chômage. Tout en évitant toute forme de ‘brain drain’, le projet THAMM vise à offrir de nouvelles opportunités à ces talents potentiels écartés du marché de l’emploi, pour autant qu’ils soient prêts à s’investir dans une formation. En leur offrant des formations complémentaires ou de requalifications adaptées aux besoins du marché tant dans leurs pays d’origine qu’en Belgique, ces jeunes talents requalifiés montent en compétences et ont accès aux opportunités d’emploi sur les deux marchés. Les formations offertes se tiennent dans les pays d’origine des talents, permettant ainsi une amélioration de la capacité du pays à répondre à ses propres besoins en expertise. La rencontre avec les talents sélectionnés pour cet échange vise à faire ressortir ces éléments, même si leurs parcours sont atypiques et diversifiés. Ensuite, M. Benkhaled, le CO de l’entreprise Peacock, a échangé avec la Secrétaire d’Etat autour de la perspective des entreprises et les relations public-privé. La mise en place d’un Partenariat Public Privé (PPP) n’est pas facile à établir mais, pour qu’il soit couronné de succès dans le cadre du partenariat pour les compétences, il faut pouvoir compter sur l’engagement des entreprises, car elles créent de l’emploi et génèrent des revenus sûrs, tout en assurant le transfert des connaissances techniques et en promouvant les technologies d’avenir. PEAQOCK Financials représente l’une des entreprises engagées, qui a pu recruter pas moins de 8 talents formés dans le cadre du projet PALIM et qui participe aussi dans la recherche action au sein du projet THAMM.  Cette première visite à l’étranger de la Secrétaire d’État était une réussite et un élément positif pour la future coopération belge-marocaine. Après avoir visionné la vidéo de l’ancien projet pilote PALIM, fait à l’occasion de la visite de la Commissaire Européenne, Ylva Johansson, la Secrétaire d’État était tout à fait d’accord avec les mots de Madame Johansson sur l’approche GSP de la mobilité humaine : It’s the future !   A titre de rappel, le projet THAMM vise à favoriser pour les pays d’Afrique du Nord des possibilités de migration et de mobilité de main-d’œuvre sures, ordonnées et régulières, mutuellement bénéfiques à travers la mise en place de schémas de mobilité avec la Belgique, le Maroc et la Tunisie.  Enabel met en oeuvre ce projet suivant le modèle “Global Skill Partnership”, qui considère que la mobilité du travail n’est bénéfique pour toutes les parties que si les employés potentiels peuvent trouver un emploi qualifié dans leur pays d’origine et dans le pays de destination. THAMM vise essentiellement la formation de talents au Maroc et en Tunisie, et leur mise à l’emploi, tant au Maroc et en Tunisie qu’en Belgique.   


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    Marokko MAR20001

  • Enabel boosts Acholi region Blood Bank collect over 800 blood units

    In Uganda, Enabel boosts Acholi region Blood Bank collect over 800 blood units


    Agnes KABAIKYA | 21/10/2022

    Fred is a senior six candidate at Reverend Jabuloni Isoke Secondary School in Kitgum district, northern Uganda waiting to sit his final exams.  Despite his busy schedule, Fred will always get time to donate blood because of his childhood experience. This is his fifth time to donate. Fred says his mother told him that while he was 3 years old, during the time of the Lord’s Resistance Army war that ravaged northern for over 2 decades, he got severe malaria and was admitted at Kitgum government hospital. The doctors at the hospital told her mother, her son needed blood and that the hospital did not have any. As her mother was still pondering and taking in news of an impending outcome if she does not find a blood donor to save his son, luckily there were two men walking around the hospital compound and when she narrated to them her plea, they accepted to donate their blood. That’s how Fred’s life was saved and that is his motivation to donate blood every time he gets a chance to save a life, just like his was saved by a stranger. The inspiration of Ronald Joyce Idiba, a senior three student at the same school is not different from Fred’s. Ronald a fourth time blood donor says his young brother always gets severe malaria and is in need of blood. So whenever he presents his blood donation card, they give him free blood and that motivates me to donate blood every time he gets a chance. For Ochora Winfred, a 19-year student in S3 has a brother with sickle cells who always needs blood whenever he runs out of blood. That’s why I also give blood to save others. From the many of the blood donors I interacted with, many give blood for lifetime experiences themselves have experienced or their relatives. Akena Robinson a senior six student says, he will continue donating blood because he is surviving on someone’s blood. Akena says his mother told him at 2 years old, he got malaria and I needed blood and because someone else donated blood to save his life, he will keep donating. This was his fourth time to donate. To Lamwaka Dorcas, it is because of his grandfather who has diabetes and sometimes needs blood. Others think about what would befall them in future. To Lakot Monica, I want to save someone life by donating blood because even me when I fall sick someone else will donate their blood. This is my 3rd time to donate blood and will continue donating more. To others most especially students, they say by donating blood at a tender age, that’s the best they can give back to the world to save a life. To others they want to give back to humanity through donating blood. Akera Alfred Lukwata says, he is convinced that giving blood is good, you give back to humanity such that, that good ness will come back to you when yourself need the blood. Enabel recently supported a blood donation drive in Acholi region. The drive targeted mainly secondary schools and tertiary institutions. The week-long exercise collected a total of 827 units. According to Dr. Gerald Rukundo, the Director Lango/Acholi region Blood Bank, there is a high prevalence of malaria in Acholi region and this calls for high demand of blood, yet people in the region reluctantly donate blood. This calls for mass mobilisation and sensitisation to be done in the region.   Dr. Gerald says, every day they receive over 150 requests of blood units, but they can only issue-out 60 units daily. Lacor hospital alone is given 40 units out of the 60 units disbursed daily from Gulu region blood bank. Human beings need blood to be alive. It is pumped by the heart  to all parts of the body, after which it is returned to the heart to repeat the process. Blood is therefore important in transporting oxygen and nutrients to the cells and carries away carbon dioxide and other waste products.


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    Oeganda UGA180371T

  • Burundi : Deux délégations burundaise participent aux échanges d’expérience sur la stratégie de financement de la santé au Sénégal et en Côte d’ivoire

    Deux délégations burundaises participent aux échanges d’expérience sur la stratégie de financement de la santé au Sénégal et en Côte d’ivoire


    Jean BIRONKWA | 20/10/2022

    Deux délégations représentants du Ministère de la santé Publique, du Ministère en charge de la solidarité, des finances, de la primature, de l’Assemblée Nationale ainsi que ceux de la Commission nationale de protection sociale et de la mutuelle de la fonction publique se sont rendues au Sénégal et en Côte d’ivoire du 01 au 09 octobre 2022. Parmi les deux délégations, le Programme AMAGARA MU MURYANGO financé par l’Union Européenne et le Royaume de Belgique a accepté de prendre en charge financièrement 7 membres des délégations Cette mission avait pour objectif d’apprendre de l’expérience du Sénégal et de la Côte d’Ivoire dans l’élaboration et la mise en œuvre de l’assurance maladie universelle en vue d’atteindre la Couverture Sanitaire Universelle.   Depuis quelques temps, le Ministère ayant en charge la santé publique et celui de la solidarité nationale ont engagé des réflexions sur la stratégie de financement de la santé au Burundi pour aller vers la couverture sanitaire universelle. Pour booster cette réflexion, les partenaires au développement du secteur de la santé au Burundi ont appuyé une délégation d’une vingtaine de cadres issus des secteurs variés du Burundi. Le choix du Sénégal et de la Cote d’Ivoire a été motivé par les avancées remarquables signalées dans la mise en œuvre de l’assurance Maladie Universelle pour tendre vers la Couverture Sanitaire Universelle (CSU) dans ces pays. Au cours cette mission, les différentes délégations burundaises ont eu l’occasion d‘échanger avec les différents responsables des institutions et des structures visitées sur certains sujets dont (i)l’offre des soins et l’organisation générale de la demande de soins ;(ii) les contraintes majeures rencontrées dans la mise en œuvre du FBP  ; ( iii) la gestion institutionnelle et des ressources allouées à la santé en général et à l’assurance Maladie Universelle ( AMU) en particulier,(iv )  l’évolution des autres formes de financements dont le FBP vers la CSU,;(v) la catégorisation de la population et détermination de la part contributive de chaque catégorie aux soins de santé  ainsi que (vi) les conditions spécifiques à mettre en place pour faciliter l’évolution du FBP dans un contexte de mise en œuvre de l’AMU, pour ne citer que ceux -là.Pour mieux répondre aux attentes de la mission, les deux délégations ont réalisé des entretiens auprès des organisations et personnalités variées telle que la représentation de l’OMS en Côte d’Ivoire et au Sénégal, les Ministères de la Santé de ces deux pays avec des rencontres aux différents partenaires qui appuient la CSU, spécialement l’institution en chargé de l’AMU et CSU de ces deux pays et les partenaires techniques et financiers appuyant l’AMU/CSU. La mission a été une occasion d’apprendre que la CSU implique une disponibilité des soins de santé de qualité de façon continue sur tout le territoire du pays et accessibles à la population sans difficultés financières, çàd les ressources humaines, les médicaments et autres intrants, infrastructures, équipements et maintenance remplissant les normes. Cet échange d’expériences permettra au Burundi de finaliser le document de stratégie nationale de financement de la santé pour tendre vers la CSU au Burundi, participer à la mise en œuvre efficace des activités de l’assurance maladie universelle et d’autres stratégies en vue d’atteindre la CSU au Burundi. Le Gouvernement du Burundi a décrété la gratuité des soins et services de santé pour les enfants de moins de 5 ans, les accouchements et les pathologies liées à la grossesse depuis 2006. Cependant cette bonne volonté a créé des situations non désireuses notamment le retard de remboursement des factures dans les structures de soins, la surfacturation des actes médicaux, à la surcharge de travail du personnel de santé et à sa démotivation et au manque de médicaments et équipement etc. Pour faire face à ces difficultés, le Gouvernement du Burundi, via le Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida (MSPLS) a pris l’option de financer le paquet des soins gratuit à travers un système de Financement Basé sur la Performance (FBP) et des outils de mis en œuvre du FBP-Gratuité ont été élaborés et validés. Le Programme d’Appui au Système de Santé a démarré ses activités depuis juin 2016 et a débuté sa troisième phase en juin 2022 dénommé AMAGARA MU MURYANGO.   Ce Programme s’est inscrit dans cette stratégie de financement du Burundi pour contribuer au cofinancement des soins et services de la santé au Burundi. Cette troisième phase vise à promouvoir la mise en place de la couverture sanitaire universelle avec un accent sur l’amélioration de l’accès durable aux services de santé et de la qualité des soins, en particulier en matière de santé de la reproduction, maternelle, néonatale, infantile et des adolescents. Le cofinancement des soins et services de santé pour les femmes enceintes, celles qui accouchent et les enfants de moins de 5 ans est la principale activité de cette troisième phase du Programme.    


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    Burundi BDI21002

  • Au Sud-Est du Maroc : les Hackathons des Zones Oasiennes pour promouvoir l’entreprenariat oasien durable

    Au Sud-Est du Maroc : les Hackathons des Zones Oasiennes pour promouvoir l’entreprenariat oasien durable


    Julie GEERTS | 20/10/2022

    Les projets PAGIE et AJI, ensemble avec leurs partenaires, ont organisé 8 « Hackathon des Zones Oasiennes » lors des derniers mois dans les provinces de Guelmim, Ouarzazate, Midelt, Tinghir, Errachidia, Figuig, et Zagora.      Qu’est-ce le hackathon des zones oasiennes ?     C’est un évènement de 4 jours qui regroupe 30 jeunes porteur·euse·s de projets innovants et durables en lien avec la zone oasienne.     L’objectif est de développer davantage ces projets pilotes afin de promouvoir le business dans la zone oasienne et, in fine, contribuer à la préservation de l’écosystème oasien.     Concrètement, des formations sur les différents types d’entreprise, la procédure de création d’entreprise, l’esprit d’entreprenariat, ainsi que les techniques de plaidoyer sont prévues. Appuyé par des experts en entrepreneuriat, les participant·e·s ont ensuite élaboré leur business plan ainsi qu’un pitch dynamique de leur projet.     A l’issu de cet accompagnement, les participant·e·s seront capable de présenter et de défendre leur projet, leur business model canevas et leur business plan.     Pourquoi ?    Dans la zone oasienne marocaine, l’entreprenariat reste un levier important pour l'insertion et l’intégration des jeunes et femmes dans le tissu économique. De plus, l’émergence d’une nouvelle génération de jeunes entrepreneur·euse·s oasien·ne·s limitera l’exode rural et contribuera, in fine, à la préservation de l’écosystème oasien. Cette préservation est devenue un enjeu crucial des acteurs locaux et régionaux, publics comme privés.     Dans ce cadre et dans la perspective de booster la créativité et l’innovation des jeunes oasiennes, l’ANDZOA, Enabel, APEFE, CRI, ANAPEC, ONCA et ORMVA organisent ces Hackathons dans toute la zone oasienne.      Pour rappel :    Le PAGIE « Projet d’Appui aux Groupements d’intérêt Économique pour le développement de la filière dattes au niveau des Oasis Marocaines » est une intervention de coopération bilatérale belgo-marocaine qui vise l’amélioration durable des conditions de vie des petit·e·s producteurs et productrices de dattes dans les zones oasiennes. Le projet est mis en œuvre par l’ANDZOA, Enabel, l’ORMVAO, l’ORMVAT, l’ONCA, et l’ADA.    Le programme AJI « Appui aux Jeunes Initiatives » est un programme belgo-marocain qui vise la promotion et l’amélioration de l'entrepreneuriat et l'employabilité des jeunes entre 18 et 35 ans au Maroc. AJI est mis en place par l'APEFE Wallonie Bruxelles et financé par l'État Belge via Enabel.   


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  • Au Burundi, rencontrez la jeunesse entreprenante de la province Gitega !

    Au Burundi, rencontrez la jeunesse entreprenante de la province de Gitega !


    Donavine KWIZERA | 20/10/2022

    L’entrepreneuriat des jeunes contribue à diminuer le chômage et augmente les possibilités d’emploi. Les coopératives quant à elles jouent un rôle important dans le développement communautaire, elles autonomisent les personnes, elles agissent comme des catalyseurs, non seulement pour la croissance économique, mais aussi pour le bien-être social.C’est dans cette optique qu'Enabel en partenariat avec Spark vient d’appuyer des jeunes regroupés au sein de 19 petites et moyennes entreprises (PME) pour leur démarrage effectif dans la province de Gitega. Ces jeunes ont tous suivi une formation sur l’élaboration des plans d’affaires et ont ensuite participé à une compétition de plans d’affaires, organisé par Spark et son partenaire burundais CEMAC. Les gagnants de ce concours recevront un appui matériel et technique pour le lancement de leur entreprise, par le biais d'équipements donnés par Enabel et d’appuis technique par les business coach de CEMAC et Spark. Vous êtes curieux de connaître les gagnants ?Rencontrez certains d'entre eux ci-dessous !  1. Awaken Youth Center for Development (AYCD) Âgé de 24 ans, NIYOMWUNGERE Willy est un jeune créatif de Gitega débordant d'idées, mais qui n'a pas toujours trouvé le soutien ou les partenaires nécessaires. Grâce à YouTube, il a été familiarisé avec la fabrication de sandales et a appris les techniques pour le faire. Cependant, comme cela nécessite également des techniques de couture et que Willy ne les maîtrisait pas, il a fait appel à des amis lauréats en couture des CFP de Gitega et Bwoga. Ils se sont alors associés et ensemble ils ont créé la coopérative Awaken Youth Center for Development (AYCD), qui est composée de deux filles et trois garçons, tous âgés de moins de 25 ans.  Willy, qui est en même temps actionnaire principal, s’occupe du design et les autres s’occupent d’autres aspects liés à la couture. Chacun de ces cinq actionnaires doit déposer un montant de 500 000Fbu (soit 250 euros) comme capital et pour le moment, chacun a déjà déposé 250 000Fbu (soit 100 euros) à seulement deux mois du démarrage, cela grâce à leur motivation et passion, précise Willy. Avec la rentrée scolaire de 2022, cette coopérative a reçu plusieurs commandes des parents qui achetaient des chaussures pour leurs enfants et a réussi à réaliser un chiffre d'affaires de 900 000 Fbu (soit 450 euros). « La fabrication des chaussures est une innovation, c’est un domaine non encore conquis » nous a confié Willy. 2. Coopérative des jeunes instruis pour la transformation agroalimentaire (COJITA) Dix-sept jeunes (10 filles et 7 garçons) lauréats de la filière transformation agroalimentaire (TAA) au CFP Gitega se sont mis ensemble et ont créé la Coopérative des jeunes instruits pour la transformation agro-alimentaire (COJITA). Cette coopérative est engagée dans la transformation du lait de soja, la transformation de jus de fruits et la restauration.   Après deux mois de démarrage, la clientèle se multiplie du jour au jour.  La coopérative a déjà fait un bénéfice de 500 000Fbu au mois de septembre dernier grâce à la vente de leurs produits alimentaires. « Nous avons gagné facilement la confiance de nos clients grâce à notre professionnalisme et savoir-faire » nous a dit Alice, l’une des membres de la COJITA avec un regard souriant. 3. Coopérative Girumwete Ndayisaba Emmanuella, jeune fille dynamique et accueillante, s’est mise ensemble avec six autres lauréates du CFP Gitega en couture, pour démarrer la coopérative Girumwete. Ces dames motivées bénéficiaient déjà de machines grâce au mécanisme de leasing du projet ACFPT/Enabel et, après la formation en business plan de Spark, elles ont décidé de se donner la main pour faire passer leur travail au niveau supérieur en tant que coopérative dotée d'équipements de pointe. « Chacune de nous sept possède de sa propre machine à coudre, le rendement sera meilleur qu’avant » a souligné Emmanuella, avec un visage rayonnant de joie.  


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  • Au Bénin, les conducteurs de taxi-motos appelés « zémidjans » découvrent le concept de Police Communautaire et s’en réjouissent !

    Au Bénin, les conducteurs de taxi-motos appelés « zémidjans » découvrent le concept de Police Communautaire et s’en réjouissent !


    Reece-hermine ADANWENON | 19/10/2022

    Afin d’informer davantage les communautés sur le concept de Police Communautaire, Enabel à travers le Projet PAOP a initié une campagne d’information et de sensibilisation sur le concept de police communautaire depuis Juin 2022. Les zémidjans adhèrent au concept de Police Communautaire Après les étapes des communes de Parakou et Tchaourou, c’est le tour de la commune de Cotonou d’accueillir la campagne d’information et de sensibilisation des communautés sur l’approche police communautaire développée par la Police républicaine avec l’appui du projet d’Enabel, financé par le Royaume de Belgique. Tour à tour, les éléments du commissaire de Vodjè Arouna Abdou Daouda, soutenus par les commissaires Joël Fèliho, Delphin Koumbo, Ismath Chabi, Ambroise Hounhouèdo, ont expliqué aux conducteurs de taxi-moto, en langue française et en Fon, les principes qui fondent la police communautaire. Il s’agit du Partenariat, la Résolution des problèmes, l’Implication responsable, la Réorientation externe, la Redevabilité. « Vous ne devrez pas avoir peur de la police. Les agents de police sont vos frères et sœurs. Ils ont besoin de votre apport pour mieux assurer votre sécurité… », voilà le message délivré par la police aux populations de Cotonou, à travers les conducteurs de taxi-moto. Le commissaire de Vodjè a partagé avec eux son numéro de téléphone, pour qu’ils le tiennent informé en temps et en heure de toute menace à la sécurité.Pour Christophe Aspeel, Intervention manager du projet PAOP & PAOP-CRI, l’objectif, a-t-il dit, c’est de mettre en place sur le territoire béninois, en commençant par Cotonou, Parakou et Tchaourou, cette philosophie de police communautaire, d'expliquer que la police a besoin de la population pour travailler ensemble, pour coproduire la sécurité. En matière de résultat déjà obtenu, il a laissé entendre qu’au commissariat du 3e arrondissement de Parakou, il a été enseigné aux fonctionnaires de police comment écouter les populations, les réorienter si nécessaire, les entendre de manière confidentielle pour répondre à leurs besoins.« Nous voulons impacter, toucher le plus grand nombre de partenaires et leur expliquer le rôle qui est le leur pour contribuer de façon efficace à l’aide qu’ils doivent porter à la Police Républicaine pour remplir ses missions quotidiennes », a laissé entendre le commissaire de police de première classe Éric Orou Yérima, chef de communication de la Police républicaine.A Cotonou, pendant trois jours, trois arrondissements ont été sillonnés par les fonctionnaires de police qui avaient pour mission d’expliquer le concept de police communautaire aux conducteurs de taxi-moto, de susciter leur adhésion et de faire d’eux des ambassadeurs de la mise en œuvre effective de cette approche auprès de leur client. Au Bénin on compte plus de 250 000 Zémidjans et plus d’un (1) million de personnes vivent des revenus issus des activités de Zémidjans et plus de deux (2) millions de personnes en sont des usagers selon le Fonds des Nations Unies pour le Développement du capital (UNCDF).


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  • Enabel and Gender Monitoring Office celebrate Rwandan women entrepreneurs with the launch of a new project

    Enabel and Gender Monitoring Office celebrate Rwandan women entrepreneurs with the launch of a new project


    Tom CROHIN | 19/10/2022

    Kigali, 14 October 2022 – More than 80 people gathered to discuss the socio-economic impact of women’s entrepreneurship in Rwanda. Initiated by Enabel, the Belgian development agency in partnership with Rwanda’s Gender Monitoring Office (GMO), the Ministry of Gender and Family Promotion (MIGEPROF) and the National Industrial Research and Development Agency (NIRDA) , this event took place on the occasion of the launch of the Awa Prize, a new international contest for women entrepreneurs. On this occasion, a large audience composed of entrepreneurs, private sector development experts, government bodies were invited to join the crucial conversation on women’s entrepreneurship as a tool for socio-economic development of urban and rural communities. The evening was introduced by Jean-Michel Swalens, Head of Cooperation at the Embassy of Belgium in Rwanda.Concerned with the topic of gender equality on society at large, he said : “Belgian cooperation is committed to supporting Rwanda in creating an increasingly favorable environment for entrepreneurship with particular attention to women. The Awa Prize initiative will be of great help to succeed!”To lead the discussion, four experts took part in a round table to share their expertise and viewpoints on this paramount question : Francine Munyaneza from Munyax Eco, Florien H. Rurihose, Deputy Chief of the Gender Monitoring Office (GMO), Annette Mukayiranga from the National Industrial Research and Development Agency (NIRDA) and Sifa Florence Sangwa, agriculture student. The conversation started around the topic of family life and its impact on the creation of a company for a woman. It appeared that while a family can be a great source of support, relatives’ concerns, as caring as they are, can also be a brake. In the agricultural sector, and especially in rural areas, some challenges can be more difficult to tackle for women entrepreneurs. A better access to information, by communicating through the relevant medias will enable more women from rural areas to access the opportunities they may not be aware of. The importance of building relevant programs for women was also stressed. According to several participants in the attendance, women’s needs and voice need to be taken into account in the very conception of such support initiatives. “Women are not statistics!” said Annette Mukayiranga, from NIRDA. “Women need to be treated the same way as men when it comes to entrepreneurship.” Besides the potential solutions formulated throughout the discussions, one idea often appeared as an important basis for a better distribution of opportunities in entrepreneurship : the importance of fellowship, mutual support and strong networks of women entrepreneurs. The round table was the first of a series of events around women entrepreneurship which will be organized by Enabel in the four upcoming years as part of the Awa Prize, a new international competition for women entrepreneurs in all partner countries of the Belgian development agency. This project aims at shedding the light on women who animate their communities with their business. Rwandan entrepreneurs are invited to apply on the website of the project until October  24.


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  • The use of Ultrasound Digital tool enables changes

    In Rwanda, the use of Ultrasound Digital tool enables changes


    Denise NSANGA | 18/10/2022

    Enabel’s Health intervention, in partnership with Rwanda’s Ministry of Health, is providing ultrasound machines to Health Centers as well as tablets for timely and digital reporting. Since July 2021, Enabel provided 83 ultrasound machines to Health Centers in two of the districts of intervention, namely Karongi and Rusizi in Rwanda’s Western Province, and trained midwives on the use of the ultrasounds. The move aims to support Rwanda’s Ministry of Health to adopt the World Health Organization’s recommendation for all pregnant women to receive one ultrasound scan during the Antenatal Care Service and before 24 weeks to estimate gestational age, improve early detection of anomalies and improve pregnancy experience. Training sessions on the use of ultrasound machines were organized in collaboration with Obstetric / Gynecologists and Sonographers/Medical imaging officers from referral hospitals and continue face-to-face support to the midwives to improve their skills at health center. Providing Ultrasound services at the Health Center is an innovative approach in Rwanda. As such, and as expected, some teething problems have been reported. These include failure to collect timely and accurate information on the ultrasound service to the pregnant women. This, in turn, has led to incomplete and/or delayed information on the ultrasound services. The key reason for this is that the routine health information system does not collect specific information on ultrasound services. It is in this context that Enabel, through Barame project, designed, produced and provided a user-friendly digital tool for Health Centre practitioners to collect, analyze, report and visualize data generated during the ultrasound scanning, through dashboard. Indeed, reliable data of the pregnant women is highly needed and can be remotely monitored for evidence-based decision making. Furthermore, this new strategy itself should be evaluated to identify the usefulness, and potential weaknesses and challenges that will require improvement before scaling up to more districts and health centers.  Health care providers from Karongi and Rusizi District Health Centers, ahve already been trained on the digital tool. Such training sessions will be provided to all Health Centers in all districts of intervention after having provided them with ultrasound machines, thus equipping them with  knowledge on the use of this new technology. In total, 131 ultrasound machines are planned to be provided to 131 Health Centers from seven districts of Barame intervention. The same Health Centers will be provided with tablets to use the ultrasound reporting tool.    


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    Rwanda RWA19009