1 - 15 van 209 nieuws bekijken
Enabel a organisé les 5-6 février à Koupéla, un atelier de planification des activités de l'année 2025 avec les acteurs de l'éducation de la région du Centre-Est. Une activité qui s’inscrit dans le cadre du renforcement du secteur de l'éducation au Burkina Faso. L’éducation est un domaine d’intervention stratégique pour Enabel qui veut, favoriser l’accès aux services sociaux de base en essayant, de lever les barrières pour un accès plus inclusif et équitable à l’éducation, le renforcement de la qualité et de la flexibilité des services et ressources, ainsi qu’une gestion durable et inclusive des ressources et services en matière d’éducation. L’objectif de l’atelier est d’échanger sur les priorités de l’année 2025 définies par les acteurs·trices techniques étatiques des territoires d’intervention du portefeuille bilatéral 2023-2027. Durant les deux jours, les acteurs ont échangé sur les priorités de l’année 2025 en lien avec la vision globale éducation de Enabel. Les discussions ont tourné autour des activités stratégiques identifiées et soumises par les partenaires locaux. L'objectif est d'adapter les interventions aux réalités du terrain afin d'optimiser plus l’impact. Les grands axes de la planification ont concerné entre autres l’identification des activités de 2025, la planification détaillée pour la mise en œuvre des activités proposées, ainsi que les périodes et le budget. L’Agence belge de développement à travers cet atelier, réaffirme son engagement à collaborer étroitement avec les parties prenantes pour coconstruire des solutions durables et adaptées aux défis éducatifs du Burkina Faso. Ce processus inclusif vise à renforcer l’efficacité des actions menées dans le cadre du portefeuille bilatéral 2023-2027, pour un système éducatif plus performant et accessible à tous. KABORE Sidnoma Rosine (Stagiaire en Communication)
L’Agence belge de développement, Enabel, a commémoré la journée internationale de la tolérance zéro (0) à l’égard des mutilations génitales féminines (MGF), à travers un atelier de plaidoyer auprès des leaders d’opinion de la région du Centre-est. Tenue le 6 février 2025 à Tenkodogo, l’activité vise à contribuer au renforcement de l’engagement des leaders dans la prévention et la lutte contre les MGF. Enabel est engagée dans la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) ainsi que la prévention et la lutte contre les mutilations génitales féminines (MGF). C’est dans cette dynamique qu’elle accompagne, le Ministère en charge de l’Action Humanitaire et de la Solidarité Nationale à travers sa direction régionale du Centre-Est dans les actions visant à alléger la souffrance des femmes et des hommes. En commémorant la journée internationale de la tolérance 0 à l’égard des MGF à travers la tenue du plaidoyer à l’endroit des leaders communautaires de la région, Enabel en partenariat avec l’action sociale, entend engager la responsabilité de toutes et tous dans la noble mission qu’est la prévention et la lutte contre les MGF dans la région du Centre-Est. Ce fut l’occasion de sensibiliser les leaders coutumiers, religieux, militaires, paramilitaire, les responsables des associations féminines sur les méfaits de la pratique ; d’échanger sur l’état des lieux des VBG en l’occurrence les MGF dans la région, et de définir les rôles et responsabilités de chaque acteur dans la prévention et la lutte. Le Secrétaire Général de la Région, qui a présidé l’ouverture des travaux a rappelé l’importance de la journée du 6 février, instaurée en 2012 par l’assemblée générale de l’ONU. Il a également fait remarquer, que malgré les multiples efforts, les VBG persistent et constituent une menace sur la santé mentale et physique de la femme. Le bilan reste toujours mitigé dans la région du Centre-est selon les données de la direction régionale de l’action humanitaire et de la solidarité nationale avec 565 cas de VBG dont 11 cas d’excision en 2022, 425 en 2023 et 432 dont 3 cas d’excision en 2024. Pour Madame SANDWIDI/ YAMBRE Marie Thérèse, coordonnatrice provinciale des femmes du Kouritenga, son rôle majeur est la sensibilisation de l’ensemble de la population-hommes-femmes-jeunes sur les VBG et l’excision afin qu’ensemble ils puissent bannir l’excision de la région. Elle prévoit orienter ses actions sur les conséquences qu’engendre la pratique et le témoignage des personnes vivant avec les séquelles.KABORE Sidnoma Rosine (Stagiaire en Communication)
La disponibilité des données actualisées et fiables sur les questions liées aux inégalités liées au genre demeure un défi majeur pour le développement durable au Burkina Faso. C’est dans ce cadre qu’Enabel, l’Agence belge de développement, en partenariat avec le Ministère de l’Action Humanitaire et de la Solidarité Nationale (MAHSN), a soutenu l’élaboration et la validation de l’annuaire statistique et du tableau de bord « Femme et Genre » 2023. L’atelier de validation des deux documents tenu les 14 et 15 Janvier 2024 à Ouagadougou, marque une étape cruciale dans la mise à disposition de données fiables et actualisées sur les inégalités de genre. Il avait pour objectif de mettre à la disposition des producteurs et des utilisateurs, des informations statistiques genre sensibles actualisées. Ainsi, il s’est agi, pour l’annuaire statistique, de vérifier la cohérence et l’exactitude des données compilées, de recueillir les données pour compléter les informations manquantes, de formuler des recommandations pour les prochaines éditions et de valider l’annuaire statistique « Femme et Genre » 2023. Quant au tableau de bord, il a été question de présenter sa maquette « action sociale » aux participants.tes, de recueillir leurs amendements et leurs éventuelles propositions, de compléter les données des autres structures, d’améliorer les commentaires des tableaux et des graphiques et de valider le tableau de bord « Femme et Genre » 2023. Les informations contenues dans ces deux documents serviront d’outils d’aide à la prise de décision pour la réduction des inégalités de genre dans les domaines de développement et d’intensifier les actions en faveur de l’autonomisation des femmes et des jeunes. À travers cet engagement, Enabel renforce son rôle de partenaire stratégique dans la promotion d’un développement durable, inclusif et équitable. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Enabel a organisé le 10 janvier 2025 un atelier de lancement officiel des Projets Lasso Santé et Lasso WaSH dans la ville de Boromo, chef-lieu de la province des Balé. La cérémonie de lancement a été présidée par le Gouverneur de la Région de la Boucle du Mouhoun qui a donné le top de départ officiel de la mise en œuvre des activités des deux projets. Le Gouverneur Babo Pierre BASSINGA avait à ses côtés Marc Duponcel, Chef de la Coopération de la Délégation de l’Union européenne au Burkina Faso, NOORDHOLLAND DE JONG Jozef, Programme Manager à Enabel au Burkina Faso. Mis en œuvre par Enabel, ces deux projets - Lasso Santé et Lasso WaSH - sont financés par l’Union européenne d’un montant total de 11,1 millions d’euros, soit environ 7.281.122.700 FCFA. De façon globale, ces deux projets visent d’une part à « Contribuer à la résilience du système de santé par le renforcement de l’accessibilité, de l'adaptabilité, de l'inclusivité et de la qualité des services de santé pour les populations de la Boucle du Mouhoun » et d’autre part à « Contribuer au renforcement de la résilience des populations en particulier les femmes, les jeunes filles et les personnes déplacées de la Boucle du Mouhoun par le renforcement de la qualité, de l’accessibilité et de l’inclusivité des services d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement ».Selon le Gouverneur de la région d’intervention des deux projets, les objectifs « sont en cohérence avec la vision de développement du pays qui est de renforcer la résilience des populations vulnérables de la région, prenant en compte leurs besoins spécifiques, améliorant leur accès à des services de santé, d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement de qualité. » Avant de souhaiter plein succès aux Projets Lasso Santé et Lasso WaSH et de les déclarer officiellement lancés, le Gouverneur a rassuré Enabel de la disponibilité de l’administration de son ressort territorial à l’accompagner dans la mise en œuvre des activités desdits projets.Les deux projets couvrent 17 villages des communes de Dédougou et de Boromo et les Districts sanitaires des deux communes. Ils s’articulent autour d’une approche territoriale intégrée, une approche basée sur les droits humains et une approche transformatrice de genre. Les bénéficiaires finaux sont les femmes, les hommes, les jeunes filles et les garçons de la région de la Boucle du Mouhoun, y compris les Personnes Déplacées Internes (PDI) et les populations hôtes de la Boucle du Mouhoun ainsi que les personnes vulnérables.
Enabel a organisé le 10 janvier 2025 un atelier de lancement officiel des Projets Lasso Santé et Lasso WaSH dans la ville de Boromo, chef-lieu de la province des Balé. La cérémonie de lancement a été présidée par le Gouverneur de la Région de la Boucle du Mouhoun qui a donné le top de départ officiel de la mise en œuvre des activités des deux projets. Le Gouverneur Babo Pierre BASSINGA avait à ses côtés Marc Duponcel, Chef de la Coopération de la Délégation de l’Union européenne au Burkina Faso, NOORDHOLLAND DE JONG Jozef, Programme Manager à Enabel au Burkina Faso. Mis en œuvre par Enabel, ces deux projets - Lasso Santé et Lasso WaSH - sont financés par l’Union européenne d’un montant total de 11,1 millions d’euros, soit environ 7.281.122.700 FCFA. De façon globale, ces deux projets visent d’une part à « Contribuer à la résilience du système de santé par le renforcement de l’accessibilité, de l'adaptabilité, de l'inclusivité et de la qualité des services de santé pour les populations de la Boucle du Mouhoun » et d’autre part à « Contribuer au renforcement de la résilience des populations en particulier les femmes, les jeunes filles et les personnes déplacées de la Boucle du Mouhoun par le renforcement de la qualité, de l’accessibilité et de l’inclusivité des services d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement ».Selon le Gouverneur de la région d’intervention des deux projets, les objectifs « sont en cohérence avec la vision de développement du pays qui est de renforcer la résilience des populations vulnérables de la région, prenant en compte leurs besoins spécifiques, améliorant leur accès à des services de santé, d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement de qualité. » Avant de souhaiter plein succès aux Projets Lasso Santé et Lasso WaSH et de les déclarer officiellement lancés, le Gouverneur a rassuré Enabel de la disponibilité de l’administration de son ressort territorial à l’accompagner dans la mise en œuvre des activités desdits projets.Les deux projets couvrent 17 villages des communes de Dédougou et de Boromo et les Districts sanitaires des deux communes. Ils s’articulent autour d’une approche territoriale intégrée, une approche basée sur les droits humains et une approche transformatrice de genre. Les bénéficiaires finaux sont les femmes, les hommes, les jeunes filles et les garçons de la région de la Boucle du Mouhoun, y compris les Personnes Déplacées Internes (PDI) et les populations hôtes de la Boucle du Mouhoun ainsi que les personnes vulnérables.
Du 29 au 31 janvier 2025, Enabel, en collaboration avec ses partenaires étatiques, a organisé à Koupéla un atelier de planification des activités pour l’année 2025 des volets santé et genre. Cet atelier avait pour objectif d’échanger sur les priorités de l’année 2025, définies par les acteurs et actrices techniques étatiques des territoires d’intervention du portefeuille bilatéral 2023-2027. Cette planification s’inscrit dans la mise en œuvre du portefeuille et contribue à l’atteinte des objectifs spécifiques de la convention du programme de coopération bilatérale 2023-2027, signée entre le Gouvernement du Burkina Faso et le Royaume de Belgique. L'initiative vise à renforcer l’accès aux services sociaux de base pour les populations vulnérables, en particulier les femmes et les jeunes. Elle a réuni une diversité d’acteurs, notamment des représentants des ministères sectoriels, des services déconcentrés de l’État ainsi que des partenaires techniques et financiers. Au cours de ces trois jours, les participants on évalué les acquis de l’année 2024, analysé les défis rencontrés et défini une feuille de route pour 2025. Un accent particulier a été mis sur l’amélioration des services en santé sexuelle et reproductive (SDRS), la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG) et l’intégration du genre dans les politiques publiques locales. L’atelier a alterné présentations, travaux de groupes et échanges interactifs afin de garantir une planification alignée sur les besoins réels des communautés. Parmi ces priorités identifiées figurent : le renforcement des capacités des acteurs en matière de SDRS et de lutte contre les VBG, l’amélioration de la gouvernance sanitaire et la coordination entre les différentes parties prenantes, la budgétisation sensible au genre pour une meilleure allocation des ressources, l’élaboration d’un calendrier détaillé pour le déploiement des interventions sur le terrain. Les résultats de cet atelier permettront d’assurer un déploiement efficace des interventions d’Enabel en 2025. Une planification détaillée a été élaborée et validée par l’ensemble des participants garantissant ainsi une mise en œuvre cordonnée et efficace des activités sur le terrain. Un suivi rigoureux sera assuré tout au long de l’année afin d’évaluer l’impact des actions mises en œuvre et d’adapter les stratégies en fonction des réalités du terrain. Un rendez-vous a d’ores-et-déjà été fixe pour le mois d’Aout 2025, afin de procéder à une évaluation intermédiaire et d’effectuer des ajustements nécessaires au planning. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Du 29 au 31 janvier 2025, Enabel, en collaboration avec ses partenaires étatiques, a organisé à Koupéla un atelier de planification des activités pour l’année 2025 des volets santé et genre. Cet atelier avait pour objectif d’échanger sur les priorités de l’année 2025, définies par les acteurs et actrices techniques étatiques des territoires d’intervention du portefeuille bilatéral 2023-2027. Cette planification s’inscrit dans la mise en œuvre du portefeuille et contribue à l’atteinte des objectifs spécifiques de la convention du programme de coopération bilatérale 2023-2027, signée entre le Gouvernement du Burkina Faso et le Royaume de Belgique. L'initiative vise à renforcer l’accès aux services sociaux de base pour les populations vulnérables, en particulier les femmes et les jeunes. Elle a réuni une diversité d’acteurs, notamment des représentants des ministères sectoriels, des services déconcentrés de l’État ainsi que des partenaires techniques et financiers. Au cours de ces trois jours, les participants on évalué les acquis de l’année 2024, analysé les défis rencontrés et défini une feuille de route pour 2025. Un accent particulier a été mis sur l’amélioration des services en santé sexuelle et reproductive (SDRS), la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG) et l’intégration du genre dans les politiques publiques locales. L’atelier a alterné présentations, travaux de groupes et échanges interactifs afin de garantir une planification alignée sur les besoins réels des communautés. Parmi ces priorités identifiées figurent : le renforcement des capacités des acteurs en matière de SDRS et de lutte contre les VBG, l’amélioration de la gouvernance sanitaire et la coordination entre les différentes parties prenantes, la budgétisation sensible au genre pour une meilleure allocation des ressources, l’élaboration d’un calendrier détaillé pour le déploiement des interventions sur le terrain. Les résultats de cet atelier permettront d’assurer un déploiement efficace des interventions d’Enabel en 2025. Une planification détaillée a été élaborée et validée par l’ensemble des participants garantissant ainsi une mise en œuvre cordonnée et efficace des activités sur le terrain.Un suivi rigoureux sera assuré tout au long de l’année afin d’évaluer l’impact des actions mises en œuvre et d’adapter les stratégies en fonction des réalités du terrain. Un rendez-vous a d’ores-et-déjà été fixe pour le mois d’Aout 2025, afin de procéder à une évaluation intermédiaire et d’effectuer des ajustements nécessaires au planning. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Du 17 au 19 décembre 2024, Kaya, dans la région du Centre-Nord, a abrité un atelier de formation sur les cadres législatifs et réglementaires des Sociétés Coopératives Simplifiées (SCOOP) et des Sociétés de Cautionnement Mutuel (SCM). Organisé par Enabel à travers son programme OKDD , cet atelier a permis de renforcer les capacités de 43 participants issus d’institutions publiques et privées, ainsi que de la société civile. En rappel, OKDD est un programme qui se concentre sur le développement économique durable et inclusif des territoires. De plus, il vise à renforcer la gouvernance locale et à favoriser une meilleure organisation des acteurs économiques. En promouvant les SCOOP et SCM, OKDD contribue directement à la formalisation des entreprises informelles, un levier essentiel pour l'accès aux crédits, la mutualisation des ressources et la création d'opportunités économiques pérennes. Au cours de ces trois jours, les participants ont exploré des thématiques variées, telles que : les étapes de création et de gestion des SCOOP et SCM ; les rôles et responsabilités des autorités locales dans leur reconnaissance juridique ; les bénéfices économiques et sociaux de ces structures pour la relance des économies locales. Les échanges ont été enrichis par des communications dispensées par les représentants de la Direction Générale du Foncier, de la Formation et de l’Organisation du Monde Rural (DGFORM) , de l’ONG TRIAS et du Haut-commissariat de la province de la Sanmatenga . Ils ont partagé des expériences et des pratiques exemplaires, illustrant le potentiel des SCOOP et SCM à renforcer la résilience économique des communautés. À l’issue des travaux, des recommandations ont été proposées afin que les différentes parties prenantes puissent jouer convenablement leur rôle. Un des participants, M. ZIDA Zalem chef de projet economie verte du consortium Autre Terre - _CEAS Burkina a confié : « Cette formation a clarifié les démarches administratives et légales nécessaires pour transformer nos initiatives informelles en structures reconnues. Nous avons maintenant des outils concrets pour collaborer efficacement avec les autorités locales. »En clôturant cette formation, les organisateurs et participants ont souligné la nécessité de poursuivre de telles initiatives pour encourager la formalisation des structures économiques et promouvoir une relance économique inclusive. Les résultats obtenus à Kaya marquent une étape clé pour le développement économique des communautés du Centre-Nord.Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Le 17 décembre 2024, Enabel, en partenariat avec la Direction Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi, a organisé des cérémonies de remise de kits d’installation dans les communes de Kaya, Boulsa, Korsimoro et Boussouma. Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Programme d'Appui à la Stabilisation de l’Axe Ouagadougou-Kaya-Dori-Djibo (OKDD). Ce programme est financé par l'Union Européenne avec 10 229 023 euros . Il est mis en œuvre par le consortium Enabel -GIZ. OKDD a pour objectif de renforcer la résilience des populations et de stabiliser la région du Centre-Nord au Burkina Faso. Il vise également à améliorer la cohésion sociale, la gouvernance locale, ainsi qu'à relancer l’économie locale dans cette région. Une composante essentielle de ce programme est la promotion de l’entrepreneuriat inclusif et durable, en particulier chez les jeunes et les femmes vulnérables. Ce volet est destiné à stimuler la création d’emplois décents et à améliorer la compétitivité des entreprises rurales et urbaines. C’est dans ce cadre qu’Enabel et la GIZ, en collaboration avec la Direction Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi, ont accompagné 112 jeunes (dont 74 femmes et 38 hommes) porteurs de projets. L’objectif visé est de permettre le développement de leurs entreprises. Après trois mois de stages pratiques de perfectionnement , les bénéficiaires se sont vu remettre des kits spécifiques adaptés à leurs besoins, favorisant ainsi leur autonomisation et la création d’emplois dans leurs communautés. La cérémonie, présidée par Madame la Directrice Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi du Centre-Nord, a rassemblé divers acteurs : bénéficiaires, autorités locales, partenaires techniques et financiers, ainsi que des parrains et marraines. La remise s’est déroulée en trois phases divisées en lot, chaque lot représentant des domaines spécifiques : lot 1 : intrants et équipements d’élevage; lot 2 : équipements solaires et électriques; lot 3 : matériels d’artisanat, quincaillerie et divers. Lors de cet événement, chaque bénéficiaire a signé un engagement pour une utilisation efficace des kits. Les autorités ont profité de l’occasion pour sensibiliser les jeunes sur la bonne gestion des outils reçus. Avec ces kits, il est espéré que : les entreprises portées par ces jeunes soient renforcées, consolidant ainsi les emplois existants ; de nouveaux emplois soient créés au profit des femmes et des jeunes ; les capacités opérationnelles des entreprises soient améliorées, contribuant à une relance économique durable dans la région. Les bénéficiaires ont exprimé leur gratitude pour cette initiative. TAPSOBA Prisca , jeune coiffeuse, a confié : « avant, je manquais de certains matériels dans mon salon de coiffure. Aujourd’hui, grâce à Enabel, mon salon aura fière allure et me permettra d’avoir plus de clientes et je pourrai embaucher des personnes pour m’aider ».Cette cérémonie marque une étape clé dans l’engagement d’Enabel et de ses partenaires en faveur des jeunes et des femmes du Centre-Nord. À travers ce geste, ils réaffirment leur volonté de contribuer à la stabilité et à la résilience socio-économique des populations vulnérables. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
L’agence belge de développement, Enabel a signé ce jeudi 23 janvier 2025 un mémorandum d’entente avec le Conseil National du Patronat Burkinabè (CNPB). Un acte qui symbolise l’engagement des deux parties à soutenir l’écosystème entrepreneurial et les acteurs du secteur privé. Cette convention vise également à consolider la contribution d’Enabel au renforcement de l’entrepreneuriat et de la compétitivité économique. La signature est intervenue en marge de la cérémonie d’installation officielle des bureaux régionaux du patronat. Le partenariat entre les deux entités permettra à Enabel, de déployer davantage ses ressources et son expertise en matière de soutien aux petites et moyennes entreprises (PME). Ces dernières représentent un pilier essentiel de la croissance économique et de la création d’emplois au Burkina Faso. Le CNPB, à travers ce partenariat entend renforcer les capacités des entreprises burkinabè et, à leur offrir de meilleures opportunités de financement. Julie Van Der Missen, Portfolio Manager, représentant le Directeur Pays d’Enabel a souligné l’importance de cette collaboration, qui selon elle, confirme l’engagement de son institution à soutenir les entrepreneurs burkinabè en leur permettant de surmonter les défis liés à la croissance et à la compétitivité. Cette collaboration avec le patronat représente également, une étape importante de l’Agence belge de développement pour l’assistance et la promotion du financement des PME ainsi que la promotion de la chaîne des valeurs agricoles. Enabel réaffirme par là son rôle d’acteur stratégique dans le développement économique du Burkina Faso.KABORE Rosine (Stagiaire en Communication)
Le 19 janvier 2025, Enabel au Burkina Faso a participé à l’activité sportive dénommée “10 km de Ouaga”. L’activité est organisée par le Centre Sportif Jean Simporé de Ouagadougou. Cet événement de référence a une fois de plus montré l’importance du dépassement de soi et de la convivialité. Il a rassemblé plus d’un millier d'athlètes, d’amateurs de course à pied, et de nombreuses entreprises et organisations.L’Agence belge de développement (Enabel), a marqué cette journée par une participation active de ses collaborateurs, témoignant de son engagement envers le sport et la cohésion sociale. Pour la IXe édition, une vingtaine de collaborateurs·ices d’Enabel, dont le Directeur Pays, ont fièrement pris le départ de la course. Si l’Agence ne s'est pas distinguée par des podiums officiels, elle a tout de même célébré l’engagement et les efforts de son équipe à travers un classement interne. Les trois meilleurs participants masculins et féminins ont été chaleureusement félicités, soulignant l'importance d’encourager le dépassement de soi au sein des équipes. Au-delà de la performance sportive, Enabel a profité de cette occasion pour renforcer les liens entre collègues. À l’issue de la course, les participants se sont retrouvés autour d’un cadre convivial, où la bonne humeur et le partage étaient au rendez-vous. Ce type d’initiative reflète parfaitement les valeurs portées par l’Agence. De plus, cette IXe édition a été enrichie par des innovations, notamment l’introduction d’une course de 1 km pour les enfants. Une initiative applaudie par Enabel, qui partage cette vision d’un avenir où la jeunesse est encouragée à adopter un mode de vie sain dès le plus jeune âge. En participant activement à cette compétition, Enabel illustre son intérêt pour des initiatives qui favorisent la santé, l’esprit d’équipe et la cohésion sociale. En tant que participante, l’Agence démontre que le sport peut être un outil puissant pour rassembler et motiver les individus. Les vainqueurs du 10 km, chez les hommes et les femmes, ont remporté un trophée ainsi qu’un chèque de 500 000 FCFA, tandis que les deuxième et troisièmes places ont été gratifiées respectivement de 300 000 FCFA et 100 000 FCFA. Les participants à la course de 5 km n’étaient pas en reste, avec des prix en argent et des trophées pour les meilleurs athlètes. Quant à la course des enfants, les trois premiers ont été récompensés par des trophées, l’accent étant mis sur la participation et l’engagement. À travers ces récompenses, l'événement a su combiner reconnaissance des efforts individuels et promotion de la pratique sportive, quel que soit l’âge ou le niveau. Chaque athlète ayant franchi la ligne d’arrivée a ainsi reçu une médaille de participation, symbole d’accomplissement et de persévérance. La IXe édition du “10 km de Ouaga”, marquée par la participation enthousiaste d’Enabel, restera dans les mémoires comme une célébration des valeurs communes de solidarité, de persévérance et d’engagement. BABINE Diane (Stagiaire en Communication)
Une célébration nocturne pour primer les mérites des acteur·rices de la santé communautaire dans la région du Centre-Est Le Centre-Est est l’une des zones d’intervention du Volet Santé du Portefeuille bilatéral d'Enabel et a tenu toutes ses promesses dans la nuit du samedi 14 décembre 2024. La célébration a eu lieu dans la ville de Tenkodogo, sous le patronage de Monsieur le Gouverneur de la région du Centre-Est, le Colonel Aboudou Karim LAMIZANA et le parrainage de Dr Xavier KABORE, médecin gynécologue obstétricien, force vive de la région du Centre Est. Cette cérémonie a également connu la participation du Dr Joseph SOUBEIGA Directeur Général de la Santé Publique (DGSP), représentant Monsieur le Secrétaire Général du ministère de la Santé. Première du genre dans cette région, cette Nuit a rassemblé les corps constitués, les Partenaires Techniques et Financiers (PTF) dont Enabel, les leaders coutumiers et religieux et l’ensemble des acteurs de la santé de la région. La cérémonie a connu une forte participation des agents de santé à base communautaires (ASBC) et d’Accoucheuses Villageoises (AV) de la région. La salle de conférences de l’hôtel Laafi, d’une capacité de 350 places, qui a abrité la cérémonie a refusé du monde au regard de cette forte mobilisation. Organisée par la Direction régionale de la santé (DRS) du Centre-Est avec l’appui d’Enabel et d’autres PTF intervenant dans la région, cette cérémonie avait pour objectif de primer les meilleurs acteurs.trices communautaires qui se sont distingués au cours de l’année 2024 dans la mise en œuvre des interventions communautaires, certains.es au péril de leur vie. De façon spécifique, il s’agissait de primer entre autres : les meilleurs districts sanitaires dans la mise en œuvre des interventions de la santé communautaire ; les meilleurs Centres de Santé et de Promotion Sociale (CSPS) dans la mise en œuvre des interventions de la santé communautaire ; les meilleures Organisations à Base Communautaires (OBC) dans la mise en œuvre des interventions de la santé communautaire ; les meilleurs Comités de Gestion (CoGes) dans le domaine de soutien aux activités de soins de santé communautaire ; les meilleurs Agents de Santé à Base Communautaire (ASBC) dans le domaine des activités d’appui aux soins y compris la recherche des perdus de vue (PDV), la surveillance à base communautaire ; les Agents de Santé à Base Communautaire/Accoucheuse Villageoise (ASBC/AV) les plus méritants dans le domaine de la délégation des tâches (accouchement, planification familiale, vaccination, etc.) ; les communautaires, organisations ou individualités qui se sont distingué·e·s dans l’accompagnement pour un meilleur accès aux services de santé communautaire et de base. Ainsi, 66 attestations de mérite ont été décernées avec plus de 35 prix spéciaux. Ces attestations de mérite étaient accompagnées d’une enveloppe d’argent en F CFA variant selon les prix : de 50 000 FA pour les premiers prix, 30 000 F CFA pour les deuxièmes et 20 000 F CFA pour les troisièmes. Les meilleures Formations Sanitaires (FS) dans la mise en œuvre des activités de santé de la Reproduction des Adolescents et des Jeunes (SRAJ) et dans la prévention de la malnutrition ont reçu respectivement des enveloppes de 300 000 et 200 000 F CFA. Aussi, des tableaux ont été décernés à certaines personnalités pour leur soutien et engagement dans la mise en œuvre des actions communautaires de santé à l’échelle régionale. La grande surprise de la Nuit de santé communautaire a été marquée par la distinction de 6 personnalités dont trois à titres posthumes, deux associations de développement et une personne physique au titre de chevalier de l’ordre du mérite de la santé et de l’action sociale avec agrafe santé. A en croire les récipiendaires, ces différentes distinctions sont un symbole de reconnaissance de leurs mérites mais aussi de motivation à toujours donner le meilleur d’eux-mêmes pour une santé communautaire de qualité au bénéfice des populations.
Le consortium Enabel-GIZ a organisé le 14 novembre 2024 un atelier de planification des activités 2025 du Projet « Renforcement de la résilience socio-économique dans la région du centre-nord (Axe OKD) ». L’activité a eu lieu à Kaya, chef-lieu de la Région du Centre-Nord. Elle a été présidée et modérée par Monsieur CONSEIGA Adama, Haut-commissaire de la Province du Namentenga, représentant le Gouverneur de la Région du Centre-Nord. Ce projet, débuté en 2023, est financé par l’Union européenne à plus de 6 milliards de F CFA et mis en œuvre sur une durée de quatre (04) ans par le consortium. Elle a réuni toutes les parties prenantes de la mise en œuvre du projet. L’Axe OKD s’inscrit dans une démarche plus large de l’Union européenne qui vise, à travers une approche intégrée, la stabilisation dans les régions du Centre- Nord et du Sahel, l’amélioration de la gouvernance locale et la résilience des populations affectées à travers la relance des activités économiques notamment auprès des populations les plus vulnérables et déstabilisées tant hôtes que déplacées. La zone d’intervention du projet est initialement onze (11) communes situées dans deux provinces de la Région du Centre-Nord. Ce sont les communes de Boala, Boulsa, Dargo et Tougouri dans la Province du Namentenga et les communes de Pibaoré, Ziga, Pensa, Barsalogho, Kaya, Korsimoro et Boussouma dans la Province du Sanmatenga. L’objectif de cet atelier était de doter le projet d’un plan opérationnel pour sa phase 2025 dont l’élaboration a été de façon participative avec les principales parties prenantes de sa mise en œuvre et en tenant compte du genre et du LNOB (ne pas laisser personne de côté). Les parties prenantes satisfaites du taux de réalisation des activités 2024 qui a atteint 94% : au cours de cet atelier, le bilan dressé fait ressortir une satisfaction dans la mise en œuvre du projet en 2024. Sur 58 activités planifiées pour l’année 2024, 53 ont pu être réalisées. Quant à la réalisation physique des activités, le projet est à 94,1%. Pour ce qui concerne les finances, le taux de réalisation est estimé à 93,2%. Pour l’année 2025, les activités programmées sont essentiellement celle en rapport avec l’accès au financement et au marché. En plus, le chef du projet KOD à Enabel, Seydou Coulibaly, a mentionné les activités de formations professionnelles et celles en lien avec la gouvernance locale. Il est également prévu la poursuite des travaux de construction de pistes rurales dans la commune de Korsimoro, la formation et la formalisation des entreprises. Il a aussi souligné que certaines activités mises en œuvre au cours de l’année 2024, seront reconduites en 2025, au regard de leurs impacts sur les populations.
L’Agence belge de développement, Enabel et les autres acteurs de la coopération belge au Burkina Faso ont rencontré l’Ambassade de Belgique le jeudi 28 novembre 2024 à Ouagadougou. Cette rencontre annuelle a permis aux acteurs de la coopération belge de faire une analyse contextuelle commune de leurs interventions au Burkina Faso. L’occasion a également donné lieu à des discutions sur les défis rencontrés et les voies à explorer pour une coopération renforcée au bénéfice des populations.Une coopération dynamique et coordonnéeEn plus d’Enabel qui n’est pas une ONG, elles sont au total vingt-deux (22) ONG belges à collaborer avec l’Ambassade de la Belgique dans le cadre de la coopération belge au Burkina Faso. Réunies en rencontre stratégique, les deux parties ont évaluer l’état d’avancement des différents programmes sur le terrain, l’impact réel sur les populations et les défis à relever. Ensemble, ils ont relevé les obstacles à l’atteinte de leurs objectifs et recherché des pistes de solutions. Pour Erwin DE WANDEL, Ambassadeur du Royaume de Belgique au Burkina Faso, cette rencontre se veut être une occasion d’évaluer les impacts réels des programmes sur le terrain et s'assurer que les ressources sont utilisées de manière optimale. Il a notamment insisté sur la nécessité de travailler ensemble pour obtenir des résultats tangibles et répondre efficacement aux besoins de la population burkinabè.Le rôle des Acteurs de la Coopération Non Gouvernementale (ACNG)« Ce dialogue stratégique se veut être un espace pour partager vos expériences afin de mieux comprendre les défis que vous rencontrez sur le terrain. C’est aussi une opportunité de renforcer les synergie et complémentarité entre vos actions et les priorités de la coopération belge », dixit Erwin DE WANDEL. Cette rencontre a permis de rappeler l'importance de la coopération et de la coordination dans la mise en œuvre des programmes de développement selon Alima SAWADOGO, représentante des ACNG. C’est également dans la dynamique du suivi du cadre stratégique que se réunissent ces acteurs afin d’analyser le mécanisme d’actualisation dans le but de réorienter les actions afin d’avoir plus d’impact sur le terrain. Les relations entre la Belgique et les ACNG belges sont au beau jour et la Belgique à travers ces derniers continue de jouer un rôle clé en soutenant le développement durable et en essayant de répondre au mieux aux défis actuels du Burkina Faso.Geoffroy ZONGO (Communication Assistant) et Rosine KABORE (Stagiaire en Communication)
660 acteur·rices outillé·es dans le Centre-EstEnabel, en collaboration avec la Direction regionale de l’Education Préscolaire, Primaire et Non Formelle (DREPPNF) du Centre Est, la Direction Provinciale de l’Education Préscolaire, Primaire et Non Formelle (DPEPPNF) du Ganzourgou a organisé une série d’ateliers de formations(08) au profit des directeurs·trices d’école et de centres d’éveil et d’éducation préscolaire sur le mécanisme de collecte des données statistiques dans les Circonscriptions d’éducation de Base. Les ateliers se sont déroulés entre le 15 Octobre et 06 novembre 2024 dans les communes de Garango, Tenkodogo, Koupela, Pouytenga, Mogtédo, Tensobtenga, Dialgaye et Zorgho au profit de plus de 660 directeurs.tices d’écoles au Centre Est et au Plateau Central. Cette activité entre dans le cadre de la mise en œuvre du programme de coopération bilatérale 2023-2027 entre le Royaume de Belgique et le Burkina Faso. Ce programme consacre 05 piliers dont celui de l’accès aux services sociaux de base qui regroupe la santé, l’éducation et le Wash. Pour le volet éducation, il s’agit de faire en sorte que « les enfants, en particulier les filles et les plus vulnérables des communautés hôtes et déplacées aient un accès inclusif, équitable et durable à une éducation de qualité ».Cette série d’ateliers de renforcement de capacité des responsables de structures éducatives à la base sur le mécanisme de collecte des données statistiques avait pour objectifs d’outiller les participants à la technique de remplissage des différents outils de collecte des données statistiques, de les familiariser à la technique de contrôle et de vérification de cohérence des différents items des outils de collecte de données statistiques, de partager les bonnes pratiques dans l’exploitation des outils de collecte des données statistiques afin d’obtenir des données de qualité. Ces données constituent des outils d’aide à la prise de décision et à une planification optimale.« A travers des exposés suivis d’échanges, des travaux de groupe suivis de restitutions en plénière, il est attendu de chaque acteur convié à cet atelier une participation active afin d’éclairer au mieux sa lanterne et d’aboutir à un meilleur réinvestissement sur le terrain à l’issue de la session ; toute chose qui va s’en nul doute contribuer à justifier le bien-fondé de cette formation et militer à initier d’autres sessions par l’entremise de bras techniques et financiers de l’éducation comme Enabel. », dixit le DPEPPNF du Boulgou, WAMDAOGO Maurice. Il a exhorté les acteurs à une participation active et assidue afin de mieux s’outiller pour faciliter davantage les collectes de données statistiques dans son ressort administratif. Le DPEPPNF du Boulgou a également souligné que « cela exige avant tout une pleine adhésion à une transition digitale car le navire du numérique navigue à une vitesse crescendo et tout retardataire risque fort bien de rester sur le quai et reverser dans l’analphabétisme du monde tertiaire. »Durant deux jours, les participants·es à chacun de ces ateliers ont pu, à travers des travaux de groupe, des exposés et des partages d’expérience, acquérir des outils capables de faciliter les collectes des données statistiques demandées périodiquement par leur ministère de tutelle et pour les partenaires. A l’issue de cette formation, les participants se disent mieux outillés pour remplir efficacement cette mission qui est de fournir des données statistiques fiables et de meilleure qualité aux autorités en charge de l’éducation. Ils ont également manifesté leur satisfaction de voir leurs capacités renforcées et promettent de réinvestir les connaissances et expériences acquises dans leurs écoles respectives et des les partager à leurs collègues.