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  • Enabel participe aux Journées européennes du développement 2018 (JED)

    Enabel participe aux Journées européennes du développement 2018 (JED)


    Meriem HILALI | 30/05/2018

    Les Journées européennes du développement (JED 2018) se tiendront les 5 et 6 juin 2018, à Tour & Taxis à Bruxelles. Organisées par la Commission européenne, les Journées européennes du développement (JED) rassemblent chaque année la communauté du développement (plus de 8.000 visiteurs) pour un partage d’idées et d’expériences pouvant inspirer de nouveaux partenariats et de nouvelles solutions innovantes aux défis les plus urgents dans le monde.  Sous le thème principal des « Femmes et filles à l’avant-garde du développement durable : protéger, autonomiser, investir », le programme des JED 2018 s’articulera autour de trois grands thèmes, devenus prioritaires dans le contexte mondial actuel : « Garantir l’intégrité physique et psychologique des femmes et filles », « Promouvoir les droits économiques et sociaux, ainsi que l’autonomisation, des femmes et filles » et « Renforcer la voix et la participation sociale des femmes et filles ». Cette année, le programme comprendra plus de 120 sessions et plus de 90 stands. Enabel sera présente avec un stand où sera exposé le projet de développement des filières du safran et du palmier-dattier dans les régions Souss-Massa et Drâa-Tafilalet (Filière safran) mené au Maroc. Sous le titre « Women, key players in the blooming saffron value chain of Morocco», nous vous présenterons de façon interactive les activités menées pour l’autonomisation sociale et économique des femmes rurales marocaines au travers de leur participation au sein des coopératives et organes de décision. Pour nous retrouver sur le site web des JED, cliquez sur le lien suivant :  https://eudevdays.eu/community/sessions/612/women-key-players-in-the-blooming-saffron-value-chain-of-morocco


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    Maroc MOR1204311

  • La Coopération belge participe au 10 ème Congrès International de la pomme de terre á Cusco – Pérou.

    La Coopération belge participe au dixième Congrès International de la pomme de terre à Cusco – Pérou


    Véronique GERARD | 29/05/2018

    Lima, mai 2018 | Dans le cadre de ce Congrès, la Belgique est bien représentée avec une des délégations étrangères les plus grandes de cet évènement, composée de représentants du secteur privé (trois entreprises belges), représentants belges du Centre International de la Pomme de terre, représentants de la coopération belge (de l’ambassade belge à Lima, d’ONGs belges, du Programme de la Coopération belge – PRODERN). L’agriculture est un des secteurs d’intervention prioritaires de la coopération belge au Pérou et en Bolivie. Avec un apport de plus de 100 millions d’euros sur ces 50 dernières années, la Coopération belge affiche des résultats probants d’impact social et économique touchant de nombreuses familles de producteurs dans les Andes.A travers ses divers programmes, la coopération belge a appuyé la consolidation de 19 filières productives, entre autres, celle de la pomme de terre native et organique avec 140 espèces récupérées et revalorisées.“Notre engagement est la promotion d’une agriculture durable et inclusive,” a commenté Koenraad Lenaerts, Ambassadeur de Belgique au Pérou, lors de la réception donnée á l’occasion de cette mission et pour la bienvenue à M. Romain Cools (belge), Président de ce Congrès Mondial de la pomme de terre.Le PRODERN – Programme de Développement durable et de gestion stratégique des ressources naturelles – participe à ce congrès. Son stand présente, entre autres, les différentes variétés de pommes de terre natives rapatriées dans la Province d’Andahuaylas à Huayna, Pomacocha et Pampachiri.Le PRODERN a appuyé quelques 341 familles associées à 18 organisations de pomme de terre natives organiques. Il a aussi permis aux agriculteurs et agricultrices de renforcer leur sécurité alimentaire et leurs liens commerciaux vers une demande plus équitable axée sur le « bio negocio ». Mais le plus important est que les bénéficiaires locaux et autorités régionales ont pris conscience de la valeur de l’agro biodiversité de leur région et l’importance de la conserver. Afin de sceller cette prise de conscience, une demande a été introduite auprès du Ministère de l’Agriculture dans le but que cette zone soit déclarée comme « Zone de conservation de l’agro biodiversité ». En étroite collaboration avec le Centre International de la Pomme de terre, quelques variétés ont été rapatriées vers leur terre originelle. Au total, quelques 124 variétés natives sont cultivées et conservées dans cette zone, grâce au travail de ces hommes et femmes des Andes. Voir le Livre de la caractérisation des pommes de terre natives d’Apurimac (publication du PRODERN/CTB/Enabel) : http://prodern.minam.gob.pe/documentosInfographie sur l’appui de la coopération belge á la filière de la pomme de terre dans les Andes : https://drive.google.com/drive/u/1/folders/1NZE0SBVHIV1BLvNFj3Q67oF-uQrLEUgB Voir le Congrès International de la pomme de terre à Cusco : http://belgicacontigo.com/novedades/aporte-belgica-agricultura-sostenible-supera-7millones-euros/ Autres nouvelles sur le congrès : https://www.facebook.com/Belgicacontigo/?hc_ref=ARQEzj6-ZHDLxMmNmcgjpl78gRUtDeroSXmkdXWq1QolIymU_NP9o9Bup9yyLeBH9xA&fref=nf Page web du PRODERN : http://prodern.minam.gob.pe/


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    Pérou PER1001811

  • Intégration maraîchage et pisciculture, une innovation dans l’Atacora

    Intégration maraîchage et pisciculture, une innovation dans l’Atacora


    Reece-hermine ADANWENON | 29/05/2018

    AMSANA, programme de sécurité alimentaire et nutritionnelle, est allé en mission d’identification des sites et de mobilisation des maraîchers afin qu’ils intègrent la pisciculture aux activités de maraîchage. Cette action s’inscrit dans l’accompagnement des communes de l’Atacora, dont celle de Boukombé, qui à travers le point-focal, Sébastien, est porteuse du développement de l’intégration maraîchage et pisciculture. Les avantages de l’intégration maraîchage et pisciculture En effet, la combinaison de plusieurs productions offre des avantages indéniables à l’agriculteur. Si une de ses productions échouent, l’autre pourra compenser le manque, et l’association des composantes crée une symbiose sur les sites qui permet d’augmenter la production globale. De plus, aujourd’hui, l’eau est une ressource nécessaire pour arroser les plantes et la pisciculture permet d’enrichir cette eau, qui, grâce à la fiente des poissons devient un engrais naturel.  Il y a donc une optimisation de l’utilisation de l’eau afin d’augmenter la production agricole d’une part, et d’autre part de profiter d’un apport protéinique supplémentaire lors de la consommation des poissons. La pisciculture associée au maraîchage contribue au bien-être des populations et à une meilleure gestion des ressources. L’approche de AMSANA Pour ce faire, deux approches vont être mise en pratique : les étangs et les bassins hors-sol. Les infrastructures seront réalisées selon une approche communautaire, par les maraîchers eux-mêmes, dans une logique de reproductibilité. Ensuite, les maraîchers seront formés à l’élevage de poissons. Deux personnes ressources ont suivi l’équipe AMSANA afin de définir précisément quel ouvrage entreprendre selon la disponibilité de l’eau sur les sites et afin de s’assurer de la mobilisation des maraîchers. L’idée est que selon des techniques d’alimentation locales et donc peu coûteuses, le coût de production sera diminué et cela rend accessible cet aliment riche en nutriment.  Les maraîchers disent vouloir commencer les travaux au plus vite, et, à travers les discussions pendant les assemblées, ils étaient motivés à déguster les futurs « poissons bicyclette », à l’image du poulet bicyclette qui courent déjà dans les villages. Mais d’abord il va falloir creuser, les travaux démarrent dès la fin du mois de Mai. Déborah CHANTRIE


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    Bénin BEN1502911

  • Pass-Sourou/Enabel met fin à la rupture récurrente en médicaments dans les centres de santé de la Commune de Dogbo

    Pass-Sourou met fin à la rupture récurrente en médicaments dans les centres de santé de la Commune de Dogbo


    Reece-hermine ADANWENON | 29/05/2018

    La pluie qui s’est abattue toute la matinée du Vendredi 25 mai 2018 sur la Commune de Dogbo et ses environs n’a pas empêché les populations de faire massivement le déplacement au Centre de santé communal de Dogbo. Objectif de ce déplacement, assister à la cérémonie d’inauguration d’un dépôt répartiteur de médicaments annexe. Construit et équipé grâce à l’appui technique et Financier de Enabel au Bénin à travers le Programme d’Appui au Système de Santé (PASS-SOUROU), ce dépôt répartiteur apporte une solution durable à des ruptures fréquente de médicaments dans les formations sanitaires de la commune.  « La lutte contre les cabinets privés illégaux et la vente illicite de faux médicaments, vient ainsi d’être renforcer avec la proximité du nouveau dépôt répartiteur de médicaments basé dans la commune de Dogbo. Nous osons dire toute notre gratitude aux responsables du programme Pass-Sourou financé par l’Agence belge de développement ». Ainsi s’est exprimé Michel AYI AMAKOE, président de la Cellule Communale des Utilisateurs des Services de santé de Dogbo (Cuss). A sa suite, de nombreuses voix se sont élevées pour reconnaitre la valeur sociale de cette œuvre et pour féliciter le conseil communal en général et le Maire de Dogbo en particulier pour son implication personnelle dans l’aboutissement heureux de ce projet datant de plus de deux ans. En effet, la Zone Sanitaire de Aplahoué, Dogbo et Djokotomey (ADD) regroupe 03 communes qui sont desservis par un seul dépôt répartiteur en médicaments basé à Aplahoué depuis plusieurs années. Vues les nombreuses plaintes de rupture de médicaments formulées régulièrement par les populations, le maire de Dogbo a porté vers l’Agence belge de développement son souhait de voir un dépôt répartiteur de médicaments annexe installé dans sa commune. Ce qui ferait donc de la commune de Dogbo, la première et seule commune à disposer d’un dépôt répartiteur annexe. D’une valeur de plus de 13 millions de Fcfa, le dépôt répartiteur construits dans l’enceinte du centre de santé communal de Dogbo est entièrement financé par l’Agence belge de développement Enabel au Bénin à travers le programme Pass-Sourou. Il dispose d’un stock bien fournis en médicaments de première nécessité et est immédiatement utilisable par les populations. « Le travail a été difficile mais l’accouchement a fini par avoir lieu. Et le bébé que nous présentons est à tout point de vue en bon état », a déclaré Jean-Claude AGNICA, représentant le Directeur Départemental de Santé (DDS) du Mono empêché. « Quand il manque une seringue, du paracétamol dans les centres de santé de la commune, celui qui ne dors pas c’est moi. Maintenant je vais pouvoir dormir », a laissé entendre, tout heureux, Vincent Codjo AKAKPO, maire de la commune de Dogbo. Il a remercié Enabel à travers son programme Santé grâce à qui ce rêve est devenu réalité. Vincent AKAKPO a également félicité les membres de son conseil communal qui lui ont apporté un soutien constant et déterminant dans la l’aboutissement de ce projet. Le maire a invité les membres des Comités de Gestion des Centres de Santé de la commune, les membres des CUSS et les sages de la ville à veiller à la bonne gestion du dépôt si chèrement acquis afin de mettre fin définitivement aux plaintes des populations. Graziella GHESQUIERE, Co responsable de Pass-Sourou, volet demande, dans son intervention n’a pas manqué de rappeler le rôle déterminant que joue Enabel dans l’accompagnement des élus locaux pour le renforcement de la bonne gouvernance au niveau local. Pour elle, la construction de ce dépôt permettra de satisfaire les besoins des populations en médicaments et de garantir la disponibilité des médicaments de qualité dans les formations sanitaires de la localité. A ce propos et à la suite du maire de la commune, Graziella a exhorté à une plus grande transparence dans la gestion dudit dépôt ceci à travers une implication non seulement de la mairie mais également des communautés. Soulignons que la mise en place, le fonctionnement et la gestion de l’annexe du dépôt répartiteur de médicaments de Dogbo sont formalisés par un protocole d’entente signé entre la mairie, le Médecin Coordonnateur de la Zone Sanitaire et le Directeur Départemental de la Santé du Mono. Par Reece-Hermine ADANWENON


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    Bénin BEN1302511

  • “We really learn to work with our hands”

    “We really learn to work with our hands”


    Hanna DEKERK | 29/05/2018

    On the 9th of May 2018, the technical servicing center of Africa Action Help (AAH) in Adjumani received a visit from 5 members of the European parliament’s Committee on Development (DEVE), headed by chairperson Mrs. Linda Mcavan. The delegation interacted with students in welding, moto vehicle mechanics, motorcycle repair and plumbing. Enabel’s Support to Skilling Uganda project assists in the organization of these practical, short-term trainings through a Skills development fund for refugees and host communities, fueled by the European Union Trust Fund (EUTF). AAH teamed up with local artisans to organize qualitative and market-relevant trainings with the financial aid of the Skills Development Fund. Currently, students gain practical experience in the garage during their 8-month trainings, including industrial attachment and coaching to work. And they appreciate it: “We now have better materials so we can exercise on real motorcycles and cars. We really learn to work with our hands.”, says 17-year old Motor Vehicle Repair student William Ojok. AAH manager Julius Oboth adds that “Currently students are better protected on the work floor, because we bought boots, overalls and glasses. ” The visit concluded with a virtual reality demonstration used during SSU’s awareness campaigns to attract youth to technical and vocational training. With the help of virtual reality glasses, videos from activities in top-notch workshops and garages are brought to life and capture the attention of idle youth. “This is an innovative way to bring technical training to remote areas.” Commented Linda Mcavan, chairperson of the DEVE delegation.  “After this visit we can explain in the European Parliament that the EUTF contributions are used in a constructive way, because we saw it with our own eyes.”


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    Ouganda UGA1402711

  • Conciliators make communities strong and resilient

    Conciliators make communities strong and resilient


    Marion FISCHER | 29/05/2018

    In 4 training courses in May 2018, 141 conciliators from around 75 communes in Kon Tum province acquired knowledge of the rules of engagement, new skills and methods for the settlement of conflicts that are below the threshold of prosecution. Vietnamese laws and village conventions are the basis for their work. Understanding the reasons and motivations of people to get into conflicts is key to developing empathy with the people’s case. The trained conciliators aptly help the people to overcome the causes of their dispute, find a compromise or prepare for settlement in court.


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    Vietnam VIE1505111

  • Un leader engagé en faveur de la scolarisation de la jeune fille dans sa communauté

    Un leader engagé en faveur de la scolarisation de la jeune fille dans sa communauté


    Céline MEWISSEN | 28/05/2018

    L’Imam Abarchi, leader religieux, prêche lors de la prière hebdomadaire du vendredi depuis environ cinq ans. C’est un pionnier dans son village de Birni Falla dans la commune de Douméga à Dosso (Niger). Il a en effet posé un acte, inimaginable il y a à peine un an dans cette communauté rurale traditionnelle : remettre la dot apportée par le prétendant de sa fille Aicha en classe de 3ième, admise au BEPC session 2017 afin de lui permettre de poursuivre ses études au Lycée de Douméga. Le mariage précoce était jusqu’alors la pratique la plus valorisée socialement pour toute jeune fille scolarisée. Pourtant, son geste a été relativement bien compris par son entourage car, selon lui, « à Birni Falla, les villageois ont vu des exemples concrets de l'impact de la réussite scolaire d'une jeune fille pour la jeune fille elle-même, sa famille et sa communauté ». Il estime que les normes et les pratiques sociales relatives au mariage précoce évoluent. Grâce à une approche de sensibilisation relationnelle, « la majorité des parents d'élèves privilégient désormais la réussite scolaire de leurs filles sur la pratique traditionnelle du mariage précoce ». Auparavant dès qu'une jeune fille était exclue du système public après les deux tentatives permises au BEPC, elle était systématiquement mariée. Maintenant, ce sont les parents eux-mêmes qui se débrouillent pour lui permettre de s'inscrire dans un collège privé à Douméga afin de lui donner une nouvelle chance d'obtenir ce diplôme d'études secondaires, indispensable pour avoir accès à des formations diplômantes. Pour démontrer son engagement sans faille, l’Imam Abarchi s'est dit disponible pour être un ambassadeur du plaidoyer en faveur de la scolarisation de la jeune fille dans les communautés rurales où les individus continuent de privilégier le mariage précoce. Dans ce cadre, il a déjà été primé en tant que leader religieux le plus engagé en faveur de la scolarisation de la jeune fille dans sa communauté par l'Honorable Sultan Djermakoye, la plus haute autorité traditionnelle de la région lors d’une cérémonie. Des personnes comme l’Imam Abarchi qui osent défier les stéréotypes culturels sont incontestablement des modèles locaux à promouvoir socialement.


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    Niger NER1506411

  • Compétition Sarraounia : la valorisation sociale de modèles locaux engagés

    Compétition Sarraounia : la valorisation sociale de modèles locaux engagés


    Céline MEWISSEN | 28/05/2018

    Dans le cadre du projet Sarraounia, la première édition de la Compétition Sarraounia a été organisée afin de récompenser les meilleur(e)s élèves de l’année, mais pas seulement. En effet, l’originalité de cette compétition réside dans son caractère inclusif : plusieurs catégories de prix ont été décernées afin de récompenser l'engagement individuel et communautaire des acteurs locaux en faveur de la scolarisation de la jeune fille. En premier lieu, c’est l'engagement de la jeune fille et la promotion du modèle de la jeune fille qui réussit ses études qui ont été mis en avant. En récompensant des modèles de jeunes filles qui réussissent leurs études, le projet vise à emmener progressivement la majorité des individus dans les communautés rurales cibles à percevoir la réussite scolaire comme une meilleure opportunité pour la jeune fille scolarisée que le mariage précoce. Ensuite, l'engagement des structures scolaires et des leaders locaux a été mis à l’honneur à travers l’attribution de prix aux acteurs locaux les plus engagés. Ont notamment été ciblés : les Comités de Gestion des Etablissements Scolaires les plus dynamiques et un leader religieux particulièrement engagé. Enfin, l'engagement des parents d'élèves et la promotion du modèle de parents d'élèves qui encouragent la réussite scolaire de la jeune fille individuellement au niveau des familles a été récompensé. En récompensant individuellement les parents d'élèves qui encouragent le plus leurs filles scolarisées jusqu'à l'obtention de leur BEPC, Sarraounia a adopté une approche innovante.  


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    Niger NER1506411

  • Why a VET Toolbox ?

    Why a VET Toolbox ?


    Thibaut MONNIER | 28/05/2018

    Employment is the key to development and inclusive growth. It generally leads to improved living conditions and reduces poverty. A main driver of employment is education, and particularly vocational education and training (VET), which equips people with skills that are on demand in the labour market. However, many of the VET systems in the developing world are inadequate. People trained through these existing VET systems do not acquire the right skills and competences due to several limiting factors, namely the lack of private sector involvement in the training and missing linkages to formal and informal businesses. Furthermore, the VET systems are often inaccessible to the most disadvantaged groups, including vulnerable individuals, youth and women, even though it is exactly these people that could benefit most from an education that increases employability.Addressing these challenges requires clear priorities and particularly resources, which many countries do not have or are not capable of mobilising. As a response, the European Union decided to launch the VET Toolbox, a new international facility that provides partner countries with much needed expertise, tools on themes such as VET policy and reform, labour market intelligence, private sector engagement in VET, and inclusiveness of disadvantaged groups.


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    Belgique BEL160611T

  • VOUCHER SCHEME

    VOUCHER SCHEME


    William YEKA | 25/05/2018

    To improve the quality of skills training of livelihood activities, Enabel has set up a voucher scheme, breaking down skills development to its smallest possible format through ‘instant skills training’ to beneficiaries of agencies supporting livelihood and income generating activities.


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    Ouganda UGA160321T

  • Le dispositif Champ Ecole Paysan du Parerba

    Le dispositif Champ Ecole Paysan du Parerba


    Aïda SECK | 23/05/2018

    Cadre de rencontre et de formation pour les jeunes producteurs tout au long de la saison de culture, le CEP est « une école dans les champs », lieu d’échange d’expériences et de connaissances pour développer les savoirs faire des bénéficiaires et faciliter l’intégration de nouvelles techniques de production agricole.


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    Sénégal SEN160331T

  • Le Programme d’appui à la gestion de la politique migratoire est lancé !

    Le Programme d’appui à la gestion de la thématique migratoire est lancé !


    Roxane VANLERBERGE | 22/05/2018

    Entre avril et mai, Enabel au Maroc a accueilli huit nouveaux collaborateurs au sein de son Programme d’appui à la gestion de la thématique migratoire, mis en œuvre en partenariat avec le Ministère délégué chargé des Marocains Résidant à l’Étranger et des Affaires de la Migration. Le premier volet du nouveau programme de coopération entre la Belgique et le Maroc a été officiellement signé le 15 mars et lancera ses premières activités en 2018. Composé actuellement de deux interventions, il s’aligne sur les politiques marocaines en matière de migration.Première composante du nouveau programme, le projet Amuddu appuie le volet « formation professionnelle et emploi » de la Stratégie Nationale d’Immigration et d’Asile (SNIA) et contribuera à améliorer l’employabilité des migrant·e·s. Il mettra en œuvre des mesures innovantes ciblant directement les obstacles rencontrés par les migrant·e·s dans leur parcours d’intégration économique (appui à l’auto-emploi, bourses, incitations à l’embauche, mentoring…). Par le développement de dynamiques au niveau local, le projet identifiera par ailleurs les besoins et les attentes de la population migrante. Cela facilitera l’orientation de cette population vers les services adéquats, en particulier ceux de l’Entraide Nationale et l’Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences, institutions avec lesquelles  le projet Amuddu a établi des partenariats opérationnels. Le projet MBI (Maghrib Belgium Impulse) accompagnera quant à lui les Marocain·e·s résidant en Belgique et porteurs/euses d’un projet d’investissement dans la création de leur entreprise au Maroc. Les porteurs/euses de projet sélectionné·e·s recevront un appui personnalisé comprenant de nombreuses formations ainsi que du coaching par des professionnel·le·s de l’entreprenariat. Grâce au partenariat établi avec la Confédération Générale des Entreprises du Maroc, elles/ils bénéficieront également de nombreuses opportunités de networking avec d’autres expert·e·s actif/ves au Maroc. L’équipe du Programme migration s’agrandira encore prochainement avec l’intégration d’une troisième intervention portant sur l’empowerment juridique des migrant·e·s. Ce projet aura pour but d’améliorer l’accès des migrant·e·s et réfugié·e·s à leurs droits via le renforcement des compétences des acteurs/trices pouvant faciliter cet accès (avocat·e·s, étudiant·e·s en droit, associations et personnel des institutions publiques). Le lancement de ce programme illustre l’élargissement du champ d’activités de la coopération belge au Maroc à de nouvelles thématiques, en particulier dans le domaine des droits humains. Avec trois interventions ciblant la question migratoire, la Belgique soutient activement le Maroc dans la mise en œuvre de ses politiques migratoires en alliant un partage de son expérience en tant que pays d’immigration à une mobilisation des compétences des Marocain·e·s résidant en Belgique.  


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    Maroc MOR1605311

  • Le Programme d’appui à la gestion de la politique migratoire est lancé !

    Le Programme d’appui à la gestion de la thématique migratoire est lancé !


    Roxane VANLERBERGE | 22/05/2018

    Entre avril et mai, Enabel au Maroc a accueilli huit nouveaux collaborateurs au sein de son Programme d’appui à la gestion de la thématique migratoire, mis en œuvre en partenariat avec le Ministère délégué chargé des Marocains Résidant à l’Étranger et des Affaires de la Migration. Le premier volet du nouveau programme de coopération entre la Belgique et le Maroc a été officiellement signé le 15 mars et lancera ses premières activités en 2018. Composé actuellement de deux interventions, il s’aligne sur les politiques marocaines en matière de migration. Première composante du nouveau programme, le projet Amuddu appuie le volet « formation professionnelle et emploi » de la Stratégie Nationale d’Immigration et d’Asile (SNIA) et contribuera à améliorer l’employabilité des migrant·e·s. Il mettra en œuvre des mesures innovantes ciblant directement les obstacles rencontrés par les migrant·e·s dans leur parcours d’intégration économique (appui à l’auto-emploi, bourses, incitations à l’embauche, mentoring…). Par le développement de dynamiques au niveau local, le projet identifiera par ailleurs les besoins et les attentes de la population migrante. Cela facilitera l’orientation de cette population vers les services adéquats, en particulier ceux de l’Entraide Nationale et l’Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences, institutions avec lesquelles  le projet Amuddu a établi des partenariats opérationnels. Le projet MBI (Maghrib Belgium Impulse) accompagnera quant à lui les Marocain·e·s résidant en Belgique et porteurs/euses d’un projet d’investissement dans la création de leur entreprise au Maroc. Les porteurs/euses de projet sélectionné·e·s recevront un appui personnalisé comprenant de nombreuses formations ainsi que du coaching par des professionnel·le·s de l’entreprenariat. Grâce au partenariat établi avec la Confédération Générale des Entreprises du Maroc, elles/ils bénéficieront également de nombreuses opportunités de networking avec d’autres expert·e·s actif/ves au Maroc. L’équipe du Programme migration s’agrandira encore prochainement avec l’intégration d’une troisième intervention portant sur l’empowerment juridique des migrant·e·s. Ce projet aura pour but d’améliorer l’accès des migrant·e·s et réfugié·e·s à leurs droits via le renforcement des compétences des acteurs/trices pouvant faciliter cet accès (avocat·e·s, étudiant·e·s en droit, associations et personnel des institutions publiques). Le lancement de ce programme illustre l’élargissement du champ d’activités de la coopération belge au Maroc à de nouvelles thématiques, en particulier dans le domaine des droits humains. Avec trois interventions ciblant la question migratoire, la Belgique soutient activement le Maroc dans la mise en œuvre de ses politiques migratoires en alliant un partage de son expérience en tant que pays d’immigration à une mobilisation des compétences des Marocain·e·s résidant en Belgique.  


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    Maroc MOR1605211

  • La Formation des briquetiers : Un appui pour l’insertion socio-professionnelle des jeunes

    La Formation des briquetiers : Un appui pour l’insertion socio-professionnelle des jeunes


    Michael MALEMBA | 18/05/2018

    En partenariat avec le monde associatif et en vue de l’apprentissage de métiers porteurs en termes d’insertion professionnelle des jeunes, deux experts briquetiers ont été dépêchés de GBADOLITE, en appui à la congrégation des frères Franciscains de la vie de Marie. Ces artisans ont formé 6 frères encadreurs et 25 jeunes déscolarisés aux techniques de fabrication des briques cuites dans la cité d’UMANGI, située à 17 km au nord de la ville de LISALA au bord du fleuve Congo. La formation s’est déroulée en deux étapes : d’abord le bon choix de l’argile afin de produire une brique de qualité, le broyage, le malaxage, le façonnage ainsi que le séchage ; ensuite la mise en place d’un four adapté à la cuisson des briques. Cette formation est en adéquation avec les besoins des apprenants, dans la mesure où elle ouvre la voie à ces derniers vers une insertion professionnelle. L’accès à un emploi durable et de qualité devrait leur permettre de s’émanciper professionnellement et socialement tout en restaurant des logiques d’acteurs et de responsabilité.Le programme a doté cette structure de presses à briques modernes pour poursuivre la formation des apprenants devenus des acteurs de changement (formation et éveil entrepreneurial). De plus, des presses à briques fabriquées localement par les forgerons, ont été remises comme kits de sortie à la première promotion des jeunes formés pour leur insertion socio-professionnelle.  Ceci afin de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des jeunes, grâce à la promotion d’activités génératrices de revenus.Signalons par ailleurs, que le programme vient en appui aux forgerons en vue de renforcer le secteur privé tout en disponibilisant une main d’œuvre qui correspond à leurs attentes en capital humain de qualité.                                                         Equipe EDU-MOSU


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    RD Congo RDC1217511

  • Understanding the constituencies is key to success of councillors

    Understanding the constituencies is key to success of councillors


    Marion FISCHER | 17/05/2018

    Two training courses started in Ha Tinh city on 16 May 2018. The first course with over 100 members of People's Councils of provincial and district level enhanced the skills of the deputies in direct contact with and qualified response to the people's complaints and proposals. In a second training course the methodic information will be mainstreamed to the councillors on commune and ward levels. The trainer for the first course is Ph.D. Nguyen Si Dung, the Former Vice Chairman of the Office of the National Assembly, and the trainer for the second course is Ph.D. Bùi Đức Thụ, the former Standing Member of Finance and Budget Committee of the National Assembly in the 2011-2016 Tenure.


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    Vietnam VIE1505211