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  • La mise en place du Barrage Galb El Aich et ses impacts positives dans le sud de la Mauritanie

    Zoom sur la mise en place du Barrage Galb El Aich et ses impacts positifs dans le sud de la Mauritanie


    Aminata KANE | 10/05/2022

    Enabel en Mauritanie, à travers le programme RIMFIL, a parmi ses objectifs la promotion de techniques adaptées au changement climatique2883  éleveurs/producteurs ont été formés aux techniques de production durables et résilientes au changement climatique en 2021. En 2022, l'objectif est de doubler le volume de personnes formées. Nos équipes sur le terrain apportent des compétences et un apprentissage nouveau aux communautés de chacune des wilayas où nous sommes en action continue. Ici nous visiterons la wilaya du Hodh El Garbi avec le village Galb El Aich.Le programme RIMDIR a mis en place un barrage dans le village qui permet d'apporter de nombreux changements bénéfiques au quotidien de la population:il facilite l'exploitation et l'accès à la terre;il permet l'augmentation des revenus;les ménages subviennent à leurs besoins par eux-mêmes; les travaux de HIMO (haute intensité de main d'œuvre) font participer la communauté activement à la mise en place de l'ouvrage;  A la base, c'est une communauté de cultivateurs mais ils avaient des problèmes car le barrage qu'ils avaient avant avait céder après la première ou la deuxième pluie. Ils avaient donc abandonné l'agriculture vu les difficultés auxquelles ils devaient faire face. La solution restante était l'exode rural vers les villes mais grâce à la mise en place du barrage par le RIMFIL l'exode rural fait marche arrière et les jeunes de plus en plus se tournent maintenant vers l'agriculture et restent à Galb El Aich.Les formations CEAP (champ école agro-pastoral) de facilitateurs de décrues ont eu lieu dans la région. Ce qui a permet l'acquisition de nouvelles compétences et techniques. Les leçons ont été appliquer sur leurs terres, par exemple, semer à temps ou encore l'apprentissage de la libération de l'eau à temps au lieu de la laisser stagner pendant trop longtemps. Ils ont vu les résultats positives avec ce changement et ont eu une très belle récolte pour ce qui est du niébé.Avec l'appui du RIMFIL, les communautés acquièrent des nouvelles compétences et techniques adaptées à leur contexte et accèdent à des changement bénéfiques et positives dans leur quotidien.


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    Mauritania MRT19001

  • Enabel appuie la mise en place de cadres de concertation des acteurs de la chaine pénale

    Enabel au Burkina Faso appuie la mise en place de cadres de concertation des acteurs de la chaine pénale


    Kimsegninga SAVADOGO | 09/05/2022

    Enabel appuie la mise en place de cadres de concertation des acteurs de la chaine pénale des Tribunaux de Grande Instance (TGI) de Kaya et de Ziniaré, situés sur l’axe Ouaga-Kaya-Dori (Axe OKD).  Poursuivant sa dynamique engagée depuis novembre 2021 et relative à l’appui aux juridictions de sa zone d’intervention pour la mise en place de cadres de concertation des acteurs de la chaine pénale, Enabel, l’Agence belge de développement, a entrepris, à travers son projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité (PARJI), de mettre le cap sur l’axe OKD pour développer de telles initiatives. En effet, au cours du mois d’avril 2022, le PARJI a tenu deux cadres de concertation des acteurs de la chaine pénale des Tribunaux de Grande Instance de Kaya (5 au 8 avril 2022) et de Ziniaré (26 au 29 avril 2022) réunissant des magistrats de ce TGI, des officiers de police judiciaire des ressorts concernés notamment ceux des provinces du Sanmatenga (Kaya) et du Namentenga (Boulsa), les provinces de l’Oubritenga et du Kourwéogo (Boussé), des représentants d’organisation de la société civile intervenant dans le domaine de la protection des droits humains ainsi que des représentants de la chefferie coutumière. Ces deux cadres, tout comme les précédents, visent à renforcer la coordination et la communication entre les acteurs de la chaine pénale, en particulier le parquet et les OPJ du ressort de la juridiction, et leurs tenues constituent d’ailleurs une forte recommandation du Pacte National pour le Renouveau de la Justice. Ces cadres visent à contribuer à une amélioration significative du fonctionnement de la chaine pénale. Il s’agit en effet, au cours de ces cadres, d’identifier les difficultés qui font obstacles au traitement des infractions pénales et qui sont très souvent à l’origine de l’engorgement des juridictions et du sentiment d’impunité des populations, de trouver des solutions inclusives afin de renforcer la coordination interservices et, ainsi, la qualité du service public de la justice au bénéfice des populations. Ces cadres sont aussi l’occasion d’un espace de partages de bonnes pratiques et d’expériences entre acteurs judiciaires et aussi une opportunité pour les parquets d’établir avec les officiers de police judiciaire de leur ressort, des rapports de collaboration pour un meilleur traitement des procédures en enquête préliminaire.  Les cadres de concertation sont aussi l’occasion de renforcer les compétences des officiers de police judiciaire sur des thématiques relatives aux innovations des code pénal et code de procédure pénale, la médecine légale, les nouveaux procédés de traitement des réquisitions adressées aux compagnies de téléphonies mobiles, le fonctionnement de la Commission d’Assistance Judiciaire et de la Commission d’Application des Peines. A l’issue de leur concertation, les acteurs de la chaine pénale procèdent à la mise en place d’un cadre formel qui réunit des représentants du Siège, du parquet, de l’Instruction, des OPJ, de la Maison d’Arrêt et de Correction et élaborent un plan de travail pour l’année judiciaire en cours et celles à venir. Le cadre mis en place doit tenir des rencontres périodiques pour maintenir la communication et la coordination entre tous les acteurs de cette chaine. La tenue des cadres de concertation des acteurs de la chaine pénale des juridictions de l’axe OKD présentait un défi particulier pour le projet étant donné que cet axe bénéficie d’une attention particulière de l’Union européenne qui assure le financement du PARJI.  Aussi, réaliser des activités notamment une concertation des acteurs qui interviennent dans la lutte contre la criminalité dans des juridictions situées sur cet axe constitue une contribution à renforcer l’offre de justice au profit des populations des régions du Plateau central et du Centre-Nord, dans un contexte de crise sécuritaire. En effet, une meilleure coordination et communication entre acteurs de la lutte contre la criminalité ne pourra qu’avoir des effets positifs sur la qualité de la justice dans les ressorts des TGI situés sur l’axe OKD. Article proposé par l’équipe du PARJI 


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    Burkina Faso BFA20003

  • Enabel participe au renforcement de capacité de 12 agents du Port de Cotonou en réseaux et systèmes électriques

    Bénin: Enabel participe au renforcement de capacité d'agents du Port de Cotonou en réseaux et systèmes électriques


    Reece-hermine ADANWENON | 09/05/2022

    Former les agents afin qu’ils puissent éviter les risques électriques à travers la mise en œuvre des mesures de sûreté électrique et l’application de nouvelles normes de sûreté dans toutes leurs interventions sur le terrain et élaborer un plan de maintenance des postes d’électricité selon les normes professionnelles. Ce sont là les objectifs visés par le parcours d’acquisition de compétences en systèmes et réseaux électriques appuyé par le projet PASPort d’Enabel au Bénin.Cette formation déroulée durant près de 17 mois a réuni  12 agents du service de génie électrique et mécanique autour d’un parcours d’acquisition de compétences décomposé en 3 phases à savoir la phase de diagnostic, la phase de formation théorique et la phase pratique aussi appelée phase d’accompagnement.A la phase de diagnostic, deux experts du Port d’Anvers ont effectué en septembre 2019, une vérification visuelle des installations électriques du Port Autonome de Cotonou (PAC) afin de mieux comprendre ces installations et cartographier les défauts éventuels et identifier les conditions les moins sûres. De leur analyse, découle plusieurs défauts dans la gestion du réseau électrique au Port don’t : - l’inexistence des rapports de service, des états des postes d’électricité médiocre ; - mauvaise utilisation des espaces d’électricité (utilisés comme dépôts pour autres matériaux et déchets), les postes d’électricité non fermés donc accessibles aux animaux ; équipement de sécurité obsolète ; - dangers d’électrocution (haute tension et basse tension) ; - infiltration d’eau quand il pleut ; - absence de consignes de sécurité ;- câbles exposés sans protection...     Ce diagnostic à la phase A du parcours a permis d’identifier des besoins spécifiques en formation/recyclage du personnel en charge ainsi que des besoins en accompagnement en situation de travail une fois la formation achevée afin de mieux gérer le réseau et les systèmes électriques du Port. Ainsi, 2 formations ont été retenues et ont fait l’objet de ce renforcement de capacité. Il s’agit de la formation et accompagnement en sûreté électrique, y compris la formation de base théorique en électricité basse et haute tension et de la formation et accompagnement en planification et exécution des actions de maintenance des postes d’électricité. Au terme de la formation, les agents du PAC ont été formés afin d’amener les équipes à avoir un réflexe de sûreté dans chaque action autour des installations électriques pour éviter des risques électriques dans le futur. Ces agents formés pourront également aider les agents de la Direction Technique à apprendre à mettre à jour le plan de maintenance quand les circonstances et les technologies changent, et assurer ainsi une bonne gestion de maintenance afin d’éviter des mauvaises surprises et de pouvoir se concentrer sur le développement à long terme du Port Autonome de Cotonou. 


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    Benín BEN1803811

  • Le marché de l’atiéké : un business florissant aux mains des femmes dans la région du Centre- Est du Burkina Faso

    Le marché de l’attiéké : un business florissant aux mains des femmes dans la région du Centre- Est du Burkina Faso


    Adama GNANOU | 06/05/2022

    Le marché de l’attiéké se porte bien dans la région du Centre Est. Selon une étude réalisée par l’Agence belge de développement en 2021, il ressort que l’attiéké est un produit populaire dans cette région avec une offre domestique en croissance continue qui est passée de 87 tonnes en 2015 à 397 tonnes en 2019. En l’espace de cinq (5) ans l’offre domestique a augmenté de 4,5 fois. Le marché est assuré par quatorze (14) unités de transformation qui emploient au moins 105 personnes dont seulement quatre (04) hommes. Il faut investir dans la production locale de pâte de maniocL'attiéké est un mets traditionnel d'origine ivoirienne fait à base du manioc. Il se mange le plus souvent avec du poisson ou de la viande, accompagné d'une petite sauce d'assaisonnement.  Au plan national, sur les 516 tonnes de pâte de manioc transformée en attiéké, plus de 88% (456 tonnes) ont été importées de la Côte d’Ivoire et du Togo. Si l’importation de pâte est essentielle au marché de l’attiéké, à moyen et long terme, le développement d’une production locale de pâte compétitive sur le prix devrait contribuer à renforcer l’économie régionale. La production reste la clé du développement de la filière manioc au Centre-Est et mérite une attention particulière dans toutes les communes de la région où le potentiel existe. Selon les conclusions de cette même étude, la demande régionale solvable en attiéké est globalement forte et est estimée à 21 117 ménages et 127 969 personnes, soit plus de 285 tonnes en 2018 et 771 tonnes en 2019 d’une valeur estimée à 690 665 724 FCFA. En 2019, cette demande régionale a été couverte à 52% démontrant ainsi un déficit d’offre qui est une belle opportunité de croissance à saisir par les acteurs directs. Il y’a de bonne raison d’y investir de l’argent. Une commande institutionnelle prometteuse L’analyse de l’évolution de la demande institutionnelle montre un potentiel de croissance pouvant atteindre 1 260 tonnes d’ici à 2025 pour une valeur de 1 261 444 000 FCFA. En effet, utiliser l’attiéké déshydraté dans les cantines scolaires est autorisée depuis 2019. Par ailleurs, dans l’évolution de la demande régionale, la projection sur 2025 indique que celle non institutionnelle pourrait atteindre 2 594 tonnes pour une valeur de 2 413 925 000 FCFA. L’accès des clients et des consommateurs à l’attiéké est facilité par l’activité d’acteurs de la commercialisation. L'activité de la commercialisation est animée par plus de 92 vendeuses qui réalisent un chiffre d’affaire d’au moins 2 559 000 FCFA chaque jour auprès d’au moins 12 796 acheteurs. La distribution reste cependant le maillon faible de la chaine, ce qui limite la présence du produit dans toutes les communes. Cette étude a été réalisée grâce à l’intervention « Entrepreneuriat inclusif et durable » de Enabel mise en œuvre dans la région du Centre-Est. Adama GNANOU Assistant communication


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    Burkina Faso BKF1803211

  • Mali: la brigade d'assainissement de Koulikoro reçoit des motos

    Mali: la brigade d'assainissement de Koulikoro reçoit des motos


    Nènè TRAORE | 05/05/2022

    9 millions de F CFA, c'est le coût de 6 motos remises le vendredi 22 avril 2022 à la brigade d'assainissement de la commune urbaine de Koulikoro par le Projet d'Amélioration de l'Accès à l'Eau Potable et à l 'Assainissement dans la région de Koulikoro (PEPAK). Ces matériels roulants contribuent à l'amélioration du fonctionnement de cette brigade d'assainissement. Cette brigade vise en effet à améliorer le cadre de vie dans la commune urbaine de Koulikoro.   L'assainissement est un cadre dont la gestion est difficile pour les autorités communales du Mali. Pour parvenir à un cadre d'assainissement plus cohérent et adapté, il nécessite souvent des mesures drastiques. En vue d'apporter une amélioration des conditions de travail et le bon fonctionnement de cette brigade, le PEPAK a accompagne  la commune urbaine de Koulikoro à travers l'équipement et la formation de cette brigade . Ce qui en perspective doit permettre d'améliorer les capacités opérationnelles et d'intervention de cette brigade. Le maire de la commune urbaine de Koulikoro s'est réjoui de la réception de ces équipements roulants qui n'a pas en douter va permettre d'améliorer les capacités opérationnelles de brigade. Il promet qu'après réception, ces équipements désormais désignés comme patrimoines de la mairie seront mis à la disposition de l'équipe de la brigade : «  bon usage en sera fait  » a promis le maire. Par ailleurs, la commune urbaine de Koulikoro bénéficie d'une station de traitement de boue de vidange financée par ce même projet. Ainsi, l'opérationnalisation de la brigade d'assainissement doit orienter et accompagner la population vers la bonne gestion de cette station qui sera en perspective mise à la disposition de la commune de Koulikoro dans les mois à venir. Pour rappel que la commune de Koulikoro compte plus de 50 000 habitants. Moins de 10% de cette population a accès aux toilettes modernes. Avec l'accompagnement du projet PEPAK, plus de 900 latrines modernes individuelles seront construites au profit de cette population majoritairement démunie.    


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    Mali MLI1805311

  • Production et commercialisation des engrais organiques : le marché est bien solvable dans la région du Centre-Est du Burkina Faso

    Dans la région du Centre-Est du Burkina Faso, la production et commercialisation d'engrais organiques est boostée!


    Kimsegninga SAVADOGO | 04/05/2022

    La production à but commercial d’engrais organiques n’est pas courante dans la région du Centre-Est. Et pourtant, le marché y est bien solvable. Une étude sur le marché régional des engrais organiques réalisée par Enabel, dans la région du Centre-Est du Burkina Faso, fait des révélations.   Une étude sur le marché régional des engrais organiques réalisée par Enabel, dans la région du Centre-Est du Burkina Faso a permis d’identifier cinq principaux types d’engrais organiques produits et utilisés à savoir (i) le compost, produit en tas ou dans des fosses compostières ; (ii) le compost à base d’effluents de biodigesteurs ; (iii) le fumier de parc ; (iv) les fientes de poules ; (v) la terre noire issue des décharges familiales.  Il ressort de l’étude que la demande marchande solvable d’engrais organique est estimée à au moins 26 276 tonnes en 2019. Avec une moyenne de progression de 5,5% l’an, elle sera d’au moins 27 074 tonnes dans cinq ans pour une valeur de 1 082 960 000 FCFA en 2025.   Mieux, la production du compost est en hausse, passant de 241 tonnes en 2015 à 303 tonnes en 2019, soit une progression de 25,7% en cinq ans. Cependant, si vous voulez y investir, tenez compte de certaines contraintes, entre autres, le besoin important d’eau dans des contextes où l’accès à l’eau est souvent difficile, la compétition de plus en plus forte pour l’accès aux matériaux que sont les résidus de récoltes, la paille, et dans une moindre mesure la raréfaction de la main d’œuvre en milieu rural.   Un sous-secteur pourvoyeur d’emploi mais mal organisé  L’analyse de la sous filière engrais organique indique qu’elle n’est pas organisée. Elle manque de visibilité et les acteurs n’ont pas encore perçu qu’elle peut être une source de revenus et de création d’emplois verts. A part le compost produit par le biodigesteur qui a un prix fixe. Les autres sont vendus au pif et parfois à la tête du client à des prix estimatifs allant de 12 à 30 FCFA le Kg. Et portant, le marché des engrais organiques est estimé à 172 tonnes en 2019 et est dominé à 62,2% par le fumier de parc. La demande marchande solvable d’engrais organique est estimée à au moins 26 276 tonnes en 2019. Avec une moyenne de progression de 5,5% l’an, elle sera d’au moins 27 074 tonnes dans cinq ans pour une valeur de 1 082 960 000 FCFA en 2025.  C’est dans ce contexte que le Projet D-ECOVERTE (Développement de l’Economie Verte au Centre Est) financé par Enabel à travers son intervention Entrepreneuriat inclusif et durable, porté par le consortium CEAS Suisse, CISV, La Fabrique, accompagne la mise en place d’unités de production, ainsi qu’une douzaine d’entreprises potentielles dans la région du Centre-Est afin de contribuer à booster de façon significative l’offre régionale en engrais organique.  Cependant, l’utilisation de l’engrais organique subventionné par l’Etat pourrait être un rempart à la bonne promotion des engrais organiques. En effet, la seule région du Centre-Est a reçu 3 942 tonnes d’engrais chimique à prix subventionné durant la campagne agricole 2019/2020 d’une valeur de 1 300 860 000 FCFA. C’est dire donc que les politiques publiques ne sont pas encore en phase avec les ambitions nationales de développement durable dans l’agriculture.   L’étude formule enfin trois propositions de leviers pour accompagner le développement du marché de l’engrais organique dans la région : (i) l’intensification de la production régionale d’engrais organique, (ii) le développement de la mise en marché des engrais organiques, (iii) l’amélioration des conditions cadres en faveur des engrais organiques.


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    Burkina Faso BKF1803211

  • Partenariat entre les polices cybercriminelles du Bénin et de la Belgique

    Partenariat entre les polices cybercriminelles du Bénin et de la Belgique


    Reece-hermine ADANWENON | 04/05/2022

    Du 8 au 18 mars 2022, 3 techniciens béninois de l’Office Centrale de Répression de la Cybercriminalité (OCRC) étaient en formation à la Police judiciaire fédérale de Charleroi. Dix jours de formation durant lesquels, ces policiers béninois ont appris à identifier hackers et criminels informatiques, extraire des données judiciaires et construire un réseau professionnel.Dans la vidéo jointe, découvrez en images la rencontre entre les polices cybercriminelles du Bénin et de Charleroi.


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    Benín BEN19011

  • Enabel shares actions implemented through the Human Rights-Based Approach in the NTCs - Uganda

    Enabel shares actions implemented through the Human Rights-Based Approach in the NTCs - Uganda


    Peace NERIMA | 03/05/2022

    Enabel, in partnership with the Ministry of Education and Sports through the Teacher Training Education Project (TTE) project, integrates and implements the Human Rights-Based Approach in all its activities focusing on three main areas; digitalization, gender and climate. Hellen Namyalo, Monitoring and Evaluation Officer at the TTE project, shares how the Human rights-based approach to Enabel's actions implemented in the National Teachers colleges has promoted a conducive environment for teaching and learning through active engagement and participation of all stakeholders in activities such as:The Results-Based Management (RBM) ProcessThe development, construction and setup of facilities that foster a safe learning  environment for students and;The design and development of teacher training materials and online courses for the NTCs.


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    Uganda UGA1503111

  • Revalorisation des déchets issus de la production d’ananas : 5 entreprises innovantes reçoivent du financement au Bénin

    Revalorisation des déchets issus de la production d’ananas : 5 entreprises innovantes reçoivent un financement au Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 29/04/2022

    6 mois déjà qu'Enabel à travers son projet DEFIA en partenariat avec l’Association Entrepreneurs pour Entrepreneurs (OVO) appuient les lauréats du concours Inno-Valorana.Un appui en coaching mais également en financement afin d’amener ces entreprises à devenir plus durables. Suveovenez-vous, en 2020, le Programme de Développement de l’Entreprenariat dans la filière agricole « DEFIA » mise en œuvre par Enabel au Bénin a initié une compétition entrepreneuriale (Inno-Valorana). A l’issue de ce concours, 5 projets innovants dans la filière ananas avaient été retenus. Il s’agit de :• Production de champignons à base de déchets de transformation d'ananas par GEANT & CO ;• Fabrication d'un engrais organique à base de résidus d'ananas par BIO LIFE ;• Production de poudre d'ananas à base de la pulpe et du cœur séché de l'ananas par GABS BENIN ;• Fabrication d'aliments pour animaux à base de résidus de transformation d'ananas par MOUSSCAL ;• Développement de nouvelles machines et de nouveaux matériaux agricoles pour faciliter la valorisation des flux de déchets par NOTIC.En tenant compte du niveau de développement de ces innovations, le projet DEFIA d’Enabel au Bénin s’est associé à l’Association Entrepreneurs pour Entrepreneurs (OVO) pour financer ces cinq entreprises innovantes béninoises et favoriser un mélange créatif de subsides et de prêts sociaux. Au cours des six derniers mois, OVO a aidé ces entreprises à devenir plus durables grâce à un coaching et à un échange de  connaissances, de sorte qu'elles sont désormais prêtes à investir davantage dans la croissance de ces activités très  innovantes.  En termes de financement, OVO et Enabel ont élaboré une solution spécifique et créative. Même si les entreprises sont actives depuis un certain temps, il y a encore beaucoup d'incertitudes quant au potentiel du marché ou à la stratégie de ces nouvelles activités, de sorte que le remboursement d'un éventuel prêt ne va pas de soi.  Par conséquent, le financement se fera en deux phases. Chaque entreprise recevra par l'intermédiaire d'Enabel, ceci après approbation du plan financier par OVO une subvention d'environ 38 000 € soit environ 25 millions de Fcfa pour atteindre la première phase d'innovation. Pour sa part, OVO émettra une lettre d'intention pour un financement supplémentaire en fonction de la croissance avérée du chiffre d'affaires et des besoins d'investissement supplémentaires. OVO propose des prêts abordables allant jusqu'à 50 000 € avec un délai de remboursement pouvant aller jusqu'à cinq ans. En optant pour un financement mixte, OVO et Enabel peuvent offrir aux entreprises un soutien qui tient compte du niveau de maturité des innovations et ainsi maximiser les chances de succès. 


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    Benín BEN19004

  • RIMDIR participe à l'accroissement des conditions de vie dans l'Assaba

    En Mauritanie, Enabel participe à l'accroissement des conditions de vie dans l'Assaba


    Aminata KANE | 28/04/2022

    Le programme RIMDIR aménage 1253 hectares de superficies agricoles grâce aux infrastructures mis en place en Mauritanie et participe ainsi à l'accès à une nourriture saine, suffisante et diversifiée tout au long de l'année par la sécurisation, l'aménagement et la gestion durable des terres agricoles et pastorales.Le RIMDIR apporte des solutions concrètes et efficaces afin de mieux illustrer les résultats Fatma Salek du Oued Rawda en Assaba nous raconte les bénéfices que l’aménagement des gabions a apporté dans leur quotidien. Avant la mise en place des ouvrages, la population était confrontée à de nombreuses difficultés (l’ensablement, l’envasement, dégradation avec l'érosion régressive et l'apport de déchets par le vent).Les aménagements facilitent le travail et apportent une augmentation des revenues des ménages. Enabel a eu une bonne collaboration avec les communautés. 86 personnes ont participés, femmes comme hommes, à la mise en place des gabions. Les travaux se sont fait en 10 jours pour les activités HIMO (3000 mru par personne), cette argent  a permis l’achat des fournitures pour les enfants, subvenir aux besoins scolaires des enfants et aux besoins de la famille. Le village a tiré un grand profit dans la conception des gabions au-delà de l’aspect de restauration de leur parcelle et de leur sol. Selon Fatma : "Ce sont des cultivatrices au même titre que les hommes. Elles ont aussi travaillé au niveau des cordons pierreux et ont en bénéficiés pour leur famille. Demande d’actions similaires vu que cela contribue à l’amélioration de leur condition de vie". Le plus important est que les communautés travaillent pour elles-mêmes et que le programme était là pour les appuyer, et a ainsi permis de subvenir à leurs besoins en période de soudure. Les gabions permettent d’augmenter les superficies agricoles et la restauration des sols, et cela met en valeur le Oued, tant qu’il y a de l’eau, ils font le maraichage et enfin participe à la résolution du problème de sécurité alimentaire.


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    Mauritania MIE170031T

  • #GirlsinD4D: New campaign puts the spotlight on young female trailblazers in the Digital for Development field

    #GirlsinD4D: New campaign puts the spotlight on young female trailblazers in the Digital for Development field


    Ahtziri Alejandra GONZALEZ GARCIA | 28/04/2022

    Women have a decisive role to play in shaping the digital transformation and ensuring that it contributes to a better and fairer future, yet they remain significantly underrepresented in the digital field. The underlying causes are diverse, ranging from harmful stereotypes to educational barriers. Globally, women are 12.5 percent less likely to use the Internet compared to men, which results in a limited capacity to benefit from the opportunities created by the digital world.  While the solutions to close the gender digital divide need to come from many fronts, the first step is to create awareness on the challenges that women face in the digital environment, and to give visibility to the female trailblazers who are overcoming such obstacles to lead the digital transformation on their own terms.In this spirit, the AU-EU Digital for Development (D4D) Hub launched the online communications campaign #GirlsinD4D. Contributing to the celebration of International Girls in ICT Day on 28 April, the campaign’s goal is to put the spotlight on inspiring young women from Africa and Europe who are working tirelessly to leverage digital technologies and innovations to improve people’s lives in both continents.The AU-EU D4D Hub received 195 nominations for this campaign – evidence of the many strong-willed and fearless women who are breaking barriers to achieve their dreams. The ten shortlisted nominees represent the diversity of experiences, skills, and circumstances that drive women to pursue careers in the digital field. By no means this selection means to undermine the other candidates’ outstanding merits.The #GirlsinD4D are engineers, entrepreneurs, social scientists, and graphic designers. Most of them found their passion for technology at a very early age, and their own lives have been transformed by opportunities they found online. What they all share is a determination to help other women succeed in the digital field and to contribute to sustainable development through digital solutions. Meet the ten #GirlsinD4D here: https://bit.ly/3kmGeP0AboutThe AU-EU D4D Hub supports African institutions to create an enabling environment for an inclusive digital transformation. The project provides demand-driven technical assistance, promotes knowledge sharing, and facilitates dialogues.  The AU-EU D4D Hub is a Team Europe project, co-funded by the European Union and jointly implemented by Enabel, GIZ, MFA Estonia, e-GA, ITL, AFD, Expertise France, and LuxDev. It is part of the D4D Hub, an EU-led platform that creates and leverages partnerships to shape a sustainable digital future worldwide.More information 


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    Bélgica BEL20005

  • Leasing, mécanisme favorisant l’insertion socio professionnelle des jeunes lauréats

    Au Burundi, Leasing, est un mécanisme favorisant l’insertion socio professionnelle des jeunes


    Donavine KWIZERA | 27/04/2022

    Lancement solennel de distribution des équipements leasing (location-achat) à Gitega le 22 Avril 2022 par le Ministère de l’Éducation Nationale et de la Recherche Scientifique et Enabel à 297 lauréats et 97 artisans associés de 15 Centres d’Enseignement des Métiers (CEM) appuyés par le projet d’Appui Complémentaire à la Formation Professionnelle et Technique (ACFPT) La formation des jeunes en métiers dans les CEM n’est pas suffisante en soi pour accéder à l’emploi ; c’est la raison pour laquelle le projet a mis en place différents mécanismes d’insertion socio professionnelle dont le leasing. Le leasing ou système de location-achat est une technique contractuelle par laquelle le loueur acquiert la propriété de biens d’équipement à usage professionnel, en vue de les mettre à disposition d’un locataire, pour une période déterminée, contre payement d’un loyer. Le leasing est donc une manière de favoriser l’insertion des jeunes ayant appris un métier en leur donnant l’opportunité d’accéder à des outils de travail qui leur permettront de mettre en pratique les acquis de leur formation et générer des revenus. Par ailleurs, grâce à la possibilité d’un octroi d’équipements en leasing à un binôme lauréat-artisan, il permet de faciliter la collaboration entre les jeunes nouvellement qualifiés et des professionnels aguerris dans le métier. Ce mécanisme a été activé par Enabel depuis 2014. Ce sont ainsi 269 lauréats et 160 artisans qui en ont déjà bénéficiés auxquels vont s’ajouter ceux concernés par la distribution de Gitega soit 373 équipements d’une valeur d’environ 92 000euros pour 297 lauréats et 97 artisans. Dans un souci de durabilité, les bénéficiaires ont été sensibilisés sur l’importance de rembourser ces équipements. En effet, ce sont ces remboursements qui permettront d’en acheter d’autres pour que les lauréats des autres promotions puissent également bénéficier de ce mécanisme d’insertion. Pour conclure, notons que le montant global des financements engagés par le Royaume de Belgique dans le secteur de l’enseignement des métiers, de la formation technique et professionnelle depuis 2014, est de 15.100.000 euros.


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    Burundi BDI1307811

  • BURUNDI: La digitalisation, facteur de résilience face à la pandémie de COVID-19

    Burundi: La digitalisation, facteur de résilience face à la pandémie de Covid-19


    Philippine DE BRUYN | 27/04/2022

    Le projet RESICODI « Résilience au Covid-19 par la digitalisation » est un programme multi-pays financé par l’Union Européenne et le Ministère Fédéral Allemand de la Coopération économique au développement mis en œuvre dans 9 pays dont le Burundi.L’objectif général du programme est de réduire l’impact de la pandémie de COVID-19 dans les régions de l’Est et du Sud de l’Afrique par des activités de digitalisation dans les secteurs de l’Education, de la Formation Technique et Professionnelle (FTP) et des services de santé.Le programme RESICODI, mis en œuvre depuis une année par Enabel au Burundi, peut compter sur l’expérience du projet ACFPT dans la digitalisation pour atteindre ses résultats. L’idée de ce programme est d’utiliser le numérique comme outil de résilience face aux périodes pandémiques comme la Covid19.Ce programme au Burundi appuie 9 Centres d’Enseignement des Métiers (CEM) qui reçoivent un appui notamment sur trois volets : premièrement l’octroi des bibliothèques numériques avec des contenus éducatifs de diverses disciplines, deuxièmement les équipements, aménagement physique et sécurisation énergétique des salles multimédias et enfin le renforcement des compétences en informatique des équipes pédagogiques.Pour répondre au volet de renforcement des compétences, une formation à destination de 19 formateurs TIC venant des 9 centres appuyés a débuté en avril 2022. Afin d’être le plus en adéquation avec les réalités locales, cette formation est dispensée par Burundi Formation, un prestataire national.Grâce à ces renforcements, ces formateurs vont pouvoir accroitre la qualité de leurs enseignements et ainsi permettre au Burundi de disposer d’une jeunesse sensibilisée sur l’importance du numérique et pourvue de compétences solides. De plus, ces formateurs vont également pouvoir devenir des personnes ressources en informatique au sein de leur centre et plus globalement de la communauté. C’est là un premier pas allant vers la digitalisation des différents services et permettant de devenir plus résilients face à des situations de crise.Avec des équipements numériques modernes, des infrastructures adaptées et une formation de qualité, ces centres vont servir de modèle dans le numérique au sein de leur région voir même à l’échelle nationale.© Donavine Kwizera, Experte Communication (Enabel Burundi)Quelques mots au sujet de RESICODI (Résilience au COVID-19) par la digitalisationDans un esprit Team Europe, la GIZ et Enabel ont uni leurs forces pour tirer parti des projets existants afin d'assurer une réponse intégrée et durable au COVID-19. RESICODI soutient ainsi des initiatives en cours mises en œuvre par les deux agences :La GIZ renforce l'initiative BACKUP Fund établie pour fournir un soutien technique et financier aux partenaires africains travaillant sur des solutions numériques pour les services d'éducation de base.Enabel renforce les projets réussis de l'enseignement et de la formation techniques et professionnels (EFTP) et de santé pour faciliter la résilience au COVID-19.Le projet est mis en œuvre au Botswana, au Burundi, en République démocratique du Congo, à Madagascar, au Malawi, en Namibie, au Rwanda et en Zambie.


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  • Lancement de la première phase de formation des maîtres forgerons dans les agropoles

    RCA: Lancement de la première phase de formation des maîtres forgerons dans les agropoles


    Grâce MALI FAIDA | 27/04/2022

    La première phase de formation de maîtres forgerons s’est tenue du 9 au 28 mars 2022 dans les locaux du chantier naval de la SOCATRAF. Cette activité a regroupé les forgerons de différents groupements, coopératives et associations à travers les agropoles (sous-préfectures) cibles du Programme d’Appui au Développement Rural à savoir Bangui, Bimbo, Sibut, Bossangoa et Bozoum.Cette formation a été organisée pour renforcer les capacités des maîtres forgerons sur les techniques de base de forge afin de soutenir les activités agropastorales. Par la suite, ces forgerons formeront des jeunes à travers le dispositif d’apprentissage. Ce dispositif d’apprentissage et d’insertion professionnelle des jeunes dans le métier de la forge sera conduit par l’Agence Centrafricaine pour la Formation Professionnelle et l’Emploi (ACFPE). D’autres forgerons au niveau des agropoles et des villages bénéficieront également de cette formation. Cet accompagnement veut s’inscrire dans la durée et différentes expertises pourront être mobilisées en fonction des besoins.


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  • Formation en électricité aux apprenants du Centre Don Bosco de Bangui

    RCA: Formation en électricité aux apprenants du Centre Don Bosco de Bangui


    Grâce MALI FAIDA | 27/04/2022

    Dans le cadre du programme d’Appui au Développement Rural (DEVRURII), une session de formation technique a été organisée, au Centre de Formation Professionnelle (CFP) Don Bosco, à l’agropole de Bangui du 2 mars au 6 avril 2022. Cette session a été préparée au bénéfice des écoliers de la deuxième et troisième année de la section électricité, en vue d’un stage pratique qui s’aligne dans une approche chantier-école.Cette session de formation s’est déroulée en deux volets : Un volet théorique et l’autre pratique. Le volet théorique a porté éventuellement sur les questions liées aux risques et à la sécurité électrique, au rappel des symboles électriques, aux schémas électriques, à la répartition des charges dans un circuit électrique, aux dispositifs de protection, à la présentation du cahier de stage, à la présentation du plan d’installation, etc. Le volet pratique quant à lui s’est focalisé sur la pratique des cas évoqués au cours des séances théoriques. Le partenariat avec le Centre de Formation Professionnelle Don Bosco fait suite à une demande formulée par le CFP pour un apport en matériels électriques afin de réhabiliter son atelier et le besoin d’une installation électrique adaptée. La session de formation répond à cette demande dans le cadre de l’approche chantier-école mise en œuvre par DEVRURII. 


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