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  • Préparer les leaders de demain pour une meilleure participation à la gouvernance scolaire

    Préparer les leaders de demain pour une meilleure participation à la gouvernance scolaire


    Paola VANGU TSAKALA | 26/06/2024

    Près de 345 élèves, dont 172 filles, ont été formés sur leurs rôles dans la gestion scolaire afin de renforcer les capacités des comités d’élèves des écoles primaires, secondaires et des centres de rattrapage scolaire.Ces séances, avec la participation des chefs d’établissement, des enseignants et des présidents de comités de parents, visaient à renforcer les capacités des comités d’élèves, des enseignants et des présidents de comités de parents de Mbuji Mayi 2, Katanda avec l’accompagnement de notre programme Edubase dans cette province.


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    DR Congo COD22013

  • Programme de Lutte contre les Violences Sexuelles (PLVS) dans le Sud Ubangi/Gemema et Budjala

    Programme de Lutte contre les Violences Sexuelles (PLVS) dans le Sud Ubangi/Gemema et Budjala


    Paola VANGU TSAKALA | 26/06/2024

    Un véritable arsenal de matériels destiné à combattre les violences et soutenir les victimes a été distribué le 02 mai aux structures étatiques de Gemena et Budjala, pour renforcer le programme de réduction des violences sexuelles et leurs conséquences dans la région du Sud-Ubangi. Ce matériel comprenait des équipements informatiques, des moyens de transport (motos et vélos) et des kits solaires à destination de la Cour d’Appel du Sud Ubangi, du Tribunal de Grande Instance de Gemena, du tribunal pour enfants de Gemena, de la coordination provinciale du Genre, les familles d’accueil transitoire et l’Hôpital Général de Référence de Budjala.


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    DR Congo RDC1419111

  • Recyclage des conducteurs de moto-taxi à Lubumbashi

    A Lubumbashi, 80 mototaxistes sensibilisés au Code de la route


    Paola VANGU TSAKALA | 26/06/2024

    La Division provinciale de la Prévoyance sociale du Haut Katanga, en partenariat avec l’Institut National de Préparation Professionnelle (INPP) et la Police Nationale de Circulation Routière (PNCR), a organisé des ateliers de recyclage pour les conducteurs de mototaxi de Lubumbashi du 20 au 28 mai 2024.Ces ateliers, soutenus par le programme Protection sociale et Travail décent d'Enabel en RDC, ont sensibilisé 80 conducteurs sur le Code de la route et la bonne conduite. Les 50 meilleurs ont reçu des équipements de protection individuelle au cours d’une journée finale de sensibilisation de masse.


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    DR Congo COD2100511SP2

  • Partenariats innovants pour la jeunesse kinoise

    En RDC, partenariat gagnant pour l'emploi des jeunes : le cas de KinEmploi


    Paola VANGU TSAKALA | 26/06/2024

    Le programme KinEmploi a joué un rôle clé dans l'établissement d'accords de collaboration entre le Centre de Ressources (CdR) MOSALA et ses partenaires dans les domaines de la formation, de l'emploi et de l'entrepreneuriat. Ces accords signés le 9 mai marquent le coup d'envoi d’une coopération renforcée et dynamique avec notamment Louvain Coopération, CLEJUPS, CARS, ACERD asbl et KADEA Fondation. Ces nouvelles collaborations visent à orienter les jeunes vers des emplois stables et de qualité. En plus de développer les compétences des jeunes, cette initiative encouragera l'entrepreneuriat et favorisera un environnement propice à l'innovation et à la croissance économique. Le CdR pourra en outre offrir des programmes de mentorat, des ateliers de développement de compétences et des opportunités de réseautage, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour l'épanouissement professionnel et personnel des jeunes.


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    DR Congo COD20001

  • Formation sur la santé et la sécurité pour les exploitants miniers artisanaux de Lualaba

    RDC: Des formations sanitaires pour améliorer les conditions de travail des mineurs artisanaux


    Paola VANGU TSAKALA | 26/06/2024

    L'Alternative pour la Transformation de l'Artisanat Minier (ATRAM) a organisé avec le soutien de notre programme de Protection Sociale et Travail Décent, des formations à Kolwezi pour les exploitants miniers artisanaux du 7 au 22 mai 2024.Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail, célébrée le 28 avril dernier. Afin de garantir un travail plus sûr, ces sessions ont couverts le Code minier, les droits au travail et l'importance des mutuelles de santé. Des creuseurs artisanaux, des laveuses de minerais, des manutentionnaires et des responsables de coopératives, ont appris les bonnes pratiques environnementales et de sécurité. Les formations se sont soldées par la distribution des équipements de protection individuelle (EPI) à 100 exploitants. Les coopératives minières ont également été dotées de matériel de sensibilisation pour renforcer leurs actions.


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    DR Congo COD2100511SP2

  • Célébration de la journée nationale de l‘enseignement

    La journée nationale de l‘enseignement à Mbuji-Mayi : honorer le pilier de l'éducation en RDC


    Paola VANGU TSAKALA | 25/06/2024

    Le métier d'enseignant est le garant d'une éducation de qualité en République Démocratique du Congo. Le 29 avril 2024, cinquante agents de la Division Provinciale de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de Kasaï Oriental 1 à Mbuji-Mayi ont participé à une conférence débat organisée pour la journée nationale de l’enseignement.L'objectif ? Mettre en lumière cette noble profession, véritable pilier de l'éducation en RDC. Le lendemain, un grand défilé a animé le Boulevard Laurent Désiré Kabila, dirigé par le Gouverneur par intérim et le ministre provincial de l'éducation. Des dizaines d'établissements scolaires et les bureaux gestionnaires de l'EPST Kasaï Oriental ont rejoint la fête. Une célébration digne d’un véritable festival éducatif !


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    DR Congo COD22013

  • La politique du stage professionnel au cœur de la 5e édition du KBM

    Katanga Business Meeting 2024 : booster l'industrie et l'entrepreneuriat en RDC


    Paola VANGU TSAKALA | 25/06/2024

    La 5ème édition du Katanga Business Meeting (KBM) s'est tenue les 3 et 4 mai 2024 à Kolwezi, sous le thème « Investir dans les pôles industriels pour une nouvelle dynamique de croissance en RDC ». Notre coordination Haut-Katanga & Lualaba y a participé pour mettre en lumière nos projets dans la région et offrir une plateforme aux jeunes entrepreneurs du programme SOPA de présenter leurs produits et services. En parallèle, via le projet VET Toolbox et la CCBCL (Chambre de Commerce Belgo-Congolaise-Luxembourgeoise), nous avons organisé une discussion avec des acteurs clés comme l’UNILU (Université de Lubumbashi), KCC (Kamoto Copper Company S.A.), DGC AFRICA, la FEC (Fédération des Entreprises du Congo), l’ONEM (Office National de l’Emploi) afin de débattre sur la politique de stage professionnel comme levier de développement industriel. Avec plus de 60 participants, cette foire aux idées pour façonner le futur industriel a permis de mettre en évidence les défis des services publics à l'emploi et  l'importance stratégique d'une politique de stages professionnesl adaptée aux besoins du secteur minier.


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    DR Congo COD22020

  • Les éleveurs et agriculteurs impressionnés par le grand potentiel de promotion et développement de leurs activités offert par RIMFIL

    En Mauritanie, dynamisation financière des zones agropastorales grâce au projet RIMFIL


    Aminata KANE | 21/06/2024

    La mise en œuvre du programme RIMFIL, axé sur le développement des filières agricoles et pastorales et exécuté par Enabel avec le financement de l’Union européenne, a été largement saluée par les milieux agropastoraux pour son engagement à mieux desservir les zones d’intervention.En effet, dans son souci de mieux desservir la zone d’intervention, RIMFIL a contribué, en accompagnant AL-IBDAA Bank et la Coopérative DJIKKE, deux IMF (Institutions de Microfinance) partenaires, à développer de nouveaux produits de crédit pour répondre aux besoins des éleveurs et agriculteurs, à ouvrir 10 nouveaux guichets et agences.Cette proximité de l’accès au financement a permis de cibler 2 377 nouveaux adhérents et d’octroyer 1 877 nouveaux crédits, soit un volume de 20.291 000 MRU (près de 480000 euros). Au total, les nouveaux points de service ont permis de collecter 4 670 783 MRU (plus de 11000 euros) d’épargne.Très édifiant sur le fort potentiel de l’épargne comme source de financement, dans les milieux agropastoraux où l’absence d’un cadre institutionnel de financement bien adapté à leurs besoins créé des obstacles multiples à leur promotion et à leur développement.Toutefois, les interventions du programme RIMFIL à travers les deux IMF précités ont permis à ces dernières de développer plusieurs produits financiers adaptés aux besoins des agriculteurs et des éleveurs.Il y a lieu de rappeler que le déploiement du programme, s’est opéré suivant un processus bien réfléchi qui a commencé dans un premier temps, par la réalisation de diagnostics approfondis aboutissant à la sélection des IMF AL-IBDAA Bank et la Coopérative DJIKKE et d’identifier leurs besoins spécifiques en termes de renforcement de capacités.C’est sur cette base qu’un programme d’accompagnement à long terme a été mis en œuvre au profit de ces deux IMF.Acquis parallèles de RIMFILLe programme a mis également en place un système de subvention adossée à des crédits. Il s'agit d'un mécanisme de cofinancement des projets économiques portés par des promoteurs, grâce à de la subvention, à des crédits et de la contribution personnelle du promoteur.Le recours à cette approche se justifie d’une part, par le fait que les promoteurs opèrent dans des conditions socio-économiques très défavorisées, d’où le recours aux subventions et d’autre part, du fait qu’il favorise l’inclusion financière des promoteurs et la consolidation de la pérennité des services financiers proposés par les IMF.Concrètement, cette démarche consistait à sélectionner des promoteurs en fonction de la pertinence de leurs projets, puis à les appuyer dans l'élaboration de business plan, et enfin à les accompagner dans leur démarche de demande de crédit auprès des IMF et de la mise en œuvre de leurs projets. Ainsi, la mise en œuvre de cette action a permis de financer environ 250 projets. Des résultats concrets et pérennes pour les populations des zones d'intervention du programme. 


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    Mauritanië MRT19001

  • Sept (07) commissariats de police modernisés pour un meilleur service aux citoyens

    Au Bénin, sept commissariats de police modernisés pour un meilleur service aux citoyens


    Osée DOSSOU-HOUEGBE | 21/06/2024

    A travers le financement de la Belgique dans le cadre du projet PAOP I, sept commissariats d’arrondissement des communes de Parakou et Tchaourou au Bénin ont été réhabilités et reconstruits.Il s’agit des commissariats de Kika, Bétérou, Tchaourou, Tchatchou, Parakou 1er, 2ème et 3ème arrondissement dans le département du Borgou.  Ces nouvelles infrastructures améliorent les conditions de travail des policiers et offrent un accueil plus convivial et accessible aux usagers. En favorisant une meilleure interaction entre la police et la communauté, ces commissariats modernisés contribuent à un service public plus efficace et humain. Les bénéficiaires se sont engagés à en faire bon usage pour un meilleur service aux citoyens.   La cérémonie symbolique de remise des infrastructures a eu lieu le jeudi 23 mai 2024, en présence des autorités locales et administratives, et des acteurs de la société civile.


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    Benin BEN23007

  • Le consortium Enabel-GIZ lance un projet pour booster les capacités des Micros, Petites et Moyennes Entreprises

    Boost des capacités des Micros, Petites et Moyennes Entreprises au Burkina Faso: un nouveau souffle pour les entrepreneurs


    Abel YAMEOGO | 21/06/2024

    En partenariat avec la Maison de l’Entreprise du Burkina Faso (MEBF), le consortium Enabel et l’Agence de coopération internationale allemande pour le développement (GIZ), chargé de la mise en œuvre du projet de renforcement de la résilience socio-économiques des populations de la Région du Centre-nord (Projet OKD) a officiellement lancé le 13 juin 2024 à Kaya, le Projet d'amélioration de la compétitivité des Micros, Petites et Moyennes Entreprises (PACOM-MPME).Le projet OKD est financé par l’Union européenne et le ministère fédéral allemand de coopération économique et du développement (BMZ).Le lancement s’est effectué au cours d’une cérémonie officielle présidée par le Haut-Commissaire de la province du Sanmatenga M. Idrissa GANSONRE, représentant le gouverneur de la région du Centre-Nord. Il avait à ses côtés l’Intervention manager d’Enabel-OKD, M. Seydou COULIBALY, le Conseiller Technique de la GIZ, M. Idrissa OUEDRAOGO et le Directeur Général de la MEBF, M. Karim OUATTARA.La cérémonie de lancement organisée dans la salle de Conférences de la Délégation Consulaire Régionale du Centre-Nord de la Chambre de Commerce et d'industrie du Burkina Faso (CCI-BF), marque le démarrage officiel des activités du PACOM-MPME qui apportera un soutien à des jeunes entrepreuneurs.res, sélectionnés pour bénéficier sur mesure, de services financiers et non financiers.Une présentation du projet a été faite aux autorités, aux partenaires institutionnels et techniques, ainsi qu‘aux différents acteur·trices qui seront impliqué·es dans la mise en œuvre du projet, en vue d’assurer la bonne appropriation et exécution dudit projet.Implication des parties prenantes dans la conception et la mise en œuvre du projetLe processus de sélection des jeunes porteurs d’idée de projet a été bouclé en mars 2024, suite à une présélection sur dossier suivie d’entretiens oral, avec l’implication des différentes parties prenantes telles que la Direction Régionale de la Jeunesse, la MEBF, les maries, les services techniques partenaires, le Conseil Régional de la Jeunesse, la Coordination Régionale des femmes, l’Agence Nationale pour la Promotion de l’Emploi (ANPE) et l’Agence Nationale de la Formation Professionnelle (ANFP). Quant aux Entreprises déjà actives à renforcé, leur sélection se fera suivant la même démarche les jours à venir.Avant le lancement officiel des activités du PACO-MPME, des réunions d’information et de sensibilisation ont été tenues en avril 2024 dans les communes de Kaya, Boulsa, Korsimoro et Boussouma avec les jeunes porteurs de projets bénéficiaires, en vue de leur expliquer le processus d’accompagnement, recueillir leurs besoins techniques et matériels ainsi que leurs attentes vis-à-vis du projet.Une approche novatrice pour favoriser l’émergence et la compétitivité des entreprisesDans le cadre du PACOME-MPME, la MEBF, en qualité d'agence d'exécution, mettra en œuvre des actions pour promouvoir et développer une approche novatrice, à savoir le « SME Business raining and Coaching Loop (SME Loop) » et le “Startup Business Training and Coaching Loo Start up Loop”, afin de favoriser l'émergence et la compétitivité des MPME, à travers notamment le renforcement de leurs capacité et résilience ainsi que la promotion de l'emploi et l'autonomisation des jeunes dans la région du Centre-Nord.La conception et le lancement du PACOM-MPME découlent du fait que les MPME du Burkina Faso peuvent constituer une source de croissance économique durable et le moteur de création d'emplois.Cependant, selon une analyse faite par le Directeur Général de la MEBF à la cérémonie de lancement du PACOM-MPME, le secteur privé du Burkina Faso est constitué à plus de 80% de MPME ayant des capacités de résilience généralement limitées. Ces MPME connaissent une certaine fragilité financière et restent très vulnérables face à la conjoncture économique nationale et internationale.D’où la nécessité de déployer des actions synergiques pour lever les contraintes qui empêchent son développement notamment l'absence de débouchés commerciaux, la difficulté d'accès au financement, la difficulté de création et de maintien des emplois, les insuffisances de compétence techniques, commerciales et managériales des acteur·trices concerné·es.Le PACOM-MPME, une opportunité pour les acteur·trices des MPME du Centre-NordA travers le PACOM-MPME, il est prévu des actions pour : renforcer les compétences managériales et techniques des porteurs de projets et MPME existants à travers l’implémentation de la démarche Startup Loop et SME Loop ;mettre en place une démarche qualité au profit des MPME pour la labélisation de leurs produits ;assurer une assistance technique pour la facilitation et la création des entreprises.Ce projet constitue, une opportunité pour les acteur·trices des MPME de la région du Centre-Nord, car il leur permettra de mieux appréhender la notion d’entrepreneuriat, d’asseoir de meilleures pratiques de gestion de l’entreprise et surtout d’enrichir leur connaissance et de trouver les voies et moyens de pérenniser des emplois décents.Il s’exécutera sur une période de dix-huit (18) mois et devra permettre à terme d’aboutir aux résultats suivants :à 100 porteurs de projets et 100 MPME de renforcer leurs compétences managériales et techniques, à travers l’implémentation de la démarche Startup Loop et SME Loop ;aux MPME de labelliser 10 produits dans le secteur de l’agroalimentaire à travers l’adoption d’une démarche qualité ;aux porteurs de projet et aux MPME de se conformer à la réglementation et au cadre légal relatif à la création et à la formalisation.Présent à la cérémonie de lancement du PACOM-MPME, le représentant de la coordination régionale des organisations de la société civile a salué cette démarche qu’il a jugée participative et exprimé sa satisfaction et sa pleine adhésion au projet. Il en est de même pour les acteur·trice des collectivités territoriales (mairies) qui se disent satisfait·es et prêt·es à accompagner la mise en œuvre des activités du projet.Par Kimségninga SAVADOGO, Communication Assistant


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    Burkina Faso BFA22002

  • Promotion et accompagnement des jeunes promoteurs de projets au Burkina Faso : Enabel contribue à la relance économique dans le centre-Nord

    Au Burkina Faso, Enabel dynamise l'entrepreneuriat des jeunes et contribue à la relance économique dans le centre-Nord du pays


    Abel YAMEOGO | 19/06/2024

    Du 22 au 23 Avril 2024, Enabel au Burkina Faso a organisé des réunions d’information et de sensibilisation dans les communes de Kaya, Boulsa, Korsimoro et Boussouma avec des jeunes porteurs de projets. En effet, dans le cadre de la mise en œuvre du Projet OKD (Axe Ouaga-Kaya-Dori), 120 jeunes porteurs de projets ont été sélectionnés dans ces 4 communes pour bénéficier d'un accompagnement sur mesure de services financiers et non financiers de la part d’Enabel. Au de-là de l’information et de la sensibilisation, l’objectif de ces rencontres était également de mener un plaidoyer auprès des maitres artisans pour les placements et le bon déroulement des stages de perfectionnement au profit des jeunes porteurs de projets sélectionnés Les rencontres dans les différentes communes visaient aussi à expliquer aux jeunes promoteurs de projets le processus d’accompagnement, recueillir leurs besoins techniques et matériels et leurs attentes vis-à-vis du Projet OKD. Le processus de sélection qui a consisté à une présélection sur dossier suivie d’un entretien oral a été bouclé en mars 2024. Ce processus inclusif et participatif a été conduit en collaboration avec les différentes parties prenantes telles que la Direction Régionale en charge de la Jeunesse, la Maison de l’Entreprise du Burkina (MEBF), les mairies, les services techniques partenaires, le Conseil Régional de la Jeunesse, la Coordination Régionale des femmes, Burkina Suudu Baodwè (BSB) qui est un Etablissement Public de l’Etat à caractère Administratif (EPA), et des représentants des bénéficiaires. Quant aux jeunes porteurs de projets, ils ont salué cette démarche qu’ils ont jugée participative et exprimé leur pleine adhésion au projet. Par ailleurs, les points focaux de l’activité au niveau des quatre mairies se disent satisfaits et se disent prêts à accompagner le processus. Ces rencontres contribuent à l’atteinte des résultats 1 et 3 du Projet OKD où il est prévu, entre autres, le renforcement des dispositifs de promotion et d’accompagnement de jeunes promoteurs de projets dans les filières porteuses de l’économie locale pour contribuer à générer des emplois pour les jeunes et les femmes de la Région du centre-Nord. Il va s’agir donc d’accompagner ces 120 jeunes qualifiés à la création de Micro, Petites et Moyennes Entreprises (MPME) et au développement d’activités génératrices de revenus. Le Projet OKD est mis en œuvre par le consortium Enabel-GIZ et financé par l’Union Européenne et le Ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement (BMZ) à hauteur de 10 229 023 euros, soit environ 6,7 milliards de F CFA. Débuté le 1er janvier 2023, la clôture du projet est prévue pour le 31 décembre 2026, soit une durée de 48 mois.


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    Burkina Faso BFA22002

  • Intégrer les soins de santé mentale dans le système de santé pour améliorer la qualité et l’accessibilité

    Santé mentale au Burundi : renforcement des soins et des capacités


    Jean BIRONKWA | 18/06/2024

    La santé mentale fait partie intégrante de la santé et constitue un droit humain fondamental. L'ampleur des troubles mentaux fait de la santé mentale aujourd'hui une priorité de santé publique dans le monde.Dans son dernier rapport sur la santé mentale en juin 2002, l'Organisation Mondiale de la Santé estime que les troubles mentaux touchaient une personne sur huit dans le monde. L'OMS rappelait également qu'il est possible de prévenir certains troubles mentaux et qu'une majorité d'entre eux peuvent être traités avec succès. Si de nombreux traitements existants et qu'ils ont fait preuve d'efficacité, leur disponibilité et l'accès à des soins adéquats représentent un grand défi dans beaucoup de régions, en particulier dans les pays en voie de développement. Au Burundi, la prise en charge des patients souffrant de troubles mentaux reste un défi au niveau du système de santé. Face à cette problématique, le Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida avec l'appui de ses partenaires, dont l'Union européenne, a adopté la stratégie de l'intégration des soins de santé mentale dans les soins de santé primaires pour renforcer l’accessibilité aux soins de santé mentale de qualité. En référence aux documents des directives nationales pour l'intégration des services de santé mentale dans le système de santé et aux normes sanitaires nationales, un plan de renforcement des capacités des prestataires a été lancé en vue d'assurer la prise en charge des troubles mentaux dans les formations sanitaires du pays. Dans ce cadre, le PNILMCNT (Programme National Intégré de Lutte contre les Maladies Chroniques Non Transmissibles), programme en chargé de la santé mentale du MSPLS, en partenariat avec le programme d'appui au système de santé à travers l'outil de financement basé sur la performance PASS3-FBP AMAGARA MU MURYANGO financée par l'Union européenne, a appuyé le renforcement des compétences des prestataires des soins pour intégrer les soins de santé mentale dans le paquet des soins offerts dans les hôpitaux de district et des centres de santé au Burundi. Cet appui inclut également la mise en place d' une équipe de formateurs nationaux en santé mentale. En mars 2024, 29 médecins généralistes issus de 9 provinces du pays ont suivi une formation en santé mentale dont l'objectif principal était de renforcer leurs capacités concernant la prise en charge et le suivi des troubles mentaux prioritaires au niveau des structures de santé périphérique, en permettant une prise en charge la plus proche possible du lieu de vie des patients. Lors de la cérémonie d'ouverture de la formation, Dr Jean de Dieu HAVYARIMANA, Directeur du PNILMCNT, a fait un plaidoyer en faveur du développement des soins de santé mentale dans le pays : « Il faut renforcer les connaissances en santé mentale des prestataires et renforcer le département en chargé de la santé mentale pour avoir des ressources humaines qualifiées en santé mentale. D'un autre côté, il est important d'intégrer les indicateurs de la santé mentale dans le financement basé sur la performance pour faciliter leur financement, afin de garantir l'accès à la population aux soins de santé mentale de qualité ». Un des participants, le Dr Patrice Manirakiza, médecin généraliste affecté à la clinique universitaire de Mwaro, a également témoigné sur sa pratique et a signalé que : « les personnes avec des problèmes de santé mentale sont nombreuses, mais malheureusement ne sont pas prises en charge dans les formations sanitaires. Pour le moment, les prestataires n'ont pas assez de capacités pour traiter et accompagner les malades souffrant de problèmes de santé mentale, d'où l'importance de cette formation ».  


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    Burundi BDI21002

  • Saidath crafts a new life through business and mentorship

    Saidath crafts a new life through business and mentorship in Uganda


    Jovia KAVULU | 18/06/2024

    Saidath Masika is a refugee from the Democratic Republic of Congo (DRC). She lives and works as a tailor in Arua, Uganda. Arua, has in the recent past seen a significant influx of refugees, primarily from neighboring countries such as South Sudan, DRC and Burundi. The refugee population in Arua often seeks safety and asylum due to conflict, violence, and political instability in their home countries.Before Saidath left DRC, she had dropped out of school due to pregnancy. After the birth of her child, she began learning tailoring but before she could master the craft, her family was forced to flee to Uganda due to political instability. Determined not to give up, Saidath began her tailoring business in Uganda but faced challenges because she lacked vital skills like making men’s wear such as shirts and trousers.Saidath’s business took a different turn when she applied for a tailoring course to acquire the skills she was lacking. After the intensive training, Saidath who had previously been living in Koboko, decided to move her business to Arua, a more vibrant and busy town, with the hope of getting customers.Many refugees in Arua freely engage in entrepreneurial activities, such as small businesses, agriculture, and handicrafts, contributing to the local economy and their own self-reliance. Non-governmental organizations (NGOs), and local authorities play a crucial role in providing assistance, protection, and support to refugees in Arua and surrounding areas.“Initially, it was difficult due to a small base of clients, but now, life is better because over time, I have gained loyal customers.”Despite the initial setbacks, Saidath pushed on and today, she has no regrets. She is happily earning while doing what she loves to do.“I encourage other young females like me to have courage, learn something so that they can have some money to survive.”Her business has helped her chip in to buy school requirements like uniforms for her children, while their father pays their school fees. She is also able to buy food for them. Sometimes she extends help to her siblings by buying them food and clothing.Her biggest challenge in her business is with difficult customers who change their minds after tailoring exactly what they told her. Sidath gets frustrated but because she wants to retain them, she usually goes over the design with them again and starts tailoring afresh.Before she shifted her business to Arua, she was working in Koboko, where she trained 4 girls from the host community, 3 of whom have since started their own tailoring businesses. She is currently training 6 girls who she charges 300,000/= each for 6 months.Through her mentorship, she not only imparts skills but fosters a sense of unity and collaboration among her diverse students who include both Ugandans and refugees.


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    Oeganda UGA160321T

  • Take action to end child labour – Uganda labour stakeholders urged

    Urging action: Uganda's call to end child labour gains momentum !


    John CANDIGA | 13/06/2024

    Employers and labour rights stakeholders in Uganda have been encouraged to amplify their efforts towards prevention of child labour. This emphasis was made during an event organised by the Ministry of Gender Labour and Social Development and partners to observe the World Day Against Child Labour at Mestil Hotel, Kampala under the theme: “Let us Act Now on our Commitments: End Child Labour!” Child Labour refers to work that is mentally, physically, socially, or morally dangerous and harmful to children. It is hazardous work, which by its nature or in the circumstances under which it is performed, jeopardizes the health, safety, and morals of the children. Child labour is also perceived as work or activities which interfere with children’s school attendance. In all forms, Child Labour deprives children of education, skills, and other opportunities and denies them from securing decent incomes and stable employment as adults. In observation of the World Day Against Child Labour, stakeholders focus on promoting concrete actions and fulfilling the commitments to address the root causes of child labour, which was at the heart of the Durban Call of Action, adopted at the 5th Global Conference for Elimination of Child Labour in May 2022 in South Africa. According to International Labour Organisation (ILO) global estimates, Child labour remains a persistent problem in the world today. The latest global estimates indicate that 160 million children (63 million girls and 97 million boys) were in child labour globally at the beginning of 2020, accounting for almost 1 in 10 of all children worldwide. Seventy-nine (79) million children; nearly half of all those in child labour were in hazardous work that directly endangers their health, safety, and moral development. In the African continent, there are 92.2 million (21.6%) child labourers according to ILO and UNICEF 2020 global estimates. Around 70% are in the agriculture sector, including fishing, forestry and livestock herding, 19.7% in service and 10.3% in industry including mining. The recent Uganda Bureau of Statistics National Labour Force Survey 2021 revealed that 6.2 million (40% of the 15.7 million) children aged 5-17 years were involved in child labour excluding those doing household work, with more boys (50.4%) than girls (49.6%) working. The rates were higher in rural (42%) compared to urban (32%) areas. The findings revealed that eight in ten of the children aged 5-11 years were working yet they are not supposed to work. The proportion of children involved in hazardous occupations, and working for long hours, more than 14 hours a day was almost 3%. The Senior Labour Officer, Iganga, Abubaker Waiswa, said that there is a need to simplify the parenting guidelines and translate them into local languages such that parents can wake up and understand what their roles are. “Can we have this integrated into the national education curriculum such that when you move to education institutions there is signage showing, 'End Child Labour”, added Abubaker Waiswa. The Assistant Commissioner for Youth, and Children Affairs at the Ministry of Gender, Labour and Social Development, Tollea Franco said that they have embarked on training the labour officers, senior probation and welfare officers, and community development officers to address this vice. The Federation of Uganda Employers (FUE), Employment Relations Specialist, Geoffrey Kabi, said that they started taking action in fighting child labour in 1999, by withdrawing children from tea, rice, and sugar plantations and putting them back in school. “We are also actively supporting training enterprises across sectors on child labour due diligence and supporting members to take practical steps to implement sustainable farming practices”, added Geoffrey Kabi. The Director International Labour Organisation (ILO) in East Africa, Khamati Mugalla said that child labour is both a cause and effect of poverty and they will continue to support the government in improving access to quality education and training through vocational training, skilling, and upskilling of the many children who are dropping out of school in recent years. “While the number of children whose health, safety, and future development are being put at risk, our experience confirms that achieving a world free of child labour is within our reach”, said Khamati Mugalla. The Commissioner for Equity and Rights, Ministry of Gender, Labour and Social Development, Benard Mujuni said that the World Day Against Child Labour emphasizes the importance of social partners, the private sector, and civil society, especially to come together, mobilizing resources, and create platforms for the elimination of child labour. In an effort to end child labour, Enabel through the Decent Work and Social Protection project, and Advancing Respect for Human Rights by Businesses in Uganda (ARBHR) project recognizes the pivotal role of engaging private sector and corporate stakeholders in the fight against child labour through targeted awareness campaigns, particularly focusing on agriculture and mining sectors to equip businesses with practical measures to mitigate child labour within their operations through tailored training programs, encompassing private sector representatives, civil society organizations, government agencies, and local authorities. This is intended to bolster their ability to monitor, report, and combat the most egregious forms of child labour. By harnessing the collective efforts of stakeholders and leveraging innovative approaches, Enabel remains resolute in its pursuit of a future where every child is liberated from the scourge of child labour. Speaking at the event at Mestil Hotel, Kampala, the European Union (EU) in Uganda Head of Governance and Social Inclusion, Nicolas Gonze noted EU support to Uganda in tackling child labour in the coffee and sugar supply chains and said, "Let us renew our collective commitment to free children from labour so they can remain in school and pursue their dreams”. The International Labour Organisation (ILO) launched the first World Day Against Child Labour in 2002 as a way of highlighting the plight of children engaged in Child Labour. Since then, 12th June of every year is observed as the World Day Against Child Labour, dedicated to renew efforts towards the elimination of child labour.


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    Oeganda UGA21003

  • My business is a blessing to me in Uganda: Grace John

    Turning dreams into styles: Grace’s journey from quarry worker to skilled hairdresser in Uganda


    Jovia KAVULU | 13/06/2024

    Grace John Oreyo is from Agojo refugee settlement in Adjumani district. She is a proud hair dresser who was initially a quarry worker. Quarry workers extract stone, sand or other minerals from the earth’s surface. As a quarry worker, Grace John used to work long hours for meagre. When she heard about a training in hairdressing, it was like a dream come truw for her because she had on several occasions tried to learn plaiting hair on her own but had failed. So when the opportunity of training came her way, she embraced it and trained for 7 months. After the training, she worked as an intern at a salon in Adjumani town, where she was able to enhance her skills. Now, Grace John is very good at plaiting hair and she is making a living out of it.“I have learnt skills like locking hair, which is a hairstyle that is on demand and pays well. I am now able to support myself financially”Grace John is grateful for the opportunity to train but is aware that many more youths have not been as lucky as her. They are still wallowing in poverty, the way she was. She therefore urges aid organizations to come up with similar initiatives so that more youth can be empowered. Her message to the youth is that they should not give up on their lives but should be vigilant and apply for trainings when they are advertised so that they can acquire skills that can get them out of poverty.She named her business ‘Blessing beauty salon’ because she believes it is a blessing from God. “Of all the people who applied for the training, it was a blessing that I was selected to train.  I am very grateful to God for the opportunity”.


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