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Depuis trois mois, certains de nos projets ont accueilli des stagiaires de l'Ecole Nationale d'Administration. A Gemena comme à Kisangani et Kinshasa, cette expérience professionnelle arrive à terme.Fin du stage effectué du 11 février au 27 avril 2016 au sein du Programme EDU-MOSU de la CTB par Hervé Ngonde Nsakala et Félix Nyomugabo, Stagiaires/ENA.L’Ecole nationale (ENA) a pour vocation la formation des hauts fonctionnaires de l’Administration publique de la République démocratique du Congo. La formation qui leur est donnée est destinée à permettre une insertion directe dans la fonction publique.Dans cette optique, un stage de professionnalisation de trois mois est prévu, pendant la scolarité, au sein des différents services publics administratifs et techniques de la République, ou, au sein des structures partenaires techniques au développement de la RDC. Pour Hervé Ngondé, les principales activités ont tourné, d’une part, autour de l’élaboration d’un thème dominant consacré à l’étude socioéconomique « adéquation formation – emploi » en vue d’orienter la mise en œuvre du programme, et d’autre part, sur la participation à la planification opérationnelle du programme et le système de suivi. Pour Félix Nyomugabo, la dimension « genre » dans la mise en œuvre du programme EDU-MOSU.Des interactions significatives ont été entretenues avec l’équipe du projet. Ces interactions se sont concrètement manifestées à travers la participation à nombre d’activités opérationnelles organisées durant la période de leur stage. (- l’étude socioéconomique « adéquation formation – emploi » , - l’atelier de mise en place du comité provincial ETFP du Sud-Ubangi, - l’élaboration du monitoring opérationnel du Programme , la conception de la base des données du suivi-évaluation du programme. )Cette expérience s’achève avec un sentiment de win –win pour eux-mêmes et le projet EDU-MOSU!
Le projet EDUT a organisé un atelier pour présenter l'approche projets d'établissements au bénéfice de responsables d'établissements scolaires, parents d'élèves, gestionnaires, cadres de proximité. La première journée d'information consacrée à la découverte et l'appropriation des notions et principes généraux ainsi que la familiarisation avec le cadre méthodologique a été suivie par une seconde journée de travaux pratiques ou les participants ont pu réinvestir ces nouveaux acquis par l'élaboration, en groupes, de projets d'établissements fictifs. Ces animations ont été réalisées par l'équipe de l'UCAG/EPSP et seront suivies par d'autres activités accompagner les communautés éducatives et les établissements à s'inscrire dans cette nouvelle dynamique qui permet d'envisager des réponses locales avec l'aide de tous les acteurs (parents, opérateurs économiques, partenaires, institutions, communautés, leaders...) aux difficultés particulières et contextuelles. Les projets d'établissements s'appuient sur une approche participative. L'ensemble de la communauté procédera à un état des lieux et un diagnostique objectifs et exhaustifs qui permettra de dégager des axes prioritaires en réponse aux difficultés identifiées. Ceux-ci seront traduits en objectifs et résultats et déclinés en plan d'action budgétisé.
Le vendredi 24 juin, s'est tenue la SMCL de clôture de l'UCAG qui est venue refermer le chapitre de cette aventure d'appui à la gestion du Ministère qui avait démarré fin 2015. L'évaluation finale a conclu que le projet avait été pertinent, efficient et efficace même si sa durabilité " hypothétique" méritait un point d'attention en raison de la possible ’instabilité" du personnel de l’Administration publique. Rappelons que l'enquête sur l'impact des appuis et renforcements de capacités réalisés par le projet avait montré des résultats très positifs en termes de pertinence, d'appropriation et de réinvestissement. Il y a lieu de préciser que la réussite de ce projet repose sur la qualité, le professionnalisme et la dynamique positive de toute l'équipe, tout en saluant le dispositif de coresponsabilité efficace qui a permis de gérer et piloter le projet en bonne intelligence. Cette cloture coïncide aussi avec la fin de mission de plusieurs agents. L'ATI responsable Marchés Publics de puis les débuts de l'UCAG, Thibault Vander Auwera, a quitté la R.D. Congo pour assumer un autre poste de coopération d'aide au développement. Les membres de la SMCL ont autorisé la réalisation des activités engagées dans le plan d'action pour permettre d'épuiser tous les engagements et cela avant le 4 octobre 2016 date d'échéance de la Convention Spécifique. Une équipe restreinte accompagnera cette mise en oeuvre finale. L'UCAG a depuis plusieurs semaines procédé à son inventaire, et cela dans le cadre d'une activité de renforcement de capacités de trois agents du Ministère. Par ailleurs, le matériel acquis par le projet et inventorié va être remis au Secrétariat Général de l’EPSP. La coordination des projets éducation belgo-congolais se poursuit et se réalisera autour d'une expertise mixte nationale et internationale.
Tras dos años de consolidación, el Proyecto de Apoyo a la Agricultura Familiar – PROAGRIF implementado en varias comunidades del Distrito 7, zona Rio Chico del Municipio de Sucre (Chuquisaca) por la CTB Agencia Belga de Desarrollo, pasará a depender del Gobierno Municipal de Sucre a partir del próximo mes quienes garantizan su continuidad. A través de este Proyecto, centenares de familias de la zona del Rio Chico, al igual que en los Municipios de Yotala y Poroma, se capacitaron en la producción limpia, desde el preparado de la tierra, pasando por la siembra y la cosecha, hasta la comercialización y venta final al consumidor. En julio 2016, la CTB Agencia Belga de Desarrollo entregará el Proyecto a los municipios; en el caso de la zona de Rio Chico la entrega será al Gobierno Municipal de Sucre, para ello se promovió una visita de campo en fecha 19 de junio 2016. “En la visita hemos podido verificar los sembradíos de hortalizas y frutales, especialmente de tomate, berenjena y papaya”, manifestó el Jefe de Desarrollo Productivo Agropecuario del Gobierno Municipal de Sucre, Sr. Henry Núñez, al señalar que la Alcaldía de Sucre está involucrada en el proyecto desde hace meses. Proyecto PROAGRIF CTB, Agencia Belga de Desarrollo
En fecha 27 de junio del 2016, el Ministerio de Culturas y Turismo, la Agencia Belga de Desarrollo, la Universidad Libre de Bruselas y los representantes de los 13 municipios beneficiarios del Proyecto del Lago presentaron en la localidad de Copacabana los resultados producto de las excavaciones subacuáticas realizadas por un equipo de 10 arqueólogos internacionales y bolivianos. El Alcalde de Copacabana, Sr. Félix Nina, dio la bienvenida al evento y agradeció a las autoridades presentes y a la Cooperación Belga por el apoyo al fortalecimiento de las capacidades básicas de gestión del desarrollo turístico con base en patrimonio cultural y fortalecimiento de los emprendimientos comunitarios dirigido a los 13 municipios del lago. La Representante de la Cooperación Belga en Bolivia, Sra. Christelle Jocquet destacó que el Proyecto del Lago es único en su género, es un proyecto arqueológico-turístico que promueve la participación de la mujer bajo un enfoque de género e integra el desarrollo productivo, cultural, económico y comunitario haciendo hincapié en la parte humana. En el evento se presentó también a la primera promoción de arqueólogos subacuáticos bolivianos, compuesto por 5 arqueólogos de los cuales 4 son mujeres; quienes recibieron un programa completo de formación en buceo deportivo y buceo arqueológico desarrollado por la Universidad Libre de Bruselas (ULB) con apoyo del Centro de Instrucción en Buceo de Altura dependiente de la Fuerza Naval de Bolivia. Es importante destacar la masiva participación de los beneficiarios del Proyecto quienes demostraron el interés en formar parte de este desafío planteado por el Proyecto del Lago. Finalizada la presentación, todas las autoridades acompañaron en la ch’alla (inauguración) de la oficina de Enlace del Proyecto del Lago ubicado en el Municipio de Copacabana. Los actores implicados en el Proyecto del Lago están integrados por el Ministerio de Culturas, la Cooperación Belga, a través de la Agencia Belga de Desarrollo (CTB-Bolivia), la Universidad Libre de Bruselas (ULB), el Ministerio de Culturas y Turismo, la Universidad Mayor de San Andrés y los 13 municipios priorizados.
Bilal (second from left) is 22 years old and grew up in the southern part of the Gaza Strip, in a city called Rafah. Recently he has opened his own welding workshop. Thanks to this small enterprise, he earns a basic salary of around 700NIS a month (around 160 EUR), but over time he would like to increase the size of his workshop.However, for the moment he does not have enough skills to do so. Therefore, he is now enrolled in the Work Based Learning (WBL) initiative of the Vocational Training Centre of Rafah. Together with 15 other students he follows a six-month long training course in aluminium welding. What is special about this course, is that he is mainly stationed not inside the training centre, but in a big aluminium welding company, where he works for 3 days a week. The other 2 days the students go to the VTC to learn more basic or theoretical skills which they can afterwards apply in the company the rest of the week."What is special about this course, is that I am able to work in a big aluminium welding company for 3 days a week."He has chosen this training course especially because of the cooperation with the private sector. The experience of working in a bigger company is extremely useful for him. This collaboration between the private and the public sector allows him to enhance his welding skills more than in a standard training course and will make a better entrepreneur out of him.
En général le projet vise à sécuriser et renforcer le réseau électrique de la ville de Lubumbashi et à améliorer le taux de desserte.En 2012, la grande agglomération de la ville de Lubumbashi a une population estimée à 1.800.000 d’habitants soit plus de 250.000 ménages à raison de 7 habitants par famille. Le taux de croissance actuellement de 4% a toutefois tendance à régresser ce qui permet d’estimer la population en 2023 à 2.500.000 personnes. Les infrastructures d’alimentation et de desserte d’énergie électrique dans la ville de Lubumbashi sont, pour la plupart, saturées et vétustes à tel point que la SNEL n’est pas en mesure de faire face à la demande toujours croissante d’électricité des différents quartiers de la ville et de ses extensions (la commune Annexe). A ce jour, on peut considérer qu’environ 25 % des ménages sont alimentés en énergie électrique. D’autre part et afin de remédier également aux insuffisances répétées de la fourniture d’électricité à partir du barrage d’Inga, un accord pour l’importation d’électricité à concurrence de 140 MW a été conclu avec la société Zesco (Zambia Electricity Supply Corporation Limited). Le projet en objet, qui vise à augmenter la capacité de transformation du poste Répartiteur Sud (RS) (qui assure l’alimentation en électricité de la plus grande partie de la ville de Lubumbashi), et à assurer également l’alimentation en électricité de la cité Karavia, pourra dès lors bénéficier de cet apport complémentaire d’énergie en provenance de la Zambie, tout en attendant la fin de la réhabilitation en cours de la ligne THT de transport d’énergie électrique à partir des centrales hydro-électriques d’Inga dans le cadre du projet SAPMP (Southern African Power Market Program). Sur le plan de la sécurisation et de l’augmentation de puissance des installations de fourniture d’électricité au niveau du poste Répartiteur Sud (RS), toute la population de Lubumbashi sera bénéficiaire. Aussi bien la qualité que la quantité d’électricité, distribuées à partir du poste Répartiteur Sud (RS) seront en effet améliorées. En raccordant la Cité Karavia, située dans la commune Annexe à l’ouest du centre-ville de Lubumbashi, au réseau de distribution d’électricité à partir du poste Karavia, les habitants de la cité pourront enfin bénéficier des bienfaits de l’électricité.
EDUT, projet d’appui à l’enseignement technique et professionnel de la CTB dans la Tshopo accueille des experts belges du secteur public ETFP (VDAB et SYNTRA) en vue de confronter le challenge de l’adéquation formation-emploi en RDÀ la Tshopo, en République Démocratique du Congo, la CTB procède à l’identification des travaux pratiques et équipements et à une analyse participative des pratiques pédagogiques des enseignants. Cette activité permettra d’améliorer la qualité de la formation pratique des apprenants afin qu’elle réponde aux besoins du marché de l’emploi.Du 13 au 18 mai, des descentes dans les écoles techniques pilotes pour les filières bâtiment et mécanique ont été faites par l’équipe EDUT de la CTB et trois experts VDAB et SYNTRA, pour des observations des leçons pratiques, échanges sur terrain avec les élèves et enseignants, suivis d’entretiens avec les entreprises et artisans. Le voyage d’étude, comprenait des visites sur terrain à Isangi et Imbolo et la visite d’écoles pilote, tout particulièrement l’institut Chololo en milieu urbain à Kisangani.Les deux organisations ont ensuite Co-animé du 20 au 21 mai 2016, un atelier d’identification des besoins en renforcement de la formation pratique, organisé par la CTB. Des discussions passionnantes entre enseignants, directeurs, anciens élèves, délégués du gouvernement et représentants du monde du travail et de l’entreprise ont permis de dégager les priorités en terme d’équipement et renforcement des dispositifs de formation adaptés au profil métier mécanique et construction de la jeune Province.
Ça y est, ça fait trois ans qu’on vous en parle presque toutes les semaines, qu’on vous écrit de merveilleux clins d’œil à ce propos et enfin après trois ans… nos chères PME ayant fait preuve de ténacité, arrivent enfin vers la certification HACCP. Les audits de B&A conseils sont en route, c’est donc l’occasion pour nous de faire témoigner les PME … Commençons par une entreprise de jus d’ananas : Alachac. Que pense Charlotte Alao, gérante de Alachac, de cette expérience ? Votre humble reporter en herbe que je suis est partie le lui demander. Je vous livre ici la première partie de ses impressions. Alors Charlotte dis-nous, quelles sont les premières impressions après l’audit HACCP ? « Les premières impressions sont très bonnes, l’auditeur a fait preuve vraiment d’une rigueur sans pareille. Et il n’a occulté aucune étape, dans le système HACCP nous avons 12 étapes et il a été pointu sur chaque étape. On était à l’aise, mais on se demandait un peu aussi si on pouvait vraiment être à la hauteur. On a essayé de répondre aux questions et il nous a félicité surtout d’avoir pu éliminer les non-conformités majeures. Il a relevé quelques non-conformités mineures, surtout liées à la documentation. On a pêché dans ce domaine. Système veut dire systématique donc dès qu’il demandait quelque chose ça devait sortir, mais on a mis quelque temps à chercher. On était à l’aise grâce à l’accompagnement de ASPS. D’abord les ateliers de janvier et puis le suivi qui a fait en sorte qu’on a commencé à nous familiariser avec le manuel et surtout avec les fiches[…] Nous disons merci à Asps pour l’accompagnement. » Charlotte et moi-même avons ensuite échangé sur le travail mis en œuvre pour arriver à ce jour tant convoité d’audit. « On pensait que cela pouvait passer comme une lettre à la poste, mais on s’est vite rendu compte qu’ il fallait mettre les choses au sérieux. Tout d’abord on voulait montrer à ASPS qu’on voulait être l’un des meilleurs élèves […] Les semaines avant (N.D.L.R. avant audit) comme on a vu venir les messages répétés d’Andrea et de Petia on était sur le quai vive. On a essayé de voir de façon pointue ce qui n’était pas au point. Ça a demandé du travail et de l’investissement personnel. Fallait travailler très souvent sur le manuel , faire le tour de chaque salle pour voir si on est au point, ça nous a permis de passer souvent à chaque étape voir si les choses sont en places […]Ça a permis aussi de dormir très tard, de se lever très tôt et de penser si on n’avait pas oublié quelque chose. Mais à la fin on est très content de cet accompagnement. N’eût été l’accompagnement de ASPS, je crois que l’auditeur n’aurait pas été très satisfait. […] Aujourd’hui on peut dire qu’on est fière… mais… moi je suis perfectionniste donc je disais à l’auditeur qu’on peut faire mieux. Comme on est dans une démarche d’amélioration continue, il faut qu’à n’importe quel moment tout rentre comme un réflexe… » Et Charlotte la perfectionniste se projette aisément dans l’avenir. « Déjà avec HACCP on peut se glorifier un peu, mais on ne va pas dormir sur nos lauriers et continuer à améliorer le jus ». Souhaitons-lui que la qualité sanitaire de son produit maintenant reconnue, son entreprise puisse prospérer.
En marge de la validation de l’annuaire des statistiques sanitaires 2015 de l’Atacora-Donga, une session a regroupé autour du Directeur Départemental de la Santé, l’ensemble des Partenaires Techniques et Financiers (PTF) et ONG présents à cette rencontre, tenue dans la salle de réunion du PASS Sourou. La session dont les objectifs étaient d'élaborer un calendrier de rencontre, de connaître le domaine d’intervention de chaque PTF et de partager de l'information, a été menée sous le lead du Conseiller Technique International du PASS dans l'Atacora-Donga. A la fin de cette rencontre un calendrier périodique (trimestriel) a été retenu. La prochaine réunion est ainsi prévue pour le 24 Juin 2016.
Le programme d’appui au développement des filières agricoles (PROFI) a été mis en place par la Belgique, à travers l’Agence belge de développement (CTB), en partenariat avec le gouvernement béninois, pour soutenir ce dernier dans son désir de rendre le secteur agricole du pays fort et prospère. Il est destiné à mettre en oeuvre les politiques nationales dans des territoires définis, en l’occurrence le Mono-Couffo et l’Atacora–Donga, pour la promotion des filières maraichage, riz et anacarde. Ce programme se base sur les expériences des interventions antérieures de coopération belge dans le domaine agricole au Bénin. En effet, plusieurs interventions ont été financées et mises en oeuvre par la CTB, par le passé, en vue d’accompagner le Bénin pour atteindre et garantir sa sécurité alimentaire et nutritionnelle. On peut ainsi noter la Facilité d’Appui aux Filières Agricoles dans les départements du Mono et du Couffo (FAFA MC), la Facilité d’Appui aux Filières Agricoles dans les départements de l’Atacora et de la Donga(FAFA AD), l’Appui Institutionnel au MAEP (AIMAEP) et la Facilité d’Appui aux Investissements Agricoles (FAIA), aujourd’hui clôturés.Articulé autour de deux volets, l’un institutionnel et l’autre opérationnel, le programme d’appui au déve-loppement des filières agricoles (PROFI) prend en compte la promotion du filières agricoles de manière intégrée, afin de participer efficacement à la construction d’un monde équitable pour les producteurs et transformateurs agricoles du Bénin. Le volet institutionnel du programme, démarré en octobre 2014, porte sur l’appui au Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP) pour le renforcer dans l’exercice de ses fonctions et faciliter la promotion des filières agricoles, tandis que le volet opérationnel soutient l’initiative agricole locale. Ceci en subventionnant les coopératives agricoles, les groupements et petites entreprises dans la production et la transformation, et en développant les investissements publics structurants au niveau des communes au bénéfice des populations locales.Selon le Représentant Résident de la CTB, Michel FRANCOYS, la mise en oeuvre du volet opérationnel du programme permettra de « participer à la résolution du défi du financement de l’agriculture au Bénin. De par notre expérience passée, nous avons constaté que certains des microprojets ou producteurs que nous avons soutenus, ont réussi, en un an, à faire progresser de manière significative leur production. Il est donc clair que le secteur agricole béninois possède des atouts indéniables et qu’en y investissant, on peut aider les populations à atteindre l’autonomie financière et l’autosuffisance alimentaire ».La cérémonie de lancement ayant eu lieu à l’hôtel Azalaï, le jeudi 16 juin 2016, concerne uniquement le volet opérationnel, dont la durée de mise en oeuvre est de 4 ans. La rencontre avait pour but de présen-ter à l’ensemble des acteurs du secteur agricole au Bénin les objectifs, résultats attendus et principales activités. La cérémonie a connu la présence effective du Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Delphin Kouzande, des membres de son ca-binet, du Secrétaire Général du Ministère, Abdoulaye Toko, de la représentante de l’ambassade de Belgique, du préfet de l’Atacora–Donga, des Partenaires Techniques et Financiers et d’autres structures du secteur de l’agriculture au Bénin. C’était également l’occasion de présenter au public des notes de capitalisation montrant des expériences intéressantes et la valeur ajoutée des interventions de la CTB Bénin dans le domaine de l’agriculture.Selon le Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la pêche, « En visant la promotion des filières maraîchage, riz et anacarde par la professionnalisation des exploitations familiales, la fourniture des services de qualité par les entreprises rurales aux exploitations familiales, la réalisation d’investissements communaux dans les bassins de production et l’amélioration de l’organisation et de la gouvernance des organisations professionnelles agricoles ce programme s’intègre parfaitement dans la politique agricole du Gouvernement du Bénin ».En marge de la cérémonie, plusieurs promoteursagricoles soutenus par la CTB Bénin ont exposé leurs produits. Les participants pouvaient donc s’offrir des jus de fruits, des noix d’acajou en bouteille, du riz produit au Bénin etc. L’une des exposantes, Madame Thérèse Orou Ali, a tenu à donner ses impressions sur le programme agriculture de l’Agence belge de développement (CTB). « Ça m’a vraiment beaucoup aidé. Je travaillais à l’étape artisanale. Mais aujourd’hui j’ai un grand bâtiment,18 femmes qui travaillent pour moi et j’en ai initié aussi d’autres groupements ».Communiqué de presse sur Relief Web
Racha is 33 years old, and mother of two daughters. She currently follows a training in beauty at the Polytechnic College Al Mustaqbal in Gaza City. She is no exception. Most of her classmates have her age and succeeded the tawjih exam a long time ago. Some even have bachelor degrees in different subjects. Still they choose to follow an extra formation. Some do so because they cannot find a job, others because they want to change profession.“I am very happy to be able to gain work experience in a beauty salon close to my home. This allows me to combine my education with my private life.”The training will take six months. During the first months they will learn the basic skills in the training centre, afterwards they will pursue their training in beauty salons in the region. Racha has high hopes. She came to the college because of its good reputation and because of the Work Based Learning scheme that gives her the opportunity to do an internship in the private sector. She is very pleased to be able to gain work experience in a beauty salon close to her home. This allows her to combine her education with her private life. After she will finish the training course, she hopes to be able to open her own beauty salon.
En el marco del Programa de Fortalecimiento de Redes de Salud (FOREDES), en fecha 14 de junio de 2016 se realizó la firma de un convenio entre el Ministerio de Salud, la Agencia Belga de Desarrollo y 14 autoridades representantes de los municipios ubicados en los departamentos de Cochabamba, Potosí, La Paz y Chuquisaca.La firma de este convenio tiene el objetivo de equipar 14 establecimientos de salud de primer nivel con 547 equipos médicos y mejorar la salud y la calidad de vida de más de 214.770 habitantes entre hombres, mujeres, niños y niñas.En el convenio también se garantiza la ampliación de un Centro de Salud en Tiahuanaco, con una inversión de más de un millón de bolivianos.Octavio Quispe, alcalde del Gobierno Autónomo Municipal de Tiahuanacu en representación de los 14 municipios beneficiados, agradeció al Ministerio de Salud, a la Agencia Belga de Desarrollo y el Programa FOREDES por el apoyo en el fortalecimiento integral de las redes de salud. Los 14 municipios beneficiarios son: 1) Tacapari, 2) Tacopaya, 3) Bolivar (Cochabamba); 4) Sacaca, 5) Caripuyo, 6) Arampampa, 7) San Pedro de Buena Vista (Potosí), 8) Tiahuanaco, 9) Batallas, 10) Puerto Acosta y 11) Copacabana (La Paz); 12) Azurduy, 13) Tarvita y 14) Sopachuy (Chuquisaca).
Digital technologies have spread rapidly in much of the world and the use of ICT has become more important in everyone’s daily life. Digital technologies also have the potential to boost improved service delivery in education. Using ICT in Palestinian classrooms has become an important tool to enhance student-centered learning. Furthermore, it allows students to acquire 21st century skills.From 2011 till 2015, the Palestinian Ministry of Education and Higher Education and the Belgian Development Cooperation have implemented an E-learning project in 300 pilot schools to introduce the use of ICT in the classroom. One project component focused on providing upstream policy-advice based on a large Action Research to learn from the pilots supported by the project. The Action Research was conducted in 2014-15 by a consortium of the Open University of Cyprus and the Al-Quds Open University. The Action research resulted in the following 6 Policy Papers with clear policy recommendations on all aspects of ICT in schools and digitalizing education. Policy Paper #0 on Information and Communication Technology in Education (ICTE)Policy Paper #1 on School-led Initiatives (SLI)Policy Paper #2 on Digital Educational Resources (DER)Policy Paper #3 on mobile Learning (m-L)Policy Paper #4 on Teacher Professional Learning (TPL)Policy Paper #5 on 21st Century Skills (21CS)
Con la finalidad de sensibilizar sobre el tema de género e interculturalidad entre los y las estudiantes de las instituciones educativas piloto, Nuestra Señora del Rosario y el Colegio Nacional de Iscozación, en los distritos de Villa Rica y Palcazú, se desarrollaron talleres de capacitación con las brigadas y Comisiones Ambientales Escolares (CAEs). En el taller desarrollado en la Institución educativa Nuestra Señora del Rosario de Villa Rica, participaron cerca de 35 estudiantes integrantes de las brigadas ambientales de ecoeficiencia, salud y gestión del riesgo, quienes aprendieron temas de género e interculturalidad, así como la importancia de implementar sus actividades considerando la participación de varones y mujeres, así como la cultura, en las actividades sociales y de educación ambiental.Por otro lado, con la CAEs del Colegio Nacional de Iscozacín en el distrito de Palcazú, los y las estudiantes aprendieron a elaborar en forma participativa funciones con enfoque ambiental, género e interculturalidad. Como producto de este taller los participantes de las brigadas elaborarán su reglamento de funciones considerando estos aspectos. Es importante mencionar que estas actividades se desarrollan como parte del plan de fortalecimiento de los Comités Ambientales Escolares (CAEs) que el PRODERN viene desarrollando en las instituciones educativas piloto, como parte de sus actividades en educación ambiental.