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Une nouvelle école primaire
Julie CLAASSENS | 03/08/2016
Dans son souci d’appuyer le partenaire provincial dans la mise en œuvre de sa politique sectorielle et d’offrir un cadre adéquat aux autorités, EDUKOR réhabilite les bâtiments de la Division Provinciale de l’Education. Pour ça une école primaire a été construite en vue de pouvoir délocaliser les élèves qui jusqu’en juin 2016 suivaient les cours dans un environnement peu propice à l’apprentissage.
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Formation en gestion scolaire inspirante
Julie CLAASSENS | 03/08/2016
Le Programme d’appui à l’Enseignement Technique et Professionnel au Kasaï Oriental a clôturé son premier cycle de formation en gestion scolaire. Au total, vingt-et-un inspecteurs sont formés pour constituer un noyau au sein des inspections principales provinciales du Kasaï Oriental et du Lomami. Cette série de formations consistait de quatre modules, correspondant aux quatre matières fondamentales dans la gestion d’une école technique et professionnelle. Elle s’est clôturée par le cycle en gestion pédagogique. Le grand objectif de cette partie était de renforcer les capacités des inspecteurs par rapport à la méthodologie qui vise une pédagogie de qualité. Cet objectif permettra aux inspecteurs de former les chefs d’établissements, en charge de la gestion au quotidienne les écoles. "Nous pensions depuis tout ce temps que notre expérience d’enseignant suffisait pour être des bons formateurs, mais nous venons de découvrir que sur le plan méthodologique nous avions encore de choses à apprendre’’, déclare l’Inspecteur Principal Provincial Adjoint, Alfred Gandu, en charge de la formation au Kasaï Oriental à l’un des participants. Monsieur Gandu souhaiterait que l’Inspection Provinciale s’inspirerait davantage sur les nouvelles méthodes apprises lors de cet atelier.
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Les clubs d'écoute au service de la communication pour le développement.
Julie CLAASSENS | 01/08/2016
Entre avril et juin 2016, le chargé de communication de la CTB TSHOPO a procédé à un diagnostic participatif de quatre radios communautaires et d’une vingtaine de clubs d’écoute ciblés dans sa zone d’intervention. Les quatre radios sont réparties entre les territoires de Banalia, Isangi et Opala. Le Service National d’Information Rurale (SNIR) a aussi été impliquée dans cette activité.L’objectif était d’identifier les besoins réels des radios et clubs d’écoute perçus comme partenaires potentiels en vue d’un appui approprié. La finalité de cet appui est de promouvoir la communication pour le développement dans les trois composantes du programme provincial: le Programme de Développement Agricole dans la Tshopo (PRODAT), le Programme de Désenclavement de la Tshopo (PRODET) et le Programme d’Appui à l’Enseignement Technique et à la Formation Professionnelle dans la Tshopo (EDUT).Il ressort du diagnostic des radios qu’elles fonctionnent dans l’illégalité. Les unes n’ont pas de statuts, les autres ont des statuts non légalisés. Elles émettent sur une fréquence qui n’a pas été attribuée par l’autorité compétente. Leur gestion est mauvaise parce que les organes de gestion sont soit inexistants soit non opérationnels. Journalistes, animateurs et techniciens n’ont pas reçu une formation suffisante. Toutes ces radios émettent moins de six heures par jour pour la simple raison qu’elles manquent souvent du carburant pour faire fonctionner leurs générateurs. Elles n’ont pas de grilles de programmes qui prennent suffisamment en compte les problèmes de la communauté. Le principal point positif commun aux radios est qu’elles ont un rayon de couverture assez important entre 100 et 150 km. A noter aussi qu’elles ont le monopole dans leurs lieux d’implantation. Quant aux clubs d’écoute, quelques-uns ont suivi une formation sur leur mission, comme des clubs Dimitra dans le territoire d’Isangi. Mais ces derniers se confondent facilement avec les comités villageois de développement. D’autres n’ont jamais suivi une seule formation et ne connaissent pas très bien leur rôle au sein de la communauté. Les difficultés qu’éprouvent les radios à émettre régulièrement ont une répercussion sur le fonctionnement des clubs d’écoute. L’exercice du diagnostic participatif sera suivi de l’élaboration d’un plan de renforcement des capacités qui prendra en compte les aspects matériels et techniques
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TVET summer camps – TVET for our future
Eva MORRE | 01/08/2016
Rising unemployment, in particular among youth, with figures up to 50% in the Gaza Strip, is a major cause of poverty. Many young people, even with a degree, cannot find a job. At the same time employers complain that they cannot find the people with the right competences to work in their companies. Youngsters with technical skills are in high demand in Palestine. Technical and Vocational Education and Training (TVET) should therefore be the best choice to find a job. In reality most young people opt for the traditional academic stream, often having difficulties finding a job after graduation, notwithstanding excellent school results. To tackle this paradox and to reduce unemployment in Palestine, the Belgian Development Agency and Islamic Relief Palestine have now, in cooperation with the Ministry of Education, organised the first TVET summer camps ever in the Gaza Strip, with the aim of making TVET education more popular. The TVET summer camps take place in three different TVET institutions in the Gaza Strip. They aim to change the negative attitudes towards TVET and increase the enrolment percentage at TVET centres and schools. The idea is to give the students enrolled in general education a chance to be introduced to the TVET education system. In total, 210 students from tenth grade participate in the summer camps. At every institution they are divided in 4 separate groups of 17 students each. During 6 days they attend 3 different, interactive TVET workshops, interspersed with sports and art. Thanks to the TVET workshops, the participants can practice different occupations as the TVET workshops tries to simulate a real working environment. Thanks to the summer school, the students gain some basic technical competences that enable them to make a more thought through study choice. "The camp gave me the opportunity to learn more about graphic design and I was able to produce nice products using the Photoshop program.” Kareema (participant at Gaza Girls TVET School) The summer camps also include trips to companies, factories and workshops related to the subjects practiced by the students, which gives them the opportunity to interact with the employers and learn more about the different occupations. The products that were produced during the summer camps by the students have been presented in a central exhibition during the closing ceremony of the TVET camps held on the 31st of July 2016. The camps also include interactive sessions between the students and their parents in order to change the attitude of parents towards TVET so they would support the choice of their children in case they want to enrol in the TVET education system. Kamal (parent): "My son participated in the camps, he joined Deir Al Balah Industrial School, then he decided to select TVET to be his career and he registered in the school”. The Ministry of Education will be asked to conduct a tracer study at the end of next school year to identify the percentage of participants in the summer school that have decided to enrol in TVET.
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Premières pluies à Thiès
Marcella PASOTTI | 28/07/2016
La saison hivernale a désormais belle et bien démarré au Sénégal. Grace aux premières pluies, tombées vers mi-juillet, les bassins construits par le BARVAFOR ont commencé à jouer leur rôle. Cette image montre la digue semi-filtrante réalisée dans le village de Tattène Teup Dal, dans la commune de Notto (Thiès). Ce type d'ouvrage a pour fonction principale de favoriser la recharge de la nappe phréatique pour permettre un accès à l’eau d'irrigation plus facile et durable. La digue arrête la course des eaux de ruissellement qui, progressivement, s’infiltrent dans le terrain jusqu’à atteindre la nappe phréatique, en la faisant remonter. Dans la commune de Notto, le BARVAFOR a aussi réalisé deux autres digues semi-filtrantes et un bassin de rétention.Pour plus d’images, veuillez visiter la gallérie photo du projet.
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Official Launch of BSIS project
Eva MORRE | 25/07/2016
On the 25th of July, the EU launched a new programme to support Business Start-up Incubators in Palestine. The programme will be implemented by the Belgium Development Agency (BTC). The Business Start-up Incubators Programme aims at helping entrepreneurs to translate their ideas into new businesses. It will enhance entrepreneur's skills to make their start-ups more competitive and financially sustainable. The programme will support start-up incubators in Nablus, Ramallah, Bethlehem, Hebron, East Jerusalem and Gaza. Incubators provide entrepreneurs with shared office space and resources, business advice, training and coaching. Activities will include institutional capacity building to incubators, awareness raising on entrepreneurship, business training and coaching, information sessions and creation of a digital platform on access to finance. Women associations and youth organisations will be supported. In addition, in order to improve the quality of business support services to business start-ups, 30+ Small Business Advisors will receive training to prepare them for international accreditation. A proposal for national accreditation of business advisers will be developed. Small business services will be promoted through a Business Voucher Scheme for business start-ups and Micro, Small, and Medium Enterprises. Finally, a pool of 20+ mentors will be trained to provide business coaching to incubatees / start-ups. “Supporting the creation of new companies is essential to promote private sector led sustainable development and employment. This is one of the main priorities of the EU support to the Palestinians”, said Riccardo Rossi, Head of the Economic Development, Trade, and East-Jerusalem Programme section in the Office of the EU Representative (West Bank and Gaza Strip, UNRWA). Her Excellency Abeer Odeh, the Minister of National Economy, said "the establishment of business incubators can form a protective shield and protect projects emerging and incubated from various aspects through support of all kinds to be able to start and grow and succeed. Therefore, the program's focus on spreading awareness about entrepreneurship and economic empowerment in society must receive all support from us and our partners in the eco-system, especially that this project comes within the framework of the Palestinian national development plan (2014- 2016). " BTC Resident Representative, Mr. Dirk DEPREZ, added "BTC aspires through its programs in Palestine to support state building and economic prosperity for the Palestinian People. The Business Incubators project is complementary with our support to the Technical and Vocational Training and our support to the local economic development. " At the end of the programme, 120 start-up businesses are expected to be operating and be fully supported in the local market. Background A vibrant private sector is critical in creating prosperity and meeting the employment needs of a rapidly growing Palestinian population. High employment also assists in broadening the tax revenue base, which is a necessary requirement for funding essential public services and infrastructure. The EU supports initiatives that promote inclusive, sustainable, private sector-led Palestinian economic development. The Palestinian Authorities have established an Educational Developmental Strategic Plan to improve the quality of education. BTC supports different components of this plan. We improve infrastructure and create a healthy and safe educational environment. We also aim at supporting foundational reforms and new policies in education. Through capacity building we try to improve the quality and labour market relevance of technical and vocational education and training (TVET) by developing Work Based Learning schemes and entrepreneurship programs through Private Public Partnerships.
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Emergences des organisations pastorales et leur rôle dans le processus de gestion de la vallée de Tarka au Niger.
Stephanie EECKMAN | 21/07/2016
HABIBOU, Ibrahim est cadre du Ministère à la Direction du développement Régional et local (DDRL) au Niger. Il a fait ses études de Doctorat de 2010 à 2016 à l’Université de Liège à la Faculté des Sciences au Département de Sciences et Gestion de l’environnement. Le titre de sa thèse est « Etude de l'émergence des organisations pastorales et leur rôle dans les processus de gestion partagée de la vallée de la Tarka dans le département de Dakoro (centre sud du Niger) ». Ibrahim a fait le choix de ce thème du fait qu’au Niger l’élevage et les problématiques foncières sont des enjeux majeurs. En effet la réduction des espaces pastoraux à cause de l’augmentation des terres de cultures est source récurrente de conflits fonciers entre les éleveurs et les Agriculteurs au Niger. Il a été sélectionné en 2010 par la CTB du Niger dans le cadre du programme des bourses bilatérales hors-projets. Il a soutenu sa thèse le 15 mars 2016 à Arlon pour l’obtention du grade de Docteur en Sciences de l’environnement. Son travail de thèse lui permettra de renforcer les capacités des ressources humaines pour faire une analyse des dynamiques territoriales dans cet écosystème pastoral. Ce travail est également susceptible de servir de base pour la mise en place de projets de développement des communautés pastorales, et de contribuer à l’accompagnement de la politique de développement au Niger.
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Summer School: Regenerating Palestinian heritage
Eva MORRE | 20/07/2016
Regeneration of heritage sites is a quite recent phenomenon in the West Bank. When regenerating cultural, natural or historic heritage, attention is paid not only to the structures themselves, but also to the socio-economic and cultural value the heritage can have for the population. Therefore, a focus on sustainable management of the sites is very important. In order to create awareness about the importance of regeneration and to support capacity building, the Belgian Development Agency (BTC) in cooperation with the Ministry of Local Government have organised a Summer School for students in urban planning and architecture. The Summer School will develop a concrete exercise in spatial planning, urban regeneration and the rehabilitation of historic buildings in selected villages as a “training on the job”. In total 45 students participate in the month long summer course, starting on the 20th of July. Among them 30 students are Palestinians, while 6 students are international students. They are supervised by international experts and teaching assistants and professors from three different Palestinian universities. "The summer school gives me the opportunity to practice in the field what I have learned at university" - Lina, participant in the summer schoolIn every region students target a different aspect of regeneration. In the North students mainly focus on the landscape in Sabastiya, Burqa and their surroundings, under the supervision of Al Najah University. The exercise concerns the spatial planning for the conservation and revitalization of historic settlements, and the rehabilitation of the cultural landscapes to connect spaces with economic assets. The students working in Birzeit University work on urban planning and design of the historic centre of Deir Ghassane. Conservation and revitalization will be part of the research and appropriate guidelines and bylaws for regeneration of urban fabric will be addressed. The students in the Palestine Polytechnic University (PPU) of Hebron at last focus on the rehabilitation of historic architectural ensembles in As Samu’. The students, guided by the teaching assistants and professor of the PPU define strategic interventions to implement regeneration strategies. At the end of the summer school these three perspectives will be collected in order to create a manual that helps the Ministry of Local Government and Municipalities to start up regeneration projects. Here you find more in-depth information on the Summer School.
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Celebrating the World Youth Skills Day in Ramallah
Eva MORRE | 20/07/2016
On the 17th of July, the World Youth Skills Day was celebrated in Ramallah, in presence of the Minister of Education and Higher Education, Dr. Sabri Saidam, the Deputy Minister of Labour, Mr. Naser Qatami, the head of the Palestinian Federation of Chambers of Commerce, Industry and Agriculture (PFCCIA), Mr. Khalil Reziq, the Belgian Development Agency (BTC),represented by Dirk Deprez, and the German Corporation for International Cooperation (GIZ), represented by Rachel Folz as well as a lot of young people of course. The speakers all emphasized the importance of the partnership between vocational and technical institutions (TVET) and the private sector. In order to reduce youth unemployment, we need to strengthen the linkage between these two sectors and better link the demands of the labor market to the curricula in the vocational institutions. During the World Youth Skills day, an agreement has been signed between the private sector, represented by the PFCCIA, the Ministry of Labour and the Ministry of Education and Higher Education, giving PFCCIA the authority to take the lead for Palestine in the WorldSkills organization. Furthermore, agreements have been signed between 6 TVET institutions and the local Chambers of Commerce, Industry and Agriculture ( CCIs). The Belgian Development Cooperation and GIZ, two partners of WorldSkills in Palestine, supported the event as a part of its Work Based Learning project, that tries to close the gap between the world of training and the world of work. The mission of WorldSkills is to raise the profile and recognition of skilled people, and show how important skills are in achieving economic growth and personal success. Young people are almost three times more likely to be unemployed than adults and are often exposed to lower quality of jobs, labour market inequalities, and longer and more insecure school-to-work transitions. In addition, women are more likely to be underemployed and under-paid, and to undertake part-time jobs or work under temporary contracts. One reason for youth unemployment is structural unemployment, a mismatch between the acquired skills and the skills demanded by the employers. Structural unemployment affects all regions of the world and it impacts not only economies but also hinders the transition to equitable and inclusive societies. WorldSkills is an initiative that focusses on this gap between the training and work environments. It is the collective voice for skills excellence and development in vocational, technological and service oriented careers around the world. Through international cooperation and development between industry, government, and institutions, they promote the benefits of and need for skilled professionals through grass-roots community projects, skill competitions, and knowledge exchange. Since 1950 they have raised the awareness among youth, as well as their parents, teachers and employers, that our future depends on an efficient skills training system. Today WorldSkills represents more than 45 skills in 72 member countries and regions, all working together with youth, educators and industries to help prepare the workforce and talent of today for the jobs of the future. In June 2015, Palestine was approved as the 75th Member of World Skills International. The Palestinian focus lies on advising, advocating for, guiding, and supporting the TVET sector as well as labor market policies and programs.
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Mise à jour
Julie CLAASSENS | 18/07/2016
A ce jour, le projet a déjà mis en place 171 logements dont 120 au camp militaire de Kindu et 51 à Lokando. Cinq forages manuels avec pompes pour l’eau potable sont opérationnelles à Kindu. A Lokando un système provisoire de potabilisation d’eau a été installé.
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Las comunidades de Laimina Kuchu en Yamparáez y Labran Mayu en Tarabuco cuentan con sistemas de microriego en el marco del programa PARC
Wietse FRICKEL | 18/07/2016
Los comunarios de Laimina Kuchu, en Yamparáez, y Labran Mayu en Tarabuco, del departamento de Chuquisaca, recibieron dos sistemas de microriego por parte del Ministerio de Medio Ambiente y Agua, los cuales abarcarán una superficie de 60 hectáreas (27 hectáreas en Laimina Kuchu y 33 hectáreas en Labran Mayu) e incrementar la producción y productividad agrícola en el lugar. La inversión de la obra es de más de Bs. 2 millones, co-financiada por la donación del Reino de Bélgica y recursos locales de los Gobiernos Autónomos Municipales (GAMs), ejecutados a través del Programa de Apoyo al Riego Comunitario (PARC) dependiente del Ministerio de Medio Ambiente y Agua. El proyecto integral de riego comunitario en Laimina Kuchu incluye la construcción de 3 atajados con una capacidad de almacenamiento que varía de 2000 a 8000 m³, mejorando la oferta de agua de riego para que los usuarios puedan regar sus cultivos en los meses de sequía. El sistema en Labran Mayu incluye tres subsistemas de riego con obras de toma, tanques de almacenamiento, canales y cámaras de distribución. Asimismo, las comunidades cuentan con profesionales en Acompañamiento y Asistencia Técnica (A/AT) contratados por los GAMs que apoyarán a los regantes en el mantenimiento, la operación del sistema y el mejoramiento de la producción agropecuaria, acciones que permitirán mejorar la eficiencia de riego y que éste sea sostenible en el tiempo. Chuquisaca, 13 de julio de 2016
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El MMAyA entregó siete atajados a la comunidad de Pucka Pampa en el municipio de Presto
Wietse FRICKEL | 15/07/2016
El Ministerio de Medio Ambiente y Agua (MMAyA), a través del Programa de Apoyo al Riego Comunitario (PARC) y con el apoyo de la Cooperación Técnica Belga (CTB), entregó siete atajados nuevos al municipio de Presto del departamento de Chuquisaca. En la comunidad de Pucka Pampa, el Gobierno Autónomo Municipal (GAM) de Presto y el PARC con donación del Reino de Bélgica invirtieron más de Bs 900 mil bolivianos, con el objetivo de garantizar riego para 13 hectáreas, asegurando la productividad agrícola que mejorará sus ingresos económicos y garantizará la seguridad alimentaria de 18 familias. Asimismo, durante los siguientes meses, la comunidad de Pucka Pampa contará con una profesional en Acompañamiento y Asistencia Técnica (A/AT) contratado por el GAM de Presto, que apoyará a los regantes en el mantenimiento, la operación de los atajados, el manejo del agua en las parcelas, el manejo integrado de plagas y enfermedades y el mejoramiento de la producción agropecuaria. En la entrega de la obra participaron representantes del Ministerio de Medio Ambiente y Agua, del GAM de Presto, del comité de riego de la comunidad, de la empresa constructora y el supervisor de la obra. “Este proyecto fue muy discutido con el GAM de Presto. El acceso a la comunidad es difícil y había poco recursos para la inversión en un sistema de riego. Pero ahora celebramos esta estrega”, señaló el representante del Ministerio y del programa PARC, Orlando Espinoza. Por su parte, el Gobierno Autónomo del Municipio de Presto, agradeció al Ministerio de Medio Ambiente y Agua y a la Cooperación Técnica Belga por haber atendido las demandas del municipio de Presto para desarrollar obras de riego que mejorarán la producción agrícola en la zona.
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Le lancement officiel
Meriem HILALI | 15/07/2016
Les 11 et 12 juillet s’est tenu à Ouarzazate l'atelier de lancement du nouveau Projet d’appui des groupements d’intérêt économique pour le développement de la filière phoenicicole au niveau des oasis marocaines (PAGIE). L’objectif de ce projet est de mieux valoriser la filière dattière des différentes oasis du Maroc, via l’agrégation des producteurs familiaux (femmes et hommes) par des Groupements d’Intérêt Économique (GIE) professionnalisés. Le projet vise l’amélioration durable des revenus des petits agriculteurs dans les zones oasiennes. Il s’inscrit dans la stratégie de développement agricole du ministère (Plan Maroc Vert) notamment son Pilier II et prévoit un accompagnement solidaire de la petite agriculture, ainsi que l’encadrement et la mise à niveau des agriculteurs. Le but du projet est de leur permettre de pénétrer le marché avec des produits de qualité et concurrentiels. Le projet interviendra dans les provinces de Figuig, Errachidia, Tinghir, Ouarzazate, Zagora, Guelmim, Tata et Assa-Zag, c'est-à-dire toute la zone oasienne marocaine. L'atelier s'est déroulé en deux temps : en première partie le lancement officiel du projet en présence de Messieurs l'Ambassadeur de Belgique au Maroc, du Secrétaire Général du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime, du Directeur Général de l’Agence Nationale pour le Développement des Zones Oasiennes et de l'Arganier et bien d'autres personnalités... Puis en deuxième partie, une séance de partage sur la capitalisation des expériences acquises par les 24 GIE en matière d'organisation, de gestion administrative et financière, d'approvisionnement, de conditionnement, de stockage et pour le marketing et la commercialisation.
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Journée portes ouvertes
Julie CLAASSENS | 14/07/2016
Sous l’initiative du chef de l'Institut Technique et Professionnel Labo à Gemena et avec l’appui du projet Edu-Mosu, pendant une semaine, les apprenants des différentes filières ont participé à différents travaux dans le cadre de la préparation de la journée portes ouvertes. Au cours de cette journée, différentes filières ont eu à exposer et vendre le fruit de leurs travaux aux différents invités et parents venus pour cette journée.
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Briefing Ressources Humaines
Julie CLAASSENS | 14/07/2016
En date du 11 juillet 2016, il s’est tenu un atelier sur le briefing RH organisé par le Chargé des ressources humaines de la représentation à l’intention de tout le personnel du projet EDU-MOSU. L’atelier a porté sur les valeurs de la CTB, les principes de gestion RH, le processus de recrutement, une explication sur la fiche de paie et les différents barèmes ainsi que le règlement d’ordre intérieur tel que révisé en Janvier 2016. Cet atelier a aussi permis de réunir tous les agents du projet EDU-MOSU et a contribué à nouer des liens solides entre eux.
