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Du 24 avril au 5 mai 2017, une délégation du Ministère des Travaux Publics et des Transports s’est rendue en Belgique afin de renforcer ses capacités dans l’intégration de l’environnement dans le domaine des transports aériens. Composée de 20 personnes, la formation a couvert 3 thématiques plus précises : - Etude des incidences des activités aéroportuaires sur l’environnement- Système de management environnemental des installations aéroportuaires - Aviation civile et gaz à effet de serre La session de formation, conduite à Liège, a permis la rédaction, par les participants avec l’appui du formateur, d’un document de synthèse à l’attention du Ministère. Ce document propose un état des lieux et un aperçu des réglementations internationales sur la question et propose la rédaction d’un plan d’action national comprenant : - Une stratégie spécifique pour les aéroports, visant essentiellement à renforcer la prise en compte des problématiques environnementales et plus particulièrement des émissions de GES, par la réalisation de bilan carbone ; - Un plan d’action pour le transport aérien national et international; cette dernière partie permettant à l’Algérie de répondre à l’appel de l’OACI sur le sujet. La motivation et le sérieux des stagiaires a permis un travail efficace et constructif, le tout dans une ambiance agréable. Les stagiaires provenaient : - De la Direction de l’Aviation Civile et de la Météorologie (DACM) du Ministère des travaux publics et des Transports (MTPT) - De l’Institut Hydrométéorologique de Formation et de Recherches d’Oran (IHFR) - De l’Office National de la Météorologie (Météo Algérie) - De l’Etablissement de Gestion des Services Aéroportuaires (EGSA)
Le 1er août 2017, les conventions de subside des projets d’appui à la société civile algérienne, ont été signés en présence de Madame la Ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables. Les conventions ont été signées au profit de 17 associations pour un montant total de plus de 420 000 euros. Les associations subventionnées sont situées sur 07 wilayas de la zone côtière : Alger, Béjaia, Bourmerdes, Oran, Tipaza, Tizi Ouzou, Tlemcen. Les projets financés concernent un large éventail d’actions : sensibilisation et éducation environnementale, entrepreneuriat vert et économie verte, gestion des zones rurales (concept d’écovillage), renforcement des capacités des acteurs associatifs dans le domaine de la sensibilisation, protection du milieu marin et gestion durable de l’eau. Dans son discours, Madame la Ministre a encouragé les bénéficiaires à penser à la durabilité des actions et non pas uniquement à leur mise en œuvre et à envisager des actions de qualité avec une bonne visibilité pour diffuser et encourager les bonnes pratiques. Pour que les projets soient durables, le PRCDE a mis en place un processus en plusieurs étapes. La première étape a consisté à animer, dès la publication de l’appel, des journées d’information dans les quatorze wilayas visées, afin expliquer les lignes directrices et répondre aux questions des associations. Ensuite, les associations candidates ont pu déposer des notes succinctes pour décrire leur idée de projet. Après une 1ère sélection, les associations restantes ont bénéficié d’une formation en Gestion de Cycle de Projet avant de formuler leur projet. Ensuite une sélection définitive a été faite et, avant la signature des conventions de subside, une rencontre a été organisée avec les associations pour en expliquer le contenu de la convention article par article et répondre aux questions.
Pour mieux comprendre les facteurs de résilience des jeunes filles scolarisées dans six collèges ruraux pilotes, le projet Sarraounia a jugé nécessaire d’expérimenter une méthodologie innovante de suivi-évaluation : le Sensemaker®. L’application de cette méthodologie participative donne l’opportunité unique aux jeunes filles de témoigner en toute confiance sur leur quotidien. C’est d’autant plus pertinent pour le projet, que cela permet de mettre en exergue la voix des jeunes filles scolarisées des six collèges ciblées. Les histoires racontées par ces jeunes filles nous livrent des témoignages sincères sur les réalités d’une jeune fille scolarisée dans un collège rural au Niger.Les résultats significatifs issus de l’analyse de ces histoires de vie sont présentés dans ce rapport de synthèse. En aidant à mieux comprendre, ce qui motive réellement ces jeunes filles à persévérer dans leurs études malgré tous les obstacles qu’elles rencontrent, nous pourrons faire des recommandations pertinentes aux différentes parties prenantes impliquées dans la mise en oeuvre de ce projet, afin de mieux réorienter les activités de sensibilisation en cours sur le terrain.https://www.btcctb.org/fr/publication/valorisation-des-messages-cles-livres-par-des-jeunes-filles-scolarisees-dans-six
Voici le gouverneur du Kasaï Oriental, Ngoyi Kasanji, sensibilisant la population de la province sur les bonnes pratiques routières, lors du lancement des travaux de réhabilitation de l'axe Tshikuyi-Ngandajika.L'implication des autorités locales, inscrite dans une approche 'du bas vers le haut', est une priorité pour PRODEKOR afin d'assurer l'appropriation des acquis par la population bénéficiaire.
Dans le cadre d'un voyage d'étude sur la thématique suivante "Budgétisation sensible au genre" (BSG), financé par le projet Renforcement des capacités organisationnelles par l’octroi de bourses et organisé par l’Asbl « Le Monde selon les femmes ». Huits Directeurs issus du Ministère de l'Economie et des Finances du Maroc sont venus en Belgique du 1 au 7 octobre 2017. L’objectif de ce voyage d’étude est le partage d’expériences du processus belge et le transfert de savoir-faire et de compétences dans le domaine de Budgétisation Sensible au Genre : la mise en œuvre de la budgétisation sensible au genre (le « Gender Responsive Budgeting ») au sein des processus de planification et programmation budgétaire, des stratégies sectorielles, des systèmes d’information ainsi que le renforcement des capacités des responsables et cadres du ministère au niveau décisionnel en vue d'une meilleure conduite dudit processus.Suite à ce séjour en Belgique les participants ont eu la possibilité d’établir des stratégies sensibles au genre en vue d’obtenir des résultats positifs dans le cadre de la promotion de la BSG dans les politiques publiques .Egalement d’identifier les bonnes pratiques et leçons apprises de l'expérience belge en matière d’intégration du genre dans les processus de planification et programmation budgétaires.
With great curiosity students follow the moving graphic images on the computer screen while a coding trainer enthusiastically explains how to write simple scripts. For Esther Akiror, a 17-year old tailoring student at St-Daniel Comboni Polytechnic in Moroto, it is the first time she learns about coding. “This is very exciting, today I designed and decorated a cartoon.” Africa Code Week 2017 focuses on teaching ‘Scratch’, a visual programming language developed by the Massachusetts Institute of Technology (MIT) to lower the technical threshold for coding. Uganda is one of the 35 African countries hosting over 1,500 coding workshops involving 500,000 children and youth across the continent. As coding is considered the “blue collar” skill of the 21st century, it is introduced to empower future generations with the computer skills needed by a modern workforce. This year a collaboration was set up between Makerere University and partners such as BTC’s Support to Skilling Uganda (SSU) project, to introduce coding sessions at Vocational Technical Institutes (VTI’s) in Albertine-Rwenzori, Karamoja and Yumbe. Instructor teams composed of students from Makerere University gave coding sessions in VTI’s supported by the SSU project. These teams trained local students as well as IT-teachers of the VTI’s. 23-year-old Edith Ndagire, a third year Telecom Engineering student, was part of the instructor team at Lokopio VTI in Yumbe. For her it was an engaging experience: “The students here are enjoying the coding lessons and have grasped faster than I expected. They are disciplined”. The Africa Code Week initiative empowers youth such as Esther Akiror with relevant computer skills, even allowing them to create incomes for themselves. “As a tailoring student I might use coding to promote my future business.” BTC’s participation in Africa Code Week targets VTIs and populations that are often neglected when innovative interventions such as digitalization are rolled out.
Une deuxième interview avec la Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision marocaine a été diffusée le 25 octobre dernier sur la filière datte et amande. Nous vous invitons à l'écouter ici.
Project activities must deliver progress towards objectives and results and to reaching the set performance indicators. This progress depends on the active contribution of project beneficiaries and stakeholders while activities are unfolding. On 25 October 2017 RALG Kon Tum united more than 100 project protagonists from provincial level and three piloting districts in a workshop. Participants developed their plans about how they will contribute to reaching the result indicators, what partners they want to include and what specific innovations to transparent and accountable local governance they promise to develop.
La Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision marocaine nous a rendu visite pour une interview sur le safran difusée le 19 octobre dernier sur SNRT Chaine Inter. Nous vous invitons à l'écouter ici.
On the 20th of October, the project launch workshop and the first PSC (Project Steering Committee) was jointly organized for the Support for responsive accountable local governance (RALG) projects in Nghe An and Ha Tinh. The meeting took place in Vinh and was co-chaired by the Vice Chairs of the PPC of both provinces and by the BTC-Representative. An impressive number of 80 participants was present: representatives from both provinces, from MPI and from Min. of Finance and from BTC. The project’s progress and implementation strategy were discussed, as well as the revised work plans and budget plans, which were approved. Special attention was given to the necessary speeding up of the implementation , now that the funds are available, as the deadline of the project will stay 30/06/2019. The 2 provinces decided to continue to exchange information during the implementation and to jointly also organize the next PSC, this time in Ha Tinh. At the closure of the meeting, all the ladies present were congratulated on the occasion of Women’s day in Vietnam.
On the 20th of October, the project launch workshop and the first PSC (Project Steering Committee) was jointly organized for the Support for responsive accountable local governance (RALG) projects in Nghe An and Ha Tinh. The meeting took place in Vinh and was co-chaired by the Vice Chairs of the PPC of both provinces and by the BTC-Representative. An impressive number of 80 participants was present: representatives from both provinces, from MPI and from Min. of Finance and from BTC. The project’s progress and implementation strategy were discussed, as well as the revised work plans and budget plans, which were approved. Special attention was given to the necessary speeding up of the implementation , now that the funds are available, as the deadline of the project will stay 30/06/2019. The 2 provinces decided to continue to exchange information during the implementation and to jointly also organize the next PSC, this time in Ha Tinh. At the closure of the meeting, all the ladies present were congratulated on the occasion of Women’s day in Vietnam.
Marie-Thérèse Mombaya dirige une association des productrices agricoles dénommée en lingala ‘Etumba na bobola’, ou bien ‘Lutte contre la pauvreté’. Basée à Isangi, territoire situé à 127 km de la ville de Kisangni en province de la Tshopo, l’association s’est fixée pour objectif l’autonomie de ses membres. Et pour y arriver, des activités génératrices de revenu sont créées, les unes collectives, les autres individuelles.Actuellement, l’activité principale de l’association est la culture de l’ananas. A la périphérie du chef-lieu du territoire, l’association exploite une surface estimée au quart d’un hectare. Près de 150 pieds d’ananas se dressent sur le champ. Selon la présidente de l’association, la récolte pourrait rapporter à peu près l’équivalant de 150 dollars américains, le prix unitaire moyen s’élevant à 1500 francs congolais, soit 1 dollar américain. Un pourcentage du produit de vente est partagé entre les membres pour financer les activités individuelles qui permettent de subvenir aux besoins de leurs ménages respectifs. Tandis que le reste est réinvesti dans les activités collectives. Parmi les projets à court terme, Marie-Thérèse mentionne la mise en place d’un poulailler et d’une porcherie.Néanmoins, la grande difficulté de l’association reste l’accès à la terre. « La terre se vend et il nous faut au moins deux hectares », confie la dirigeante de l’association. Face à une demande de plus en plus importante, les propriétaires montent naturellement les enchères. « Il faut réunir à peu près l’équivalent de 70 dollars américains pour acquérir un hectare contre moins de 50 dollars il y a quelques années. » a indiqué notre interlocutrice. Au niveau individuel, les membres de l’association recherchent leur autonomie notamment par l’élevage des poules et le petit commerce des produits manufacturés principalement. Quoique modestes, leurs revenus contribuent principalement à la scolarisation et aux soins de santé des enfants.
« Nous avions beaucoup de difficultés, nous avons beaucoup souffert pour aller à Kenge et aller à l’université du Kwango où j’étudie. Nous n’allions qu’à pied parce que les motos jugeant la trajectoire trop longue n’arrivaient pas à la rivière. Elles coutaient très chers pour nous. Parfois les motards qui acceptaient de nous accompagner désistaient par manque des passagers qui puissent payer le montant exigé. Après la pluie, il fallait attendre longtemps avant de prendre la route, que ce soit pour les piétons, les vélos, les motos ou les jeeps, parce que le sol était très glissant. On ne peut même pas parler du nombre d’accidents. Un véhicule de la CTB qui avait pris la route de Kenge-Ndjili a échoué à Matadi Mayo, c’était avant la réhabilitation. Ils ne pouvaient pas rebrousser chemin ni continuer. L’ingénieur et l’animateur ont dormi dans un village-là. Au niveau de Mbalaka Yungu, c’était un autre calvaire. Tu pouvais passer toute une journée pour parcourir 17 kms ! De l’autre côté, sur l’axe Kenge-Tsakala-Mbewa, c’était également la même chose, mais au niveau de la rivière la situation empirait lorsqu’il était question de la traversée. Heureusement qu'aujourd’hui nous avons un bac et les routes sont praticables comme vous les avez découvertes pour venir ici chez nous. Même avec 1000 francs congolais aujourd’hui, je peux prendre la moto et arriver à la maison à moins de 15 minutes sans toute la boue qui nous couvrait le corps après la pluie »Exaucé M. Bakaba Mfutila, habitant de Kenge.
L’atlas interactif des marais, bas-fonds et plaines irrigables du Burundi est un système d'identification et d'analyse permettant aux intervenants du secteur de disposer d'une vue globale sur les zones irrigables présentes dans le pays. Construit comme une infrastructure de données spatiales, cet outil interactif et convivial a pour but de renforcer la connaissance des marais, bas-fonds et plaines irrigables, d'analyser leur rentabilité et de planifier leur mise en valeur et leur aménagement.
At the request of the EU delegation and the Belgian Embassy in Hanoi, the Belgian development agency participated in the EU Climate fair on October 14 in close cooperation with the two projects concerned : the Green Growth Strategy Facility (GGSF) and the program for integrated water resources management and urban development in relation to Climate Change in Vietnam (TSU (Technical Support Unit) and CC-projects in Binh Thuan, Ninh Thuan and Ha Tinh provinces.A boot was set up at the fair, showing the objectives and activities of the projects. Colleagues from the projects in the provinces and from Hanoi were present at the boot and they provided the very useful explanations to the visitors. Information material was at the disposal of the public.BTC organized a photo competition on the themes Water, Energy and Green lifestyle. The best twenty photos were selected and exposed during the event. The photographers (originating from two provinces and from Hanoi) were given a certificate and a cash price during a rewarding ceremony, in the presence of the EU embassador to Vietnam, Mr. Bruno Angelet, the First Secretary of the Belgian Embassy, Mrs. Anke Van Lancker, and the BTC Representative for Vietnam, Mrs. Krista Verstraelen.The participation of BTC was judged as very interesting and successful by the visiting members of the public and by the organizing EU delegation. BTC was very happy to receive tremendous help and support from the colleagues of both projects.