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Le 17 décembre 2024, Enabel, en partenariat avec la Direction Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi, a organisé des cérémonies de remise de kits d’installation dans les communes de Kaya, Boulsa, Korsimoro et Boussouma. Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Programme d'Appui à la Stabilisation de l’Axe Ouagadougou-Kaya-Dori-Djibo (OKDD). Ce programme est financé par l'Union Européenne avec 10 229 023 euros . Il est mis en œuvre par le consortium Enabel -GIZ. OKDD a pour objectif de renforcer la résilience des populations et de stabiliser la région du Centre-Nord au Burkina Faso. Il vise également à améliorer la cohésion sociale, la gouvernance locale, ainsi qu'à relancer l’économie locale dans cette région. Une composante essentielle de ce programme est la promotion de l’entrepreneuriat inclusif et durable, en particulier chez les jeunes et les femmes vulnérables. Ce volet est destiné à stimuler la création d’emplois décents et à améliorer la compétitivité des entreprises rurales et urbaines. C’est dans ce cadre qu’Enabel et la GIZ, en collaboration avec la Direction Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi, ont accompagné 112 jeunes (dont 74 femmes et 38 hommes) porteurs de projets. L’objectif visé est de permettre le développement de leurs entreprises. Après trois mois de stages pratiques de perfectionnement , les bénéficiaires se sont vu remettre des kits spécifiques adaptés à leurs besoins, favorisant ainsi leur autonomisation et la création d’emplois dans leurs communautés. La cérémonie, présidée par Madame la Directrice Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi du Centre-Nord, a rassemblé divers acteurs : bénéficiaires, autorités locales, partenaires techniques et financiers, ainsi que des parrains et marraines. La remise s’est déroulée en trois phases divisées en lot, chaque lot représentant des domaines spécifiques : lot 1 : intrants et équipements d’élevage; lot 2 : équipements solaires et électriques; lot 3 : matériels d’artisanat, quincaillerie et divers. Lors de cet événement, chaque bénéficiaire a signé un engagement pour une utilisation efficace des kits. Les autorités ont profité de l’occasion pour sensibiliser les jeunes sur la bonne gestion des outils reçus. Avec ces kits, il est espéré que : les entreprises portées par ces jeunes soient renforcées, consolidant ainsi les emplois existants ; de nouveaux emplois soient créés au profit des femmes et des jeunes ; les capacités opérationnelles des entreprises soient améliorées, contribuant à une relance économique durable dans la région. Les bénéficiaires ont exprimé leur gratitude pour cette initiative. TAPSOBA Prisca , jeune coiffeuse, a confié : « avant, je manquais de certains matériels dans mon salon de coiffure. Aujourd’hui, grâce à Enabel, mon salon aura fière allure et me permettra d’avoir plus de clientes et je pourrai embaucher des personnes pour m’aider ».Cette cérémonie marque une étape clé dans l’engagement d’Enabel et de ses partenaires en faveur des jeunes et des femmes du Centre-Nord. À travers ce geste, ils réaffirment leur volonté de contribuer à la stabilité et à la résilience socio-économique des populations vulnérables. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
A passionate call to dismantle systemic barriers facing Tanzania’s women and girls dominated a landmark high level policy dialogue held in Kigoma, bringing together over 50 government, civil society and private leaders united to demand urgent action on education and economic justice. Organized by Enabel’s Wezesha Binti (Empower a Girl) project and titled “Advancing Gender Equality: Accelerating Secondary Education and Improving Economic Opportunities for Young Women and Girls” with one rallying cry of no more broken promises. The participants were moved by an emotional testimony from a 17-year-old young mother who defied stigma to reclaim her education. “I want to be a doctor, but my community says I’m ‘spoiled.’ How can I prove them wrong if even teachers don’t know the re-entry rules? she stated, detailing how unclear re-entry policies and teacher bias nearly denied her a chance to continue with her education. Her story is anchored from a presentation by Dr. Wilberforce Meena of Haki Elimu (Right to Education), a leading NGO on education sector in Tanzania, on a study they conducted on Tanzania’s 2021 re-entry policy, allowing teen mothers back to school. While the law revived hope for many teenage mothers when it was introduced in 2021, Dr. Meena revealed glaring gaps that only 12% of schools in the country fully comply with stigma, untrained staff, and inconsistent implementation locking young mothers out of school. “We need nationwide teacher training, community anti-stigma campaigns, and clear guidelines to prevent arbitrary implementation of the re-entry policy.” On the discussion about economic empowerment, the panelists highlighted economic exclusion of women in high-growth sectors like renewable energy and construction despite Tanzania’s push for “greener jobs” in climate-resilient sectors. Women entrepreneurs flagged persistent challenges citing exclusion from male dominated industries, limited access to financing as banks demand collateral, complex business registration processes and punitive tax regimes that discourage formalization of their businesses. They pushed for faster reforms—simplified business licensing, gender-responsive financing, and tax incentives to formalize women-led enterprises. The government through Vocational Education and Training (VETA) centres is tasked with coming up with strategies to attract young women and girls to join Technical and Vocational Education and Training (TVET) programs by revising the curricula to align with job market demands, offering scholarships, childcare support and mentorship led by women. In his closing remarks, Mr. Msafiri Nzunuri, Kigoma’s Regional Community Development Officer and Wezesha Binti regional focal point, pledged collaboration with all stakeholders “We cannot solve these issues in silos. From enforcing anti-GBV laws to supporting women’s markets, this is a collective fight.” He lauded Enabel’s role in fostering dialogue but urged faster action: “Let’s move from talk to tangible change—our girls are watching.” As the teenage mother who stirred the room later said the dialogue was a lifeline: “Today, I feel heard. Maybe now my daughter won’t face the same battles.”
L'approche Champ-école agropastoral à l'honneur !Le 6 février 2025, Gourdiama, près de Kaédi, a accueilli une journée portes ouvertes dédiée à l’approche « champ-école agropastoral » (CEAP). Cet événement visait à renforcer les capacités des producteurs locaux grâce à des méthodes participatives adaptées à leurs réalités agroécologiques. Il marquait la fin de quatre mois de formation pour la première cohorte des facilitateurs fourragers dans les régions Sud.Objectifs des CEAPRenforcer les compétences des producteurs locaux grâce à des méthodes participatives et adaptées.Clôturer la formation en présentant les acquis des facilitateurs fourragers.Promouvoir l’approche CEAP en permettant aux non-participants de découvrir et d'expérimenter les leçons apprises.L'événement a réuni la participation active des autorités locales, des élus locaux, des Autorités administratives, des Services techniques étatiques, des Partenaires au développement, des Organisations paysannes et des Acteurs clés du secteur agropastoral.Les participants ont souligné l’importance de cette approche pour la souveraineté alimentaire et la résilience face au changement climatique.Activités de la journée portes ouvertes :Présentations et visites de sites avec la découverte des résultats concrets des champs-écoles.Présentation des acquis des producteurs fourragers avec la mise en avant de nouvelles techniques adaptées à leurs contextes.Échanges et discussions avec identification de pistes pour diffuser l’approche et capitaliser sur les leçons apprises.Les partenaires ont réaffirmé leur engagement à soutenir cette dynamique, essentielle pour un développement agricole inclusif.Cette journée a été une opportunité exceptionnelle pour renforcer la cohésion entre les facilitateurs, encourager les échanges d’expériences et promouvoir l’adoption de solutions durables au service du développement rural. Merci à tous les participants pour leur engagement en faveur d’un agropastoralisme durable en Mauritanie !
At the Connected Africa Summit 2024, experts and students explain how they build careers in ICT through pathways in education and entrepreneurship.The video features interviews with:Jesca Tracy Wanyony, Erly Sheilla Odhiambo, Angeline Ndanu, students from the Technical Training Institute in Nairobi.Millicent Obara, instructor at the Thika Technical Training Institute in Nairobi.Margaret Wangui, instructor and students from the Nairobi Technical Institute.H.E. Peter Maddens, Ambassador of Belgium to Kenya.Ada Nduka Oyom (Nigeria), Executive Director of She Code Africa.Shamira Ahmed (South Africa), Chair of the D4D Hub civil society and academia advisory group for Africa.Vanessa Onek Tandekwiri, Consultant with Startup Uganda.Video: The Path to Leadership for Women and Girls in ICT | D4D
At the Connected Africa Summit 2024 in Nairobi, Kenya, experts highlight the significant challenges that women and girls face in accessing digital technologies across many African countries, with particular difficulties encountered in rural areas. The video features interviews with:Vanessa Onek Tandekwiri, Consultant with Startup UgandaProf. Ieva Jakobsone (Latvia), Founder of She Rebuilds The World Ada Nduka Oyom (Nigeria), Executive Director of She Code AfricaNoélie Kiswendsida Kouraogo (Burkina Faso), President of Mys'TIC AssociationMalick Tapsoba (Burkina Faso), Expert in entrepreneurship and digital attitudes for the Digital for Girls and Women project, Enabel (Belgium)Onica Nonhlanhla Makwakwa (South Africa), Digital inclusion and gender equality expertVideo:Reducing the Gender Digital Divide | D4D Access
At the Connected Africa Summit 2024 in Nairobi, experts highlight the significant challenges that women and girls face in accessing digital technologies across many African countries, with particular difficulties encountered in rural areas. The video features interviews with:Vanessa Onek Tandekwiri, Consultant with Startup UgandaProf. Ieva Jakobsone (Latvia), Founder of She Rebuilds The World Ada Nduka Oyom (Nigeria), Executive Director of She Code AfricaNoélie Kiswendsida Kouraogo (Burkina Faso), President of Mys'TIC AssociationMalick Tapsoba (Burkina Faso), Expert in entrepreneurship and digital attitudes for the Digital for Girls and Women project, Enabel (Belgium)Onica Nonhlanhla Makwakwa (South Africa), Digital inclusion and gender equality expertWatch the video: Access to Technologies for Women & Girls | D4D Access
The Digital for Girls and Women project finances initiatives in Belgium, Burkina Faso, and Uganda, aiming to empower women and girls to fully leverage the opportunities presented by today's digital society. The project is founded on the belief that enhancing access to and the effective utilization of digital technologies can empower women economically and socially. In 2021, internet access for women in Africa stood at just 24%, in stark contrast to the 83% in Europe. Least-developed countries (LDCs) reported even lower figures, with only 19% of women having internet access (source: ITU). The gender digital gap poses significant challenges, particularly in the wake of the COVID-19 pandemic, as digital skills become increasingly crucial (source: UN Women). Globally, gender imbalances persist in fields such as ICT specialists, where the gender gap is 82%, and STEM and ICT graduates, with a 65% gap. Machine learning specialists and those in AI see even lower female representation at 12% and 13.83%, respectively[1]. However, this imbalance is more prevalent in the developing world, where access to education is more challenging (source: UN Women). A survey showed that many companies in Sub-Saharan Africa (SSA) recruit internationally for digital talent because of the lack of skilled locals. Nevertheless, SSA anticipates a demand for over 230 million jobs requiring digital skills by 2030, highlighting a pressing need for both basic and advanced digital skills across the region[2]. Furthermore, the project seeks to empower women and girls to assert their digital rights. Digital rights encompass access, use, and control of digital information and technology. The European Commission emphasizes six principles in its declaration on European Digital Rights and Principles, centered on a human-centric vision[3]. The pan-African Declaration on Internet Rights and Freedoms champions openness, freedom of expression, the right to information, knowledge development and access, privacy, personal data protection, and gender equality. This pan-African declaration has garnered endorsement from various individuals and organizations across 47 African countries, including many in Uganda[4]. The D4GW project aims to empower individuals, particularly women and girls, to assert these digital rights amidst the rapid digital transformation taking place in developing countries. The final objective of the Digital for Girls and Women project is focused on mainstreaming of gender-related topics in digital for development (D4D), on Belgian and European level, developing joint approaches and active knowledge sharing. The Gender-strategy developed at the D4D Hub[5] ingrains a gender transformative approach to equality and women’s empowerment into the design and implementation of D4D hub policies, processes and work streams and programs[6]. [1] Perifanou, Maria & Economides, Anastasios. (2020). Gender Digital Divide in Europe. International Journal of Business, Humanities and Technology. 10. DOI: 10.30845/ijbht.v10n4p2. [2] Digital Skills in Sub-Saharan Africa, Spotlight on Ghana, A New Study Explores Digital Skills in Sub-Saharan Africa, International Finance Corporation (World Bank Group), in collaboration with L.E.K. Consulting: digital-skills-report-flyer-5-22-19-web.pdf (ifc.org) [3] European Digital Rights and Principles | Shaping Europe’s digital future (europa.eu) [4] Home | African Declaration on Internet Rights and Freedoms (africaninternetrights.org) [5] Join the Digital for Development (D4D) Hub (d4dhub.eu) [6] Micky Elanga, A transformative and intersectional approach to placing women and girls' rights at the heart of digital development, D4D Hub, Brussels 2024.
Dans le cadre du programme « Promotion du développement de filières agricoles et pastorales durables – RIMFIL », financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Enabel, deux voyages d’études ont été organisés au Maroc du 27 au 31 janvier 2025.Ces missions ont rassemblé dix cadres nationaux impliqués dans la sécurité sanitaire des aliments (SSA) ainsi que cinq professionnels du secteur semencier mauritanien, accompagnés par un expert d’Enabel Mauritanie. Leur objectif ? S’inspirer du modèle marocain pour renforcer les dispositifs nationaux mauritaniens en matière de contrôle qualité des aliments et de production de semences.Ces voyages ont permis aux participants d’explorer le fonctionnement de l’Office National de Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires (ONSSA) et du dispositif national semencier marocain. Ils ont ainsi pu :Affiner leur vision du développement de ces secteurs en Mauritanie,Identifier des pistes de collaboration avec des institutions marocaines,Renforcer les capacités des acteurs mauritaniens, tant sur le plan technique qu’institutionnel,Améliorer le cadre légal pour assurer une meilleure structuration et une efficacité durable du secteur.Ces échanges sont une étape clé vers la consolidation d’un système SSA performant autour de l’Agence Mauritanienne de Sécurité Sanitaire des Aliments et du dispositif semencier national, en vue de promouvoir des produits agricoles et agroalimentaires de qualité sur le marché mauritanien et au-delà. Enabel et ses partenaires poursuivent leur engagement pour un secteur agro-sylvo-pastoral durable et résilient en Mauritanie.
L'Institut National de Santé Publique (INSP) s'est engagé dans la formation initiale et continue du personnel de santé avec l'objectif d'améliorer la qualité des ressources humaines au Burundi. Depuis 2018, cet institut propose un Master en santé publique en collaboration avec quelques partenaires dont l'Ecole de santé publique de l'Université Libre de Bruxelles. Cette spécialisation est destinée aux étudiants titulaires d'un diplôme de médecine générale ou d'une licence souhaitant à un niveau supérieur d'étude. Ce programme ambitieux exige une disponibilité d'enseignants de profils variés, notamment en épidémiologie et en gestion des systèmes de santé. Et pour certains modules, des défis d'avoir toutes les compétences localement ont été relevés pour assurer cette formation. Afin de faire face à cela, l'INSP et Enabel via le Programme d'appui au système de santé à travers l'outil de financement basé sur la performance (UE-PASS-FBP3 AMAGARA MU MURYANGO) financé par l'Union européenne, ont signé une convention de subventions visant à contribuer à ce Master en sciences de la santé publique.Selon le Docteur Nzigamasabo Didace, médecin chef de district à Kiremba dans la province sanitaire de Ngozi, qui se spécialise en santé publique, option gestion des systèmes de santé : « cette formation permettra aux bénéficiaires d'avoir une bonne maîtrise du management de district, ce qui leur permettra d'améliorer l'offre des soins et services de santé offerts à la population burundaise ». Un des professeurs visiteur Criss KOBA, enseignant à l'Université de Kinshasa, spécialiste en épidémiologie et gestion des systèmes de santé, estime que les étudiants sont très motivés et engagés dans cette formation. « Le projet de formation auquel j'ai été associé en tant que professeur reste fondamental dans la capacitation des nouveaux experts en santé publique pour le renforcement du système de santé burundais ». Le Conseil National de l'Enseignement Supérieur (CNES) du Burundi a recommandé de renforcer la disponibilité des enseignants dans les universités du Burundi qui répondent aux profils requis dans l'enseignement du Master en santé publique pour tous les cours.
Enabel, l’agence belge de développement a signé le jeudi 23 janvier 2025 un mémorandum d’entente avec le Conseil National du Patronat Burkinabè (CNPB). Un acte qui symbolise l’engagement des deux parties à soutenir l’écosystème entrepreneurial et les acteurs du secteur privé. Cette convention vise également à consolider la contribution d’Enabel au renforcement de l’entrepreneuriat et de la compétitivité économique. La signature est intervenue en marge de la cérémonie d’installation officielle des bureaux régionaux du patronat. Le partenariat entre les deux entités permettra à Enabel, de déployer davantage ses ressources et son expertise en matière de soutien aux petites et moyennes entreprises (PME). Ces dernières représentent un pilier essentiel de la croissance économique et de la création d’emplois au Burkina Faso. Le CNPB, à travers ce partenariat, entend renforcer les capacités des entreprises burkinabè et, à leur offrir de meilleures opportunités de financement. Julie Van Der Missen, Portfolio Manager, représentant le Directeur Pays d’Enabel a souligné l’importance de cette collaboration, qui selon elle, confirme l’engagement de son institution à soutenir les entrepreneurs burkinabè en leur permettant de surmonter les défis liés à la croissance et à la compétitivité. Cette collaboration avec le patronat représente également, une étape importante de l’Agence belge de développement pour l’assistance et la promotion du financement des PME ainsi que la promotion de la chaîne des valeurs agricoles. Enabel réaffirme par là son rôle d’acteur stratégique dans le développement économique du Burkina Faso.
Un engagement pour le sport et l’esprit d’équipe Le 19 janvier 2025, Enabel au Burkina Faso a participé à la IXe édition du “10 km de Ouaga”. L’activité sportive était organisée par le Centre Sportif Jean Simporé de Ouagadougou. Cet événement de référence a une fois de plus montré l’importance du dépassement de soi et de la convivialité. Il a rassemblé plus d’un millier d'athlètes, d’amateurs de course à pied, et de nombreuses entreprises et organisations.Enabel, l’Agence belge de développement, a marqué cette journée par une participation active de ses collaborateurs, témoignant de son engagement envers le sport et la cohésion sociale. Pour la IXe édition, une vingtaine de collaborateur·trices d’Enabel, dont le Directeur Pays, ont fièrement pris le départ de la course. Si l’Agence ne s'est pas distinguée par des podiums officiels, elle a tout de même célébré l’engagement et les efforts de son équipe à travers un classement interne. Les trois meilleurs participants masculins et féminins ont été chaleureusement félicités, soulignant l'importance d’encourager le dépassement de soi au sein des équipes. Au-delà de la performance sportive, Enabel a profité de cette occasion pour renforcer les liens entre collègues. À l’issue de la course, les participants se sont retrouvés autour d’un cadre convivial, où la bonne humeur et le partage étaient au rendez-vous. Ce type d’initiative reflète parfaitement les valeurs portées par l’Agence. De plus, cette IXe édition a été enrichie par des innovations, notamment l’introduction d’une course de 1 km pour les enfants. Une initiative applaudie par Enabel, qui partage cette vision d’un avenir où la jeunesse est encouragée à adopter un mode de vie sain dès le plus jeune âge. En participant activement à cette compétition, Enabel illustre son intérêt pour des initiatives qui favorisent la santé, l’esprit d’équipe et la cohésion sociale. En tant que participante, l’Agence démontre que le sport peut être un outil puissant pour rassembler et motiver les individus. Les vainqueurs du 10 km, chez les hommes et les femmes, ont remporté un trophée ainsi qu’un chèque de 500 000 FCFA, tandis que les deuxième et troisièmes places ont été gratifiées respectivement de 300 000 FCFA et 100 000 FCFA. Les participants à la course de 5 km n’étaient pas en reste, avec des prix en argent et des trophées pour les meilleurs athlètes. Quant à la course des enfants, les trois premiers ont été récompensés par des trophées, l’accent étant mis sur la participation et l’engagement. À travers ces récompenses, l'événement a su combiner reconnaissance des efforts individuels et promotion de la pratique sportive, quel que soit l’âge ou le niveau. Chaque athlète ayant franchi la ligne d’arrivée a ainsi reçu une médaille de participation, symbole d’accomplissement et de persévérance. La IXe édition du “10 km de Ouaga”, marquée par la participation enthousiaste d’Enabel, restera dans les mémoires comme une célébration des valeurs communes de solidarité, de persévérance et d’engagement.
Enabel has launched the implementation phase of the WeWork project, a key initiative aimed at equipping young people—especially women—with skills for decent and green jobs. The two-day kick-off workshop, held last month, brought together partner organizations to align expectations, provide practical understanding of the grant agreement, and equip partners with tools for effective project execution. The workshop gathered representatives from Private Sector Foundation Uganda (PSFU), Cordaid, The Uganda National Agricultural (TUNADO), VSF Belgium, TRIAS, Windle International, AVSI Foundation, Illes de Paix, PRICON and SwissContact—organizations that will work with Enabel to implement the project. The sessions covered key topics such as financial and narrative reporting, procurement guidelines, fraud prevention, and communication for results.Through interactive presentations, group exercises, and plenary discussions, participants gained a clear understanding of their roles and responsibilities. The WeWork project addresses barriers to youth employment by promoting Technical and Vocational Education and Training (TVET), agriculture, and the green economy as viable career paths. By strengthening private sector capacity, enhancing productivity, and increasing value addition in key growth sectors, the project aims to train 20,000 youth, create or support 6,000 decent jobs, and secure employment for at least 30% of graduates within six to twelve months of completing training. The initiative is part of the broader Sustainable Business for Uganda (SB4U) programme under the Team Europe Initiative and is funded by the Belgian government and the European Union. Speaking at the workshop,Jan Hendrickx, the grants coordinator at Enabel emphasized a results-based approach to ensure the project achieves its objectives of supporting young people in skills development and job creation.Participants expressed their appreciation for the engaging and well-structured sessions, noting that the facilitators helped them grasp complex grant management concepts with ease. As the WeWork project moves forward, Enabel and its partners are committed to ensuring smooth implementation, effective collaboration, and tangible results that contribute to youth employment and economic growth in Uganda.
Enabel et la Banque IBDAA s’engagent pour le WarrantageDans le cadre de son partenariat avec Enabel, la Banque IBDAA pour la microfinance a participé, du 31 janvier au 2 février 2025, à un atelier de formation à Pogi pour préparer le lancement du produit de financement Warrantage. Cet atelier organisé par Enabel dans le cadre du projet SECURALIM, financé par l’Union européenne, a réuni les agents de prêt, directeurs de succursales, et experts financiers pour définir les politiques et outils de gestion du Warrantage. Ce mécanisme de crédit permet aux agriculteurs d’obtenir des prêts en échange du stockage de leurs récoltes, évitant ainsi des ventes à bas prix juste après la récolte et leur permettant de mieux valoriser leur production. L’objectif était de renforcer leur autonomie économique tout en assurant une plus grande résilience du secteur agricole. Cet atelier a mis l’accent sur la conformité du Warrantage avec les principes du financement islamique et les objectifs de la Banque IBDAA.Enabel soutient des solutions financières adaptées aux besoins des agriculteurs, en phase avec les politiques du gouvernement mauritanien en matière de développement rural et d’autonomisation des groupes vulnérables.
Le projet SECURALIM transforme l'agriculture en Mauritanie en impliquant directement les producteurs et les communautés locales dans toutes les étapes du projet. Cette approche permet de créer des solutions adaptées aux besoins réels, tout en renforçant la cohésion sociale et en prévenant les conflits liés aux terres. Grâce à cette méthode, les acteurs locaux sont mieux formés et préparés à gérer leurs ressources de manière durable. Le projet vise à offrir des solutions qui perdureront bien après son passage, en assurant un avenir agricole plus stable et résilient pour la Mauritanie. Avec son approche participative, le projet SECURALIM incarne l'engagement d'Enabel pour un développement durable et inclusif en Mauritanie, visant à renforcer les capacités locales et à garantir un avenir prospère pour l'agriculture.
L’Agence Belge de Développement (Enabel), en partenariat avec la société belge UNBOX, a lancé, ce jeudi 30 janvier 2025, un système de transaction numérique destiné à promouvoir l’économie verte et circulaire au Burundi. Cette initiative repose sur l’application mobile “XYZ Universe”, une plateforme innovante utilisant des jetons numériques pour faciliter les achats et la commercialisation de produits écoresponsables. Selon Étienne Rodenbach, responsable du projet Formation et insertion dans une économie verte et circulaire, "ce nouvel outil vise à renforcer l’accès au marché des entrepreneur.e.s burundais engagé.e.s dans l’économie durable. Il permet aux commerçants de vendre leurs produits tout en offrant aux consommateurs une solution numérique simple et sécurisée pour leurs achats". Pour Enabel, c’est aussi une manière d’encourager les entrepreneur.e.s qui offrent sur le marché des produits verts mais aussi de répondre aux enjeux de l’agenda 2030 des Nations unies dans ses principaux objectifs de travail décent, croissance économique, industrie, innovation, consommation et produits écoresponsables, action pour le climat. Dans cette première phase, 25 commerçants spécialisés dans les produits et services écoresponsables ont été sélectionnés parmi plus de 160 candidats. Une phase pilote avec le personnel d’Enabel Pour tester et encourager l’adoption du système, Enabel a attribué à chacun de ses 200 collaborateurs au Burundi l’équivalent de 100 euros (300 000 BIF) en jetons numériques. Ce montant est exclusivement destiné à l’achat de produits auprès des commerçants enregistrés sur la plateforme et ces derniers se feront rembourser auprès de Enabel en francs burundais.Dans le cadre de ce lancement, plusieurs entreprises partenaires ont été visitées, notamment KTF Concept, spécialisée dans les combustibles écologiques et les équipements de cuisson durables, Zuri Cosmetics, qui fabrique des lotions capillaires naturelles, et KLARIZA, productrice d’huile essentielle de moringa 100 % naturelle.