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  • Tout le monde engagé pour la bonne gestion du bac Kenge II.

    Tout le monde engagé pour la bonne gestion du bac Kenge II.


    Julie CLAASSENS | 10/08/2017

    En 2011, le bac Kenge II a été mis en service sur la rivière Wamba afin de booster les échanges entre les deux rives. Seulement à peine quatre ans après, en 2014, il s’est mis à l’arrêt. Les paysans riverains et principaux usagers de ce bac se sont retrouvés dans les difficultés d’écouler leurs produits agricoles de part et d'autre de la rivière. Entre autres facteurs de cet arrêt, un manque de perspective de pérennisation dans la gestion technique et financière du bac. Après les efforts de réhabilitation consentis par la CTB, et pour lui éviter le même sort, la mise en place d’un nouveau système de gestion était alors indispensable et ça a été expliqué pendant un atelier. L’atelier a visé à impulser une dynamique de bonne gestion au niveau technique, opérationnel, administratif et financier du dit bac, afin d’assurer son maintien et de lui permettre de jouer pleinement son rôle socio-économique. Cela se traduit par la mise en place d’un système efficace de gestion du bac conçu et approuvé par la population de Kenge. L’activité a connu la participation d’une diversité d’acteurs, aussi bien étatiques que non étatiques, notamment : Le gouvernorat de province, représenté par le conseiller technique du gouverneur ;L’Office des Routes ;Le Ministère Provincial des Infrastructures, Travaux Publics et Reconstruction (ITPR) ; Le Ministère de l’Agriculture et Développement rural ;La société civile du Kwango ; Les entités locales ; L’intermédiaire financier des bacs réhabilités par la CTB. Au cours de deux jours les acteurs ont, dans un élan participatif, abordé plusieurs questions et à la fin, les résultats suivants ont été atteints :L’instauration d’un partenariat public-privé pour la gestion du bac ; L’option pour un péage universel et obligatoire pour l’usage du bac ; La constitution d’un comité mixte de gestion dans lequel la gestion administrative et financière est attribuée au secteur territoire et à la société civile, et la gestion technique est attribuée à l’office des routes ;La mise en place d’un organe de contrôle constitué de délégués des Ministres Provinciaux des ITPR et d’Agriculture et Développement rural, le Directeur Provincial de l’Office des Routes et deux membres de la société de la province du Kwango. Un Partenaire Technique et Financier actif dans le secteur des routes pourrait accompagner le comité de Contrôle ; Une gestion bancable par la création du compte bancaire destiné à loger les fonds perçu de l’exploitation du bac ;Les résultats du talonnage ont été présentés et ceci a renseigné sur les éléments essentiels du fonctionnement du bac, ce qui a permis de fixer les tarifs pour chaque catégorie d’usagers ; Les principes de gestion ont été mis en place et les attributions de chaque organe de gestion ont été clairement définies ;L’affectation prévisionnelle des recettes d’exploitation du bac a été établie donnant priorité au fonctionnement du bac et son à son entretien ;Un intermédiaire financier a été désigné. Celui est le percepteur légitime des frais traverse, d’autres acteurs venant tout simplement en appui.Toutes les parties prenantes ont exprimé un sentiment de satisfaction pour les résultats atteints et ont promis une implication tous azimuts dans le fonctionnement du bac. Ils ont par ailleurs requis une implication personnelle du gouverneur de province qui userait de son pouvoir pour contrer les officiels qui abuseraient de leurs statuts face à cet ouvrage communautaire.


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    DR Congo RDC1116111

  • Les stratégies d’appui agricole en lien avec les problématiques environnementales

    Appui au secteur agricole en lien avec les problématiques environnementales.


    Julie CLAASSENS | 10/08/2017

    La RDC s'est engagée dans le processus de la Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des forêts (REDD+) en vue de participer à un futur accord de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC). Il est dirigé par le Ministère de l'Environnement et Développement Durable, par le biais de la Coordination Nationale REDD+ en partenariat avec le Programme ONU-REDD+ (PNUD, FAO & PNUE) et la Banque Mondiale (Forest Carbon Partnership Facility ou FCPF).C'est en tenant compte de cet engagement que le PRODAT a organisé à Kisangani, un atelier sur l’impact de l’agriculture et de l’évolution des systèmes agraires sur les forêts et l’environnement. A l’occasion de cet atelier, une représentation détaillée du processus REDD+ de la RD Congo et des projets d’investissement a été faite. Le PRODAT a également présenté sa stratégie qui s’appuie sur la question. L’agriculture itinérante sur brulis étant la principale cause de déforestation dans la province de la Tshopo, cette stratégie s’appuie sur: La Recherche d’une sédentarisation (partielle); La mise en œuvre d’une dynamique de recherche-action basée sur les besoins et expériences paysannes et l'appropriation et l'acceptation des innovations; La nécessité de mise en place des dispositifs d'apprentissage à travers des essais comparatifs entre techniques traditionnelles et innovantes. Cette stratégie pourra d’autant mieux aboutir avec l’appui des institutions internationales et régionales de recherche, la présence des Partenaires Techniques et Financiers, l’existence de plateformes de concertation comme un Conseil Agricole Rural de Gestion et la possibilité d’interactivité entre l'agriculture et l'élevage.


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    DR Congo RDC1217711

  • Mise en place des activités génératrices de revenus dans les écoles techniques.

    Mise en place des activités génératrices de revenus dans les écoles techniques.


    Julie CLAASSENS | 10/08/2017

    EDUT sous appui financier de Programme de Renforcement des Capacités Organisationnelles par l’Octroi des Bourses (PRECOB) vise à mettre en place, dans les écoles appuyées, des activités génératrice de revenus (AGR) pour que ces dernières servent de: Lieux d’apprentissage des élèves, hormis les ateliers de l’école; Modèle donnant aux élèves le goût de s’auto employer aux cas où ils ne trouveraient pas d’emploi après leurs études; Unités de production pour permettre aux écoles de faire face à son fonctionnement; Eventuelles opportunités d’emploi des certains élèves.Pour permettre à ces écoles de choisir des activités viables et compatibles avec l’environnement socio-économique de leurs milieux respectifs, une formation initiale en entrepreneuriat et en marketing aboutissant à la finalisation d’un business plan, a été organisée à Isangi et à Kisangani. Apres cette formation, un suivi d'accompagnement sera fait in situ par l’expert formateur pour s’assurer d’un bon choix et d’une bonne rédaction du dossier des activités faisant partie intégrante du projet d’établissement qui fera l’objet de conventions de subsides à signer ultérieurement  entre la CTB et les 21 écoles ciblées par le programme.


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    DR Congo RDC1217911

  • Remise de deux bâtiments à l'inspection de l'agriculture et développement rural à Banalia.

    Remise de deux bâtiments à l'inspection de l'agriculture et développement rural à Banalia.


    Julie CLAASSENS | 10/08/2017

    La CTB Tshopo par l’entremise de son coordinateur provincial, Mark Hoekstra, à remise officiellement les clés des deux bâtiments au représentant du Ministre Provincial de l’Agriculture, Pêche, Elevage et Développement rural, qui en suite les a remises à l’administrateur du territoire de Banalia. La cité de Banalia est située à 126 kilomètres à l’ouest de Kisangani. Il en était suivi d’une visite des installations. Le cout de cet ouvrage s’élève à 140 875 euros. Il est constitué de deux bâtiments dont le principal de 280 mètres carrés servant de bureau et le second de 102 mètres carrés pour le dépôt. Le bâtiment principal est composé de :9 bureaux dont 7 climatisés; 1 salle de réunion d’une contenance moyenne de 30 personnes et climatisée; 3 sanitaires plus 1 douche connectée à un réservoir de collecte d’eau de pluie d’une capacité de 1000 litres; 1 cuisine. Le dépôt est composé de : 1 bureau; 1 dépôt d’une surface de 62 mètres carrés.Ces infrastructures permettront aux agents de l’Etat congolais, partenaires de mise en œuvre des projets de la CTB Tshopo, de travailler dans des très bonnes conditions. Notons que les bâtiments servants des bureaux à ces services étatiques sont dans un état de délabrement avancé car datant de plus de 70 ans et ne bénéficiant pas des travaux de réhabilitation.L’administrateur du territoire de Banalia a vivement remercié la CTB et a rassuré l’assistance qu’il veillera à ce que ces deux bâtiments soient bien entretenus et maintenu.


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    DR Congo RDC1217711

  • A Gemena, le premier résultat dans le cadre de la mise en place du système de transport des urgences médicales avec la participation communautaire est

    Mise en place du système de transport des urgences médicales à Gemena


    Julie CLAASSENS | 09/08/2017

    Trésor, membre de l’Association des Forgerons de Gemena, a fabriqué le premier siège ambulance de la Zone de Santé de Bwamanda. Plus concrètement, il a confectionné et installé un siège ‘inclinable’ sur une moto, qui permet de transporter des gens malades. Le forgeron a également installé un parasol pour la protection contre le soleil et la pluie. L’ambulance est faite selon l’exemple des sièges confectionnés à Kikwit, lors du travail de l’ONG Memisa. Trésor a bénéficié d’une formation en forge, encadré par le programme d’éducation EDUMOSU. La synergie entre EDUMOSU et le programme d’appui aux divisions provinciales de la santé et les zones de santé commence donc à porter des fruits. Le but est de créer de telles ambulances pour les quatre zones de santé dans le Sud-Ubangi qui sont appuyées par le programme. Partout dans les zones rurales du Congo, la situation reste précaire. Par manque de moyens de transport, les malades sont toujours transportés en vélo ou à pied, par ‘Tipóyi’, c’est-à-dire dans un hamac. Les centres de santé ou maternités sont souvent situés à 30, 50 où même 80 km de l’hôpital général de référence où on peut prendre les malades correctement en charge, donc beaucoup de gens arrivent en retard ou meurent sur la route. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans sont les premières victimes. Afin de faire face à cette problématique et d’éviter des futures catastrophes, la mise en place d’un système de transport organisé est nécessaire. Dans ce système, la participation communautaire garantira la pérennité des activités et le contrôle social pour la bonne utilisation des engins utilisés, notamment des véhicules ambulances, des motos ambulances et des pirogues ambulances.


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    DR Congo RDC1419411

  • A Gemena et Lisala, la formation en Word et Excel était un succès!

    A Gemena et Lisala, la formation en Word et Excel a été un succès!


    Julie CLAASSENS | 09/08/2017

    Dans le cadre de la synergie entre le programme de bourses (PRECOB) et le programme d’éducation EDUMOSU, deux divisions provinciales de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel viennent de bénéficier de la formation de base en Word et Excel. Il s’agit de 35 personnes du Sud-Ubangi et 29 de la Mongala. Ces agents sont des inspecteurs des provinces et des sous-divisions, des enseignants de la filière secrétariat-administration et le personnel administratif des directions provinciales (PROVED) et des deux Ministères provinciaux de l’Education. 80% des apprenants n’avaient jamais touché l’ordinateur et aujourd’hui 80% des agents formés sont capables d’utiliser les fonctionnalités de base des progiciels Word et Excel. Du point de vue du renforcement des capacités, il est prévu de leur doter de kits informatiques afin de les aider à exécuter leur rôle régalien dans la coordination des activités administratives et pédagogiques des établissements. A Gemena, la formation a été donnée par l’ONG groupe d’action pour le développement intégral et la solidarité (GRADIS), à Lisala par l’ONG Bureautique Tout Informatique.


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    DR Congo RDC1217511

  • Entre-temps à Likasi... l’Institut Technique Industrielle Vyombo a été réhabilité!

    Entre-temps à Likasi... l’Institut Technique Industrielle Vyombo a été réhabilité!


    Julie CLAASSENS | 09/08/2017

    Dans le cadre de la coopération au développement entre la RDC et la Belgique, la CTB s’est investie dans le domaine de l’enseignement technique et professionnel pour rendre les lauréats facilement employables à l’issue de leurs études secondaires. Ce programme comporte plusieurs projets, notamment l’appui aux écoles techniques et professionnelles afin d’améliorer leur qualité d’enseignements.C’est le cas de l’Institut Technique Industrielle Vyombo, où le diagnostic a fait état d’une situation alarmante qui nécessitait une solution urgente. D’abord, l’école secondaire Vyombo partage la même concession avec l’Institut Supérieur Pédagogique Technique de Likasi. Cette cohabitation entrainait le partage de certains biens comme les salles, les ateliers, les machines, etc. Cela a créé une situation de confusion et de désordre, on ne savait plus quelle machine appartenait à qui. Dans ces conditions, il était finalement difficile d’établir des responsabilités en cas de dommage d’un matériel. Cet état était par ailleurs à la base d’affrontements et le climat général d’études était sensiblement affecté. Ensuite, à chaque tombée de pluie, l’école était submergée d’eau, les salles de classes faisaient souvent face aux inondations et les élèves étaient en danger permanent suite au manque d’un système de drainage. En plus, l’immeuble de l’école s’érodait progressivement. L’établissement compte cinq bâtiments dotés chacun de latrines propres et des latrines centrales. Seules les latrines centrales et celles du bâtiment administratif fonctionnaient à peine et il s’avère que le manque d’un système autonome d’alimentation en eau dont était frappée l’école avait aggravé cette situation. C’était ainsi pénible pour les élèves qui  devaient s’aligner pour se soulager. Il se posait également la question d’alimentation en courant. Les installations électriques devenues vétustes, n’assuraient plus l’éclairage des salles. Souvent les cours se passaient dans l’obscurité, dans une école technique ne disposant même pas d’une salle de dessin, ni d’une salle de pratique pour la section de construction. Enfin, la direction de l’école ne disposait pas de bureaux et fonctionnait dans des salles de classes. Par conséquence, les dossiers des élèves n’étaient pas protégés. On constatait un déficit de salles de classes alors que certains locaux étaient gérés en dessous de leur potentiel. Au final, l’école présentait un aspect moins attrayant, les bâtiments vieillissants et l’esthétique même en pâtissait. Face à cette situation précaire, une intervention transversale qui porte sur des solutions durables était indispensable. C’est dans ce contexte précis que EDUKAT a inscrit son intervention qui consistait en plusieurs activités, prenant compte les divers domaines. L’école secondaire et l’institut supérieur sont séparés. Cela a consisté à cloisonner les locaux que les deux institutions utilisaient en commun. Les locaux ont fait l’objet d’une réfection pour les uns et les autres: construction des plafonds, faire la peinture, installer l’électricité et l’éclairage, construire le pavement. Il s’agit notamment de quatre ateliers machines-outils et deux bureaux de chefs d’ateliers. Par ailleurs, cela a permis de dégager des espaces qui ont été érigés en salles de classes. En outre deux ateliers ont été réhabilités pour l’Institut Supérieure Pédagogique Technique en compensation de ceux qu’ils ont dû abandonner pour l’école secondaire. Cela contribuera à rétablir la paix sociale entre les deux institutions et promouvoir les conditions de travail épanouissantes pour les élèves.  Chaque bâtiment a été doté d’un système de drainage d’eau de pluie et différents collecteurs se rencontrent à un point pour l’évacuation d’eaux vers les collecteurs publics. Les bâtiments isolés ont été dotés d’un puisard pour recueillir l’eau et l’aspirer. Ainsi, l’école est épargnée de ces flaques d’eau, boue et inondations qui se créaient à chaque tombée de pluie. Ainsi, il est rétabli une liberté de circulation dans la cours de l’école aussi bien en temps de pluie en saison sèche.Les latrines centrales et celles de chaque bâtiment ont été réhabilitées et alimentées en eau, notamment par le système d’alimentation autonome mis en place. Il s’agit de l’installation d’un tank, et de la réparation du château d’eau d’une capacité d’environ 30 m3, à l’arrêt depuis plus de 20 ans et qui alimente déjà les toilettes. De ce fait, les conditions hygiéniques sont promues.Les quatre locaux jadis occupés par la direction ont été réorganisés pour donner lieu quatre bureaux, une salle de réunion et une salle d’informatique. La présence de ces bureaux garantit la protection des archives, notamment les documents scolaires.Une salle de dessin équipée de bancs spécifiques est mise en place. L’éclairage y a été rétabli, la peinture et le pavement ont été touchés. Par ailleurs, la section de construction dispose désormais d’un lieu de pratique, un hangar nouvellement construit, avec quatre pièces en annexe pour des services divers, dont un bureau doté d’installation sanitaire. Le bâtiment principal de l’école a été entouré d’un pavement en béton d’environ deux mètres associé à un système d’évacuation d’eaux résorbées par un puisard.Telles sont les majeures activités qui ont été réalisées à l’Institut Technique Industrielle Vyombo. Elles se sont déroulées de février 2016 à mars 2017et elles ont connu dans tout le processus une implication soutenue des bénéficiaires. Le projet a été financé intégralement par la Belgique à hauteur de 600 000 euro. Selon les autorités scolaires, la réhabilitation vient de redorer l’image de cette école jadis ternie. Les conditions de travail sont considérablement promues et ce projet va bénéficier par an au moins 2000 élèves de l’institut Vyombo et environ 400 élèves d’autres écoles techniques ne disposant pas d’ateliers. Cet effectif pourrait s’accroître avec l’engouement suscité de plus en plus par la formation technique.


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    DR Congo RDC1216911

  • The annual graduation ceremony of vocational training centers' graduates

    The annual graduation ceremony of vocational training centers' graduates


    Laura SCHILLEMANS | 08/08/2017

    For one and a half years, 73 Work-Based Learning (WBL) initiatives (a modern form of apprenticeships with a strong collaborative on between the TVET institutions and the private sector) were launched in the Palestinian Territory, of which 16 in Gaza.This week the graduation ceremony of these TVET training centers’ graduates took place in Gaza. Mr. Bart Horemans, International Technical Advisor ECIB at BTC, addressed the attendees on behalf of the three international partners supporting TVET in Gaza: Islamic Relief, the German Development Agency (GIZ) and the Belgian Development Agency (BTC). In his opening remarks, he thanked everyone who played a role in the graduates’ journey to graduation:The trainers and mentors for their patience to accompany the students day in day out in the difficult task of acquiring new knowledge and skills.The parents and families for sparing no efforts in giving the students the opportunity to study and obtain a diploma. The representatives of the private sector and the hundreds of company owners for being willing to participate in the work-based learning program or other apprenticeship programs, offering the opportunity to hundreds of students to obtain real work experience in their workshops. He also highlighted the current employment landscape in Gaza and the impact of TVET: “With unemployment rates of over 40% and even higher for young people, finding a job is not an easy task. TVET, under his different forms, gives the best guarantee to find a decent job. The private sector needs skilled people and Gaza needs people who are willing to start their own business. In many economic sectors, there is a clear potential for developing new services and improving existing productions processes, as we can see in agriculture and food processing, ICT, manufacturing, renewable energy, tourism and the outsourcing sector to name but a few.  Employment remains the single most effective way to combat poverty and create opportunities for all. Notwithstanding the harsh circumstances in Gaza today, concrete things can be done to give more people the chance to find or create their own job, earn a living and take care of their families. Technical and Vocational Education and Training (TVET) is one of the most promising enablers that can contribute to this objective. This requires, however, a well-functioning educational and training system that provides youth and adults with the relevant skills in line with the needs of the labor market. This can only be achieved by creating a strong partnership with the private sector, what will lead to more jobs and at the same time increase the competitiveness of the companies.” As a closing remark, the importance of continuing the WBL initiatives was also emphasized, together with the challenge of labor market participation of women:“Although the introduction of WBL can be considered as very successful and the added value of Work-based learning has been recognized by all, we must now make sure that it will continue in the future. Therefore, we need to develop strategic partnerships with all stakeholders and create the necessary institutional environment. Several organizations have now integrated WBL in their programs. We also welcome the decision of the Ministries of Education and Labor to officially integrate WBL in their curricula and of the EU member states to support the integration of WBL in at least 50% of the TVET programs in the Palestinian Territory by 2020. These are important steps, but much more is needed. It is therefore with great pleasure that we note the strong emphasis in the National Policy Agenda and in the sector strategies of the Ministries of Labour and Education on job creation through public-private partnerships. TVET but also Continuous Vocational Education and Training (CVET) are the most evident starting points to develop this partnership. But this should also include support to business start-ups, entrepreneurship and private sector development in its various forms.A very important remaining challenge is the dramatically low number of women participating in the labor market. More than 80% are outside the labor market, one of the lowest numbers in the world. Together, we must develop strategies that facilitate the access of women to TVET, including non-traditional vocations, and give women a real opportunity to find a job or the start their own business."  


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    Palestine PZA1202911

  • Skills Development Fund workshop with partners in Arua

    Skills Development Fund workshop with partners in Arua


    Hanna DEKERK | 27/07/2017

    This July, the SPRS-NU’s team led a two-day workshop with local partners in Arua. They provided feedback to successful applicants to the Skills Development Fund grants on their proposals  for skills development and vocational training for refugee and host community youth in Northern Uganda. The Skills Development Fund, under the Skilling Uganda strategy, aims to increase access to quality skills development – i.e. training, entrepreneurial skills, and start-up kits – to under- and unemployed Ugandan and refugee youth in the districts of Arua, Adjumani, Yumbe and Kiryandongo, to better equip them in entering a growing market.  Fifteen organisations and their partners were provided with technical support and individual guidance from the SDF team on how to improve their proposals in areas such as feasibility, sustainability and coherence. The team stressed that any proposal for vocational training and skills development which targets refugee youth, must take into account their particular needs, be aware of their limitations, and build on their strengths. This is to insure a measurable and sustainable impact and to successfully impart youth with empowering life-long skills. 


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    Uganda UGA160321T

  • LE CENTRE DE RESSOURCES DU HAUT KATANGA: FRUIT DU PARTENARIAT ENTRE LA COOPERATION TECHNIQUE BELGE ET LE MINISTERE PROVINCIAL DE L’ENSEIGNEMENT

    Améliorer l'accès à l'emploi des jeunes du Haut-Katanga


    Julie CLAASSENS | 20/07/2017

    Située dans l’enceinte de l’institut Kilima dans la commune Kenya à Lubumbashi, l’antenne opérationnelle du Centre de Ressources de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle (ETFP) du Haut-Katanga a réuni sur l’invitation de la Chambre de Commerce Belgo-Congolaise-Luxembourgeoise, quelques représentants des entreprises privées locales pour une rencontre d’échange d’informations. Le Centre de Ressources, structure autonome reconnue par l’Etat Congolais, fonctionne comme un réseau d’animation et d’appui à un système rénové d’ETFP qui a été mis en œuvre pour répondre à la question de l’inadéquation criante entre la nature et la qualité des formations, ainsi que les compétences professionnelles exigées par les entreprises. Les objectifs principaux sont d'accompagner les lauréats des écoles à leur insertion socioprofessionnelle à travers des formations pratiques, d'offrir un appui technique aux écoles désireuses d’innover leur offres de formation, de servir comme centre de documentation et d'alimenter la concertation multipartite public-privé locale et provinciale par la collaboration avec les entreprises environnantes. "Nous poursuivons un objectif très noble qui est celui d’assurer à la jeunesse du Haut-Katanga une meilleure employabilité, c’est-à-dire former pour donner une possibilité aux lauréats des options techniques de pouvoir aller au travail," précise Lorenzo Giacomin du projet EDUKAT. "Cette structure prône une bonne et efficace collaboration entre le secteur public et privé. Elle promeut la compétitivité des lauréats qui y passeront. Pour arriver à cette compétitivité des lauréats, nous avons mis en place un processus d’insertion socioprofessionnelle qui visera leur présélection pour pouvoir être des bons techniciens."Le Centre de Ressources est sous la responsabilité des services déconcentrés de la division provinciale de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel et sera géré de préférence par un binôme constitué du secteur public et du secteur privé. Les filières suivantes y seront organisées : l’électricité, l’électronique, la mécanique générale, la mécanique auto et les énergies renouvelables. Pour appuyer les lauréats dans toutes ces filières, le centre a mis en place des étapes d’accompagnement qui devront leur permettre, une fois dans la phase finale, de mieux s’en sortir. La première étape est la sensibilisation à la fin du cursus scolaire, c’est-à-dire en cinquième et sixième année des humanités. A ce niveau, on donne aux élevés toutes les informations concernant le prérequis nécessaire afin de déboucher sur un emploi salarié ou un auto-emploi. La deuxième étape est la présélection. Dans cette phase les lauréats qui sont disposés d’être sous l’accompagnement du centre sont choisis. La troisième étape est la préformation, qui consiste à former les lauréats sur les '3 S', c’est-à-dire le savoir, le savoir-être et le savoir-faire, ce qui leur permettra de s’adapter à l’environnement de l’entreprise.La quatrième étape est la mise en stage professionnel qui permet au stagiaire de se mettre dans une situation réelle en milieu professionnel. Pendant la période de stage professionnel l’entreprise qui accueillera les lauréats descellera les failles dans leurs compétences. Il s’agit d’un travail conjoint entre le maître de stage de l’entreprise et les services du centre. Ces failles seront reprises par le service du Centre de Ressources qui fera suivre des formations additionnelles modulaires. L’ensemble des formations associées à l’expérience d’entreprise et aux modules de formation technique, rendront les lauréats plus compétitifs sur le terrain. S’en suivra la cinquième et dernière étape qui consiste d’une médiation à l’emploi. Cette médiation vise à négocier un poste au sein des entreprises partenaires. "Nous poursuivons la promotion de l’emploi des jeunes finalistes des écoles ETFP," a fait savoir Hervé Muke Seya, Chargé de l’insertion socioprofessionnelle au Centre de Ressources. Selon lui, les jeunes qui finissent les humanités dans les filières techniques devraient en principe travailler directement: "Malheureusement, les conditions dans lesquelles nous vivons ne permettent pas à ces jeunes de travailler tout de suite. Ce que nous voulons, c’est les orienter à canaliser leurs efforts pour qu’à la fin, ils puissent trouver au moins un emploi."Grace aux bases juridiques existantes, une structure de concertation et de formation provinciale du partenariat public-privé pour l’ETFP est en train de se mettre en place. Ce structure permettra d’organiser des meilleures formations techniques afin d’améliorer l’adéquation formation emploi et de répondre aux besoins de main d’œuvre dans les secteurs miniers, industriels, de la construction et de l’agriculture. A en croire les propos de Jean-Claude Kanyiki, Assistant Training Manager à Congo Equipment SARL, un des invités de cette rencontre, l’initiative de créer le centre vaut tout son pesant d’or: "Nous qui sommes dans le domaine des engins Caterpillar, nous voyons que la technologie évolue tous les jours. C’est vrai qu’à l’école les jeunes gens apprennent les principes de base, mais il y a beaucoup d’écart entre ce qui est appris à l’école et la réalité sur le terrain. C’est donc important qu’après le cursus scolaire, les jeunes suivent certaines formations professionnelles spécifiques de façon à améliorer leurs compétences techniques." Selon ce participant, avoir déjà un centre qui prépare les jeunes lauréats des humanités techniques est la meilleure chose pour les entreprises, car, précise-t-il: "Nous les entreprises, nous recherchons la main d’œuvre qualifiée."Les acteurs étatiques (Ministère Provincial EPSP/ETP), le patronat (la FEC, la COPEMECO, etc.), le secteur privé (Chambre de Commerce Belgo-congolaise Luxembourgeoise, les sociétés et entreprises) et les acteurs non étatiques (écoles privées, société civile) constituent le cadre de collaboration du Centre de Ressources. La Chambre de Commerce Belgo-Congolaise-Luxembourgeoise promet son apport à l’intermédiation de toutes ces parties prenantes pour faire vivre cet instrument : "Notre attribution à ce projet en tant que Chambre de commerce se situera au niveau de la future gestion. Comme il a été exposé, la gestion doit se faire sous un partenariat public-privé afin de la rendre efficiente et efficace en termes d’adéquations au réel besoin du secteur privé. Et nous, nous voudrons rassembler, ensemble avec les responsables de la province du Haut-Katanga, les entreprises pourvoyeuses des mécaniciens et autres techniciens pour qu’ils réfléchissent sur la manière de faire vivre cette structure," a estimé l’administrateur de la Chambre, Jean-Sylvere Duga. Cette structure est composée d'un comité de pilotage public-privé qui oriente les actions stratégiques du Centre de Ressources, d’un comité de direction qui s’occupe de la coordination des différents départements, notamment le département de formation, le département de l’insertion socioprofessionnelle et le département d’appui techniques transversaux. Le comité de concertation local dans chaque sous-division provinciale assurera la concertation permanente avec les entreprises.Les interventions de Lorenzo Giacomin et Hervé Muke Seya ont suscitées un débat houleux et fructueux autour de ce projet. Ce débat a succédé la visite dans les installations de ce centre qui comprend notamment les six ateliers et un bloc administratif avec une salle de réunion et un bureau pour la comptabilité. Les travaux se sont déroulés dans une période de 12 mois et ils ont été financés à hauteur de 400 000 euro.  


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    DR Congo RDC1216911

  • Skills training and livelihood interventions transforming lives of refugees: a tale of three women.

    Skills training and livelihood interventions transforming lives of refugees: a tale of three women.


    Josephine OMUNYIDDE | 20/07/2017

    A mere thought of her journey from South Sudan to Uganda boarder brings tears to her eyes, as 23-year old Nancy Maneno cuddles on to her six-month old baby. She soaks in more tears while reminiscing of the attack on her family during the war. “When the war broke out, my three children and I stayed in the bush for days with no food or medication. Coming to such a peaceful environment in Uganda is like a miracle,” she narrates.27-year old Betty Ekisa came to Bidi-Bidi refugee settlement in August 2016 after her home was attacked by rebels in South Sudan. She walked for two days with her husband and four children to the Ugandan boarder, where they were later transferred to the settlement. Taken up by emotions, Betty says: “Life has not been easy in terms of generating income to meet household basic needs.”"My life is changing. I am now busy making soap for my household and business,” Josephine reveals. Josephine is the treasurer of Manjoora women’s group comprised of thirty women to which Betty and Nancy belong and is supported by Community Empowerment for Rural Development (CEFORD). These three women have one thing in common; despite being victims of the South Sudanese war, they have put their tragic tales aside to work and support each other for self-reliance. In support of the group, the Belgian development agency organised the training in soap making through 'instant skills training' using the voucher scheme. The agency innovatively set up a voucher scheme to provide qualitative ‘instant training’ responding to skills gap of beneficiaries in collaboration with other agencies supporting livelihood and income generating activities of refugees and host communities.  Testimony Manjoora women’s group is found in Zone 1 of Bidi-Bidi refugee settlement, the second largest settlement in the world hosting at least 270,000 refugees. The group was formed by CEFORD, a community empowerment organisation for livelihoods working under the consortium led by Danish Refugee Council (DRC) and were trained in livelihood actions based on the participatory driven Enabling Rural Innovations (ERI)/ Participatory Action and Enterprise Development (PAED). The group has thirty members, all women, who meet twice a week to make soap, hand crafts and share learning experiences about their nutritional back-yard gardens to better their livelihoods.  As part of collaborative efforts between livelihood and sustainable development interventions, the Belgian development agency has trained the women through a pilot instant skills training voucher scheme. The goal is to enhance livelihood and labor market relevant skills for youth, women and girls of the refugees through short term vocational training and entrepreneurship support.   Group members such as Nancy, Betty and Josephine who were forced to drop out of school, now have gained skills in soap making for subsistence and income generation. This will empower them to set up small businesses for income generation.  As a result of the instant training, Manjoora women’s group have planned to specialize in soap making business for their zone in Bidi-Bidi refugee settlement and empower fellow women outside their group for financial stability. 86% of the refugee population in Uganda are women and children under 18 years who deserve a right to access basic needs for better livelihoods. Funded by the European Union Trust Fund, the SPRS-NU programme combines interventions of livelihood, income generation, thereby addressing humanitarian concerns through a sustainable development approach.


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    Uganda UGA160321T

  • Inauguration of the drainage system of North Cho Lau town center

    Inauguration of the drainage system of North Cho Lau town center


    Huong TRANTHANH | 19/07/2017

    On July 7, 2017 a drainage system was inaugurated in North Cho Lau town, 45 km to the north of Phan Thiet City. The construction is an investment part of the Belgian-Vietnamese project for integrated water management and urban development in relation to climate change. The Belgian Ambassador to Vietnam, Mrs. Jehanne Roccas, attended the ceremony together with the Chairman of the Provincial People’s Committee, Mr. Nguyen Ngoc Hai.The work includes 4,110 meters of urban drain and a rock protected outlet to the Luy river. The works will help to reduce flooding impacts and hygiene concerns during periods of heavy rain to approximately 3,000 people, which would also indirectly benefit to the entire population of the town. The works are also a contribution towards modernizing the province's infrastructure to reduce hardships, promote continued economic development and to improve resilience with regard to climate change. With a population of 14,000, Cho Lau is a small but fast developing town in Bac Binh district of northern Binh Thuan province. Historically, the area has been quite poor and the implementation of basic urban infrastructure has not kept pace with the rate of urbanization. As a result, several areas of the town are regularly affected by local flooding during storms. The flooding not only impacts on households directly, but also creates a health risk because the flooding causes the sewers to overflow. An urban drainage master plan for the town identifies the key problem areas and sets out the long-term solutions to address both current and future issues. Given that this is a high-priority issue for the local community and that climate change projections indicate trends for increasing rainfall intensity, support for the implementation of the master plan via the construction of the urban drainage improvement works was considered an appropriate activity to implement under the Belgian project. The project is an ambitious and complex one, focusing on the rural areas and small towns in the vicinity of the Luy river. It supports a structured approach to climate change adaptation with an emphasis on water resources management, flood management and urban planning. Studies on climate change, river flooding, salinity, erosion and urban drainage are being linked with studies on the socio-economic situation and technical and institutional capacity assessment to inform the identification of current and future climate-related challenges for households and the regional economy. Findings will be integrated into a comprehensive climate change action plan and the revised master plan of Phan Ri Cua township. Strategic pilot investments on drainage, water supply, riverbank protection and flood mitigation target priority issues to enhance resilience and to reduce climate risk. The project is expected to complete by June 2019.BTC is also supporting Binh Thuan with a number of green growth activities, including the development of the provincial green growth action plan and pilot green growth investments in water efficient irrigation and solar powered LED public lighting, as part of the GGSF project. The Ambassador expressed her appreciation for the strong and special relationship between Belgium and Binh Thuan, that started in 2006. The delegation also visited works from the sanitation and environment protection project in Phan Ri Cua and Lien Huong, completed in 2011, that provided and still provides improved environmental services to a population of around 70,000 people in water supply, sanitation, wastewater, drainage, solid waste management and environmental education.


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    Vietnam VIE1204311

  • L'importance du stage professionnel, lauréat Cédric raconte.

    L'importance du stage professionnel, lauréat Cédric raconte.


    Julie CLAASSENS | 12/07/2017

    "J’habite Kolwezi et j'ai fait mes études secondaires à l’institut Technique Industrielle Manika, ITIMA en sigle, option mécanique générale. Depuis mon enfance, je rêvais de faire la mécanique. J'étais surtout inspiré par un vieux papa du quartier qui était pertinent dans ce domaine. Dès lors c’était devenu pour moi une véritable passion. Au cours de ma formation scolaire, je n’avais jamais effectué un stage dans une entreprise. Après l’obtention de mon diplôme d’Etat, je suis resté à la maison pendant 8 mois et je ne faisais rien. J’ai cherché comment intégrer un garage, mais je n’avais pas trouvé l’opportunité. C’est après que j’ai été mis au courant par mon école du programme de la CTB qui cherchait les jeunes de formation technique à accompagner dans un stage de professionnalisation. J’ai vite répondu positif, parce que c’était entre autres mon rêve de concilier la vaste théorie apprise à l’école avec la pratique de l’entreprise. Après une brève formation d’une semaine sur notamment la façon de présenter le cv, la rédaction d’une bonne lettre de motivation, la recherche d’emploi sur internet, les bonnes manières de se comporter au lieu de travail, j’ai commencé mon stage professionnel chez Congo Equipement. L’environnement du travail était impeccable à tous les points de vue: les ouvriers étaient accueillants à mon égard et me vouaient un respect et une sympathie sincère. Les équipements étaient au point et m’offraient l’occasion d’une véritable pratique de tout ce que j’avais appris à l’école. L’encadreur était attentionné, me donnait des remarques et des corrections dans un climat épanouissant. Au cours du stage, je travaillais de 6h00 à 18h00 comme un ouvrier ordinaire de l’entreprise, sans aucune discrimination. Là, je faisais la mécanique d’entretien et réparation, l’hydraulique, l'électricité auto, l'électronique auto et le pneumatique. Le stage a eu un impact remarquable sur mes connaissances d’autant plus qu’il a approfondi les notions reçues à l’école et me permettrait la découverte de tant d’autres choses, notamment la pneumatique. En plus, pendant le stage, j’étais pris en charge par la CTB, une dotation qui  me permettait de subvenir déjà à mes besoins. Aujourd’hui, je suis taximan. J’ai trouvé le boulot de quelqu’un que j’ai connu au cours du stage, qui a apprécié ma façon de travailler et mon sens de responsabilité. Mon travail reste marqué par le stage que j’ai effectué, il a affermi mes compétences dans la conduite aussi. Ce travail me permet de subvenir à mes besoins personnels. Je loue une maison et je prends en charge ma scolarité, parce que par ailleurs, j’étudie à l’ISTA Kolwezi, je viens ma famille en aide, les petits frères et sœurs, etc. En plus, je suis à l’attente des résultats  du test passé récemment. Ce test portait essentiellement sur la pratique faite au cours de mon stage.Après tout ce processus que j’ai suivi, j’envisage mettre en place, lorsque j’aurai les moyens, un garage moderne, bien équipé et répondant aux normes requises. Pour cela, j’invite les jeunes générations à emprunter la voie de la formation technique et professionnelle qui assure une facile employabilité ou un auto-emploi facile."


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    DR Congo RDC1216911

  • Boat for Beach Management Units

    Boat for Beach Management Units


    Jennifer SWERTVAEGHER | 12/07/2017

    On Thursday, 22nd June 2017, NRM4LED officially handed over a Beach Management Unit (BMU) Boat to the Kigoma District Commissioner, in the presence of the District Executive Director and representatives from the Beach Management Units of Kalalangabo, Kigalye and Mtanga.The boat will be used by district staff and BMU members in the management of Lake Tanganyika Fisheries Resources. The Boat was purchased as part of the NRM4LED project, which works with local communities and local government authorities in Kigoma region on sustainable Forest Management, Wetland Management, Water Management, Land Management and Fisheries Management, through community based initiatives. 


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    Tanzania TAN1302911

  • Safe access to school: school transportation with the support of the JFA

    Safe access to school: school transportation with the support of the JFA


    Laura SCHILLEMANS | 11/07/2017

    ContextIn some villages in Area C of the Palestinian Territory, distance to school can be long and frictions with army or settlers are frequent. Children are often enrolled at a later age, have a significant amount of school days missing and frequently drop out early. From 2016, with the support of the Joint Financing Arrangement (JFA), the Ministry of Education is leasing a reliable bus service to bring the children safe to school every day.Results2016 West Bank: 8 buses --> 6 communities --> 411 students2017West Bank: 11 buses --> 9 communities --> 640 studentsEast Jersualem: 8 buses --> 6 communities --> 165 students


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    Palestine PZA1503511