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In the city of Kigoma, Tanzania, the LATAWAMA project has been active since January 2020. Many activities have been carried out. As the project was not a “ready-made project,” the activities have been defined and the main actors identified with the full participation of various stakeholders. Community-based organisations are one of the backbones of solid waste management operations. Besides, other actions in waste management have also been undertaken. Beneficiaries talked to the technical team. The feedback is heartening. Community-based organizations are composed of women heads of households and young people from disadvantaged backgrounds, with a maximum of 10 people per organisation. They are responsible for the pre-collection of solid waste from different places (households, markets, institutions, etc.) to the collection points (tippers managed by the Municipality). They are keys players of a project guided by four principles: increasing service coverage, strengthening management capacity, introducing the principles of the circular economy (using yesterday’s waste as a resource for tomorrow), organising awareness and education campaigns. At the beginning of the project, community-based organizations faced two major challenges: inadequate facilities and weak organisational and management capacities. The LATAWAMA project provided technical support to community-based organisations to ensure that they could carry out their mission and initiated a series of actions for organisational strengthening. Partners satisfied with LATAWAMA project achievements The members of the community-based organizations directly supported by the LATAWAMA project said that the material given was of paramount importance. Bahati Rhamadhani is a mother of about 40 years, living in the locality of Katubuka. With her friends, while collecting the waste, she said that the equipment that the LATAWAMA project gave them makes it possible to collect the waste. “With this work, we get money, and it helps us meet some of our needs. We, therefore, thank the LATAWAMA project which gave us material”. The remaining challenge is that the population still mixing household waste with other things like stones, bricks, and even needles.“ We try to sensitize them for a behavior change”, she said. The same goes for Elishaphat Ruzemvya, Director of the department responsible for solid waste management. He said that the support was of great importance for improving solid waste management in Kigoma: “I am here to attest to the importance of LATAWAMA’s support for solid waste management in the Municipality of Kigoma. I would like to thank Enabel and the European Union for their support. I can guarantee that the support in terms of equipment will be managed effectively for great sustainability”. Other actions initiated by the project… In addition to actions carried out through community-based organisations, further activities such as the support of the Maweni Hospital for solid waste management have also been initiated. Rashidi Masoudi, a health officer, said the situation had improved significantly in solid waste management at this hospital: “Before, the work was much more difficult. The waste was burnt in a place that was not adequate. With the repair of the incinerator, the work became easier. We have been trained in biomedical waste management. This is the 5th year that I work at Maweni Hospital. Things are going very well now; all the waste produced here is burned completely”. For Rajabu Hassan, Biomedical Engineer, the hospital used to have a poor-quality incinerator, which could not burn waste according to acceptable environmental standards. “The LATAWAMA project repaired the incinerator that allows us to burn waste quickly. The ashes generated are also put in the new pit that meets the standards of the World Health Organization and the ministry of public health. We are all aware that biomedical waste is dangerous, and we are grateful to the LATAWAMA Project.” Nevertheless, he would like to further collaborate with the project, which will fund the construction of the disposal hall of sorted waste awaiting incineration. Funded by the European Union, the LATAWAMA project is being implemented by Enabel in collaboration with the Tanganyika Lake Authority.
Afin de contribuer à l’amélioration de l’accessibilité financière des populations des secteurs informels et ruraux aux soins de santé de qualité, l’état mauritanien a procédé au lancement par le Ministre de la Santé, le mardi 18 novembre 2020 à Nouakchott, d’un régime d’assurance maladie volontaire (AMV) dénommé les Caisses Régionales de Solidarité Santé (CRESS).Les CRESS visent à concourir à la couverture sanitaire universelle en Mauritanie ; phase pilote de mise en œuvre effective dans trois régions sanitaires de la Mauritanie (Brakna, Dar Naim et Sebkha). En tenant compte de toutes les contraintes et défis que peut susciter l’opérationnalisation de ce régime d’assurance volontaire, un des piliers de ce programme est de renforcer les capacités du personnel administratif pour une gestion efficace et efficiente des CRESS, en se basant sur les expériences des autres pays de la sous-région. Dans ce cas ci celui du Sénégal. Le Sénégal qui a testé un modèle de mutualisation du risque lié à la maladie, avec l’Unité Départementale d’Assurance Maladie (UDAM) de Foundiougne et celle du département de Koungheul, constitue une opportunité pour l’équipe des CRESS d’apprendre des leçons de cette expérimentation. Une visite aux UDAM constitue un retour d’expérience enrichissant pour cette phase d’opérationnalisation de l’assurance maladie volontaire en Mauritanie. Ce voyage d’étude au Sénégal a permis de réaliser un retour d’expérience sur la gestion et l’opérationnalisation de la couverture maladie universelle dans les départements de Koungheul et de Foundiougne. Plus précisément:Un retour d’expérience sur le fonctionnement de l’UDAM au SénégalÉchanges sur les meilleures pratiques sur l’opérationnalisation et les difficultés rencontrées dans la mise en place de cette expérience d’assurance maladie volontaire.Visite de terrain pour analyser la gestion quotidienne des adhésions et des prestations de soins couvertes dans les deux districts sanitaires.Capitaliser sur les expériences du Sénégal au bénéfice de la MauritanieLes résultats qui sont ressortis de la mission sont:L’expérience des UDAM des départements de Koungheul et de Foundiougne est connue et comprise par les membres de la mission, notamment dans les domaines suivants : paquet de soins couverts, mode de gestion, régulation avec les prestataires, mise en œuvre du plan de communication pour la mobilisation sociale, etc.Les mécanismes de financement et de pérennisation des UDAM par l’état sénégalais sont connus et évaluésLes leçons sont apprises sur le modèle de management et de promotion de la mutualisation du risque lié à la maladie dans les départements de Koungheul et de Foundiougne : bonnes pratiques et difficultés rencontréesL’expérience du Sénégal est capitalisée pour l’initiative mauritanienne.Lors de la réunion de synthèse les points forts retenus sont que la mission a été un succès qui a permis à la Mauritanie d'avoir toutes les réponses aux questions qu'elle se posait. Les éléments qui ont été le plus mis en avant sont:l'importance de la qualité et proximité de l'offremission inspirante et enrichissantedévelopper la synergie entre l'offre et la demanderenforcement du dialogue interaction continue grâce à la mise en contact valorisation partenariat Mauritanie/Sénégalapproche inclusive de la populationéchanges de conseils techniques...Les priorités selon le représentant du ministère de la santé mauritanien Dr Moctar M’KHAITIR sont:une mise à niveau de l'offre de soins (répondre aux attentes de la population, améliorer équipements et Ressources Humaines)pousser à l’adhésion en donnant confiance via une sensibilisation efficace; " la santé n'a pas de prix mais elle a un cout"un engagement de l’État et des partenairesPour finir, cette mission a été productive et satisfaisante pour tous les partis. Une mise en lien a été faite et les équipes resteront en interaction continue. Les remerciements ont été chaleureux et indicateurs du bon déroulement tout au long de la mission. La réflexion sur l'ancrage des CRESS a été lancé, en attente des bons résultats à venir.
Réunir les acteurs du secteur agricole autour des recherches participatives dont les produits profitent aussi bien aux chercheurs qu’aux producteurs : tel est le but du projet TAERA (Transition Agro-Ecologique par la Recherche Agricole) financé par l’Union Européenne et mis en œuvre par Enabel au Bénin. Pour atteindre cet objectif, plusieurs étapes sont à franchir dont l’une d’elle est la signature de conventions de subside avec les universités nationales de Parakou et d’Abomey-Calavi qui a eu lieu le lundi 28 juin 2021 au Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP).C’était en présence des responsables des universités, du chargé de programme de l’Union Européenne, du représentant d'Enabel, des représentants des organisations professionnelles de producteurs de riz et de produits maraîchers. Au Bénin, plusieurs innovations probantes sont issues de la recherche mais ne sont pas largement diffusées auprès des producteurs. De même, plusieurs innovations endogènes sont mal connues, mal documentées et par conséquent très peu diffusées. C’est pour apporter une solution à cet état de chose, que le projet TAERA s’est donné pour but de regrouper les chercheurs et les producteurs autour de thématiques de recherches co-définies pour aboutir à des solutions scientifiquement prouvées et auxquelles les producteurs s’identifient. Les conventions de subside signées entre ces différents acteurs permettront respectivement aux Universités d’Abomey-Calavi et de Parakou de : - valider les innovations agroécologiques performantes pour les systèmes de production maraîchère et rizicole et élaborer un référentiel d’aide à la décision dans le domaine de la transition agro-écologique ; - proposer des solutions « bonnes pratiques » adaptées en matière de gestion de l’eau dans les systèmes de maraîchage irrigués et les systèmes rizicoles de bas-fond sur la base de suivi technico-économique des modèles d’irrigation. Pour y parvenir, des doctorants, au nombre de deux par université, sont recrutés et seront accompagnés d’étudiants en master. Des expérimentations seront installées en collaboration avec les organisations de maraîchers et de riziculteurs sur les champs de ceux-ci. Ces universités sont représentées à leur tour par le Laboratory of Genetics Horticulture and Seed Sciences ou GBioS pour l’Université d’Abomey-Calavi et le Laboratoire d’hydraulique et de modélisation environnementale ou HydroModE-Lab pour l’Université de Parakou. En procédant à la signature de ces conventions, Mme Mélanie Xuereb, Country Portfolio Manager, a, au nom du Représentant Résident d'Enabel au Bénin, adressé ses remerciements au bailleur, l’Union Européenne et au partenaire de mise en œuvre, le Ministère de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche, ainsi qu’à toute la famille d’acteurs intervenant dans le projet, pour leur grande disponibilité et leur forte implication dans la formulation et la concrétisation du projet. Mme Mélanie Xuereb renouvelle, au nom de Enabel, l’engagement à relever les défis de la transition agro-écologique. Le Chargé de programme de l’Union européenne, M. Jean Huchon, a, pour sa part, souhaité à l’ensemble des partenaires du programme, une coopération fructueuse, ainsi que des résultats à la hauteur des enjeux du secteur pour le Bénin. A en croire M Jean Huchon, le projet TAERA dans son ensemble, contribue au renforcement des capacités nationales de la recherche agricole en générant des connaissances et des innovations scientifiques et technologiques dans les domaines de la production, de la transformation, de l’économie, des questions sociales et de l’organisation générale des chaînes de valeur. Il permettra également de développer l’architecture de la recherche nationale pour être plus efficace et propice à l’innovation et apportera des connaissances et des preuves pour alimenter les politiques et les décisions d’investissement. Quant au doyen de la Faculté d’agronomie de l’Université de Parakou, il a exprimé sa reconnaissance à l’Union Européenne, à Enabel, ainsi qu'à toutes les institutions pour leur soutien indéfectible et leur contribution à la mise en œuvre de cette intervention. Le Professeur Michel Batamoussi est convaincu que cette intervention donnera des résultats tangibles et aboutira à plusieurs autres collaborations futures. Rappelons que le projet Taera (Transition Agro-Ecologique par la Recherche Agricole) mis en œuvre par Enabel et financé par l’Union Européenne à hauteur de 1,5 millions d’euros (soit 984 millions de FCFA), s’inscrit dans le cadre de l’initiative Desira (Development Smart Innovation through Research in Agriculture). Il intervient dans les communes du Mono et dans deux communes du Couffo que sont Dogbo et Lalo, et travaille avec les producteurs maraîchers et riziculteurs pour la période 2019-2024. Taera vise à proposer des solutions innovantes fondées sur les résultats de la recherche-action menée en partenariat avec les acteurs locaux de la recherche ainsi que les producteurs pour une transition agro-écologique concertée au sein des filières maraîchage et de la riziculture.
Le programme RIMFIL (Promotion du développement des filières agricoles et pastorales durables) d'Enabel Mauritanie a organisé un atelier de formation dont la finalité est d’accompagner des acteurs pastoraux tant en termes de structuration que d’acquisition de compétences organisationnelles ou techniques par la formation des facilitateurs autour d’un Champ Ecole Pastoral (CEP) au niveau du bassin laitier du Hodh El Charghi du 14 au 20 juin. La cérémonie d'ouverture de l'atelier de formation a eu lieu en présence du Hakem de Timbedra, du Maire de la commune de Timbedra et de l'inspecteur du ministère de l'élevage de la Moughataa de Timbedra.Selon l'expert promotion filières agricoles et pastorales durables Abder Benderdouche : " L’action d’Enabel vise à promouvoir et à renforcer le développement de chaînes de valeur agricoles et pastorales inclusives et durables, comme des leviers à la fois de croissance, mais aussi de résilience au changement climatique, de lutte contre la pauvreté et d’insécurité alimentaire". Grace à ces formations le programme RIMFIL contribuera à la construction d´un dispositif structuré et durable de conseil agro-pastoral sur les bassins de production basé sur la formation de formateurs au niveau des CEP/CEAP.Toujours d'après l'expert Benderdouche: "En termes de groupes cibles, le RIMFIL s’adressera à des communautés vulnérables en s’efforçant de mettre l´accent sur les jeunes et les femmes, et les encouragera à devenir des facilitateurs CEAP (Champs-écoles agricoles et pastoraux). A cet effet, les CEAP habiliteront et permettront aux petits exploitants agricoles, à leurs familles et aux communautés rurales de comprendre et de réagir aux défis actuels et d’apporter leurs propres contributions essentielles".L’objectif général est de mettre en œuvre un dispositif structurant de renforcement de capacités/formations de facilitateurs par le biais de l’approche Champ Ecole Agro Pastoraux (CEAP) et basé sur un curriculum de formation validé de façon participative avec tous les acteurs impliqués. Ces facilitateurs formés mis en réseau seront les relais d’un futur dispositif de conseillers éleveurs de proximité au sein des bassins de production. Permettra au RIMFIL de contribuer à la construction d´un dispositif structuré et durable de conseil agro-pastoral sur les bassins de production basé sur la formation de formateurs au niveau des CEP/CEAP.Les Champs-écoles pastoraux sont élaborés sur la base d’une approche participative avec une forte préoccupation de durabilité environnementale et de viabilité économique, ce qui apporte une implication forte des bénéficiaires et communautés.Les CEP sont une approche novatrice de vulgarisation auprès des pasteurs qui se basent sur la pratique et l'apprentissage. Pour garantir la durabilité de l'action, Enabel prévoit un suivi régulier des facilitateurs.
UNESCO and Enabel Palestine have recently signed a cooperation agreement titled “TVET Competencies for Youth in the Palestinian Labour Market”. The joint cooperation is an integral part of the Skilled Young Palestine intervention, already implemented by Enabel in cooperation with the Ministry of Labour.This agreement is the first formal cooperation between Enabel Palestine and UNESCO and will contribute to increasing the quality of the TVET-system and its outputs and will strengthen the local innovation eco-system with specific attention to inclusion.The agreement is signed for a period of two years and will kick-off with the set-up of a sectoral innovation hub. Other activities include working on updating the Skills Forecasting Model, development of online TVET courses and training of trainers. Another component of the project will focus on inclusion in TVET, both at policy level and implementation level.The two partners are looking forward to starting off the activities, and will work closely together with their partners throughout the implementation.
In the frame of Resilience in Schools of East Jerusalem (RiSE) project, Enabel has recently finished implementing a semi-public sports field in Collège des Frères de la Salle in Beit Hanina during April 2021. The space with an area of 2000 m2 is featuring a football pitch, a basketball court, outdoor seating steps, running tracks and an outdoor gym area with necessary amenities. Space will be used by the school students during school hours and will be open to the community after school hours. This project is funded by the European Union and Belgium.
As a continuation of LGRDP II objectives in supporting the territorial development integration between the Local Authorities (LAs), Bartaa Municipality and 6 other village councils signed an MoU for joint service provision. The MoU aims to improve the quality of service in terms of solid waste, water, building and licensing, electricity, and community engagement activities focusing on youth and women.The signed MoU keeps the political representation of the LAs and improves the service provision in a bottom-up approach that meets the LAs needs and the territorial development process.During the last three years, the joint efforts of the European Union, Enabel and the IPCC targeted the institutional development of Bartaa Municipality, capacity development activities, improve service provision within Bartaa Municipality (tools, equipment’s, systems, others…) in addition to better engagement of community especially women and youth.
As a response to the challenges facing the industrial sector related to the green and circular economy in the Gaza Strip, Enabel implemented, EU funded SAWA project launched the Go Green Hackathon (3-days competition) on the 5th of April, 2021, with full cooperation and coordination with The Palestinian Federation Of Industries (PFI). The Hackathon hosted 30 groups of entrepreneurs -about 100 youth- to develop their solutions (30 solutions) for the industrial sector challenges in the field of green/circular economy in the Gaza Strip.At the end of the Hackathon, the top-ranked 15 solutions will participate in the second phase of the selection (detailed business planning). The most viable and sustainable 10 green solutions (entrepreneurs) will receive a package of financial and non-financial support and will be incubated by the PFI to having their ideas transferred into valuable businesses.
À l’occasion de la célébration de la Journée Mondiale des Réfugiés, le projet Amuddu a organisé un atelier d’échange le 24 juin 2021 à Rabat sous le thème du « Mentorat un levier pour l’intégration socio-économique des personnes migrantes et réfugiées ».Cet évènement fut l’occasion de faire la restitution de l’étude sur la pratique mentorale en faveur des personnes migrantes et réfugiées, menée dans le cadre de la mise en œuvre du projet Amuddu en partenariat avec le Ministère Délégué Chargé des MRE et des Affaires de la Migration (MDCMRE) et l’ANAPEC. Un manuel a été conçu sur base de cette étude sur le potentiel du mentorat comme levier d’intégration socio-économique des personnes migrantes ainsi que deux fiches pratiques « Je deviens mentor » et « J’adopte le mentorat au sein de mon entreprise ». Ce manuel est un outil de référence pour les partenaires désireux d’expérimenter l’approche du mentorat à destination des personnes migrantes et réfugiées.Les membres du Comité programme formation professionnelle et emploi (CP3), organe institué par la Stratégie Nationale d’Immigration et d’Asile (SNIA), ainsi que d’autres acteurs impliqués dans l’insertion professionnelle des personnes migrantes et réfugiées au Maroc et en Belgique tel que Le Forem, ont pris part à cette restitution. Une réflexion a également été menée autour de l’intérêt d’implémenter une telle approche dans les institutions publiques marocaines et les organisations de la société civile (OSC) qui cherchent à faciliter l’intégration économique des personnes migrantes et réfugiées. Il a aussi été question de partager quelques expériences pratiques exécutées ou en cours d’exécution. Enfin, cet atelier fut l’occasion de débattre et d’échanger sur le mentorat et de permettre ainsi l’ouverture de l’expérimentation de cette pratique dans l’intégration économique des personnes réfugiées et migrantes au Maroc. La journée Mondiale des Réfugiés est organisée par l’Agence des Nations unies pour les Réfugiés (UNHCR) conjointement avec le Ministère délégué auprès du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération Africaine et des Marocains Résidents à l’Etranger, Chargé des Marocains Résidents à l’Etranger avec l’appui et le soutien d’Enabel.
Investment not only needs finance but also people with the right skills. The new VET Toolbox service supports - in close collaboration with other stakeholders - local people in 11 countries in Sub-Saharan African in acquiring those skills. Dialogue between the public and private sector will be at the basis of targeted actions in specific sectors or value chains.On 8th June 2021, VET Toolbox presented this new service during an online launch event attended by around 200 participants. Rewatch the videos that were presented during the launch event and/or download the powerpoint presentation and relevant documents via https://www.vettoolbox.eu/en/news/new-vet-toolbox-service-increase-local-benefits-european-investmen...
Remise des attestations de formation des facilitateurs des Champs Ecoles Agropastoral (CEAP) La finalité de cette formation est d’accompagner des acteurs de la filière des décrues tant en termes de structuration que d’acquisition de compétences organisationnelles ou techniques par la formation des facilitateurs autour d’un Champ Ecole Agro-Pastoral (CEAP). La sélection des facilitateurs (conseiller paysan) est faite dans les pôles de production de chaque wilaya (région) en collaboration avec les délégations régionales du ministère d’aménagement rural. L’équipe du projet était accompagné par les techniciens des délégations pour expliquer l’approche CEAP. Les critères de choix d’un facilitateur étaient : • Agriculteur des décrues • Résident dans son village • Motivé et accepté le choix porté sur lui • Représentatif du groupe de producteurs de son site • Capable de lire et écrire • Apte à participer aux formations : avoir au plus 50 ans. • Capable de pratiquer et d’assurer la transmission aux producteurs les techniques innovantes perçues lors des formations Les produits et bienfaits qui sont ressortis de cette activité sont entre autres : • Renforcement des facilitateurs sur les itinéraires techniques des principales culture des décrues • Mise en place du groupe de producteurs (environ 15 à 25 dans chaque site) pour chaque facilitateur • Mise en place d’un CEP (Champ Ecole Paysan) par facilitateur • Structuration des producteurs des décrues de chaque site avec le facilitateur • Mise en place de quelques mutuelles d'entraide des producteurs de certains sites • Appui conseil des producteurs par le facilitateur • Mise en place du maillon facilitateur de la filière des décrues, etc. L´approche Champs-Ecoles Agro-Pastoraux (CEAP) du RIMFIL vise à renforcer les capacités techniques et organisationnelles des agriculteurs et des pasteurs à travers l’amélioration de leurs capacités d´observation, d´analyse et de prise de décision. Les CEAP sont une déclinaison en milieu agro-pastoral des Champs Ecole Paysans (CEP). Ils sont une approche novatrice en Mauritanie de vulgarisation auprès des pasteurs et agro-pasteurs qui se basent sur la pratique et un apprentissage axé sur les problèmes diagnostiqués au sein des systèmes de production agricoles et pastoraux. Les activités d’appui spécifiques aux pasteurs pourront être développés selon leur nature (production laitière, santé animale…) dans un cadre autre que celui du champ-école paysan classique et de la parcelle agricole de productions. Après avoir participé avec succès aux 4 formations sur l’approche Champ Ecole Agropastoral (CEAP) des cultures de décrues et cultures vivrières, les facilitateurs des régions du Hodh El Chargui et Garbi, Guidimakha, Assaba ont reçus des coordinateurs des régions respectives leurs attestations de formations. Un suivi des facilitateurs est planifié même après la fin de la formation.
Pour la journée internationale des femmes, Enabel Mauritanie célèbre cette année le génie des femmes qui ont su déployer des efforts formidables afin de contrer la crise liée à la pandémie de la COVID-19 et d’escompter un meilleur futur à leur façon. Partout dans le monde, chacun à sa manière fait honneur aux dames, en cette journée mémorable.Pour participer à cette cérémonie, Enabel s’est mise en selle et en partenariat avec l’Observatoire de l’égalité du genre, financée par la Coopération Espagnole. L’Observatoire a pour but d’être un espace ouvert à la recherche, à la créativité et l’innovation. C’est un collectif qui est conçu pour suivre l’évolution du caractère social de la thématique de l’égalité du genre. L’égalité des genres et l’autonomisation des femmes constituent une priorité aussi bien pour Enabel et ses partenaires et ce conformément aux axes de sa stratégie genre #WeforHer et de son Plan d’entreprise 2020.L’évènement s’est déroulé dans la bonne humeur et des échanges fructueux se sont faits entre les étudiants et les partenaires présents. La salle était pleine et tout le monde avait son masque. Les propos sont traduits et les étudiants se répartissent les présentations selon la langue préférée.Le tout a débuté avec l’introduction de la modératrice Mme Houleye KANE et les remerciements de l’observatoire avec Mme Binta SY, assistante technique. Suivi de Rita SANTOS, coordinatrice de l’AECID qui a offert ses félicitations aux femmes et à l’université, mot sur l’avancement de l’égalité dans tous les pays, « mais un travail reste à faire, pas en avant sur le focus de l’égalité, inclure la femme dans l’avancement vers la qualité dans l’entreprenariat», explications de la mission de l’OBEG et motivation pour que les étudiants avancent dans leurs recherches et études pour le développement de la Mauritanie. La présentation s’est poursuivie avec le Doyen Faculté des Sciences Juridiques et Economiques de l'Université et son mot de bienvenue, félicitations pour l’engagement des étudiants et leurs investissements, échange sur thématique sur le genre et leur conscience de leur apport et souhait d’échanges fructueux. Exposition sur chaque groupe thématique de l’OBEG :-Exposé sur la mission, les fonctions et objectif de l’OBEG-Justice, exposé sur les textes juridiques concernant l’égalité du genre-Education, exposé sur éducation féminine en Mauritanie et perspectives d’amélioration-Santé, exposé sur la reproduction, contraception et planning familiale-Médias et Communication, exposé sur taux et présence des femmes dans les médias-Développement durable et entreprenariat féminin, exposé sur femme et emploi, le contexte, l’évolution, convention et illustration. Le panel Enabel a été animé par Mathias LARDINOIS, directeur pays, avec un mot explicatif sur les interventions, l’importance de la stratégie genre dans les activités et la résilience des femmes pendant la pandémie. Il a été suivi par Djeinaba TOURE qui présenta l’entreprenariat féminin avec son histoire, ses faits importants, son lien avec le développement durable et elle a fini avec ses recommandations. Sa présentation a été ponctuée de chiffre illustrant l’évolution des femmes dans le secteur de l’entreprenariat dans le monde.Elle a aussi donné des clarifications sur les caractéristiques des entrepreneuses en les séparant en différents groupes ; selon leur environnement positif ou négatif, les éléments déclencheurs de leur aventure dans l’entrepreneuriat et explication sur le plafond de fer qui freine et limite les femmes dans leur processus entrepreneurial. Un exposé brillant et plein d’informations pour mieux comprendre le pourquoi et le comment de l’expérience des femmes dans l’entrepreneuriat. Les panels suivants portaient sur l’éducation avec l’AFD, présentation historique de l’entrepreneuriat avec l’UE, l’ANAPEJ service public de l’emploi et sa mise en place de leur cellule genre et le dernier panel était l’ONG ACTIONS avec un plongeon dans l’économie sociale et solidaire.Pour finir, on peut dire que l’évènement fut un succès avec des échanges dynamiques et que les résultats attendus ont été atteints, apportés aux étudiants :Une idée sur l’environnement de l’entrepreneuriat en Mauritanie en général et pour les femmes en particulierActions en cours dans le cadre des stratégies en vigueur et interventions du secteur privé pour encourager les femmesAppel à la mobilisation des jeunes et des femmes vers l’autonomisation ; meilleure insertion dans le tissu économiqueGrâce aux discussions, partages de connaissances et d’expériences nous avons sûrement insuffler de la détermination et de la motivation aux jeunes étudiants. Cet évènement s’est terminé avec une ouverture pour les opportunités à venir et une mise en relation entre les groupes thématiques de l’observatoire et nos interventions.
Atelier: Référentiel technico-économique pour les infrastructures rurales productives en MauritanieLors d’un atelier de deux jours du 31 Mai au 1 juin à Nouakchott, Enabel, les équipes techniques des ministères concernés et le bureau d’étude belge SHER ingénierie/conseils ont eu des échanges constructifs sur la mise en œuvre d’une capitalisation technique qui permettra aux services techniques du Ministères d'Aménagement Rural de se doter d’un référentiel technico-économique pour les infrastructures rurales productives. Au niveau des infrastructures rurales, les problèmes rencontrés sont : le mauvais choix d’emplacement ; ouvrage jamais utilisé et jamais réparé vu sa non utilité pour les usagersla mauvaise qualité de l’ouvrage ; ouvrage dégradé et réparé par les usagers eux-mêmesL’ouvrage doit correspondre à une utilité technique et économique afin d’assurer sa pérennité. Le problème est attaqué de plusieurs cotés; technique, légale et le transfert de gestion de l’ouvrage à des organisations locales d’usagers. Pour atteindre une capitalisation technique efficiente et durable, SHER un bureau d’étude belge a été mobilisé. Un travail continu et fluide avec les ministères a été établi via une collecte de données et d’expériences. Le tout ensuite élargi au niveau des ONG et programmes/projets. Les structures rencontrées sont de trois types; ministères, ONG, programmes et projets et comme on peut le voir est très large:Ministère du Développement Rural (MDR)Ministère de l'Hydraulique et de l'Assainissement (MHA)Ministère de l'Environnement et du Développement Durable (MEDD)Programmes EU (Programme RIMDIR, Programme RIMRAP, Programme RIMFIL)OSP et ONG (Groupement National des Associations Pastorales, Groupement de Recherche et de Réalisation pour le Développement Rural, GRET, Tenmya, Atica - Agrisahel)Projets (Projet Régional d'Appui au Pastoralisme au Sahel, Projet Promotion Développement des Oasis, Projet de Développement de la Résilience à l'Insécurité Alimentaire et Nutritionnelle au Sahel en Mauritanie, Projet de Développement des Filières Inclusives, Projet Régional d'Appui à l'Initiative pour l'Irrigation au Sahel, Projet de lutte contre la pauvreté dans l'Aftout Sud et le Karakoro-Phase II, Projet de renforcement de la Résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel, Projet National Intégré dans le Secteur de l'Eau en Milieu Rural)L'élaboration du référentiel technico-économique suit un cheminement en quatre étapes:1/ Définition des besoins de la DAR (Direction Aménagement Rural), DFAPP (Direction de Développement des Filières Animales et Pastorales) et cadrage des prestationsEtablissement d’une liste des ouvrages retenus dans le cadre du référentiel Structuration en thématique, fiches et annexes techniques selon 3 dimensions ; technique, sociale et économiqueIntégration de l’approche ingénierie sociale pour éviter les conflits (socio-foncier, socio-économique)2/ Elaboration de 13 fiches et de 4 annexes techniquesCapitalisation d’expérience (rencontres et échanges)Valorisation de l’expérience régionaleRecherche et synthèse bibliographiqueRéflexion sur l’accessibilité à un public d’horizon varié3/ Formation au référentiel et à sa diffusionFormation de "référents-formateurs"4/Elaboration d’un guide d’entretiens des ouvrages Traduction des fiches synthétiques en arabe Intégration des observations et relecture par le RIMDIR Rédaction, impression et diffusionLes fiches sont présentées sous plusieurs thématiques et complétées par des annexes techniques Infrastructures de mobilisation et de stockage d'eau de surface Aménagements hydro-agricolesInfrastructures de désenclavementAménagements antiérosifsAménagements pastorauxAnnexes techniques; pompage solaire, clôtures, chéneaux de transfert et magasins de stockage fraisLes aspects socio-fonciers des fiches de diagnostic sont gérés par le RIMDIR. Une analyse de préfaisabilité de 10 critères est établies, voir si les conditions sont réunis pour les investissements ou non. Différents caractéristiques pour orienter les décisions de l'état, selon la rentabilité. Le but du référentiel technico-économique est d’avoir des documents de bonne qualité sur le sujet des infrastructures rurales. Ensuite de former les services de l’état, les bureaux d’étude et les universités, exemple de l'ISET institut de Rosso en ingénierie rural pour une diffusion efficace des outils. Des fiches d'entretien pour les associations d'usagers et un guide pour les comités villageois sera traduit dans les 4 langues locales. Pour conclure, la finalité est d'assurer l’utilité des ouvrage dans le contexte social et économique. Former les prestataires des ouvrages ici l'état, les bureaux d'étude, ONG pour assurer une meilleure qualité des ouvrages et rentabilité sur long terme.
En partenariat avec la fondation ZERI, l’ensemble des acteurs de la zone oasienne, Enabel au Maroc, le Conseil Régional d'Investissement Drâa-Tafilalet et l’Agence Nationale pour le Développement des Zones Oasiennes et de l'Arganier ont organisé au profit des acteurs de la filière datte deux ateliers dans la région Drâa-Tafilalet au sud du Maroc, le 24 et 25 mai 2021 deux rencontres qui ont été animées par l'expert international, Gunter Pauli sous thèmes « Entreprenariat rural opportunités et perspectives » et « Economie circulaire et économie bleue dans la zone oasienne ».Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet PAGIE « Appui des groupements d'intérêt économique pour le développement de la filière phœnicicole au niveau des oasis marocaines », en relation avec la stratégie agricole Green Generation, pour le renforcement des jeunes promoteurs et l’émergence des innovations vertes dans la zone oasienne, ainsi que de nouvelle génération d’entrepreneurs agricoles dans la filière du palmier dattier.
As an essential step before providing the seed fund for SAWA beneficiaries, the implementing partners of SAWA ”WAC and Bayader” have completed SAWA Micro-Enterprise Development” SMED training for the first 48 beneficiaries in Gaza city and Khanyounis.The training improved the beneficiaries’ knowledge, skills, and competencies in the field of business development and life skills. It was designed to cover multi topics in the field of business development such as business planning, financial management, risk management and electronic marketing.The next step is the selection of 20 feasible business plans based on the training to receive a seed fund and create their businesses.Another two training cycles will take place targeting 100 beneficiaries to support additional 80 business plans to have a total of 100 micro businesses established by the SAWA project.