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  • Zoom sur quelques résultats du projet Santé droits sexuels et reproductifs au Burkina Faso

    Zoom sur quelques résultats du projet Santé droits sexuels et reproductifs au Burkina Faso


    Kimsegninga SAVADOGO | 31/01/2022

    Notre approche de la promotion de la santé, des droits sexuels et reproductifs des femmes et des jeunes dans la région du Centre-Est donne des résultats. Les faits marquants pour l’intervention SDSR en 2021 se focalisent sur la consolidation du partenariat avec les acteurs étatiques et non étatiques ainsi que les acquis de 2020.  Les quatre grands aspects de notre intervention  L’intervention SDSR s’est focalisée sur quatre grands aspects à savoir :  Comment réduire la mortalité maternelle ?  Comment renforcer les actions pour la santé sexuelle et reproductive des femmes et filles avec un focus particulier sur la planification familiale (PF) ?   Comment contribuer avec des actions en faveur de la santé et les droits sexuels et reproductifs des femmes et des jeunes ?  Comment prévenir et répondre aux volences basées sur le genre (VBG), avec un focus sur la prise en charge des victimes des violences sexuelles et des survivantes des VBG selon un modèle unique ?  La consolidation du partenariat L’approche que nous préconisons est d’être disponibles pour accompagner nos partenaires étatiques et non étatiques selon leurs besoins que nous identifiions ensemble.  Le travail d’Enabel au quotidien n’est pas seulement d’apporter notre soutien technique et financier, mais surtout d’accompagner lors de toutes les réflexions qui se basent sur l’appropriation, la durabilité et la recherche de l’impact.  Nous avons aussi des partenaires académiques belges et burkinabè qui nous facilitent l'accès à des données, nous permettant d’améliorer nos approches d’une part et d’autre part d’utiliser les résultats de la recherche pour agir sur la base des évidences.  De la nécessité d’un Centre mère enfant à Tenkodogo  Un volet sur lequel nous avons fait un grand travail est la finalisation et l’opérationnalisation du Centre mère enfant de Tenkodogo, qui comprend deux grandes approches dans une même proposition.  D’une part, il permet de répondre aux questions d’accès aux soins de santé pour les mères et les enfants afin de réduire la mortalité maternelle et infantile, d’avoir accès au service de planification familiale, etc. D’autre part, il renferme un centre unique de prise en charge des victimes de violences sexuelles selon un modèle unique au Burkina Faso.  Le Centre pour les aspects santé maternelle et infantile permet de pallier l’absence d’hôpital de district en milieu urbain. Dans la région du Centre-Est, presque tous les besoins de santé qui se prononcent dans la commune urbaine de Tenkodogo étaient évacués vers le Centre hospitalier régional (CHR), ce qui constitue une grosse pression sur le CHR où les lits d’hospitalisation sont permanemment occupés à 100%.  Dans ce contexte, il arrive très fréquemment que des femmes accouchent et sont couchées avec leurs bébés à même le sol. Évidemment, cela conduit à une forte mortalité. D’où la nécessité du Centre mère enfant. Avoir un centre mère-enfant à Tenkodogo permet de désengorger le CHR, de réduire la mortalité et proposer des solutions rapides et efficaces dans la proximité avec une qualité d'équipements matériels de formations, dans la gestion du circuit du patient, du médicament etc.A travers le centre mère enfant, nous voulons contribuer à des solutions durables, à réduire les inégalités et répondre aux besoins des populations qui attendent nos services, de les avoir dans le temps et la proximité, mais aussi avec une certaine qualité.  Disponibiliser les soins de santé dans un contexte comme celui du Centre-Est où 45% de la population n’a pas accès aux services de santé permet de contribuer aux objectifs du Burkina Faso en matière de santé, mais aussi les objectifs mondiaux. A Enabel nous en sommes fiers.    Equipe SDSR Adama GNANOU, Assistant communication  


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    Burkina Faso BKF1803011

  •  La formation continue des acteurs et actrices de la Justice au Burkina Faso : comment Enabel y contribue-t-elle ?

    La formation continue des acteurs et actrices de la Justice au Burkina Faso : comment Enabel y contribue-t-elle ?


    Kimsegninga SAVADOGO | 31/01/2022

    PARJI met en relation des spécialistes belges de premier plan dans le domaine de la formation judiciaire avec le pouvoir judiciaire burkinabé.    L’Institut de Formation Judiciaire (IFJ) (https://www.igo-ifj.be/fr) est une institution fédérale belge de référence dans le domaine de la formation initiale et continue des magistrats et greffiers.     Le Directeur de l’IFJ, Monsieur Raf Van RANSBEECK et la chargée de mission internationale, Madame Karin CARLENS ont effectué une mission au Burkina Faso du 10 au 13 janvier 2022, accompagnée par Monsieur Yoann THINES, Intervention Manager de PARJI.  La mission entre dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité (PARJI). Un projet mis en œuvre par l’Agence belge de développement Enabel et financé par l’Union européenne     Les objectifs de la mission.    Cette mission avait pour objectif principal de présenter l’Institut de Formation Judiciaire aux partenaires du PARJI afin de mieux définir et dimensionner les contours de la mobilisation technique à venir dans le cadre de l’appui du projet et de l’IFJ en matière de renforcement des capacités des acteurs judiciaires.   Ces audiences ont permis aussi d’évaluer les besoins en renforcement de capacités de l’ensemble des acteurs afin de mieux adapter leurs modules.    De façon spécifique, il s’est agi pour les missionnaires de :  nouer des contacts et des liens officiels entre l’IFJ, les partenaires burkinabè du projet PARJI et Enabel Burkina Faso aux fins de faciliter les collaborations à venir ; échanger avec les partenaires sur les pratiques et possibilités de renforcement des capacités (formation initiale et continue) pour lesquelles la Belgique, à travers l’IFJ a une expertise et un savoir-faire incontestable à partager ;  établir une stratégie commune de renforcement des capacités et d’appui aux acteurs judiciaires ;rencontrer les principaux partenaires techniques et financiers internationaux intervenant dans le domaine de la justice et des droits humains afin d’identifier des possibilités de partenariat complémentaire à celui établi avec Enabel.   Quelques partenaires rencontrés    La mission a tenue en 72 heures plusieurs audiences avec de hautes personnalités du monde judicaire et mission diplomatique au Burkina Faso :   le Chef de la coopération belge au Burkina Faso, Monsieur Wim Schalenbourg ; la Ministre de la Justice, des droits humains et de la promotion civique, Garde des Sceaux Mme Victoria KIBORA/ OUEDRAOGO ;   la Délégation de l’Union européenne ;  l’ONG Coginta, ECOFI et le Centre international d’études sociologiques et de droit appliqué, (CINESDA) ; les directions techniques du Ministère de la Justice, des droits humains et de la promotion civique (MJDHPC) ;  des partenaires techniques et financiers (PTF) de la Justice et des droits humains dans le cadre de la réunion thématique du Cadre Sectoriel de Dialogue (CSD) “Justice et droits humains” et la Cour d’Appel de Ouagadougou.La Délégation a également rendu visite au TGI de Ouaga 2 et a rencontré : les premiers responsables de la juridiction (Président, Procureur, Chef de greffes) ; le responsable régional du programme d’accès à la justice et du projet d’appui à la médiation pénale par les chefferies traditionnelles de l’ONG Terre des hommes Lausanne.La direction générale de l’Ecole Nationale d’Administration et de la Magistrature (ENAM) et le Bâtonnier Maître Siaka NIAMBA ont reçu chacun les visiteurs conduits par Yoann THINES au cours de la matinée.           Geoffroy ZONGO  Communication Officer 


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    Burkina Faso BFA20003

  • Formation conduites d'engins lourds : 12 jeunes dames certifiées

    RDC: 12 jeunes femmes diplomées en conduite d'engins poids lourds


    Aimé GIRUKWIGOMBA | 31/01/2022

    Une approche assez inhabituelle, audacieuse mais réalisable.12 pionnières, renommées les  « Reines de la route de Kisangani » inspireront désormais fierté et influenceront sans doute d'autres jeunes à oser embrasser des carrières jusqu’ici considérées typiquement masculines dans la province.La Cérémonie de Remise des Brevets de réussite de la Formation-action « Conduite d’engins poids lourds de génie civil » tenue en ce jour, a été rehaussée par la présence du Gouverneur de la province de la Tshopo RDC et plusieurs ministres ayant pour attributions la Formation professionnelle, le Genre et les Travaux publics.L’intervention du projet EDUT d'Enabel en RD Congo procède à l’appui stratégique de l’insertion socio-professionnelle et soutient l’éclosion d’incubateurs d’entreprise génératrices d'emplois.L’aventure de ces jeunes dames ne s’achèvera pas aujourd’hui. Grâce à la collaboration fructueuse entre l’incubateur « Elykia » de la FEC Tshopo, la Compagnie Forestiere et de Transformation (CFT) ainsi que l’Office des Routes, des opportunités de stage ont pu être négociées au bénéfice de toutes ces dames conductrices lauréates : Un stage de 2 mois à la CFT et à l’Office des Routes sera conventionné afin qu’elles puissent perfectionner leurs compétences générales et se spécialiser aux différentes machines. Il s’agit ici de stages avec des emplois durables à la clé !Bon courage, bon vent et bonne carrière professionnelle à ces conductrices d’engins lourds


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    DR Congo RDC1217911

  • Au Bénin, Enabel contribue à l’amélioration des soins palliatifs

    Au Bénin, Enabel contribue à l’amélioration des soins palliatifs


    Reece-hermine ADANWENON | 28/01/2022

    Les soins palliatifs, une approche qui vise à améliorer la qualité de vie des personnes souffrant de maladies graves potentiellement mortelles, sont un concept nouveau en Afrique francophone.Au Bénin, des actions sont initiées depuis 2015 pour faire de ce concept une réalité dans les formations sanitaires. Ainsi, l’Association Béninoise des Soins Palliatifs (ABSP) est née, le Programme National des Soins Palliatifs (PNSP) est mis en place au Ministère de la Santé, une unité de production de morphine solution orale est opérationnelle au Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou, 4 unités de soins palliatifs sont mises en place dans 4 départements du pays (Littoral, Mono, Borgou et Zou) et des visites à domicile aux patients par une équipe mobile sont organisées à Cotonou et à Comè avec possibilité de relogement des patients parfois délaissés par leurs familles. Pour renforcer, élargir et pérenniser toutes ces initiatives entreprises, un plan quinquennal des Soins Palliatifs est en élaboration et constituera la boussole de Programme National des Soins Palliatifs (PNSP) pour l’identification et la mise en œuvre des interventions. Le processus de rédaction dudit plan a démarré depuis 7 mois avec plusieurs étapes allant de la constitution des groupes thématiques à l’élaboration et la pré validation du premier draft du document. Selon Richard Venance GANDAHO, Secrétaire Général Adjoint du Ministère de la Santé, ce Plan permettra au PNSP d’assurer l’exécution de sa mission qui est d’œuvrer pour prévenir et soulager les souffrances des patients et de leurs familles confrontées aux problèmes liés à des maladies graves potentiellement mortelles. A ce propos, il a remercié l’Agence belge de développement qui, à travers son programme santé a décidé d’accompagner techniquement et financièrement les différentes phases de mise en place des soins palliatifs aux Bénin. Le Dr Elysée SOMASSE, Manager du Programme santé Enabel « P@SRIS » a annoncé que le processus d’acquisition de plusieurs kilogrammes de morphine est déjà lancé et qu’il est également envisagé d’accompagner la mise sur pied d’unités de soins palliatifs dans les Hôpitaux des Zones d’intervention du programme, les acteurs étant déjà formés. «Guérir parfois, Soulager Toujours ! » Dans une étude réalisée au CNHU-HKM de Cotonou, les cancers représentaient 17% des hospitalisations et sont dominés par le cancer du sein (34,6% des cas) ; les cancers du col de l’utérus représentent 12,2% des cas. Ces cancers sont vus aux stades avancés (stade III et IV) dans 70,6% des cas. Les cancers en général et les cancers de la femme en particulier constituent le premier motif de recours aux soins palliatifs au Bénin. En effet, 89,2% des patients admis en soins palliatifs au Bénin présentent un cancer et les cancers de la femme (cancer du sein et cancer du col de l’utérus) étaient les plus fréquents et représentaient 32,75% des cas. Au vue de ces statistiques, il faut noter qu’au Bénin, les besoins en soins palliatifs augmentent avec la montée des maladies non transmissibles et l’augmentation de l’espérance de vie. Plusieurs patients se retrouvent en général vers leur fin de vie dans une situation de détresse physique, psychologique et même spirituelle. Ces types de malades sont parfois oubliés et décèdent dans l’abandon et dans une sorte d’indifférence qui frise la désobligeance ; toute chose que les juristes qualifieraient de non-assistance à personne en danger. Ces patients ont besoin d’accompagnement pour une qualité de vie acceptable et mourir dans la dignité.Enabel est heureuse de participer à la mise en place des soins palliatifs au Bénin, autrefois laissés pour compte.


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    Benin BEN19007

  • Fierté pour Enabel Mauritanie

    En Mauritanie, le projet AI-PASS intègre le concept d'équipe cadre dans le système de santé


    Aminata KANE | 25/01/2022

    Enabel en Mauritanie à travers son projet  AI-PASS, financé par l'Union européenne pour une amélioration des soins en Mauritanie annonce l'un de ses impacts majeurs. Mathias Lardinois, directeur pays en Mauritanie, commente  "C’est avec beaucoup de fierté que nous vous communiquons un résultat très concret de notre action en Mauritanie : l’intégration du concept d’Equipe Cadre dans la nouvelle organisation du système régional de santé (cf. Article 15 de l’arrêté ministériel du 14/12). Ce concept a été introduit et testé dans le cadre de l’AI-PASS comme recherche-action, et devient maintenant la norme au niveau national.C’est un élément essentiel pour améliorer la qualité de l’offre de soin pour toutes et tous".Le projet AI-PASS (Appui Institutionnel du Programme d’appui au secteur de la santé) vise à contribuer à la création d’une assurance maladie garantissant l’accès à des soins de qualité pour les populations de Sebkha et Dar Naim, des quartiers périphériques et fortement peuplé de Nouakchott et de la région de Bababé.


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    Mauritanië MRT20002

  • Autonomisation des femmes dans la filière ananas au Bénin, une réalité !

    Autonomisation des femmes dans la filière ananas au Bénin


    Reece-hermine ADANWENON | 24/01/2022

    Selon un proverbe sénégalais: « Eduquer une femme, c’est éduquer une nation » ! Fort de ce proverbe, Enabel au Bénin à travers son programme DEFIA a contribué à la formation de 673 femmes productrices et potentielles productrices d’ananas. Ces femmes pour la majorité non instruites possèdent désormais des capacités, clés et outils pour concevoir et mettre en œuvre un business plan, tenir leur livre de caisse  et planifier, organiser et gérer leur budget.Ce cycle de formation couplé d’un appui financier a également permis le renforcement de capacité de ces femmes en matière de technique de production, d’alphabétisation digitale et de promotion du dialogue au seins des ménages. Durant le processus de formation, il a été observé une présence des époux aux côtés de leurs femmes. Provenant des départements de l’Atlantique, du Mono, du Couffo, du Zou, de l’Ouémé et du Plateau, ces femmes ont bénéficié d’un appui pour l’extension et la mise en place de leur propre champ d’ananas. A travers cette action, Enabel ambitionne d’améliorer la présence des femmes dans le maillon production de l’ananas au Bénin. TémoignageChristiane a 45 ans, elle ne sait ni lire ni écrire. Mariée et mère de 6 enfants, elle est depuis 8 ans  productrice d’ananas dans la commune de Toffo  (Département de l’Atlantique au Bénin). Elle a suivi le cycle de formation mise en place par Enabel à travers le programme DEFIA. Grâce à ce parcours d’apprentissage, Christiane sait écrire dans son propre langage ses besoins, elle sait tenir son livre de caisse, elle peut même concevoir son plan d’action  et le soumettre à une Institution de Microfinance pour son accompagnement.« Je suis si heureuse. Je peux écrire, tenir mon cahier de caisse sans l’aide d’un proche, c’est plus qu’un rêve qui vient de se réaliser. Mon mari et moi somme très enthousiastes et nous sommes sûrs que notre chiffre d’affaire va considérablement s’accroître car nous pourrons mieux nous organiser dans notre planification et gestion financière », raconte-t-elle.


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    Benin BEN19005

  • Enabel Provides Guidelines for Accommodation in Teacher Colleges - Uganda

    Enabel provides guidelines for accommodation in Teacher Colleges - Uganda


    Dorothy KYAMAZIMA | 24/01/2022

    Across different countries and projects, Enabel focuses on cross-cutting issues such as the environment, climate change and digitalization.Together with the Ministry of Education and Sports in Uganda, we have worked to rehabilitate, construct and equip facilities in the National Teachers’ Colleges.It is from such efforts that we have developed Guidelines of student and staff accommodation that: ·       provide provisions for the efficient operation and management of newly constructed and rehabilitated NTC accommodation and ·       offer guidance on planning, design and construction of future facilities in line with principles of sustainability. This publication will provide information that is generally lacking in the different aspects of accommodation design, construction, operation, maintenance and sustainability.Click to read the Guidelines of Accomodation: https://drive.google.com/file/d/16gFhvQ-GPdXWITTvlMhINtKHu7NY2iD0/view 


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    Oeganda UGA1503111

  • Au Mali, les paysans expérimentent les mesures d'adaptation au changement climatique

    Au Mali, les paysans expérimentent les mesures d'adaptation au changement climatique


    Nènè TRAORE | 19/01/2022

    Comment atténuer les effets du changement climatique lorsque la population ne possède pas d'informations sur les risques liés au changement climatique ? Force est de constater que les autorités locales, les services techniques et les organisations de la société civile interviennent timidement dans la gestion des conséquences du changement climatique dans certaines parties de la région notamment à Fana. En effet de nos jours il existe peu d'informations, peu de données disponibles sur les risques liés au changement climatique à l'échelle locale (dans les villages) aussi bien qu'à l'échelle communale voire régionale. La gestion et la diffusion des informations sur les risques liés au changement climatique ne sont pas systématiquement réalisés, ce qui entraîne des difficultés majeures pour avoir une réponse efficace et efficiente au problème climatique. Le Programme bilatéral exécuté par Enabel au Mali a développé un partenariat avec l'ICRAF pour la mise en œuvre d'une Recherche –action – formation sur les Plateformes d'Innovation / Valorisation de l'Information Climatique, l'agroforesterie et la promotion des cultures fourragère au niveau des Communes rurales de Wacoro et Wolodo dans la Région de Dioila. Aux termes de deux campagnes agricoles, les résultats obtenus grâce à ce partenariat sont probants et prometteurs en termes d'atténuation et d'adaptation des effets du changement climatique. Découvrez ici les témoignages des acteurs : https://sway.office. com/2btHhlZXsUrRJ7tS


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    Mali MLI1604711

  • Frequent follow up and retention of mothers’ increase antenatal care visits

    In Uganda, frequent follow up and retention of mothers’ increase antenatal care visits


    Agnes KABAIKYA | 17/01/2022

    The success of foetal life determines not only the health of the new-born, but also has a major impact on adult health. With access to antenatal and with regular monitoring, early detection of complications and treatment, these risks can be prevented. Thus, attending antenatal care (ANC) is mandatory for all pregnant mothers mainly the 1st ANC in the first trimester, the 4th ANC but also completing all the mandatory 8 antenatal visits. The health sector performance report 2020 indicated that antenatal care (ANC) coverage for the fourth visit stagnated at 42% short of the HSDP target of 47.5% in 2020. For that reason, health facilities have become more innovative in attracting mothers to come for these ANC visits thereby seeing a sharp increase. Case in point is during the month of September, Alero HC III in Nwoya District registered a total of 488 mothers visiting the facility for ANC as per the maternity register. Mercy 27, mother of 4 children is 8 months pregnant with her 5th child. She says, she went for her antenatal after missing her periods for 2 months after her body became weak.  “I started going for ANC at 2 months, I went with my husband, they tested our blood and because my husband is already on ART, my test also turned out positive. I was advised to be enrolled on ART, keep appointment dates and to take my drugs on time. I was also advised to eat healthy and not to share sharp objects with children. I have already attended my 4th visit where I was told about birth preparation”. For Monica 19 and 7 months with her first child. It is the husband who told her to go for the ANC after he attended one of the community outreaches and the VHT told them that once a mother misses her periods, she should go for a test at the health facility. “They tested our blood, checked the foetal heart beat and I was also given some drugs”. Since then, Monica has been going to Kochi Li for ANC monthly and during the 4th visit, the midwife emphasised that she should not miss her scheduled appointment dates. During her last visit in September, she was told to prepare for delivery and advised to deliver at the health facility. Health facilities have become deliberate in attracting pregnant mothers to attend ANC visits through organising targeted community outreaches, community dialogues for far way and hard to reach areas. During these outreaches, community leaders attract mothers to come for services including immunisation, family planning, growth monitoring, screening for HIV, malaria. It is also during these outreaches that facility staff tell mothers about the services offered at the facility and encourage them to come for scheduled antenatal appointments every month. Bella, enrolled midwife at Lalogi HC IV emphasises that “during integrated outreaches and community dialogues we emphasise mothers to come for the 1st ANC in the first trimester and when they come we encourage them to come 8 times. She says, these days, health facilities provide holistic services and ANC is done daily Monday to Friday unlike in the past when they had specific days for antenatal. With additional RBF funding, some facilities have also acquired a telephone set for tracking mothers for ANC visits. The midwife calls mothers reminding them when they are due for ANC and when they come they are told about the different packages offered at ANC. According to Milton Steven, RBF Focal Person Amuru District, “we decided to buy a telephone line at the facility which we use to call/remind mothers about their scheduled ANC. We also use the same line to call mothers after delivery when they are back to their homes to find out how they and the babies are doing”. Additionally, the availability of midwives at all times (day and night) has given mothers assurance that whenever they come, there is someone to attend to them. After the RBF training we attended, we came back and decided to be available for mothers. Today you come any time day/night we will be available to help, Holga, enrolled midwife. Likewise, administration changed the way they treat midwives. Staffing was an issue in the past, we had one midwife doing maternity and ANC, but with RBF funding, we attracted a volunteer nurse who is hired to concentrate only on ANC Dr. Agnes, RBF Focal Person Omoro District To some facilities increase in ANC is as a result of referrals. They coordinate with lower facilities, in case they have a foetal heart beat that they don’t understand, they are encouraged to refer that mother for ultra-scan services. Lucy – enrolled comprehensive nurse at Lalogi HC IV says, “we get referrals from lower facilities of Awoo II, Acet III, Odek III, Layoajong III for scan services. To Koch Li, the sharp increase of mothers coming for ANC is attributed to the facility’s upgrade to HC III, the construction of the maternity and the increase in staff had a remarkable effect as confirmed by Charles, In Charge Kochi Li. “after the upgrade to HC III and the construction of the maternity, mothers started coming in big numbers”.  


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    Oeganda UGA180371T

  • Change in attitude of midwives attract mothers to deliver at health facilities in Acholi Region, Uganda

    Change in attitude of midwives attract mothers to deliver at health facilities in Acholi Region, Uganda


    Agnes KABAIKYA | 17/01/2022

    Teddy 24 yrs mother of 2, is 7 months pregnant with her 3rd child, she delivered her 2 children at home. This time she is determined to deliver at the health facility.Teddy walks 13 kilometres from Gung Gung village to attend her ANC at Koch Li Health Centre III. The day she is to attend ANC, she is on the road by 5 am so that she can make it on time by 10am, be attended on time and by 1 pm she starts on her return journey home. Likewise, Concy 34 is a mother of six children. She lives a kilometre away from Angaya HC III in Loyoboo village in Unyama sub county, Angaya parish. Her 3 months Calvin was born at Angaya health centre in June 2021 weighing 3.3 kgs. All her babies were also delivered normally at health centres. Most of the mothers I interacted with at health facilities and in the community confirm that the attitude of midwives has greatly improved, an issue that previously made them shun health facilities. They say nowadays health workers are very welcoming and are available all the time to assist mothers deliver. Mothers say they are encouraged to deliver at the health facility unlike in the past when midwives were rude to mothers. Midwives today give special care to pregnant mothers especially those coming from faraway places who arrive with nothing, Concy reiterates, “when you arrive, you are given charcoal to prepare meals.  After delivery, you are given sugar, a mosquito net, a bar of soap and a basin. At times we also provide mothers with chlorixidine free of charge to mothers to clean their babies’ umbilical cords continues, Concy, midwife. Health workers also confirm the incentives (bought by RBF funds) given to mothers have attracted more mothers coming to deliver at the facility. They demonstrate that with results based funding, midwives are given incentives depending on how many mothers they have attended to, so they had to change their attitude in order to attract more mothers coming to the health facility. Peace midwife reinforces “the incentives provided to us is a positive driver, when you know you are going to get an incentive, there is away you treat mothers too so that they come in big numbers”. The DHO Amuru District Patrick validates the change in attitude of midwives in handling mothers. With additional RBF funding, some health facilities have improved conditions for mothers and their attendants, case in point, Angaya HC III has constructed a comfortable bathing shelter for mothers and their attendants. There is also a cooking shade for attendants where the facility provides free charcoal, a stove and a kettle. This issue had come out during community dialogues where communities complained about the lack of a bathing shelter at the facility and the delays mothers go through at the facility. According to Peace Maria, midwife at Angaya HC III, she says, facilities have devised several modalities to attract mothers to facilities. They track pregnant mothers from multiple entries (OPD, Maternity, ART and during community outreaches. “We start all the way from OPD, we tell mothers that once they miss their period, they are booked for ANC. This is because we want mothers to test within the first 12 weeks and advise them on the subsequent ANC visits”. Additionally, when health facilities organise community outreaches, they identify mothers who are almost to deliver and attach them to VHTs for monitoring. Similarly, VHT members during their family visits in the communities, they identify and encourage mothers to go for antenatal and to deliver at the health facility. Kenneth a VHT member says they advise mothers as soon as they confirm they are pregnant to come to the health centre for ANC and it is while attending the ANC that we advise them to deliver at the facility. The Health Sector Performance Report 2020 indicated a decline by 3% (59% in 2020) from (61% in 2019) out of the deliveries conducted at health facility deliveries, still far below the HSDP target 89%. We are optimistic the practice of every mother delivering at the health facility with the help of a medical worker will continue. When they deliver at the health facility, they will be advised on the best nutrition and in the long run Uganda to attain a healthy and productive population by 2040 that effectively contributes to socio-economic growth. Enabel is supporting 38 health Centre IIIs, IVs including general hospitals in the districts of Gulu, Gulu City, Amuru, Omoro and Nwoya.  With additional funding, health facilities have invested the funds to address among other issues, the low motivation of health workers by providing staff incentives, poor infrastructure, frequent drug shortages and the inadequate medical equipment.  


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    Oeganda UGA180371T

  •  Enabel donates 800m medical equipment to health facilities in Uganda

    Enabel donates 800m medical equipment to health facilities in Uganda


    Agnes KABAIKYA | 17/01/2022

     The Enabling Health in Acholi (EHA) project, working with the Ministry of Health and with support from USAID donated medical equipment to health facilities in the districts of Amuru, Gulu, Nwoya and Omoro. The 800 million worth equipment include delivery beds, oxygen concentrators, weighing scales, microscopes, hymoglobinometers and obstetric kits among others. The 36 benefiting health facilities include both public and PNFP HC IIIs, IVs and one general hospital located in Acholi sub region. While handing over the equipment, the Gulu City Resident Commissioner Mr. Odongpiny Denis urged the regional equipment maintenance team at Gulu Regional Hospital and the health facilities to put the equipment to appropriate use in order to benefit people in the region. Lack of functional medical equipment compromises the quality of care and according to the recently conducted patient satisfaction surveys, lack of functional equipment is one of the causes of patient poor patient satisfaction. The donated equipment will help the facilities in improving prescription, diagnosis and treatment of maternal and child related illnesses, thus improving service delivery in the region. The equipment will also reduce on the many referrals to Gulu Regional Hospital but also reduce on the rudimentary means used by health workers to detect blood levels of blood of expectant mothers like examining the conjunctiva of the eye to check blood levels. Mothers whose haemoglobin level is below 10 grammes are at a high risk of dying while giving birth in case of excessive bleeding. Undoubtedly, the 800 million donated equipment will reduce use of torches and candles to conduct deliveries due to the absence of electricity in maternity wards now that they have a reliable lighting system. Working with the Ministry of Health and with funding from USAID to strengthen health systems, the Enabling Health in Acholi Project has been supporting health facilities in Acholi to deliver quality and accessible health services to the rural population in Acholi region. Using the results based financing to provide additional funding to pay output and indicators that satisfy quality standards the Ministry of Health has grappled with, the supported health facilities have procured essential medicine and supplies, boost health workers incentives, buy the much needed equipment among others. To date, more than 2 billion shillings have been disbursed to the benefiting health facilities. For proposer functionality and appropriate use, Enabel closely worked with the biomedical engineers at the regional equipment maintenance workshop to install and provide user training of the donated equipment.   Communications Officer, Health Projects


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    Oeganda UGA180371T

  • Call for applications: 2022 Africa D4D Journalism Competition

    Call for applications: 2022 Africa D4D Journalism Competition


    Ahtziri Alejandra GONZALEZ GARCIA | 17/01/2022

    The African Union – European Union (AU-EU) Digital for Development (D4D) Hub, of which Enabel is an implementing partner, is proud to host the first Africa D4D Journalism Competition.The competition is open to all African journalists who use online media to report on the impact of digital technologies on people’s lives across the African continent, and the policies needed to reap their benefits for sustainable and inclusive development. We are seeking high-quality and in-depth stories that contribute to raise awareness on the importance of building a digital economy and society that leaves no one behind. More information: https://bit.ly/3qzQGq9


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    België BEL20005

  • « L’enseignement des métiers comme voie d’autonomisation des jeunes au Burundi » : Reportage vidéo

    Vidéo: L’enseignement des métiers comme voie d’autonomisation des jeunes au Burundi


    Donavine KWIZERA | 14/01/2022

    Comme ailleurs en Afrique, le taux de  chômage des jeunes au Burundi est très préoccupant.Les gouvernements et partenaires s’activent pour promouvoir l’employabilité de ces jeunes. L’employabilité des jeunes dépend de plusieurs facteurs parfois indépendamment de leur volonté, et la préoccupation constante est que la formation que reçoivent ces jeunes soit en adéquation avec les besoins sur le marché du travail. Malgré que l’Enseignement des métiers et la Formation Technique et Professionnelle soit l’un des moyens évident pour favoriser l’emploi des jeunes au Burundi, il y a toujours un manque d’attractivité voire une perception négative de l’enseignement des métiers par la communauté et par les jeunes eux-mêmes, comparativement à l’enseignement général. Dans ce reportage vidéo mené dans plusieurs provinces du pays, certains lauréats des Centres d’Enseignement des Métiers (CEM) insérés dans la vie socio-professionnelle donnent leur témoignage sur comment ils sont parvenus à monter leur propre activité génératrice de revenus. Ces jeunes sont fiers d’avoir appris un métier et grâce à ce dernier ils ont atteint un niveau d’autonomie : quitter le toit familial, se construire un logement, fonder un foyer, se prendre en charge ainsi que leur famille, avoir des activités diversifiées. Pour ces cas de succès, avoir un métier à exercer c’est posséder quelque chose de précieux pour toute la vie. Ces lauréats insérés contribuent aussi au développement du pays en renforçant les compétences des autres jeunes apprenants des CEM en leur offrant des opportunités de stages avec possibilité de les retenir comme employés.


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  • Au Bénin, les acteurs communautaires de la PNUSS expérimentent ‘’google meet’’

    Au Bénin, les acteurs communautaires de la PNUSS expérimentent les visio-conférences


    Reece-hermine ADANWENON | 12/01/2022

    Pour booster en période de Covid-19 les activités et le fonctionnement de la Plate-forme des Utilisateurs des Services de Santé (PNUSS) dans le département des Collines, des réunions en ligne sont désormais possibles en milieu communautaire. Les membres des sections locales de la PNUSS du département des Collines et de la zone sanitaire de Parakou-N’Dali avec l’appui du projet EQUITE ont tenu pour la première fois leur réunion mensuelle par visio-conférence pour faire le point de leurs activités d’août à oct. 2021.En effet pour contourner le ralentissement des activités communautaires en période de Covid-19, le projet EQUITE a expérimenté l’utilisation des tablettes afin de permettre à la PNUSS d’organiser ses réunions mensuelles par visio-conférence. 24 membres de la PNUSS ont été formés durant la période du 19 au 26 octobre 2021 à l’utilisation d’une tablette et l’outil de visio-conférence « Google Meet ». Les difficultés des membres à se réunir en présentiel à cause de la réticence des populations à se faire vacciner ont été résorbées grâce à cette formation qui leur a permis d’organiser leur première réunion en ligne le mercredi 27 octobre 2021. Cette réunion a été dirigée par le Président national de la PNUSS et à laquelle ont pris part les présidents, responsables de suivi-évaluation et chargés de la médiation sociale des sections locales des zones sanitaires Savalou-Bantè (SABA), Dassa-Glazoué (DAGLA), Savè-Ouèssè (SAO) et Parakou-N’dali (PN). Des recommandations ont été formulées à l’endroit de chaque section locale pour améliorer le fonctionnement de la PNUSS. Cet outil est désormais utilisé entre les membres, à l’intérieur de chaque section locale, pour améliorer les échanges surtout en matière de gestion des plaintes.


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  • Les Structures d’Appui à l’Entrepreneuriat Innovant (SAEI) et des Startups qu’ils accompagnent se professionnalisent

    Bénin: Via le projet Digiboost, les Structures d’Appui à l’Entrepreneuriat Innovant se professionnalisent !


    Reece-hermine ADANWENON | 12/01/2022

    Professionnaliser les Structures d’Appui à l’Entrepreneuriat Innovant (SAEI) et les rendre capables de proposer un paquet de services adapté aux besoins des startups béninoises, c’est l’un des résultats du projet Digiboost mise en œuvre par Enabel au Bénin et financé par l’Union Européenne.Pour atteindre ce résultat, plusieurs parcours de renforcement sont proposés aux SAEI dont un curriculum de formation en anglais courant et des affaires. Ce programme de formation est conçu grâce à l’expertise du cabinet Language Lab suite à : · Un diagnostic des offres de formations au sein des SAEI ; · Une évaluation des programmes de formation proposés par ces SAEI aux profits des entrepreneurs. La restitution du rapport de diagnostic et la validation du programme de formation par les SAEI ont fait l’objet d’un atelier de formation qui s’est déroulé à Grand-Popo du 6 au 9 décembre 2021.


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