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On 28th November 2024, Rwanda TVET Board in partnership with Enabel awarded certificates of competence to 309 graduates who completed a 12-month short dual training program. This colorful ceremony took place in Karongi in Rwanda Polytechnic campus with 165 female & 144 male apprentices graduating in Carpentry, Tailoring, Masonry, Welding and Automobile technology. Since January 2023, Rwanda TVET Board is implementing a 12 -month short dual training program under the support of Enabel’s Decent Work and Social Protection project (DW&SP). The project supports skills development through workplace learning and workers’ skills upgrading in Construction, Manufacturing and Mining sectors, targeting youth and women in Kivu Belt region and in the City of Kigali. The training is delivered through the partnership between TVET schools and private companies & craftsmen. Trainees undergo five months at school to acquire theoretical and basic practical skills, followed by seven months of practical experience in the workplace. Both school trainers and In- company Instructors (ICIs) collaborate to facilitate trainees in acquiring a series of theoretical, practical hands-on skills and attitudes relevant for the labor market integration. Six schools namely Bumba TSS, ETAG Gisenyi TSS, Kanyinya TSS, Karengera TSS, Mizero TSS and Rubengera II TSS were selected to deliver the programs in collaboration with private companies. Enabel’s skills development initiatives are implemented under three projects and in different value chains: Decent Work and Social Protection project: In addition to developing skills for new labor market entrants through Workplace Learning, the project contributes to the upskilling/reskilling of informal workers in supported trades through the recognition of prior learning of existing workers in Construction, Manufacturing and Mining sectors. Urbanisation project (UEDi) aims at strengthening decent green job creation in the construction value chains through WPL (dual training) in construction trades where the “Chantier-Ecole” integrates the project-based learning approach allowing to find solutions to infrastructure-related challenges identified at school. UEDi operates in Bugesera and Rwamagana Districts and 4 schools namely Center for Champions TSS, Ecole Technique Saint Kizito (ETSK) Musha TSS, Nelson Mandela TSS and Nyamata TSS were selected to deliver the training programs in collaboration with private companies and craftsmen. Project for Inclusive Small Livestock Markets (PRISM) supports skills development in Piggery, Poultry, Fish farming and Beekeeping value chains through school-based short courses combined with industrial attachment program (IAP) and through industrial-based training (IBT). Five schools namely Kabutare TSS (Huye district), Ntendezi TSS (Gakenke district), Nyagahanga TSS (Gatsibo district), Groupe Secondaire Rilima Catholique (Bugesera district) and Rushashi TSS (Gakenke district) were selected and will work together with private companies and farmer schools (LFFSs) to deliver the training programs. Enabel fosters sustainability of its interventions through system strengthening and contributes to NST 2 priorities, focusing on the creation of decent, green, inclusive and productive jobs.
Le Programme de Lutte contre les Violences Sexuelles accompagne l’installation de la Cellule Technique Mixte de la Masculinité positive au Sud-Ubangi pour réduire les violences.Le 28 novembre 2024, à l’Espace 155 à Gemena dans le Sud-Ubangi, le Vice-Gouverneur de la province, M. Jean-René GALEKWA VUNDAWE, a officiellement lancé la campagne provinciale pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles. Cet événement, appuyé par le Programme de Lutte contre les Violences Sexuelles (PLVS), s'inscrit dans le cadre des 16 jours d'activisme contre les violences basées sur le genre, qui se dérouleront dans la province jusqu'au 10 décembre avec une entière implication de la Cellule Technique Mixte de la Masculinité positive du Ministère du Genre, Famille et Enfant. Le thème de cette édition, « Vers les 30 ans de la déclaration et du programme de Beijing: s'unir pour mettre fin à la violence à l'égard des femmes » appelle à une action collective pour éliminer les violences. Plusieurs structures locales, les organisations de la société civile, des acteurs étatiques de la Division provinciale du Genre en provenance des territoires du Sud-Ubangi (Kungu, Budjala, Libenge, Zongo,….), et la Cellule Technique Mixte de la Masculinité Positive (CTM+) ont contribué pendant 3 jours aux activités de sensibilisation communautaire sur les formes, l'ampleur et les conséquences de violences infligées aux femmes et aux filles du Sud-Ubangi. Au cours de ces activités, des leaders communautaires, des groupes des jeunes et des chefs coutumiers ont été sensibilisés à travers des projections vidéos, des témoignages, le théâtre participatif et des supports éducatifs sur l’approche de la Masculinité positive. Cette approche considérée comme perspective par laquelle l'engagement des hommes et des garçons soutient un mouvement plus large pour l'égalité entre les hommes et les femmes et l'autonomisation des femmes a été au centre de tous les échanges. L’objectif était d’améliorer le niveau des connaissances des participants sur cette approche, sur la manière dont les conceptions et les formes de masculinités facilitent ou entravent l’équité de genre dans divers domaines de la vie sociale et ce qu’il convient de faire pour transformer lesdites conceptions de la masculinité. « Notre combat est de faire avancer les actions et promouvoir la masculinité positive pour mettre fin à la violence faite aux femmes et aux filles et garantir une communauté respectueuse des droits des femmes » a indiqué Kandolo Safi, coordonnatrice nationale de la CTM+, soutenant l’implication de tous les hommes dans la lutte contre les VBG. Une vision portée par l’Exécutif et les acteurs étatiques provinciauxMadame Gabrielle MATESO, cheffe de division du Genre, a dressé un tableau préoccupant de la situation des femmes et des filles dans sa province. Selon les statistiques en sa possession, « au moins 37 % des femmes âgées de 15 à 45 ans subissent des violences conjugales, incluant coups et blessures, violences sexuelles, exploitation et violations. Les réseaux sociaux amplifient ces problèmes par la diffusion non consentie d'images intimes, portant gravement atteinte à leur dignité. » Le vice-gouverneur a pour sa part renouvelé l’engagement de son exécutif à renforcer ses efforts dans la prévention et l’éradication des violences faites aux femmes et aux filles et à lutter contre toutes les formes de violences basées sur le genre dans sa province où beaucoup reste encore à faire dans ce secteur. Il a au même moment rappelé et encouragé les partenaires techniques dont Enabel de continuer à appuyer cette noble lutte. Madame Brigitte Amboko, ATN PLVS dans le Sud-Ubangi, a de son côté renouvelé l’engagement d'Enabel à travers son Programme de Lutte contre les Violences Sexuelles de continuer à travailler pour le renforcement de la prévention des violences mais aussi pour la prise en charge des victimes. Installation de la coordination provinciale de la CTM+La première journée de sensibilisation était couplée par l’installation du comité provincial de la Cellule Technique Mixte de la Masculinité Positive, une structure spécialisée du Ministère du Genre, Famille, et Enfant. Cette structure aura la mission d’accompagner au niveau provincial des stratégies et directives sur la sensibilisation en lien avec la Masculinité positive et de promouvoir la Stratégie nationale de promotion de la masculinité positive dans la province du Sud-Ubangi. Le Kasaï-Oriental dans la même lancéeDans le cadre du lancement de la campagne 16 jours d’activisme, les autorités locales et associations des droits humains de plusieurs provinces de la RDC, ont renouvelé leur engagement à continuer à lutter contre les violences basées sur le genre à l’égard des femmes et filles. Avec l’accompagnement du PLVS dans le Kasaï oriental, les acteurs impliqués dans la lutte pour les droits des femmes ont lancé à Mbuji-Mayi un appel à l’action auprès des populations et des autorités locales, insistant sur l'importance de combiner sensibilisation, prévention et arsenal juridique pour bâtir une société respectueuse des droits des femmes. La campagne 16 jours d’activisme contre les VBG se poursuit jusqu’au 10 décembre, journée dédiée aux droits humains. Une vaste journée de sensibilisation sur les VBG sera organisée en cette date à Kinshasa pour et par les personnes malentendantes et clôturera cette vaste campagne de sensibilisation.
À l’occasion de la célébration de l’indépendance de la Mauritanie, le discours du Président de la République a mis en lumière des avancées significatives dans le domaine de la cohésion sociale et de l’accès aux droits fondamentaux. Parmi ces réalisations, l’amélioration de l’accès à l’assurance maladie universelle, portée par la Caisse Nationale de Solidarité en Santé (CNASS) avec le soutien d’Enabel sur financement de l’Union européenne, a été saluée comme un jalon majeur pour garantir une couverture santé équitable aux citoyens les plus vulnérables. Ce partenariat entre Enabel et la CNASS a permis la mise en œuvre de solutions concrètes et a déjà permis à près de 200 000 personnes, en grande majorité des populations vulnérables, d’accéder à l’assurance maladie à un coût symbolique. Ces efforts s’inscrivent dans une vision inclusive, avec un déploiement progressif visant à couvrir l’ensemble du territoire national. La reconnaissance présidentielle des résultats atteints témoigne de l’impact des efforts conjoints pour bâtir une Mauritanie plus juste et solidaire. À travers cet engagement, Enabel réaffirme son rôle de partenaire clé dans l’appui institutionnel et dans le renforcement des initiatives de développement. En ce jour d’indépendance, ces réalisations symbolisent un pas important vers un avenir où l’inclusion et la solidarité deviennent les piliers de la résilience et du progrès.
On November 28, 2024, Enabel's Urban Economic Development Initiative (UEDi), in collaboration with the Local Administrative Entities Development Agency (LODA) and Rwamagana District, organised a workshop and urban walk to assess and prioritise projects funded through the Belgium-Rwanda bilateral cooperation and EU contributions. The event aimed to envolve local stakeholders in the identification and prioritisation of urban development projects, defining roles, ensuring a collaborative and co-creative approach for sustainable outcomes. The workshop brought together a diverse group of participants, including local community representatives, Rwamagana District authorities, private sector operators, civil society organizations, and development partners. Through a participatory process, four key projects were identified for implementation after conducting the feasibility studies planned in coming days: the Rwamagana Expo ground and youth centre, public green spaces, an urban agriculture development marshland, and an urban road network. Engaging the community was a central focus of the event, with active participation from youth, women, private sector representatives, and people with disabilities. Their input ensured that the identified projects are tailored to the needs and aspirations of local residents, fostering a sense of ownership and promoting inclusivity in urban planning. The UEDi-phase 2, part of the 2024-2029 bilateral cooperation programme between Rwanda and Belgium, aims to support infrastructure development in Rwamagana as a satellite city. This phase aims to improve infrastructure, enhance living conditions, and create an inclusive, socio-economic, and environmentally sustainable urban ecosystem that is resilient to climate change, building on the successes of the UEDi-phase 1 (2019-2024).
On November 25, 2024, Enabel partnered with districts in Rwanda to launch the 16 Days of Activism Against Gender-Based Violence (GBV). The events, held in Gisagara District (Southern Province) and Rusizi District (Western Province), embraced the national theme, “All for GBV-Free Families.” This theme underscores the importance of family cohesion and collective responsibility in preventing conflict and addressing GBV.The activities featured dynamic and engaging sessions, including walks, songs, role plays, personal testimonies, and speeches, all delivering powerful anti-GBV messages. Participants also accessed family planning services to empower families—particularly women—to make informed reproductive choices, reducing dependency and addressing power imbalances that often lead to GBV. Mental health services were also provided at the sites for GBV victims. In addition, radio programs were broadcast on community radio stations to raise public awareness of the prevention and management of GBV, including the accessibility of health and justice services. The events brought together a diverse group of participants, including youth, especially students, local leaders, Community Health Workers, Friends of Families, teen mothers, parents, and representatives from security organs.The 16 Days of Activism Against Gender-Based Violence is an annual global campaign led by civil society. It begins on November 25, the International Day for the Elimination of Violence Against Women, and concludes on December 10, Human Rights Day. The campaign seeks to highlight that violence against women is one of the most pervasive human rights violations worldwide.First launched in 1991 during the inaugural Women’s Global Leadership Institute, the campaign has grown into a global movement, mobilizing individuals, organizations, and international partners, including the United Nations. This year, it aligns with the global theme, “Towards 30 Years of the Beijing Declaration and Platform for Action: Unite to End Violence Against Women,” reinforcing the urgent call to eliminate violence against women and girls.
À travers cette série spéciale, nous mettons en lumière des femmes inspirantes qui, par leur savoir-faire et leur engagement, jouent un rôle clé dans la lutte contre la désertification, la gestion durable des terres, et le renforcement de la résilience des communautés rurales. Chaque jour, découvrez une nouvelle vidéo mettant en avant des agricultrices, agro-pasteurs ou responsables associatives. Elles partagent leurs expériences, leurs pratiques innovantes et leurs solutions concrètes pour un avenir plus durable.Mama Ely Mahmoud en action !Aujourd’hui, nous mettons une femme en lumière, Mama Ely Mahmoud, inspectrice du ministère de l’élevage à Tintane, Hodh El Gharbi. Elle partage les 10 symptômes à diagnostiquer chez les vaches pour protéger les troupeaux et renforcer la résilience des communautés agropastorales en Mauritanie. Ces connaissances permettent aux agro-pasteurs de mieux gérer la santé de leurs bêtes et d’assurer la durabilité de l’élevage, essentiel pour la sécurité alimentaire des communautés.Dans le cadre du programme RIMFIL, financé par l’Union européenne, des agro-pasteurs ont été formés via les Champs Écoles Agropastorales (CEAP) pour améliorer leurs pratiques. Ensemble, agissons pour renforcer la résilience des communautés rurales !
Les Journées Nationales de l'Artisanat Mauritanien (JONAM), placées sous le thème "Réinventer l’Artisanat Mauritanien pour les générations futures", ont été inaugurées par le Président M. Mohamed Cheikh El Ghazouani, en présence de nombreuses personnalités, dont le Premier Ministre, des membres du gouvernement, des ambassadeurs, des élus, ainsi que des artisans venus de tout le pays et de nations voisines telles que le Maroc, l’Algérie, le Sénégal et le Mali.Lors de la soirée de clôture le 26 novembre, Enabel a été honorée pour son partenariat, avec des remerciements exprimés par le Ministre de la Formation Professionnelle, de l’Artisanat et des Métiers. Aux côtés de la Directrice Générale du ministère, Enabel a procédé à la remise officielle du chèque destiné au deuxième lauréat du concours national, marquant ainsi son soutien à l’excellence artisanale et au développement socio-économique en Mauritanie.
Face aux menaces croissantes d’extrémisme violent et de terrorisme au nord du Bénin, un atelier stratégique s’est tenu à Natitingou du 19 au 21 novembre, rassemblant acteurs locaux, élus, société civile et forces de défense et de sécurité (FDS). Cette initiative, sous l’égide de la Police républicaine, a été soutenue par le projet PRONORD-PAOP, mis en œuvre par Enabel et financé par l’Union européenne. L’objectif principal de cet atelier était d’évaluer les dispositifs de lutte contre l’extrémisme violent, d’identifier les forces et faiblesses des approches existantes et de proposer des solutions adaptées. L’événement a favorisé un dialogue ouvert entre les FDS et les communautés locales, représentées par des élus et des organisations de la société civile. Ce cadre d’échange a permis de mettre en avant l’importance de la coproduction de la sécurité, où la collaboration entre citoyens et forces de l’ordre est essentielle pour prévenir les menaces. Des témoignages poignants, catalyseurs de la mobilisation collective Les participants ont été profondément marqués par les témoignages de victimes policières d’attaques terroristes dans le Nord. Ces récits ont mis en lumière les conséquences dramatiques des actes extrémistes et souligné l’urgence d’agir ensemble pour protéger les communautés. Ils ont également révélé le rôle clé des citoyens dans la collecte et le partage d’informations pour anticiper les menaces. Recommandations pour une action renforcée À l’issue de l’atelier, plusieurs recommandations ont été formulées, visant notamment à renforcer les mécanismes de collecte et d’exploitation des informations dans les zones sensibles du nord du Bénin, à améliorer la protection des unités de police et des patrouilles en milieu à risque et à développer des campagnes de sensibilisation auprès des populations sur les signes avant-coureurs de la radicalisation. Ces propositions visent à consolider la coopération entre forces de sécurité et communautés locales tout en garantissant un maillage territorial plus efficace. Un projet au cœur des défis sécuritaires Le projet PRONORD-PAOP, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Enabel, soutient depuis 2024 l’opérationnalisation de la Police républicaine à travers une approche de police communautaire. Déployé dans les régions stratégiques de Kandi et Natitingou, il œuvre à renforcer la cohésion sociale et à appuyer les services de sécurité à répondre de la manière la plus appropriée aux besoins des populations concernées. Cette initiative s’inscrit dans un effort global visant à renforcer la résilience des communautés béninoises face aux défis sécuritaires et à garantir un avenir plus sûr pour tous.
Rencontre avec Fatimetou Mint SelmaneLa lutte contre la désertification et la sécheresse reste un défi majeur pour les communautés rurales, en particulier en Mauritanie. Dans ce contexte, les femmes jouent un rôle central. Qu'elles soient agricultrices, agro-pasteurs ou responsables associatives, elles sont au cœur des initiatives locales pour préserver les terres, promouvoir des pratiques agricoles durables et renforcer la résilience des communautés.Grâce aux programmes RIMDIR et RIMFIL, financés par l'Union européenne, ces femmes partagent leurs savoirs et expériences, inspirant leurs pairs et prouvant que leur leadership est essentiel pour une transformation durable de nos territoires.À travers une série spéciale de cinq vidéos, nous mettons en lumière des figures inspirantes qui, par leur engagement et leurs pratiques novatrices, contribuent à la gestion durable des terres et au renforcement des communautés rurales. Chaque jour, découvrez le parcours d’une femme remarquable, son savoir-faire et ses solutions concrètes pour un avenir meilleur.Aujourd’hui, découvrez Fatimetou Mint Selmane, agricultrice. Elle nous explique comment l’utilisation des cordons pierreux et d’autres pratiques innovantes protège les sols et soutient une agriculture durable. Grâce au programme RIMDIR, des communautés ont été organisées en associations (OGIAP) pour pérenniser ces infrastructures rurales et garantir un accès équitable à la terre pour les plus vulnérables.Ensemble, célébrons ces femmes qui transforment leurs territoires et inspirent le changement. Agissons dès maintenant pour restaurer nos terres et bâtir un avenir plus résilient face à la sécheresse !
In medical practice, health workers encounter patients with different conditions amongst which are high fevers, persistent coughing, or even those who can't speak about their pain. Health workers ought to have the ability to interpret and solve these problems easily, especially in emergencies. However, it starts with their training. This is why the Ministry of Education and Sports in partnership with Enabel in Uganda is rolling out the training on the SPICES model of education and training for health in the partner health training institutions of Fort Portal College of Health Sciences, Jinja School of Nursing and Midwifery and Hoima School of Nursing and Midwifery. The Student-centered, Problem-based, Integrated, Community-based, Elective, and Systematic learning (SPICES) model was developed by Professor Harden in the 1940s. The model reshapes how health professionals are trained, replacing traditional lecture-heavy methods with a dynamic, hands-on approach that mirrors real-world scenarios as it trains students to think critically, innovate, and collaborate effectively. Nakaggwa Mary, the Principal Health Tutor at Jinja School of Nursing and Midwifery believes that it is going to give every student a chance to participate and help tutors use diverse methods to deliver content. “We’re not just creating competent nurses for Uganda but for the world," said Mary who highlighted how the model fosters self-directed learning, ensuring that students take charge of their education while tutors guide them to refine and clarify their findings. Mbubi Joiner Stella, a Senior Health Tutor in Midwifery, wanted to experiment with the SPICES model. She told her students to prepare a presentation within 15 minutes on a topic. By the end of the day, they had practiced ten skills. Everyone participated, and no one was left behind. This hands-on, participatory approach demands more from both students and tutors as compared to the traditional lecture method of teaching. However, such a transformation isn’t without its challenges. Christopher Isabirye, the Principal Tutor and Head of Curriculum and Pedagogy at the Health Tutors College Mulago, a tutor trainer, pointed out that instructors are juggling packed curricula and demanding workloads. "This requires more planning and preparation. Tutors need to guide students closely, which takes time and commitment. There’s also the issue of resources, learning by doing often calls for financial investments that schools may not readily have," explained Isabirye. Despite these hurdles, the enthusiasm among tutors is evident, with many appreciating the impact that the new approach will have on student learning outcomes. One of the unique aspects of the SPICES model is its emphasis on community-based learning. In our partner health training institutions in Hoima, Fort Portal and Jinja, students don’t just learn within hospital walls, they step into communities to address real health challenges. "We take them to rural places like Kidera, Buyende where they work on environmental sanitation, teach people how to construct tippy taps for handwashing, and even help communities improve hygiene using locally available materials," said Nakaggwa. This immersion not only benefits the students but also creates tangible change in the communities they serve. Moreover, the model aligns perfectly with Enabel’s vision for health education. "The SPICES model ensures holistic learning, connecting community needs with real-life applications. It’s not just about knowledge but about creating professionals who can apply it effectively," said George Eyunu, a Nursing School Pedagogy Officer at Enabel. Yasin Mukibi, Senior Health Education Training Officer at Ministry of Education and Sports sees the SPICES model as a critical step forward in health training. As the Ministry is currently reviewing and developing curricula to address the changing demands of healthcare, the SPICES model complements these efforts by producing professionals suited to the world of work. He also noted how the model’s focus on integration and systematic learning ensures that graduates are prepared for the complexities of modern healthcare. Even as challenges like resistance to change and limited resources arise, the SPICES model continues to inspire those involved. "Medicine is a dynamic field, and so is health education," said Isabirye. "If we don’t upgrade our practices, we risk becoming irrelevant, therefore we should stay ahead, ensuring our students are ready for the future," he added. As Uganda embraces this innovative model, Enabel’s hope is that the collective effort of Ministry of Education and Sports, tutors and students in health training institutions will foster a sense of ownership and accountability for learning and teaching, and strengthen the larger health system of Uganda.
Du 19 au 25 novembre 2024, l’équipe d’Enabel Mauritanie a bénéficié d’une formation sur le Système de Gestion Documentaire (DMS) dispensée par une experte du siège, Claire Ceyssens. Ce moment d’apprentissage intense visait à renforcer les compétences des équipes pour une gestion plus efficiente des documents et des données sur SharePoint, tout en alignant les pratiques locales sur les normes globales d’Enabel.Voici les principaux résultats obtenus au cours de cette session enrichissante :1. Une équipe formée et des rôles clarifiés : les point focaux DMS ont été identifiés et leurs rôles respectifs définis. Cette répartition claire des responsabilités garantit une gestion fluide et harmonieuse du système.2. Maîtrise de l’environnement SharePoint : l’équipe a acquis une connaissance approfondie de l’application SharePoint, y compris l’architecture du site pays DMS. Les formations pratiques ont permis aux participant·es de se familiariser avec la structure et les fonctionnalités du DMS.3. Conformité à la structure standard : tous les documents et dossiers créés respectent désormais la structure standard définie. Une attention particulière a été portée à l’alignement des sous-dossiers spécifiques et à l’archivage conforme.4. Gestion des bibliothèques et sécurité des données : les bibliothèques publiques et à accès restreint sont structurées et les groupes de sécurité (GS) correctement configurés. L’accès est désormais géré efficacement pour assurer une confidentialité optimale.5. Sensibilisation et collaboration renforcées : un effort particulier a été fait pour sensibiliser l’ensemble des utilisateur·rices à l’importance du DMS, en mettant en avant les avantages de la collaboration et du partage via SharePoint.6. Migration et nettoyage des données : la migration des anciens documents et fichiers vers la nouvelle structure est en cours. Les doublons et dossiers obsolètes sont progressivement supprimés, garantissant une bibliothèque organisée et efficace.7. Amélioration continue et formations ciblées : la formation a également abordé l’utilisation avancée de SharePoint, l’archivage numérique, et l’outil 'Document_set' pour la bibliothèque Contrats. Une feuille de route a été établie pour le suivi et le perfectionnement des pratiques dans les mois à venir.Cette formation marque une étape importante dans la modernisation de la gestion documentaire à Enabel Mauritanie. En adoptant pleinement le DMS, l’équipe s’inscrit dans une dynamique d’efficacité, de collaboration et de conformité avec les standards internationaux. Une telle initiative démontre l’engagement continu d’Enabel à renforcer les capacités de ses équipes pour mieux servir ses partenaires et bénéficiaires.
Three hundred entrepreneurs in Mwanza and Tanga, participated in a two-day session geared to stimulate learning, exchange and developing viable business models in management of waste. Bringing together their varied backgrounds and experiences in waste management, the participants were excited to learn and exchange knowledge about solid waste business opportunities ranging from crafting decorations, making furniture and animal feed. Enabel supported the learning as an implementer of the EU funded Inclusive, Green and Smart Cities Programme (SASA). Under SASA programme, Enabel leads INCLU-CITIES project that focuses on sustainable urban development to create resilient, inclusive and environmentally friendly cities that can thrive in the face of future challenges. Developing viable businesses in the circular economy is at the centre of Enabel’s activities under INCLU-CITIES in three urban areas— Mwanza, and Tanga on Tanzania Mainland and Pemba in Zanzibar. The training rooms vibrated with ideas and insights, as trainers probed entrepreneurs to approach waste not only as a resource for petty income but commercial viable businesses. In Tanga, an exhibition of products from waste recycling and reusing preceded indoor sessions while in Mwanza, a street clean up session followed indoor sessions. Tanga produces 230 tons of solid waste every day. The City council collects 60% of these and private waste management entrepreneur’s process up to 40%, “With the collaboration with INCLU-CITIES, we need to increase the capacity of private entrepreneurs to process a higher percentage of the current and future waste as viable businesses,” said Kizito Mkwabi, Tanga City Environment and Sanitation Officer. Enabel support will catalyse circular economy entrepreneurs to up their game through acquisition of technology, capital, networks and markets for products and services. To achieve this multi-pronged objective Enabel collaborates with multiple partners: municipal authorities in Mwanza and Tanga and implementing partners—Rikolto, TRIAS, Westerwelle, Financial Sector Deepening Trust, Vocational Education Training Authority (VETA) and Small Industries Development Organization (SIDO).
Fraud Awareness Week was a success at Enabel in Rwanda! We hosted 2-hour interactive sessions where every staff member participated, divided into four time slots of around 30 colleagues each. These sessions served as a valuable refresher on our code of conduct, integrity principles, and the essential ways to combat, prevent, and report fraud at Enabel. To deepen engagement, our Fraud focal person has been sending a daily quiz to all staff, featuring a fraud case to reflect on and think of the best ways to handle such situations. In addition to the sessions, anti-fraud posters were displayed across all Enabel offices, reinforcing our commitment to transparency and accountability.
Ce mardi 19 novembre, à Miabi, une initiative stratégique a été lancée pour renforcer les capacités des agents agricoles du Kasaï Oriental. Agronomes de secteurs et inspecteurs territoriaux de l’agriculture se sont réunis pour une formation dédiée à la lutte contre le Charançon Rouge du Palmier (CRP), un ravageur dévastateur qui met en péril les palmiers à huile et la subsistance de nombreux producteurs locaux. Une menace qui exige une réponse proactive Le Charançon Rouge du Palmier, un insecte nuisible s’attaquant au méristème (le cœur de croissance) du palmier, provoque la fanaison et, à terme, la mort de la plante. Cette menace constitue un enjeu agricole et économique majeur dans la région, où les palmiers à huile jouent un rôle clé dans les moyens de subsistance. Objectifs de l’atelier L’atelier vise à : Former les agronomes et inspecteurs à reconnaître les symptômes d’infestation du CRP. Préparer une sensibilisation efficace auprès des producteurs locaux (Élaéiculteurs). Planifier une intervention en cascade, où les moniteurs agricoles formés relaieront les connaissances aux cultivateurs. Formation en salle et pratique sur le terrain Pour garantir une compréhension complète, la session théorique est complétée par des descentes sur le terrain, permettant aux participants d’identifier et de documenter des cas concrets d’infestation dans des palmeraies ciblées. Extension de l’initiative Une formation similaire sera prochainement organisée à Ngandajika, dans la province voisine de Lomami, pour étendre l’impact du programme. Les agents formés dans cette première phase, issus des territoires de Miabi, Tshilenge, et Lupatapata, joueront un rôle clé dans la formation en cascade des moniteurs agricoles, assurant ainsi une diffusion rapide des connaissances sur le terrain. Une mobilisation nécessaire pour protéger l’avenir agricole Cette initiative souligne l’urgence de protéger les palmiers à huile, une ressource vitale pour les familles rurales. En renforçant les compétences des acteurs agricoles locaux, la province met en place les bases d’une réponse coordonnée et durable face au CRP.
Au Niger, où l’eau et le fourrage sont des ressources vitales pour les pasteurs et agropasteurs, le défi de leur gestion durable est crucial pour assurer la mobilité et la survie des troupeaux. Conscient de ces enjeux, le projet REPO (Résilience Agro-Sylvo-Pastorale), financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Enabel, a concrétisé une initiative majeure : l’aménagement de six points d’eau stratégiques dans des zones de pâturage essentielles. Ces infrastructures comprennent : Quatre puits pastoraux situés à Douboulma/Doutchi, Gandou Peulh/Loga, Mayanta/Konni et Agalwaré/Filingué. Deux stations de pompage pastorales, implantées à Gatchika (commune de Dogonkiria, département de Doutchi, région de Dosso) et à Soumaghesker (commune de Tchintabaraden, département de Tchintabaraden, région de Tahoua). Ces points d’eau joueront un rôle essentiel pour : - Valoriser le potentiel fourrager disponible dans les zones concernées, en permettant un accès durable à l’eau pour les troupeaux. - Réduire la pression sur les zones agricoles du sud, en contenant le bétail plus longtemps dans les aires de pâturages du nord.En limitant ainsi les descentes précoces des troupeaux vers le sud, souvent sources de tensions entre agriculteurs et éleveurs, ces aménagements visent à prévenir les conflits intercommunautaires et à renforcer la résilience des communautés rurales.L’approche participative adoptée par le projet REPO garantit une gestion durable des infrastructures. Les usagers, en particulier les pasteurs, ont été impliqués dans l’identification des sites et la planification des travaux, renforçant ainsi leur appropriation et l’entretien des ouvrages. Grâce à ces initiatives, le projet REPO illustre comment une gestion intégrée et durable des ressources naturelles peut contribuer à la coexistence pacifique et au développement économique des zones pastorales au Niger.