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Fred is a senior six candidate at Reverend Jabuloni Isoke Secondary School in Kitgum district, northern Uganda waiting to sit his final exams. Despite his busy schedule, Fred will always get time to donate blood because of his childhood experience. This is his fifth time to donate. Fred says his mother told him that while he was 3 years old, during the time of the Lord’s Resistance Army war that ravaged northern for over 2 decades, he got severe malaria and was admitted at Kitgum government hospital. The doctors at the hospital told her mother, her son needed blood and that the hospital did not have any. As her mother was still pondering and taking in news of an impending outcome if she does not find a blood donor to save his son, luckily there were two men walking around the hospital compound and when she narrated to them her plea, they accepted to donate their blood. That’s how Fred’s life was saved and that is his motivation to donate blood every time he gets a chance to save a life, just like his was saved by a stranger. The inspiration of Ronald Joyce Idiba, a senior three student at the same school is not different from Fred’s. Ronald a fourth time blood donor says his young brother always gets severe malaria and is in need of blood. So whenever he presents his blood donation card, they give him free blood and that motivates me to donate blood every time he gets a chance. For Ochora Winfred, a 19-year student in S3 has a brother with sickle cells who always needs blood whenever he runs out of blood. That’s why I also give blood to save others. From the many of the blood donors I interacted with, many give blood for lifetime experiences themselves have experienced or their relatives. Akena Robinson a senior six student says, he will continue donating blood because he is surviving on someone’s blood. Akena says his mother told him at 2 years old, he got malaria and I needed blood and because someone else donated blood to save his life, he will keep donating. This was his fourth time to donate. To Lamwaka Dorcas, it is because of his grandfather who has diabetes and sometimes needs blood. Others think about what would befall them in future. To Lakot Monica, I want to save someone life by donating blood because even me when I fall sick someone else will donate their blood. This is my 3rd time to donate blood and will continue donating more. To others most especially students, they say by donating blood at a tender age, that’s the best they can give back to the world to save a life. To others they want to give back to humanity through donating blood. Akera Alfred Lukwata says, he is convinced that giving blood is good, you give back to humanity such that, that good ness will come back to you when yourself need the blood. Enabel recently supported a blood donation drive in Acholi region. The drive targeted mainly secondary schools and tertiary institutions. The week-long exercise collected a total of 827 units. According to Dr. Gerald Rukundo, the Director Lango/Acholi region Blood Bank, there is a high prevalence of malaria in Acholi region and this calls for high demand of blood, yet people in the region reluctantly donate blood. This calls for mass mobilisation and sensitisation to be done in the region. Dr. Gerald says, every day they receive over 150 requests of blood units, but they can only issue-out 60 units daily. Lacor hospital alone is given 40 units out of the 60 units disbursed daily from Gulu region blood bank. Human beings need blood to be alive. It is pumped by the heart to all parts of the body, after which it is returned to the heart to repeat the process. Blood is therefore important in transporting oxygen and nutrients to the cells and carries away carbon dioxide and other waste products.
Deux délégations représentants du Ministère de la santé Publique, du Ministère en charge de la solidarité, des finances, de la primature, de l’Assemblée Nationale ainsi que ceux de la Commission nationale de protection sociale et de la mutuelle de la fonction publique se sont rendues au Sénégal et en Côte d’ivoire du 01 au 09 octobre 2022. Parmi les deux délégations, le Programme AMAGARA MU MURYANGO financé par l’Union Européenne et le Royaume de Belgique a accepté de prendre en charge financièrement 7 membres des délégations Cette mission avait pour objectif d’apprendre de l’expérience du Sénégal et de la Côte d’Ivoire dans l’élaboration et la mise en œuvre de l’assurance maladie universelle en vue d’atteindre la Couverture Sanitaire Universelle. Depuis quelques temps, le Ministère ayant en charge la santé publique et celui de la solidarité nationale ont engagé des réflexions sur la stratégie de financement de la santé au Burundi pour aller vers la couverture sanitaire universelle. Pour booster cette réflexion, les partenaires au développement du secteur de la santé au Burundi ont appuyé une délégation d’une vingtaine de cadres issus des secteurs variés du Burundi. Le choix du Sénégal et de la Cote d’Ivoire a été motivé par les avancées remarquables signalées dans la mise en œuvre de l’assurance Maladie Universelle pour tendre vers la Couverture Sanitaire Universelle (CSU) dans ces pays. Au cours cette mission, les différentes délégations burundaises ont eu l’occasion d‘échanger avec les différents responsables des institutions et des structures visitées sur certains sujets dont (i)l’offre des soins et l’organisation générale de la demande de soins ;(ii) les contraintes majeures rencontrées dans la mise en œuvre du FBP ; ( iii) la gestion institutionnelle et des ressources allouées à la santé en général et à l’assurance Maladie Universelle ( AMU) en particulier,(iv ) l’évolution des autres formes de financements dont le FBP vers la CSU,;(v) la catégorisation de la population et détermination de la part contributive de chaque catégorie aux soins de santé ainsi que (vi) les conditions spécifiques à mettre en place pour faciliter l’évolution du FBP dans un contexte de mise en œuvre de l’AMU, pour ne citer que ceux -là.Pour mieux répondre aux attentes de la mission, les deux délégations ont réalisé des entretiens auprès des organisations et personnalités variées telle que la représentation de l’OMS en Côte d’Ivoire et au Sénégal, les Ministères de la Santé de ces deux pays avec des rencontres aux différents partenaires qui appuient la CSU, spécialement l’institution en chargé de l’AMU et CSU de ces deux pays et les partenaires techniques et financiers appuyant l’AMU/CSU. La mission a été une occasion d’apprendre que la CSU implique une disponibilité des soins de santé de qualité de façon continue sur tout le territoire du pays et accessibles à la population sans difficultés financières, çàd les ressources humaines, les médicaments et autres intrants, infrastructures, équipements et maintenance remplissant les normes. Cet échange d’expériences permettra au Burundi de finaliser le document de stratégie nationale de financement de la santé pour tendre vers la CSU au Burundi, participer à la mise en œuvre efficace des activités de l’assurance maladie universelle et d’autres stratégies en vue d’atteindre la CSU au Burundi. Le Gouvernement du Burundi a décrété la gratuité des soins et services de santé pour les enfants de moins de 5 ans, les accouchements et les pathologies liées à la grossesse depuis 2006. Cependant cette bonne volonté a créé des situations non désireuses notamment le retard de remboursement des factures dans les structures de soins, la surfacturation des actes médicaux, à la surcharge de travail du personnel de santé et à sa démotivation et au manque de médicaments et équipement etc. Pour faire face à ces difficultés, le Gouvernement du Burundi, via le Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida (MSPLS) a pris l’option de financer le paquet des soins gratuit à travers un système de Financement Basé sur la Performance (FBP) et des outils de mis en œuvre du FBP-Gratuité ont été élaborés et validés. Le Programme d’Appui au Système de Santé a démarré ses activités depuis juin 2016 et a débuté sa troisième phase en juin 2022 dénommé AMAGARA MU MURYANGO. Ce Programme s’est inscrit dans cette stratégie de financement du Burundi pour contribuer au cofinancement des soins et services de la santé au Burundi. Cette troisième phase vise à promouvoir la mise en place de la couverture sanitaire universelle avec un accent sur l’amélioration de l’accès durable aux services de santé et de la qualité des soins, en particulier en matière de santé de la reproduction, maternelle, néonatale, infantile et des adolescents. Le cofinancement des soins et services de santé pour les femmes enceintes, celles qui accouchent et les enfants de moins de 5 ans est la principale activité de cette troisième phase du Programme.
Les projets PAGIE et AJI, ensemble avec leurs partenaires, ont organisé 8 « Hackathon des Zones Oasiennes » lors des derniers mois dans les provinces de Guelmim, Ouarzazate, Midelt, Tinghir, Errachidia, Figuig, et Zagora. Qu’est-ce le hackathon des zones oasiennes ? C’est un évènement de 4 jours qui regroupe 30 jeunes porteur·euse·s de projets innovants et durables en lien avec la zone oasienne. L’objectif est de développer davantage ces projets pilotes afin de promouvoir le business dans la zone oasienne et, in fine, contribuer à la préservation de l’écosystème oasien. Concrètement, des formations sur les différents types d’entreprise, la procédure de création d’entreprise, l’esprit d’entreprenariat, ainsi que les techniques de plaidoyer sont prévues. Appuyé par des experts en entrepreneuriat, les participant·e·s ont ensuite élaboré leur business plan ainsi qu’un pitch dynamique de leur projet. A l’issu de cet accompagnement, les participant·e·s seront capable de présenter et de défendre leur projet, leur business model canevas et leur business plan. Pourquoi ? Dans la zone oasienne marocaine, l’entreprenariat reste un levier important pour l'insertion et l’intégration des jeunes et femmes dans le tissu économique. De plus, l’émergence d’une nouvelle génération de jeunes entrepreneur·euse·s oasien·ne·s limitera l’exode rural et contribuera, in fine, à la préservation de l’écosystème oasien. Cette préservation est devenue un enjeu crucial des acteurs locaux et régionaux, publics comme privés. Dans ce cadre et dans la perspective de booster la créativité et l’innovation des jeunes oasiennes, l’ANDZOA, Enabel, APEFE, CRI, ANAPEC, ONCA et ORMVA organisent ces Hackathons dans toute la zone oasienne. Pour rappel : Le PAGIE « Projet d’Appui aux Groupements d’intérêt Économique pour le développement de la filière dattes au niveau des Oasis Marocaines » est une intervention de coopération bilatérale belgo-marocaine qui vise l’amélioration durable des conditions de vie des petit·e·s producteurs et productrices de dattes dans les zones oasiennes. Le projet est mis en œuvre par l’ANDZOA, Enabel, l’ORMVAO, l’ORMVAT, l’ONCA, et l’ADA. Le programme AJI « Appui aux Jeunes Initiatives » est un programme belgo-marocain qui vise la promotion et l’amélioration de l'entrepreneuriat et l'employabilité des jeunes entre 18 et 35 ans au Maroc. AJI est mis en place par l'APEFE Wallonie Bruxelles et financé par l'État Belge via Enabel.
L’entrepreneuriat des jeunes contribue à diminuer le chômage et augmente les possibilités d’emploi. Les coopératives quant à elles jouent un rôle important dans le développement communautaire, elles autonomisent les personnes, elles agissent comme des catalyseurs, non seulement pour la croissance économique, mais aussi pour le bien-être social.C’est dans cette optique qu'Enabel en partenariat avec Spark vient d’appuyer des jeunes regroupés au sein de 19 petites et moyennes entreprises (PME) pour leur démarrage effectif dans la province de Gitega. Ces jeunes ont tous suivi une formation sur l’élaboration des plans d’affaires et ont ensuite participé à une compétition de plans d’affaires, organisé par Spark et son partenaire burundais CEMAC. Les gagnants de ce concours recevront un appui matériel et technique pour le lancement de leur entreprise, par le biais d'équipements donnés par Enabel et d’appuis technique par les business coach de CEMAC et Spark. Vous êtes curieux de connaître les gagnants ?Rencontrez certains d'entre eux ci-dessous ! 1. Awaken Youth Center for Development (AYCD) Âgé de 24 ans, NIYOMWUNGERE Willy est un jeune créatif de Gitega débordant d'idées, mais qui n'a pas toujours trouvé le soutien ou les partenaires nécessaires. Grâce à YouTube, il a été familiarisé avec la fabrication de sandales et a appris les techniques pour le faire. Cependant, comme cela nécessite également des techniques de couture et que Willy ne les maîtrisait pas, il a fait appel à des amis lauréats en couture des CFP de Gitega et Bwoga. Ils se sont alors associés et ensemble ils ont créé la coopérative Awaken Youth Center for Development (AYCD), qui est composée de deux filles et trois garçons, tous âgés de moins de 25 ans. Willy, qui est en même temps actionnaire principal, s’occupe du design et les autres s’occupent d’autres aspects liés à la couture. Chacun de ces cinq actionnaires doit déposer un montant de 500 000Fbu (soit 250 euros) comme capital et pour le moment, chacun a déjà déposé 250 000Fbu (soit 100 euros) à seulement deux mois du démarrage, cela grâce à leur motivation et passion, précise Willy. Avec la rentrée scolaire de 2022, cette coopérative a reçu plusieurs commandes des parents qui achetaient des chaussures pour leurs enfants et a réussi à réaliser un chiffre d'affaires de 900 000 Fbu (soit 450 euros). « La fabrication des chaussures est une innovation, c’est un domaine non encore conquis » nous a confié Willy. 2. Coopérative des jeunes instruis pour la transformation agroalimentaire (COJITA) Dix-sept jeunes (10 filles et 7 garçons) lauréats de la filière transformation agroalimentaire (TAA) au CFP Gitega se sont mis ensemble et ont créé la Coopérative des jeunes instruits pour la transformation agro-alimentaire (COJITA). Cette coopérative est engagée dans la transformation du lait de soja, la transformation de jus de fruits et la restauration. Après deux mois de démarrage, la clientèle se multiplie du jour au jour. La coopérative a déjà fait un bénéfice de 500 000Fbu au mois de septembre dernier grâce à la vente de leurs produits alimentaires. « Nous avons gagné facilement la confiance de nos clients grâce à notre professionnalisme et savoir-faire » nous a dit Alice, l’une des membres de la COJITA avec un regard souriant. 3. Coopérative Girumwete Ndayisaba Emmanuella, jeune fille dynamique et accueillante, s’est mise ensemble avec six autres lauréates du CFP Gitega en couture, pour démarrer la coopérative Girumwete. Ces dames motivées bénéficiaient déjà de machines grâce au mécanisme de leasing du projet ACFPT/Enabel et, après la formation en business plan de Spark, elles ont décidé de se donner la main pour faire passer leur travail au niveau supérieur en tant que coopérative dotée d'équipements de pointe. « Chacune de nous sept possède de sa propre machine à coudre, le rendement sera meilleur qu’avant » a souligné Emmanuella, avec un visage rayonnant de joie.
Afin d’informer davantage les communautés sur le concept de Police Communautaire, Enabel à travers le Projet PAOP a initié une campagne d’information et de sensibilisation sur le concept de police communautaire depuis Juin 2022. Les zémidjans adhèrent au concept de Police Communautaire Après les étapes des communes de Parakou et Tchaourou, c’est le tour de la commune de Cotonou d’accueillir la campagne d’information et de sensibilisation des communautés sur l’approche police communautaire développée par la Police républicaine avec l’appui du projet d’Enabel, financé par le Royaume de Belgique. Tour à tour, les éléments du commissaire de Vodjè Arouna Abdou Daouda, soutenus par les commissaires Joël Fèliho, Delphin Koumbo, Ismath Chabi, Ambroise Hounhouèdo, ont expliqué aux conducteurs de taxi-moto, en langue française et en Fon, les principes qui fondent la police communautaire. Il s’agit du Partenariat, la Résolution des problèmes, l’Implication responsable, la Réorientation externe, la Redevabilité. « Vous ne devrez pas avoir peur de la police. Les agents de police sont vos frères et sœurs. Ils ont besoin de votre apport pour mieux assurer votre sécurité… », voilà le message délivré par la police aux populations de Cotonou, à travers les conducteurs de taxi-moto. Le commissaire de Vodjè a partagé avec eux son numéro de téléphone, pour qu’ils le tiennent informé en temps et en heure de toute menace à la sécurité.Pour Christophe Aspeel, Intervention manager du projet PAOP & PAOP-CRI, l’objectif, a-t-il dit, c’est de mettre en place sur le territoire béninois, en commençant par Cotonou, Parakou et Tchaourou, cette philosophie de police communautaire, d'expliquer que la police a besoin de la population pour travailler ensemble, pour coproduire la sécurité. En matière de résultat déjà obtenu, il a laissé entendre qu’au commissariat du 3e arrondissement de Parakou, il a été enseigné aux fonctionnaires de police comment écouter les populations, les réorienter si nécessaire, les entendre de manière confidentielle pour répondre à leurs besoins.« Nous voulons impacter, toucher le plus grand nombre de partenaires et leur expliquer le rôle qui est le leur pour contribuer de façon efficace à l’aide qu’ils doivent porter à la Police Républicaine pour remplir ses missions quotidiennes », a laissé entendre le commissaire de police de première classe Éric Orou Yérima, chef de communication de la Police républicaine.A Cotonou, pendant trois jours, trois arrondissements ont été sillonnés par les fonctionnaires de police qui avaient pour mission d’expliquer le concept de police communautaire aux conducteurs de taxi-moto, de susciter leur adhésion et de faire d’eux des ambassadeurs de la mise en œuvre effective de cette approche auprès de leur client. Au Bénin on compte plus de 250 000 Zémidjans et plus d’un (1) million de personnes vivent des revenus issus des activités de Zémidjans et plus de deux (2) millions de personnes en sont des usagers selon le Fonds des Nations Unies pour le Développement du capital (UNCDF).
Kigali, 14 October 2022 – More than 80 people gathered to discuss the socio-economic impact of women’s entrepreneurship in Rwanda. Initiated by Enabel, the Belgian development agency in partnership with Rwanda’s Gender Monitoring Office (GMO), the Ministry of Gender and Family Promotion (MIGEPROF) and the National Industrial Research and Development Agency (NIRDA) , this event took place on the occasion of the launch of the Awa Prize, a new international contest for women entrepreneurs. On this occasion, a large audience composed of entrepreneurs, private sector development experts, government bodies were invited to join the crucial conversation on women’s entrepreneurship as a tool for socio-economic development of urban and rural communities. The evening was introduced by Jean-Michel Swalens, Head of Cooperation at the Embassy of Belgium in Rwanda.Concerned with the topic of gender equality on society at large, he said : “Belgian cooperation is committed to supporting Rwanda in creating an increasingly favorable environment for entrepreneurship with particular attention to women. The Awa Prize initiative will be of great help to succeed!”To lead the discussion, four experts took part in a round table to share their expertise and viewpoints on this paramount question : Francine Munyaneza from Munyax Eco, Florien H. Rurihose, Deputy Chief of the Gender Monitoring Office (GMO), Annette Mukayiranga from the National Industrial Research and Development Agency (NIRDA) and Sifa Florence Sangwa, agriculture student. The conversation started around the topic of family life and its impact on the creation of a company for a woman. It appeared that while a family can be a great source of support, relatives’ concerns, as caring as they are, can also be a brake. In the agricultural sector, and especially in rural areas, some challenges can be more difficult to tackle for women entrepreneurs. A better access to information, by communicating through the relevant medias will enable more women from rural areas to access the opportunities they may not be aware of. The importance of building relevant programs for women was also stressed. According to several participants in the attendance, women’s needs and voice need to be taken into account in the very conception of such support initiatives. “Women are not statistics!” said Annette Mukayiranga, from NIRDA. “Women need to be treated the same way as men when it comes to entrepreneurship.” Besides the potential solutions formulated throughout the discussions, one idea often appeared as an important basis for a better distribution of opportunities in entrepreneurship : the importance of fellowship, mutual support and strong networks of women entrepreneurs. The round table was the first of a series of events around women entrepreneurship which will be organized by Enabel in the four upcoming years as part of the Awa Prize, a new international competition for women entrepreneurs in all partner countries of the Belgian development agency. This project aims at shedding the light on women who animate their communities with their business. Rwandan entrepreneurs are invited to apply on the website of the project until October 24.
Enabel’s Health intervention, in partnership with Rwanda’s Ministry of Health, is providing ultrasound machines to Health Centers as well as tablets for timely and digital reporting. Since July 2021, Enabel provided 83 ultrasound machines to Health Centers in two of the districts of intervention, namely Karongi and Rusizi in Rwanda’s Western Province, and trained midwives on the use of the ultrasounds. The move aims to support Rwanda’s Ministry of Health to adopt the World Health Organization’s recommendation for all pregnant women to receive one ultrasound scan during the Antenatal Care Service and before 24 weeks to estimate gestational age, improve early detection of anomalies and improve pregnancy experience. Training sessions on the use of ultrasound machines were organized in collaboration with Obstetric / Gynecologists and Sonographers/Medical imaging officers from referral hospitals and continue face-to-face support to the midwives to improve their skills at health center. Providing Ultrasound services at the Health Center is an innovative approach in Rwanda. As such, and as expected, some teething problems have been reported. These include failure to collect timely and accurate information on the ultrasound service to the pregnant women. This, in turn, has led to incomplete and/or delayed information on the ultrasound services. The key reason for this is that the routine health information system does not collect specific information on ultrasound services. It is in this context that Enabel, through Barame project, designed, produced and provided a user-friendly digital tool for Health Centre practitioners to collect, analyze, report and visualize data generated during the ultrasound scanning, through dashboard. Indeed, reliable data of the pregnant women is highly needed and can be remotely monitored for evidence-based decision making. Furthermore, this new strategy itself should be evaluated to identify the usefulness, and potential weaknesses and challenges that will require improvement before scaling up to more districts and health centers. Health care providers from Karongi and Rusizi District Health Centers, ahve already been trained on the digital tool. Such training sessions will be provided to all Health Centers in all districts of intervention after having provided them with ultrasound machines, thus equipping them with knowledge on the use of this new technology. In total, 131 ultrasound machines are planned to be provided to 131 Health Centers from seven districts of Barame intervention. The same Health Centers will be provided with tablets to use the ultrasound reporting tool.
L’incubateur Elikya de la Fédération des entreprises du Congo (FEC-Tshopo) a procédé ce vendredi 14 octobre 2022 à la remise des équipements et matériels de leasing « location-achat » aux jeunes entrepreneurs accompagnés par le dispositif cité ci-haut. Six entreprises collectives des jeunes de différentes filières : maçonnerie, coupe-couture, mécanique générale, mécanique auto et moto, électromécanique et plomberie ont bénéficié de cet appui pour leur insertion professionnelle. Ces jeunes ont suivi un parcours d’incubation depuis la phase de l’idéation pour les uns et de l’accélération pour les autres jusqu’à l’organisation de leurs Micro, Moyennes et Petites Entreprises (MMPE). L’achèvement de ce parcours entrepreneurial a été rendu possible suite à l’accompagnement et l’appui de l’agence belge de développement (Enabel) à la FEC-Tshopo à travers l’incubateur Elikya.
Quatrième session de formation des champs-école à Tintane : Du 13 au 17 octobre, une trentaine de facilitateurs agro-pastoraux se réunissent pour la dernière fois sous la conduite du maître-formateur Bocar Sow. Une fois tous les enseignements intégrés, ils auront pour tâche de disséminer à leur tour leurs connaissances auprès d’une vingtaine d’agro-pasteurs. Ainsi se construit peu à peu un dispositif de conseil agricole en Mauritanie. Selon l’approche champs- école, cette école « sans murs », le programme a été élaboré par les facilitateurs eux-mêmes à partir d’un diagnostic de leurs problèmes. C’est une alternance d’apports théoriques mais aussi pratiques dans un champs-mère construit par les facilitateurs, aujourd’hui oasis de verdure là où il n’y avait que du sable l’année dernière. Au menu pour cette dernière session : l’hygiène et la qualité du lait, les maladies parasitaires et d’autres maladies et leurs remèdes mais aussi la préparation des journées porte-ouvertes, le 17 octobre à Tintane, qui vont permettre de faire connaître tout le travail accompli dans le cadre de ces formations, activités du programme RIMFIL, financé par l’Union européenne, d’appui aux filières.
Pour prévenir les Violences Basées sur le Genre dans les départements des Collines au Bénin, une coopération enrichissante s’est établit entre l’Association Terres Rouges et le projet EQUITE « Ensemble pour une QUalité des Soins Inclusive et Transparente, orientée vers l’Égalité genre » financé par l’Agence Française de Développement et mis en œuvre par Enabel au Bénin. Grâce à cette coopération, les équipes de Terres Rouges et les ONG partenaires du projet EQUITE (JAE, MRJC et RACINES) ont participé à un atelier de formation et de partage d’expériences et de bonnes pratiques courant juillet 2022 à l’hôtel Amazone à Bohicon. Objectif visé : renforcer les capacités des agents, animateurs et superviseurs du terrain en mettant l'accent sur une approche psychosociale en faveur des populations les plus vulnérables dans les Collines avec un focus sur la prévention des VBG et l’accompagnement des personnes affectées pour une prise en charge améliorée.Ce fut l’occasion de mettre l’accent sur les riches expériences et les approches intéressantes de Terres Rouges en matière de prévention des violences faites aux enfants et aux filles. Entre autres sujets abordés lors de ces moments d’échanges et d’apprentissage : • La mobilisation communautaire• Le « sillonnage » comme technique de mobilisation communautaire en zones rurales• Les personnes les plus vulnérables et au sein des communautés rurales et comment améliorer leur accès aux services de soins• Les violences basées sur le genre : comment travailler avec les élus locaux et les autorités traditionnelles pour prévenir les violences et offrir aux personnes affectées par les VBG un meilleur accès aux soins.Au terme de cet atelier les attestations de participation ont été remis aux agents, animateurs et superviseurs des ONG pour conclure cette belle expérience !
Les 10 et 11 Octobre 2022 ont eu lieu à Nouakchott les journées de la microfinance organisées par le gouvernement mauritanien, l'Association professionnelle des institutions de microfinance et des partenaires. L'objectif de ce forum est de relancer la microfinance et les activités génératrices de revenus.La microfinance est un levier pour le développement et a un rôle crucial dans la lutte contre la pauvreté, la promotion de l'emploi et la création de la richesse. Abder Benderdouche, Expert filières à Enabel rappelle l'importance de promouvoir la microfinance aux populations rurales, au niveau du secteur agricole et pastorale dans toutes les régions mauritaniennes. Le programme RIMFIL (promotion du développement de filières agricoles et pastorales durables) financé par l'Union européenne renforce le secteur de la microfinance. En contribuant à l’accès durable des produits et services financiers adaptés aux besoins des populations rurales de la Mauritanie dans l’Assaba, le Guidimakha et les deux Hodhs. Ce qui souligne la force du partenariat entre la Mauritanie et Enabel.
A booklet about the Teacher Training Education (TTE) project innovations and successes in the National Teachers' Colleges in Uganda. Click here: https://bit.ly/3Vd7iRX
Kigali from 4th to 6th October 2022, more than 100 poultry value chain entrepreneurs (Farmers) have been facilitated to attending the poultry Africa event 2022, and had the chance to interact with more than 120 exhibiting companies from over than 20 countries to share and learn new technologies, best practices and knowledge transfer in regard to the application of modern technologies to increase profitability in the poultry value chain. Poultry Africa is the unique B2B international trade show that brings the full supply chain, from Feed to Food, of the poultry industries in Sub-Saharan Africa. It connects professional exhibitors of the international poultry industry with the fast-growing communities of poultry and poultry feed producers across the continent. With over 120 exhibiting companies from more than 20 countries, the third edition of Poultry Africa was the biggest so far. This international trade fair, included am enriched leadership conference covering several sectors within the poultry production chain, addressing topics like biosecurity in modern poultry farming, water management, food security, while the subject of animal health got extra attention. The event is truly a Sub-Saharan platform, with visitors from Rwanda, Nigeria, Uganda, Kenya, Ghana, Ethiopia but also South-Africa, Sudan, etc. This year, the show welcomed almost 2,000 visitors, decision-makers, and buyers. This trade Fair organized by VIV worldwide and its industry partners presented an extremely inspiring line-up of conferences next to the trade exhibition. Since its first edition in 2017, the Leadership Conference is an important source of knowledge for the whole region. Topics such as feed costs reduction, farm management & bio-security, insects for feed, data for (egg) production optimization, and the African market outlook will get extra attention. PRISM Enabel as the major contributor in the Rwandan poultry value chain development, collaborated with the Ministry of Agriculture (MINAGRI) and the Rwandan Poultry Industry Association (RPIA), has facilitated the participation of more than 100 Rwandan poultry value chain entrepreneurs (farmers) in the poultry Africa event 2022, Third Edition in Kigali. PRISM Enabel project works with the Smallholders farmers (SHF), to build their technical capacity in livestock, with the aim for shifting traditional - practices to improved husbandry for market-oriented farming to increase profitability of farmers who are involved in the poultry value chain in Rwanda.
Les journées du 29 et 30 Septembre 2022 ont été consacrées à l’atelier bilan annuel des actions mises en œuvre par les partenaires ONG dans le cadre des conventions de subsides:GretOxfamVSFCOOPIAprès le mot d’ouverture prononcé par Daniel Binart ; Intervention Manager de ENABEL, les 4 ONG de RIMDIR financé par l'Union européenne ont présenté de manière succincte leurs états d’avancement ainsi que les différents défis et contraintes de mise en œuvre. Des éléments de capitalisation des acquis ont été également été évoqués par les ONG. L’Expert National d’Ingénierie Sociale a fait une présentation sur certains constats de terrain avec les propositions de solution dont la plupart ont été traduites en recommandations. Des échanges fructueux ont eu lieu et certaines ambiguïtés /questionnements ont été levés. La seconde journée a été consacrée à 3 présentations : Synthèse de la première journée de l’atelier par les Rapporteurs désignés: Thiam Moussa ; Coordinateur Régional ENABEL du Hodh el Gharbi et DIA el Ghassoum du GRET, chef de projet Régional RIMDIR Guidimakha) La seconde présentation de la seconde journée a été faite par Abder Benderdouche ; Expert International RIMFIL. Cette présentation a dégagé les liens entre les projets de ENABEL (RIMDIR et RIMFIL). Une 3ème présentation a été réservée à la partie administrative, qui a retracé l’état d’avancement financier et des constats précieux ont été clarifiés par FIDELE T. RAFI de ENABEL . A noter que les représentants financiers des ONGs Csubside ont été également conviés à cet atelier. Les règles à respecter ont été détaillées lors de la présentation faite par Aminata Kane ; chargée de communication de ENABEL. Pour finir les recommandations à suivre ont été donné afin de faciliter la mise en œuvre à continuer.
Pour compléter le travail des cellules d'insertion des centres d’enseignement des métiers (CEM) appuyés par Enabel, le projet ACFPT a cherché une synergie avec d'autres partenaires qui peuvent guider davantage les jeunes lauréats dans la recherche ou la création d'un emploi durable. De là est né un partenariat avec Spark depuis juillet 2021, qui a pour objectif de renforcer les compétences entrepreneuriales des jeunes lauréats issus de ces centres.Après un premier projet pilote réussi à Rumonge en 2021, le partenariat se poursuit à Gitega avec trois centres. Dans cette province, deux cents lauréats (200) enthousiastes d’être leurs propres patrons, issus de ces trois centres se sont faits inscrire pour suivre une formation pendant 10 jours sur le développement des plans d’affaires, le leadership et l’importance de travailler en association (petites et moyennes entreprises).A la fin de cette formation, s’est déroulé un concours, organisé par Spark et CEMAC (Compagnie d’Etudes Managériales et d’Appui-Conseils), pour sélectionner les meilleurs plans d’affaires. A l’issue de ce concours, 19 coopératives ont été choisies pour être accompagnées. Pour appuyer les projets de ces jeunes entrepreneurs de Gitega avec le démarrage de leur entreprise, le projet ACFPT a attribué des équipements professionnels d'une valeur totale de 16.000 euros à plus de 140 lauréats (dont plus de la moitié sont des femmes !) des CEM/CFP de Gitega, Bwoga et Mugutu, répartis dans 19 coopératives différentes, ce 4 octobre 2022 lors d'un événement festif à Gitega. Les jeunes lauréats qui ont reçu ces équipements se disent très satisfaits de l’appui et ont promis de bien travailler pour un bon rendement et donner une chance aux autres lauréats qui voudront intégrer leurs coopératives.«Nous sommes très fiers d’avoir réussi le concours et de bénéficier des équipements pour renforcer le démarrage effectif de notre entreprise. Avec ces équipements nous serons à mesure de faire face à la concurrence » nous a confié une des coopératives. En plus du matériel que les coopératives gagnantes ont reçu d’Enabel, elles bénéficieront d'un accompagnement de proximité (business coaching) de la part de CEMAC depuis leur création pendant au moins six mois pour atteindre leur maturité.