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  • Mettre en lumière notre engagement : L'Ambassadrice témoigne de l'impact positif du projet P@SRIS

    Bénin: Réalisations impactantes pour la santé et les droits des patients


    Reece-hermine ADANWENON | 19/07/2023

    Poursuivant son périple pour la visite des projets mis en œuvre par Enabel dans le cadre du programme de coopération bénino-belge pour la période 2018-2023, Mme Sandrine Platteau, ambassadrice de la Belgique au Bénin s’est rendue le vendredi 14 juillet 2023 dans le département de l’Atlantique.La vision du Programme: L’ambition est de créer un environnement inclusif et équitable où chaque individu, quel que soit son sexe, son âge, sa situation économique ou sa provenance géographique, ait accès à des soins de santé de qualité et à une information fiable sur la santé sexuelle et reproductive. Les réalisations :Grâce aux efforts communs des acteurs et parties prenantes du programme, des progrès significatifs dans plusieurs domaines clés sont enregistrés :Santé sexuelle et reproductive : Nous avons : - renforcé l'accès aux services de planification familiale (PF), aux contraceptifs et aux soins prénatals, permettant ainsi à de nombreuses personnes d'exercer leur droit fondamental à décider librement du moment et du nombre d'enfants qu'elles souhaitent avoir.- contribué à la construction et l’équipement des centres MAJICS Toffo et Kpomassè et appuyer leur animation- mis à disposition de motos pour les centres MAJICS- organisé des activités d’Information, d'Education et de Communication (IEC) avec des ONGs subsidiées;- organisé des activités de Counseling dépistage IST/VIH et Hépatite B- mis en place des stratégies avancée dans les localités reculées. Réduction de la mortalité : Nous avons mis en place des programmes de dépistage précoce et de prévention des maladies, sauvant ainsi des vies et améliorant la santé globale de la population ; - contribué au renforcement de la qualité des soins obstétricaux et néo-nataux (SONU) pour la réduction de la mortalité maternelle;- amélioré le plateau technique en dotant les Centres de Santé et Hôpitaux de zones d’intervention du programme en équipements médicaux (autoclave, table de réanimation néo-natale, aspirateurs, concentrateurs d’oxygène, appareil à tension, glucomètre, analyseur d’hémoglobine glycquée, etc.);- mis en place d’un Centre de formation SONU à Allada qui a permis de former à la date d’aujourd’hui 325 sage-femmes;- accompagné la construction d’incinérateurs de type DNSP dans plusieurs Centres de Santé pour améliorer l’élimination plus écologique des déchets bio-médicaux;- participé à la reconstruction de plusieurs centres de santé et maternité dans les zones d’intervention du programme et mettre à la disposition des centres de santé du matériels roulants ( 01 véhicule de supervision, des ambulances, des motos pour les stratégies avancées et les Chefs des Centres de prise en charge de VBG pour appuyer la lutte contre les VBG).Droits des patients : Nous avons œuvré pour garantir le respect des droits des patients, en favorisant la confidentialité, le consentement éclairé et la participation active des patients dans leur parcours de soins. Grâce à l’appui à la mise en place de la Plateforme Nationale des Utilisateurs de Services de Santé (PNUSS), P@SRIS a facilité le dialogue entre l’offre et la demande, contribué au recueil et à la gestion des plaintes des usagers.Health data & Digitalisation : Le projet P@SRIS a mis en place des systèmes de collecte et d'analyse de données robustes pour mieux comprendre les besoins de santé de la population et adapter les interventions en conséquence. Les données sont une ressource essentielle pour prendre des décisions éclairées et orienter les politiques de santé. Il a été mise en place la plateforme e.SIGL dans tous les Centres de Santé pour faciliter la gestion des médicaments et produits de santé, ce qui a renforcé leur disponibilité. Le programme a favorisé l’apprentissage à distance à travers la création d’un centre E-learning qui permet aux agents de santé de se former à distance sans être obligé de se déplacer vers les centres de formation. 


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    Bénin BEN19007

  • En Mauritanie: L'innovation des formation Champs Ecoles Agropastorales!

    Champs Ecoles Agro Pastorale : Une approche innovante pour le développement agricole et pastoral en Mauritanie


    Aminata KANE | 18/07/2023

    Découvrez en vidéo l’approche innovante des Champs Ecoles Agro Pastorales (CEAP) avec Djiby Ba, notre expert national des filières agricoles et pastorales.Une approche nouvelle dans le pays. L’introduction a été faite par Enabel à travers le programme Rimfil financé par l'Union européenne.Le programme Rimfil repose sur trois axes :       Appui conseil        Structuration et         Financement des acteurs L'approche CEAP a été adoptée par les ministères de l'agriculture et de l'élevage afin de divulguer ce nouveau concept. Deux Masters Trainers (formateurs/coachs) ont été recrutés pour former les acteurs des filières : Bocar Sow pour le pastoralisme et Sidi Hmeida pour l'agriculture. Plus de 200 facilitateurs ont été formés, qui à leur tour formeront leurs pairs dans leurs villages respectifs. Ces derniers nous expliquent en vidéo leur apport aux populations dans le sud de la Mauritanie.


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    Mauritanie MRT19001

  • Planification stratégique et opérationnelle du projet Axe OKD : toutes les parties prenantes  impliquées

    Renforcement de la résilience socio-économique : Atelier de planification du projet Axe OKD au Burkina Faso


    Geoffroy ZONGO | 18/07/2023

    Le consortium formé par Enabel et la GIZ, dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement de la résilience socio-économique dans la région du Centre-Nord (Axe Ouaga-Kaya-Dori -Axe OKD-) » a organisé un atelier de planification stratégique et opérationnelle des activités dudit projet. Cet atelier qui s’est tenu du 12 au 13 juillet 2023 à Kaya, chef-lieu de la région du Centre-Nord, a été présidé par le Gouverneur de ladite région, le Colonel major Zoewendmanego Blaise OUEDRAOGO. Il était accompagné de Madame Corinna BREITAG-HEINZ, Directrice Résidente de la GIZ au Burkina Faso et de Monsieur François DESSAMBRE, Country Portfolio Manager d’Enabel au Burkina Faso.Dans le cadre du projet de résilience sur l’axe Ouaga-Kaya-Dori, Enabel et la GIZ ont été mandatées par l’Union européenne et le Ministère Fédéral allemand de la Coopération Economique et du Développement (BMZ) pour renforcer la résilience économique des populations déplacées et hôtes dans 11 communes des provinces du Namentenga et du Sanmatenga dans la région du Centre-Nord. Il a officiellement débuté en janvier 2023 et s’achèvera au plus tard le 31 décembre 2026. Le projet est organisé autour de trois axes : (1) le premier est relatif au (re)lancement des opportunités économiques génératrices de revenus ; (2) le deuxième se concentre sur le développement des compétences (avec un accent sur les femmes et les jeunes, tant hôtes que déplacé.e.s internes, et les groupes vulnérables) ; (3) le troisième axe est transversal aux deux premiers et met l’accent sur les mécanismes et outils de gouvernance (locale) à renforcer pour faire de cette relance des économies locale et régionale un processus inclusif et durable. « Le résultat recherché, à travers ce projet, est de diversifier et d’accroître de façon durable les moyens de subsistance socio-économiques des populations à faibles revenus, notamment les jeunes, les femmes, et parmi elles les Personnes Déplacées Internes, à travers la création d’emplois pérennes, tout en promouvant le vivre ensemble, la cohésion sociale et une gouvernance locale inclusive des territoires et communes ciblés. », dixit Madame Corinna BREITAG-HEINZ, Directrice Résidente de la GIZ au Burkina Faso, porte-parole du consortium Enabel-GIZ.  Toutes les parties prenantes contribuent à planifier les activités Cet atelier avait pour objectif de doter le projet d’un plan stratégique et d’un plan opérationnel pour sa phase 2023. « Cette session s’est déroulée de façon participative avec les principales parties prenantes de la mise en œuvre du projet en tenant compte du genre et du Leave No One Behind (Ne laisser personne de côté). L’idée est d’impliquer tous les acteurs dans la formulation des sous-activités afin de faciliter leur mise en œuvre effective sur le terrain au moment opportun. », affirme Monsieur Seydou COULIBALY, Intervention Manager du projet Axe OKD à Enabel. Ainsi, plus de 75 acteurs venus du Gouvernorat du Centre-Nord, des Hauts-Commissariats des deux provinces concernées, des directions régionales et des communes concernées par la mise en œuvre du projet, d’associations / OSC / ONG nationales et internationales, des communautés coutumières / religieuses, etc. ont pris part à l’élaboration des plans stratégiques et opérationnels du projet Axe OKD.  Le Gouverneur, dans son discours d’ouverture, a exprimé sa gratitude à l’Union Européenne et à la BMZ pour l’accompagnement du gouvernement Burkinabè via le soutien financier accordé au Consortium Enabel-GIZ. Il a insisté sur la qualité des échanges devant contribuer à l’atteinte des résultats poursuivis à travers ce projet. « Le présent projet est en parfaite cohérence avec les efforts entrepris au niveau national en ce sens qu’il vise à atténuer les impacts socio-économiques de la crise sécuritaire sur les conditions de vie des communautés. C’est pourquoi je voudrais vous inviter à une assiduité et une participation active afin qu’au terme de nos travaux, nous puissions disposer d’une planification à même d’impacter le bien-être de nos communautés. », Colonel major Zoewendmanego Blaise OUEDRAOGO, Gouverneur du Centre-Nord. Durant les deux jours, ces participants ont travaillé en trois sous-groupes sur chacun des trois axes du projet.La mise en commun en plénière des résultats des travaux de ces sous-groupes a permis de développer la feuille de route du projet Axe OKD.


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    Burkina Faso BFA22002

  • Burkina Faso: Enabel et l'ONG Tin Tua développe un partenariat éducatif pour réintégrer et soutenir les élèves déplacés internes de la région du Centre-Est

    Burkina Faso: Enabel et l'ONG Tin Tua développe un partenariat éducatif pour réintégrer et soutenir les élèves déplacés internes de la région du Centre-Est


    Kimsegninga SAVADOGO | 17/07/2023

    Enabel au Burkina Faso en partenariat avec l’ONG Tin Tua appuie les autorités régionales en charge de l’éducation pour la réintégration et le maintien scolaire des élèves déplacés internes (EDI) de la région du Centre-Est dans le système éducatif. Avec l’appui financier d’Enabel, l’ONG Tin Tua en consortium avec Enfants du Monde (EdM) a mis en œuvre au niveau de la région du centre-Est, un projet visant à réintégrer et à maintenir les élèves déplacés internes (EDI) et hôtes dans un système éducatif de qualité et inclusif. Cela s’est traduit par le renforcement des capacités des enseignant(e)s et des membres des structures de gestion des écoles sur la protection de l’enfance, le safe school, les dangers des mines, l’éducation à la paix et la remise de kits scolaires, des kits de dignité aux élèves vulnérables et aussi des kits récréatifs (matériel de spot) à des établissements accueillant en leur sein des EDI. Il faut ajouter à cela que 200 élèves vulnérables du post primaire et secondaire ont bénéficié de cash transfert. 10118 élèves restés dans les zones à forts défis sécuritaires ont eu accès à un apprentissage continue à travers le programme d’éducation par la radio (cours à distance). Environ 2000 élèves déplacés internes et vulnérables ont pu bénéficier des kits scolaires octroyés. Des kits de dignité (matériel composé de boules de savon et de couches pour la gestion des menstrues) ont également été distribués à environ 1500 filles vulnérables en milieu scolaire. Les kits ont été distribués dans les communes de Koupéla, Pouytenga, Gounghin et Sanga en raison de 500 kits scolaires et 375 kits de dignité. Le choix de ces communes a été fait en concertation avec les autorités du secteur de l’éducation des provinces du Kouritenga et du Koulpélogo. Une cartographie de la situation des élèves « hors école » a d’abord été dressée avant le déploiement des kits. Cette cartographie a révélé un nombre important d’EDI dans des situations critiques, vulnérables et ayant besoin d’appuis multiformes.   Des difficultés pour accueillir les EDI, il y’ en a à la pelle. Beaucoup d’entre ces élèves ne disposent pas d’acte d’Etat civil ni de documents scolaires et il est souvent difficile de déterminer leurs niveaux réels notamment la dernière classe fréquentée avant leur délocalisation. Des responsables d’établissements scolaires se retrouvent donc dans des situations confuses quand il s’agit de les orienter dans une classe précise. Dans ces cas de figures, il faut tester les élèves. Pour aider les acteurs du secteur de l’éducation à faire efficacement face à ce phénomène, Enabel au Burkina Faso en partenariat avec l’organisation Tin Tua (une organisation spécialisée dans le domaine de l’éducation) a initié un projet de réintégration et de maintien des élèves déplacés internes vulnérable dans le système scolaire. Pendant toute l’année scolaire 2022-2023, Tin Tua a avec l’appui financier d’Enabel, été des côtés des acteurs éducatifs pour des appuis divers. Un accent particulier a été mis sur la création d’un environnement scolaire protecteur au profit des enfants. Des kits récréatifs composés de matériel de sport (ballons de football, chronos, sifflets, maillots, cordes/files pour les sauts en hauteur) et des kits scolaires (fournitures scolaires : sacs, cahiers, ardoises et stylos) ont aussi été octroyés aux établissements. Ces kits ont permis aux élèves démunis de retourner à l’école et de reprendre les cours avec un minimum d’équipement. Des témoignages qui montrent que les kits scolaires ont soulagé plusieurs EDI. Fidèle Nadembega est directeur de l’école Koupéla Nord située au secteur 5 de Koupéla. Son école a six classes avec des effectifs pléthoriques avec 592 élèves dont 301 garçons et 291 filles. « Les effectifs pléthoriques se justifient par le contexte sécuritaire avec un déplacement massif de populations chassées de leurs localités respectives du fait de l’insécurité que connait le pays. Pour l’année scolaire 2022-2023, l’école a enregistré 71 élèves issue de familles de déplacées internes », nous confie-t-il.Bernard LANKOANDE élève en classe de CM2 fait partie des élèves déplacés internes (EDI) de l’école Koupéla Nord, qui ont bénéficié des kits scolaires. Avec ses parents, il a quitté son village natal Bilanga dans la province de la Gnagna, région de l’Est en proie aux attaques terroristes violentes et récurrentes. Il fréquentait en 2022 la classe de CM1 quand un jour, raconte-t-il, les terroristes ont fait irruption dans leur établissement scolaire, intimé l’ordre de fermer les salles de classe et brulé par la suite les édifices avant de prendre la poudre d’escampette.Claudia ZOUGMORE, également élève en classe de CM2 à l’école Koupéla Nord a, elle aussi bénéficié des kits scolaires octroyés en début d’année scolaire 2022-2023 (octobre 2022) aux élèves issus des couches sociales vulnérables. Elle a quitté son village Andemtenga dans la province du Kouritenga, région du Centre-Est où elle fréquentait la classe de CM1   en 2022. Ce jour-là, se souvient-elle, les terroristes ont envahi les locaux de la mairie qu’ils ont saccagés et brulé tous les documents d’état civil contraignant elle et ses parents à abandonner le village pour se réfugier à Koupéla le chef-lieu de la province. Souleymane SEGDA, enseignant à l’école Nord de Koupéla apporte un témoignage sur le fait que le déplacement des populations à l’interne a donné du fil à retordre aux acteurs du système éducatif de la commune de Koupéla. « Sans l’accompagnement de l’ONG TinTua avec le financement d’Enabel, la situation allait être difficile à supporter. Les kits scolaires ont permis aux EDI de poursuivre les cours normalement. En dehors des kits octroyés aux EDI, nous, enseignants avons bénéficié de formation sur le maintien de la paix et la gestion des conflits ; ce qui nous a permis de gérer convenablement l’insertion des EDI dans les différentes salles de classes, de les faire accepter par nos anciens élèves. Les connaissances acquises lors ces formations nous ont permis d’inculquer à nos élèves un esprit de tolérance et de pardon ». Jeanne LENGA, institutrice à l’école Koupéla Nord : « l’octroi de kits aux EDI qui étaient vraiment dans le besoin, est un acte fort appréciable. C’est un acte positif qui les a galvanisés. Ces élèves sont contents et ils les utilisent à bon escient. Outre cela, j’ai suivi une formation sur le « Safe Scholl ». Au cours de cette formation, nous avons acquis des connaissances qui nous permettre de mieux gérer nos élèves et de les mettre à l’abri en cas de situation d’insécurité ». Pascal OUANGO, directeur provincial en charge de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle de la province du Kouritenga : « L’ONG Tin Tua nous a apporté un soutien dans le cadre du projet insertion et maintien des enfants vulnérables dans le milieu scolaire à travers un paquet d’activités de renforcement de capacités en lien avec la situation sécuritaire notamment sur des thématiques telles que l’approche « Safe School », les dangers de mines, l’appui psycho-social et l’éducation à la paix. Le but était d’outiller par thématique 200 acteurs de l’enseignement primaire, post-primaire et secondaire ; tant les enseignants que les partenaires sociaux que sont les parents d’élèves. En dehors du renforcement de capacité, 34 établissements scolaires de notre circonscription ont été dotées de kits scolaires. Il s’agit surtout des écoles qui hébergent des enfants déplacés internes. Parmi les kits, il y a eu des kits récréatifs parce que nous savons ce que les enfants déplacés internes ont vécu comme chocs émotionnels. Les activités récréatives et sportives peuvent les stabiliser sur le plan émotionnel et psychologique. Il y a aussi les kits scolaires au profit des EDI vulnérables. Cela à permis d’accompagner les collectivités locales dans l’appui en kits scolaires aux 5705 élèves déplacés internes vulnérables que la province du Kouritenga a reçus cette année. L’ONG Tin Tua a principalement intervenu dans trois (3) communes prioritaires de la province du Kouritenga que sont Koupéla, Pouytenga et Goughin qui sont perçues comme des zones d’accueil de personnes déplacées internes ».   


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    Burkina Faso BFA21003

  • Supporting mini grid development in Mozambique: planning and preparation are key to successful delivery.

    Supporting mini grid development in Mozambique: planning and preparation are key to successful delivery


    Akila MUNIR | 17/07/2023

    The National Energy Fund (FUNAE) is responsible for providing energy access solutions to the (rural) areas which are far located from the national electricity grid in Mozambique. An important task, considering that the Mozambican government has set the target to realize universal energy access by 2030. The project Renewable Energy for Rural Development, Phase 2 (RERD2+) of Enabel aims to support FUNAE in the development and operation of sustainable energy services in rural areas. One of the project's primary result areas is increasing energy infrastructure, and in coordination with FUNAE, the construction of 5 mini-grids powered by solar panels and batteries in the provinces of Zambézia and Nampula, were agreed upon.Mini-grids are a long-term project characterized by an extensive preparatory phase. Because Mozambique is still developing a national "energy access plan", determining which areas are considered to be electrified by the national grid and which areas by stand-alone mini-grids (Enabel also supports the planning division of FUNAE in the development of these plans), FUNAE and Enabel had to conduct more than 20 socio-economic feasibility studies in the communities of rural Zambézia and Nampula to verify if the technical conditions are present for the realization of a mini-grid and to collect demographic and economic data for the sizing of the mini-grid. Based on these studies, 5 sites were selected to realize mini-grids. Because of the technical complexity of these (hybrid) mini-grids, the public procurement for the design and construction of the mini-grids followed a lengthy process to allow the Project Implementation Unit (FUNAE and Enabel) to negotiate, within the parameters of the applicable legislation, the most appropriate design and adequate technology for the reality in Mozambique. The negotiations allowed for a preliminary quality assurance of the technical proposals, as it was the first time Mozambique would be building hybrid mini grids of this calibre. The contracts were awarded to two construction consortias, which included international and national firms.  Another critical step in the preparations for the mini-grid projects was the selection of the beneficiaries in the 5 communities. Because of budget constraints, FUNAE and Enabel decided to continue constructing 5 mini-grids but to only connect ca. 40% of the target population in the first phase. Priority was given to beneficiaries with a social function,such as the local hospital and schools, and beneficiaries who can create economic value in the community, like shops and artisans. The community selected the remaining beneficiaries, thus households and families of the project, based on some technical indications shared by FUNAE. This increased the awareness and support in the communities for the project and resulted in an excellent socio-economic mix of families, which will be initially connected to the mini-grid. After the work of the community, a team of FUNAE, Enabel and the contractors collected all the data of the beneficiaries on the field, using tablets and a digital survey developed by the Project Implementation Unit (Enabel and FUNAE staff). To ensure that more beneficiaries can be connected in a later stage, the project already imposed some technical measures during the design of the mini-grids. For example, a bigger plot to install additional solar panels, a powerhouse with extra capacity and an electrical grid that already covers a big part of the community.  After this long preparatory phase, the construction of the mini-grids has started. On all 5 sites, the civil works have been initiated and the containers with batteries have arrived. Recently, FUNAE and Enabel engineers were together with the supervisor, who guarantees the daily monitoring of the works, on the field to inspect the delivered containers and evaluate the quality of the executed works. The completion of the 5 mini-grids is expected between the last quarter of 2023 and first quarter of 2024. The work does not stop after the construction of the mini-grids. It is vital to work on the stimulation of productive use of energy and business development, to improve the sustainability of the mini-grid operations and the overall development of the communities. This can be done by introducing specific electrical equipment in the communities, like energy-efficient electrical corn mills, and setting up financial structures to allow the people in the communities to buy this equipment. This part of the project will be initiated by the team of RERD2, and elaborated more specifically as part of the new portfolio in Mozambique for 2023-2028. This way, Enabel establishes continuity in its projects on the field and in its engagement to support Mozambique in climate change mitigation and energy transition. To read more on the portfolio, click here:https://www.enabel.be/brochure-belgium-mozambique-cooperation-programme-2023-2028/By: Arn Jonkers and Riccardo del Citto


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    Mozambique MOZ1503411

  • Au Bénin, Enabel s'engage pour une amélioration de la performance environnementale du PAC en soutenant la mise en place d'un système permanent de mesure de la qualité de l'air

    Pour un port plus vert : Enabel et AIRSCAN collaborent pour mesurer la qualité de l'air au Port de Cotonou


    Reece-hermine ADANWENON | 14/07/2023

    L'amélioration de la performance environnementale est une préoccupation majeure pour Enabel. Elle s’est engagée à travers le projet d’appui au développement du secteur portuaire (PASPort) à soutenir les efforts visant à établir un système permanent de mesure de la qualité de l'air au niveau du Port Autonome de Cotonou (PAC). Du lundi 10 au vendredi 14 juillet 2023, une mission composée de deux experts du bureau d’étude belge AIRSCAN a été accueillie au Port de Cotonou dans le cadre de la mise en place dudit système de mesure de la qualité de l’air dans et autour du port. Cette mission s’inscrit dans le cadre global de l’amélioration de la performance du PAC. La mesure et le suivi de la qualité de l’air, s’agissant d’un Port qui est situé au cœur de la ville de Cotonou, est sont une préoccupation importante du fait des impacts que l’activité portuaire peut avoir sur la santé surtout que, jusque-là, aucun des acteurs portuaires n’effectuaient le suivi de cette qualité d’air. Un rapport d’audit environnemental réalisé au PAC courant fin 2020 rappelle que malgré les améliorations encourageantes dans le suivi et le traitement des diverses problématiques environnementales, il reste encore des non-conformités majeures aux règles et textes. Enabel, à travers le Projet Appui au développement du Secteur Portuaire (PASPort), s’est engagé à soutenir le PAC et a sollicité à ce titre diverses expertises à la demande du Port Autonome de Cotonou. Ainsi, la société AIRSCAN a été retenue pour appuyer le PAC dans la mise en place d’un système permanent de mesure de la qualité de l’air. Dans le cadre de ce projet, l’entreprise AIRSCAN travaille avec son partenaire belge KUNAK qui est l’un des leaders mondiaux dans la fabrication de stations de mesures de la qualité de l’air, en particulier pour des zones industrielles portuaires. Elle s’est aussi associée avec un partenaire local ECO BENIN.La mission de AIRSCAN dans le cadre de ce projet comprend notamment (1) la conception du système et sa mise en place, (2) la fourniture, installation et étalonnage des capteurs, (3) la fourniture, installation, étalonnage et test des batteries, (4) la fourniture, installation et test des jauges, (5) la formation en vue de garantir le transfert de compétences nécessaire vers l'équipe du PAC pour la prise en main du système. Au terme de la visite du Port et de l’atelier de conception organisé avec le service environnemental du PAC et les principaux partenaires sous concession dans l’enceinte portuaire, il a été proposé un système qui couvrira tout le périmètre portuaire, composé d’un réseau de 17 capteurs et de 7 jauges ainsi que d’une plateforme de recueil des données, qui collectera concernant les capteurs les données toutes les 10 minutes en temps réel. Les capteurs permettront de mesurer 4 principaux polluants :  dioxyde d’azote, dioxyde de soufre, monoxyde de carbone et diverses catégories de particules fines.) Par ailleurs, un réseau de jauges permettra de mesurer deux types de polluants essentiels : les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP- 18 éléments recherchés) et les métaux lourds solubles ou insolubles (11 éléments recherchés). Contrairement aux capteurs, la collecte des éléments recueillis dans les jauges (poussières mélangées à des eaux de pluies) se fera environ tous les 28 jours et les analyses se feront avec un laboratoire partenaire en dehors du Bénin.  Il est prévu, après la conception du système, une première campagne de mesure de 3 mois à la suite de laquelle les données recueillies seront analysées et le système et le système recalibré et adapté en vue d’une seconde campagne plus longue d’un an. 


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    Bénin BEN1803811

  • Vers l'autonomisation numérique : Enabel outillent les productrices d'ananas au Bénin pour une prospérité digitale

    Vers l'autonomisation numérique : Enabel outillent les productrices d'ananas au Bénin pour une prospérité digitale


    Reece-hermine ADANWENON | 14/07/2023

    Construire un monde durable, c’est construire un environnement où aucune femme ne doit être laissée pour compte et où chacune, en tout lieu, peut se procurer de manière régulière, des informations nécessaires et vitales dont elle a besoin, pour son développement et celui de ses activités. Au Bénin, les femmes actives dans le secteur de l’agriculture en générale et dans la filière ananas en particulier font souvent face à des obstacles tels que l'accès limité aux services de formation (alphabétisation, conseil agricole, éducation financière, éducation digitale, etc ) , et d’information (sur les marchés, prix,  , etc.) et ressources productives (terre, main d’œuvre, financement, etc.).Pour les accompagner et palier à ces obstacles, Enabel à travers son projet DEFIA ensemble avec l'Organisation Non Gouvernementale Initiative Pour l’Accès de tous au Développement (IPAD) ont organisé une formation itinérante innovante intitulée "L'École digitale pour les productrices d'ananas". Grâce à cette initiative, 111 femmes responsables de groupements de productrices d’ananas ont été outillées sur les techniques de communication digitale. Cette formation qui s’est déroulée dans 33 communes au sud du Bénin a permis aux participantes d’acquérir une meilleure utilisation de leurs téléphones portables pour avoir accès aux réseaux sociaux, surtout ceux qui permettent une communication via les audio/visuels. .  Les participantes ont été formées aux meilleures pratiques en matière de communication numérique, aux avantages et inconvénients des réseaux sociaux, sur le code de conduite et règles en matière d’émission et de partage d’informations. Un accent a été également mis sur l’opportunité de marketing en ligne par la formation en création de contenu et messages attrayants.La formation a permis :- l’installation et la mise en place d’un réseau de communication dédié aux productrices d’ananas pour leur auto-formation,- l’Installation des groupes d’échanges pour faciliter entre elles la circulation de l’information et mutualisation des connaissances dans par exemple  le domaine de l’accès aux crédits, à la terre, aux intrants agricoles,- Assoir les bases d’un mouvement coopératif et d’entraide des productrices d’ananas.En renforçant les compétences digitales des responsables de groupements de femmes Enabel en collaboration avec IPAD a ainsi contribué à autonomiser les productrices d'ananas, à améliorer leur visibilité sur le marché et à accroître leurs opportunités économiques.En outre, elle favorisera l'échange de connaissances et d'expériences entre les participantes, créant ainsi un réseau solide de femmes entrepreneures dans le secteur agricole.


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    Bénin BEN19004

  • Clap et fin de la visite au Bénin de la team Talent & People et Operations

    Une visite inspirante et motivante au Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 14/07/2023

    Madame Khady Thiam et Monsieur Sven Huyssen renforcent notre engagement envers notre mission commune chez Enabel.C'est avec une pointe de nostalgie que nous clôturons la visite de terrain effectuée par Mme Khady Thiam, Directrice Talent & People et Mr Sven Huyssen Directeur des Opérations. Cinq jours durant, nous avons vécu des moments extraordinaires, découvert de nouvelles perspectives et surtout renforcé notre engagement envers notre mission commune. La présence de nos deux directeurs a apporté un souffle d'énergie et de motivation à chaque personne rencontrée que ce soit sur le terrain avec les bénéficiaires qu'avec les équipes projet et programmes. Mme Khady Thiam a mis en avant l'importance de notre capital humain en inspirant, écoutant et soutenant notre équipe. Elle a souligné l'impact positif de nos actions et réalisations qui impactent la vie de nombreuses personnes et elle nous a encouragé à continuer de faire de notre entreprise un environnement où chaque employé·e peut s'épanouir.De son côté, Mr Sven Huyssen, très ému par la visite, a supervisé chaque détail opérationnel avec une précision incroyable. Il a partagé sa vision stratégique, identifié des opportunités d'amélioration et s'est engagé à renforcer notre efficacité opérationnelle pour atteindre de nouveaux sommets.Nous tenons à exprimer notre gratitude envers notre team RH et Opérations pour avoir consacré leur temps et leur expertise à cette visite passionnante. Leur leadership et leur dévouement nous ont inspiré à repousser nos limites et à continuer d'innover.


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    Bénin 2204BEN

  • Bénin : Un refuge d'espoir pour les femmes victimes de violences - Ouverture imminente d'un premier centre d'accueil d'urgence à Cotonou

    Bénin : Un refuge d'espoir pour les femmes victimes de violences - Ouverture imminente d'un premier centre d'accueil d'urgence à Cotonou


    Reece-hermine ADANWENON | 14/07/2023

    Bonne nouvelle pour la population béninoise en générale et pour les habitants de Cotonou et ses environs en particulier ! Bientôt, un centre d’accueil, d’orientation des femmes victimes de violences de tous genres et leurs enfants ouvrira ses portes à Cotonou. Enabel à travers le Programme d’appui à l’opérationnalisation de la Police Républicaine a signé une convention de subsides avec l’association YA TCHEGBO qui veut dire « Fini, ma misère ». Objectif de ce partenariat : améliorer les conditions de prise en charge des femmes victimes des violences basées sur le genre dans la commune pilote de Cotonou. Les violences basées sur le genre sont un véritable défi qui affecte de nombreuses personnes. Au Bénin, selon l’annuaire statistiques 2017, les Violences Basées sur le genre (VBG) touchent 69% des femmes et des filles sur le plan national. Selon un rapport de l'UNICEF en 2017, environ 2 filles sur 5 au Bénin ont été victimes de violences sexuelles avant l'âge de 18 ans. Les violences domestiques, y compris les violences physiques et psychologiques sont également courantes. Ces violences sont sous-notifiées pour diverses raisons dont notamment la faible dénonciation des auteurs du fait de la sensibilité culturelle du sujet. Selon l'Enquête Démographique de Santé (EDS V) de 2018 (5ème édition), 54% des femmes victimes de violences n'en ont jamais parlé à quelqu'un ni recherché de l'aide. Il en résulte donc que les statistiques sur le sujet sont peu fiables et ne traduisent pas la réalité de l'ampleur du phénomène. Certaines études estiment à 68% le pourcentage de femmes qui déclarent avoir été victimes de violences diverses au moins une fois dans leur vie. Pour lutter contre toutes ces formes de violences, le gouvernement béninois a pris plusieurs mesures parmi lesquelles la création de l’Institut National des Femmes (INFE) qui a pour mission de contribuer à la promotion, à la protection et à la valorisation des droits des femmes au Bénin. Ses objectifs comprennent la promotion de l'égalité entre les femmes et les hommes, la lutte contre les violences basées sur le genre, la promotion de la participation politique et économique des femmes, ainsi que la sensibilisation et la formation sur les droits des femmes. Par ailleurs, le gouvernement a installé dans 3 communes du pays à savoir :  Abomey, Cotonou et Parakou, des Centres Intégrés pour la Prise en Charge des Violences Basées sur le Genre (CIPEC). Ces centres d'accueil ont été mis en place pour offrir un soutien (conseils, assistance juridique et aide psychologique) aux victimes de violences basées sur le genre. Toutefois, à Cotonou, il n’existe aucun hébergement d'urgence pour les femmes victimes de VBG offrant un accueil et une prise en charge psycho-sociale.Pour accompagner le gouvernement dans sa lutte contre les VBG, Enabel très active dans la lutte contre les VBG au Bénin, une thématique transversale a toutes ces interventions, a décidé de contribuer à l’ouverture du tout premier centre d’accueil d’urgence pour les femmes victimes de violence basée sur le genre mais également leurs enfants. Le local qui sera mis à la disposition de l’association YA TCHEGBO, par la mairie de Cotonou pendant 10 ans sera entièrement réhabilité et aménagé par Enabel afin d’offrir un lieu d’hébergement d’urgence aux femmes victimes de VBG. L’inauguration de ce centre est attendu pour fin septembre 2023. L'ouverture d'un centre d'hébergement d'urgence rencontre la vision politique du Bénin visant à mieux prendre en charge les violences intrafamiliales et la protection des femmes face aux VBG. L'initiative est soutenue à la fois par le MISP (Ministère de l'Intérieur et de la Sécurité Publique), la Mairie de Cotonou et l'Institut National de la Femme du Bénin. A terme, le centre vise la mise à l'abri pour une durée de 3 mois (sous réserve d'une orientation) et la protection et l'accompagnement psychosocial de 7 à 8 femmes (et leurs enfants). Seront accueillies : des femmes (et leurs enfants) en situation de précarité dans la commune de Cotonou victimes de violences, des femmes exclues de leur milieu familial ou vivant à la rue et nécessitant une prise en charge globale. Elles seront orientées vers le centre par différents partenaires du secteur et issus du réseau déjà établi de l’association : Le CIPEC-VBG de Cotonou, l'ensemble des CPS de Cotonou, les Hôpitaux et les Commissariats. Le centre sera conçu comme un lieu de passage. Les femmes accueillies seront, au terme de leur prise en charge, orientées vers d'autres mécanismes de prise en charge ou réintégrées dans leur famille en fonction des situations.


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    Bénin BEN19011

  • Le Comité de pilotage du « Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) -Volet Burkina Faso a tenu sa première session ordinaire

    Engagement décisif pour le climat au Sahel : le projet Climant Sahel lance sa première session de Comité de Pilotage au Burkina Faso


    Geoffroy ZONGO | 13/07/2023

    La première session ordinaire du Comité de Pilotage (CoPil) du Projet « Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) -Volet Burkina Faso » s’est tenue à Ouagadougou le 27 juin 2023. Elle a été présidée par Sidi Mohamed TRAORE, représentant le Secrétaire Permanent du Conseil national pour le Développement Durable (SP/CNDD), Président du CoPil, accompagné de Azoti Sébastien ALI, Représentant Résident par intérim d’Enabel au Burkina Faso et de François DESSAMBRE, Country Portfolio Manager.Pour une meilleure coordination technique et un suivi adéquat du PTCS-Volet Burkina Faso, un mécanisme de suivi et d’orientation notamment un Comité de Pilotage (CoPil) a été mis en place par Arrêté N°2023-393/MEEA/CAB du 20 avril 2023, portant création, attribution, composition et fonctionnement du Comité de Pilotage du Projet « Portefeuille Thématique Climat Sahel-Volet Burkina Faso ». Cet arrêté stipule que le CoPil est l’organe d’orientation, de pilotage et de supervision de sa mise en œuvre. Il s’agit d’un cadre de concertation et de rencontre statutaire de la dynamique partenariale qui sous-tend la mise en œuvre du projet.« Le présent comité de pilotage, 1er du genre pour le portefeuille climat vient à point nommé afin de permettre aux membres statutaires de passer en revue les différents documents du portefeuille et de donner les orientations à l’unité de gestion du projet pour sa bonne mise en œuvre en vue de l’atteinte des résultats escomptés. », renchérit Azoti Sébastien ALI, Représentant Résident par intérim d’Enabel au Burkina Faso.De façon spécifique, il s’est agi, durant cet atelier, de présenter le PTCS-Volet Burkina Faso, d’examiner et d’adopter le rapport de démarrage et de la baseline, de présenter le règlement d’ordre intérieur, d’informer sur la lettre d’entente ; d’examiner et d’adopter la planification opérationnelle 2023.Le choix des participants à cette session a été fait sur la base de l’article 3 de l’Arrêté N°2023-393/MEEA/CAB portant création, attribution, composition et fonctionnement du Comité de Pilotage du Projet « Portefeuille Thématique Climat Sahel – Volet Burkina Faso ». Ces participants sont de ce fait les membres du CoPil composés comme suit : un Président, un Co-Président, deux rapporteurs, 16 membres pleins et des membres observateurs (les PTF et 2 personnes ressources). 


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    Burkina Faso BFA21001

  • Au Mali , bilan de l’Association OURADI, des partenariats avec le secteur en œuvre place et des organisation professionnelles de la pêche renforcées

    Bilan et perspectives de l'association du projet PAFHa au Mali: valorisation du poisson fumé réussie!


    Nènè TRAORE | 13/07/2023

    Au Mali, le projet PAFHa accompagne les transformatrices des régions de Ségou et de Mopti dans la valorisation du poisson à travers : la formation sur les bonnes pratiques de fumage du poisson, la dotation des femmes en équipements pour une meilleure production de poisson fumé de qualité (claies de fumage , fours chorkor) et l'appui à la commercialisation du poisson fumé de qualité à travers la création de la marque collective « Ouradi.   Le mardi 12 juillet 2023, une rencontre eu lieu au conseil régional de Ségou pour discuter avec les acteurs de la chaîne sur le bilan des activités de OURADI et les perspectives. Le projet PAFHa arrive tout doucement vers la clôture de ses activités, il est donc nécessaire que l'association "Ouradi" s'approprie du processus et de l'ensemble des outils élaborés à travers notre collaboration.  L'association "Ouradi" gère la marque collective et anime également le circuit de commercialisation de ce produit. Les principaux acteurs de la démarche sont les transformatrices à la base à travers des mis en place dans les cercles de Mopti, Konna, Djenné, Bla et Macina , les Intermédiaires (constitués par l'ODPADIN et l'AEDR) et les espaces de ventes tels que les supermarchés et restaurants.   Les sujets de cette rencontre qui ont fait l'objet d'échange sont entre autres le bilan des activités réalisées dans le cadre de la création de l'association et de la commercialisation de la marque de poisson "Ouradi".  Ces échanges ont permis d'avoir un aperçu sur les résultats obtenus dont les plus importants sont : - L'aménagement de local Ouradi sur 2 sites(régions) : Port de pêche de Mopti et Teriya Bugu( Ségou); - La création d'une marque collective de poisson fumé appelée « Ouradi » gérée par l'Association Ouradi ; - L'enregistrement de la marque au Centre Malien de Propriété Intellectuelle (CEMAPI) et à l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) pour l'autorisation de mise sur le marché (AMM) ; - L'acceptation de la demande d'autorisation de mise sur le marché du produit par l'Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire des Aliments (ANSSA) ;- La mobilisation d'une agence de communication pour la réalisation d'un publireportage, l'élaboration et l'opérationnalisation de la commercialisation : étude de marché et positionnement stratégique du produit, prospection des distributeurs potentiels, réalisation de spots publicitaires, confection de matériel promotionnel; -L'achat et le conditionnement de près de 1500kg de poisson fumé amélioré pour un montant de 3 230 000 FCFA ;   - L'appui aux organisations intermédiaires pour la distribution de Ouradi à Bamako ; - La formation de 727 transformatrices de poisson dans la région de Mopti et Ségou ; - La donation de 3192 claies (équipements pour la transformation du poisson) ;- La création/redynamisation de 24 organisations Professionnelles de Pêches (OPP) constituées de 965 transformatrices. Bien que le placement de « Ouradi » auprès des supermarchés a débuté en juin 2022 et le lancement officiel de la marque a eu lieu en novembre 2022 en marge des journées du poisson à Bamak, des avancées ont été enregistrées dans le domaine de la commercialisation d 'Ouradi, mais force est de reconnaître qu'il y a des insuffisances notamment dans le schéma de distribution de la marque qu'il faut corriger. Des actions ont déjà été entreprises en vue d'améliorer le système de distribution et d'autres restent encore à identifier et à mettre en œuvre.   Les transformatrices de poisson présentes lors de la rencontre ont témoigné de l'accompagnement sans faille du projet jusqu'ici qui leur ont permis d'améliorer leur profession. Cependant elles ont exprimé des difficultés en lien avec l'écoulement du poisson que l'association avec l'accompagnement du projet PAFHa doit encore solutionner.  Un plan d'accompagnement en lien avec la fonctionnalité, la gestion et la visibilité de "Ouradi" a été élaboré.


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    Mali MLI150441T

  • Premiers secours en situation d’urgence : les fonctionnaires de police mieux aguerrit

    Enabel renforce les compétences en premiers secours de près de 400 fonctionnaires de police au Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 13/07/2023

    Au Bénin, 393 fonctionnaires de police ont été formés aux soins de premiers secours en cas d’urgence. Enabel à travers le projet d’appui à l’opérationnalisation de la Police républicaine, volet gestion de crise (PAOP CRI) financé par l’Union Européenne a contribué à ce renforcement de capacité des unités de première ligne d’intervention et des commissariats d’arrondissements de tous les départements du Bénin. Animée par les équipes de la Croix rouge béninoise, la formation de base aux premiers secours a permis aux participants d’acquérir des connaissances nécessaires à la bonne exécution des gestes de secours destinés à empêcher l’aggravation de l’état de la victime et à préserver son intégrité physique en attendant l’arrivée des secours. 


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    Bénin BEN19012

  • Clôture réussie pour le projet entrepreunariat au Burkina Faso, véritable tremplin pour la résilience économique des femmes et des jeunes

    Clôture réussie pour le projet entrepreunariat au Burkina Faso, véritable tremplin pour la résilience économique des femmes et des jeunes


    Kimsegninga SAVADOGO | 13/07/2023

    Dans la dynamique de soutenir les entreprises et les coopératives de la région du Centre-Est du Burkina Faso et afin de renforcer leur compétitivité et leur permettre d’augmenter leurs revenus, Enabel met en œuvre le projet « Production et Transformation pour une Résilience Economique des Femmes et des Jeunes dans la région du Centre Est » (PTRE-FJ). Trante-deux mois après son lancement, soit le 27 octobre 2020, ce projet a été officiellement clôturé le 31 mai 2023 à Tenkodogo au cours d’une cérémonie officielle présidée par le Gouverneur la région du Centre-Est, le Colonel Aboudou Karim LAMIZANA.La région du Centre-Est regorge de potentialités principalement dans le secteur de l’agriculture et l’intervention Entrepreneuriat d’Enabel au Burkina Faso a voulu contribuer à la valorisation de ces ressources notamment en accompagnant les entreprises et les coopératives à surmonter les défis liés à la faible productivité agricole, à l’exode rural des jeunes, etc. ; l’objectif global étant de soutenir le développement économique dans la région. Le PTRE-FJ, mis en œuvre par le consortium Trias-Rikolto, avec l’accompagnement d’Enabel, a déployé de multiples efforts dans le renforcement des capacités des entreprises de femmes et de jeunes, ainsi que des coopératives actives dans les filières soja, sésame et produits forestiers non ligneux – PFNL (balanites, neem et karité) afin de faciliter leur accès au financement et de les mettre en relation avec des acheteurs locaux et des sociétés exportatrices.   Structurer les entreprises et coopératives, améliorer leur professionnalisme, favoriser leur accès aux financements et aux marchés et susciter l’implication des femmes et des jeunes Le projet a œuvré à consolider l’esprit de collaboration entre les acteurs·trices de la chaine de valeurs agricoles à savoir, les partenaires commerciaux et financiers, les entreprises et les coopératives. Beaucoup de femmes et jeunes entrepreneur·es ont pu avoir accès à des débouchés pour la commercialisation de leurs produits au niveau régional national et même à l’extérieur. En outre, 95 coopératives/entreprises constituées de 57% de femmes et 35% de jeunes, ont été accompagnées et ont obtenu des crédits octroyés par les institutions de microfinance dans la région, pour le financement de leurs activités. Grâce à la composante Sociétés de Cautionnement Mutuel (SCM) du projet, 20 de ces coopératives ont obtenu des crédits à hauteur de plus de 142 millions de francs CFA en 2022 pour près de 600 membres incluant les jeunes et les femmes. Le Gouverneur de la région du Centre-Est a positivement apprécié les résultats du projet qui, pour lui, a connu un véritable succès, suscité l’engagement des autorités administratives de la région et mobilisé les services techniques de l’agriculture et de l’environnement. L’approche développée et les actions déployées par le PTRE-FJ ont permis de booster les initiatives entrepreneuriales dans la région en impliquant et en valorisant les femmes et les jeunes. Des changements qualitatifs ont également été opérés au niveau des acteurs·trices des chaines valeurs agricoles qui se professionnalisent davantage avec des produits de meilleure qualité, qu’ils/elles ont exposés dans l’enceinte du gouvernorat en marge de la cérémonie de clôture du projet.


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    Burkina Faso BKF1803211

  • Sandrine Plateau salue les réalisations du projet agricole dans les filières ananas et riz

    Visite de l'Ambassadrice de Belgique aux projets agricoles d'Enabel au Bénin.


    Reece-hermine ADANWENON | 13/07/2023

    L’Ambassadrice de Belgique au Bénin, Mme Sandrine Platteau, a effectué dans la journée du mardi 11 juillet 2023 une visite des projets agricoles d'Enabel au Bénin dans les filières ananas et riz au sud du Bénin. Projets soutenus par la coopération belge au développement. Une descente effectuée à l’Unité de production d’ananas séché à Toffo dans la ferme Agro Ecologique SEMEVO (FAES), à Kpomassè sur le site de production d’ananas de 14 ha de terrain consacré à la production d’ananas avec l’utilisation de film polyéthylène et à l’une unité de production de riz bio grâce à des pratiques de transition agroécologiques à Grand-Popo dans le département du Mono.Dans la filière ananas, notre ambassadrice a été émerveillée par la qualité des fruits produits et par l'engagement des agriculteurs·rices à respecter des normes écologiques strictes. Les ananas cultivés dans nos exploitations sont savoureux, juteux et riches en nutriments essentiels. De plus, les pratiques de gestion durable des terres contribuent à préserver la biodiversité et à réduire l'empreinte environnementale. Avec l’appui du projet DEFIA, l’entreprise FAES a pu renforcer sa capacité de production (quantité et qualité) à travers : la modernisation des outils de production (équipements)la mise aux normes de l’unité de production et l’obtention des certificats de conformité et de qualité (ABSSA, UEMOA, CEDEAO),la mise en clustering (réseautage avec les producteurs, fournisseurs et distributeurs)la facilitation de l’accès au crédit IMF (14.000.000 FCFA= 6.000.000 + 8.000.000 FCFA). Aujourd’hui, grâce à cet accompagnement, l’entreprise FAES dispose d’une capacité de transformation de six tonnes d’ananas par semaines contre moins d'une tonne par semaine avant DEFIA. En termes d’employé·es, l’entreprise emploie au total 15 personnes dont 10 femmes. Parmi les quinze employé·es, on dénombre trois permanent·es et 12 occasionnel·les. En sommes, l’appui de DEFIA a permis de créer neuf nouveaux emplois décents au niveau de FAES. En ce qui concerne la filière riz, notre ambassadrice a été impressionnée par la productivité accrue de riz local biologique et la résilience des agriculteurs face aux défis climatiques. Grâce des pratiques de transition agroécologiques, nous avons pu augmenter les rendements tout en réduisant l'utilisation d'eau et de pesticides. Cela contribue non seulement à améliorer la sécurité alimentaire, mais aussi à promouvoir une agriculture plus respectueuse de l'environnement. Avec l'accompagnement du projet  DEFIA, le cluster matékpo a entrepris des actions de mise à niveau à travers : la mise en clustering (réseautage avec les producteur·rices, fournisseur·euses et distributeur·rices,l’appui en infrastructures de production (filets et bâches pour les producteur·rices) ;la mise en place d'emballages plus attractifs et conforment aux normes de qualité ;la mise en place de bonnes pratiques de productions durables du riz ;la facilitation d’accès au crédit (6.500.000 FCFFA contre 00),la mise en place du cluster pour la consolidation du modèle d’affaire ;un accompagnement en cours pour la mise en place d’une solution digitale de traçabilité ;et la mise en place d’une base de données. Lors de sa visite, Mme Sandrine Platteau a également eu l'occasion d'interagir avec les agriculteur·rices et de constater directement les avantages socio-économiques que ce projet apporte aux communautés locales. Les agriculteur·rices bénéficient d'une formation spécialisée, de technologies modernes et d'un accès à des marchés stables, ce qui renforce leur autonomie et améliore leur qualité de vie.  


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    Bénin 2204BEN

  • Au Au Niger, Enabel renforce le plateau technique du Laboratoire central d’élevage

    Enabel fournit des équipements de pointe pour la détection des zoonoses animales au Niger


    Halissa HASSAN DAN AZOUMI | 12/07/2023

    Enabel, à travers son projet de renforcement de l’entrepreneuriat en élevage, "REEL Mahita", a fait don aux laboratoires d'élevage (LABOCEL) de Niamey et celui de Tahoua d’équipements et de matériel pour la réalisation des enquêtes de prévalence et le diagnostic des zoonoses animales (maladies infectieuses qui sont passées de l'animal à l'homme). Estimé à un peu plus de 30 millions de francs CFA, ce matériel vient renforcer le plateau technique et contribuera à améliorer l’efficacité de ces 2 laboratoires.  


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    Niger NER22003