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  • Enabel au Burkina Faso fournit des kits d’installation à des femmes et jeunes formés aux métiers pour favoriser leur insertion socio-économique

    Enabel au Burkina Faso fournit des kits d’installation à des femmes et jeunes formés aux métiers pour favoriser leur insertion socio-économique


    Kimsegninga SAVADOGO | 07/11/2023

    L’Agence belge de développement, Enabel au Burkina Faso a remis le 20 octobre dernier des kits d’installation à 194 apprenant(e)s composés de jeunes et de femmes issus de personnes déplacées internes et de personnes hôtes, afin de faciliter leur insertion professionnelle.   C’était au cours d’une cérémonie de remise officielle organisée dans la cour de la mairie de Pouytenga, une commune de la province du Kouritenga, région du Centre-Est. 136 personnes déplacées internes (PDIs) et 58 hôtes dotées en kits d’installation. La remise des kits d’installation intervient dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet dénommé « Offre de Solutions pour une Résilience Inclusive, Durable et Territorialisée (DROITS), qui a permis d’identifier et former aux métiers, 194 jeunes hommes et femmes dont 136 personnes déplacées internes (PDIs) et 58 hôtes. Le projet « Droits » est le fruit de la collaboration entre Enabel et les organisations Trias, ICCO part of Cordaid et OCADES Koupéla. 24 structures de formation sollicitées pour la formation des apprenant·es Le processus ayant conduit à la formation de femmes et de jeune ainsi qu’à la remise de kits, a été rendu possible grâce à un partenariat établi avec 24 structures de formation dont quatre (04) centres et vingt (20) ateliers). La formation des apprenants a pris en compte onze (11) corps de métiers à savoir la couture, la coiffure dame, la soudure, la menuiserie, la mécanique 2 roues, le tissage, la vulcanisation, l’électricité solaire, la cosmétique, la conduite automobile et le tricotage à la machine. En tout, ce sont 194 apprenants qui ont achevé complètement leur parcours de formation de quatre (04) à six (06) mois, dispensée dans les communes d’intervention du projet « DROITS ». Autonomisation des femmes et des jeunes pour le renforcement de la résilience collective aux facteurs de vulnérabilité L’action vise à contribuer à l’autonomisation des femmes et des jeunes pour le renforcement de la résilience collective aux facteurs de vulnérabilité dans la région du Centre-Est. Plus spécifiquement, il s’agit de (1) soutenir la création d’opportunités d’emploi et de revenus pour les populations déplacées internes et les populations hôtes et (2) renforcer les capacités des acteurs locaux à implémenter des dispositifs d’insertion socio-professionnelle et de développement de l'emploi inclusif et durable pour les personnes déplacées internes et leurs hôtes. 04 communes de la région du Centre-Est, partenaires de la mise en œuvre du projet « DROITS » En effet, avec l’appui financier d’Enabel, les organisations Trias, ICCO part of Cordaid et OCADES Koupéla mettent en œuvre depuis Octobre 2022 le projet « Droits » dans quatre (04) communes de la région du Centre-Est que sont : Bittou, Koupéla, Ouargaye et Pouytenga. Dans cet effort de contribuer au relèvement économique des PDIs et leurs hôtes, deux parcours ont été conduit par le projet. Il s’agit du parcours de formation courte durée aux métiers et du parcours d’appui au développement ou au renforcement d’une Activité Génératrice de Revenus (AGR). Plaidoyer pour le suivi et l’accompagnement des apprenant·es Au cours de la cérémonie de remise des kits, les résultats atteints par le projet « DROITS » dans son parcours métier ont été présentés et un plaidoyer a été fait auprès des autorités et services compétent au niveau local pour le suivi et l’accompagnement des apprenant·es afin de réussir leurs projets.


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    Burkina Faso BFA21003

  • Enabel participe à la Semaine pastorale: Pour une transhumance apaisée

    Enabel en Mauritanie participe à la semaine pastorale


    Aminata KANE | 06/11/2023

    La Semaine pastorale "Pour une transhumance apaisée" s'est déroulée du 31 octobre au 2 novembre 2023 à Sélibabi en Mauritanie.La Semaine pastorale a permis des échanges sur le cadre de concertation transfrontalière. Elle a réuni la région du Guidimakha ainsi que les régions de Tambacounda au Sénégal et de Kayes au Mali. Cette semaine avait pour objectif de renforcer la coordination et la concertation entre les régions frontalières, facilitant ainsi les échanges mutuels entre ces régions. Elle a mis en évidence la coopération fructueuse existant entre la Mauritanie, le Mali et le Sénégal, en particulier dans le domaine pastoral. Il y a une forte émergence des regroupements intercommunaux dans le domaine du pastoralisme, en réponse à la mobilité des troupeaux sur de vastes territoires couvrant plusieurs communes. Cela soulève des questions liées à l'aménagement du territoire, à l'accès aux ressources, et à la régulation des marchés dans un cadre intercommunal. L'objectif de la Semaine Pastorale est d'assurer une transhumance apaisée et de relever le grand défi de coordonner ces initiatives pour les rendre plus efficaces à l'échelle transfrontalière. Les communes jouent un rôle essentiel dans la facilitation de solutions communes pour la transhumance, avec des retombées environnementales et financières, ainsi qu'une viabilité économique de l'activité.Un nouveau Programme sera mis en œuvre en 2024 par Enabel pour le couloir ouest, avec pour objectif de soutenir le développement durable de l'économie pastorale dans la région. Il est dénommé "Programme Régional d'Appui au Développement de l'Économie Pastorale (PRADEP)". Il renforcera ces initiatives au niveau national et transfrontalier, visant à sécuriser la transhumance et les flux commerciaux. Il est important d'adopter une approche filière pastorale adaptée au contexte agroécologique et socioéconomique des pays du couloir ouest, à savoir le Mali, la Mauritanie, le Sénégal et la Guinée.


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    Mauritania MRT19001

  • Lancement officiel du Programme Uni.e.s. pour l'Égalité des Genres (UPEG) en Ituri

    Lancement officiel du Programme Uni.es pour l'Égalité des Genres en en République Démocratique du Congo


    Mandy BAKINE NGASHUE | 06/11/2023

    Le programme Uni.es pour l’égalité des genres (UPEG) a été officiellement lancé dans la ville de Bunia, le 27 octobre 2023 par Le Gouverneur de la province de l’Ituri, le Général Monsieur Johny Luboya KASHAMA, représenté par son Directeur de cabinet. Le programme est financé par l'Union européenne à hauteur de 18,5 millions d’euros et mis en œuvre (dans ses objectifs spécifiques 2 et 3) par Enabel, l'Agence belge de développement sur une période allant de 2023 à 2027. La cérémonie s’est déroulée dans la salle de l’hôtel la Casa, dans la ville de Bunia, dans la province de l’Ituri. Elle a été précédée par la tenue de la première réunion du Comité technique, organe provincial en charge du suivi technique et opérationnel. Cette réunion devra être renue tous les trois (3) mois, notamment pour la préparation du Comité de pilotage. Les Opérateurs de mise en œuvre sont chargés de présenter l’état d’avancement/de réalisation des activités du trimestre ainsi que la planification du trimestre à venir. Le programme UPEG a pour objectif de contribuer à la lutte contre les violences basées sur les genres, notamment grâce au renforcement de l'autonomisation socio-économique des femmes et le leadership politique des femmes dans un environnement protecteur. Le programme est mis en œuvre dans les provinces du Kasaï, du Sud-Kivu et de l’Ituri. Il renferme deux objectifs spécifiques à savoir : Renforcer le leadership et l'autonomisation socio-économique des femmes à travers des actions concrètes visant à renforcer les compétences socio-professionnelles des jeunes et des femmes, augmenter le nombre d'emplois ou d'auto-emploi, améliorer la coordination des services publics en matière d'autonomisation des femmes et des hommes ; Améliorer et renforcer l'environnement protecteur des femmes en RDC à travers une appropriation de la lutte contre les VBG par les communautés locales, la mise en place d'un mécanisme de réponse rapide efficace, l'accès des victimes de VBG à une prise en charge adéquate, le renforcement des services publics dans la prévention, la sensibilisation et la prise en charge holistique des victimes et survivantes de VBG. Le principal partenaire de mise en œuvre de cette action est le Ministère Genre, Famille et Enfants, représenté dans la province par la Conseillère du Gouverneur en charge de la Santé, du Genre, de la Famille, de l'Enfance, des Actions Humanitaires et de la Prévoyance Sociale.   Les actions du programme visent principalement les femmes, les jeunes filles, les hommes, les jeunes garçons, les familles, les communautés et la société civile congolaise. Le Programme UPEG se veut également collaboratif, favorisant la coopération avec les organisations non gouvernementales (ONG) et les initiatives locales, ainsi que des synergies avec d'autres projets financés par l'Union européenne en République Démocratique du Congo.


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    DR Congo COD21004

  • Accès à la justice : Enabel renforce les capacités des interprètes judiciaires des Tribunaux de grande instance du Burkina Faso

    Accès à la justice : Enabel renforce les capacités des interprètes judiciaires des Tribunaux de grande instance du Burkina Faso


    Geoffroy ZONGO | 06/11/2023

    Du 24 au 27 octobre 2023, Enabel, en collaboration avec le ministère en charge de la justice, a organisé un atelier de formation au profit des interprètes judiciaires sur l’utilisation du lexique des termes juridiques usuels en juridiction et sur la déontologie. Cette activité entre dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité (PARJI), financé par l’Union européenne. L'objectif principal de la formation était de renforcer les capacités des interprètes judiciaires sur le langage et les termes juridiques quotidiennement utilisés en juridiction et résumé dans le lexique des termes juridiques usuels à l’intention des interprètes judiciaires. Durant les 4 jours, 21 interprètes judiciaires (dont 8 femmes et 13 hommes) venus des juridictions du Burkina Faso ont été outillés sur leurs obligations et leurs devoirs dans l’exercice de leur fonction. Ils ont aussi été sensibilisés sur les bonnes pratiques en matière d’interprétation et se sont familiarisés avec les termes juridiques usuels. Ils ont été initiés à l’utilisation de ces termes et ont faits des exercices d’assimilation et de traduction desdits termes tout au long de la session de formation. En effet, c’est dans le but de rendre le langage juridique plus compréhensible et accessible aux interprètes que le Ministère en charge de la Justice avec l’appui financier du Programme de Modernisation de l’Administration Publique (PMAP), avait élaboré un lexique des termes juridiques usuels au profit des interprètes judiciaires. Au regard des différentes réformes législatives récentes, notamment en matière pénale, une relecture dudit lexique a été faite afin de l’adapter aux différentes reformes et introduire les nouvelles expressions. Ainsi, un atelier de relecture du lexique s’est tenu du 1er au 5 août 2022 à Manga avec le soutien financier de l’Union européenne dans le cadre du PARJI mis en œuvre par Enabel. Après cette relecture, le Ministère de la justice et le PARJI ont jugé nécessaire de former les interprètes judiciaires sur cet outil de travail qui va leur permettre de mener à bien les missions qui leur sont confiées dans le cadre de l’exercice de leur fonction d’interprète. Cet atelier a aussi été une occasion pour les organisateurs de sensibiliser les interprètes sur le code d’éthique et de déontologie de la famille d’emploi des interprètes judiciaires. Ce code a été adopté en septembre 2022 par arrêté du Ministre de la Justice et des Droits Humains, chargé des Relations avec les Institutions, Garde des Sceaux.Aussi, les échanges avec les participants ont permis de mieux cerner les difficultés et problèmes rencontrés sur le terrain en matière d’éthique et de déontologie mais aussi en matière d’interprétation judiciaire. Des versions provisoires tant du code d’éthique et de déontologie de la famille d’emploi des interprètes judiciaires, du lexique des termes juridiques usuels en français, que des lexiques des termes juridiques traduits dans 4 langues nationales, à savoir le Mooré, le Dioula, le Fulfuldé et le Gourmatchéma, ont été présentées aux interprètes.Cela a permis de recueillir leurs observations et recommandations en vue de l’amélioration de ces lexiques avant leur reproduction. 


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    Burkina Faso BFA20003

  • Burundi: améliorer la gestion opérationnelle du district sanitaire avec une formation des équipes cadres des districts sanitaires

    Burundi: garantir la qualité des soins dans les formations sanitaires


    Jean BIRONKWA | 06/11/2023

    Le Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida (MSPLS) en partenariat avec Enabel, l’Agence Belge de Développement, à travers le Programme d’appui au système de santé - AMAGARA MU MURYANGO - a organisé un atelier de renforcement des compétences des équipes cadres de district sanitaire du 9 au 13 Octobre 2023. Cet atelier a rassemblé des médecins directeurs, gestionnaires administratifs et financiers, superviseurs polyvalents, gestionnaires des pharmacies de District et responsables du Système d’information sanitaire. Les 53 participant.es provenaient de 14 districts sanitaires du pays et la plupart étaient nouvellement nommé.es dans ces organes. Au préalable, un premier pool de 68 participant.es de même profil avaient déjà participé à une formation identique. L'objectif était de renforcer le leadership et le management opérationnel du district sanitaire qui est le garant de la qualité des soins dans les formations sanitaires du pays. Le système de santé au Burundi est composé de 3 niveaux (central, intermédiaire et périphérique). Les équipes cadres des districts sanitaires au niveau intermédiaire ont la mission de coordonner le travail du personnel des formations sanitaires pour garantir des soins et services de qualité à la population bénéficiaire. La mobilité des équipes cadres des districts sanitaires (ECD) reste un défi pour la mission de coordination et de supervision du niveau périphérique, ce qui montre la pertinence de telles formations.Dr Joselyne NITEREKA, représentante de la Direction Générale en charge des services de santé, a indiqué lors de la session d’ouverture de la formation que le renforcement des capacités des ECD va contribuer à améliorer la qualité des prestations dans les formations sanitaires. Le Coordinateur du Programme AMAGARA MU MURYANGO financé par l’Union européenne, le Dr Abdoulaye MAHAMAN SANI a rappelé l’objectif du Programme : appuyer le MSPLS à améliorer la qualité des soins et des services de santé à travers le financement basé sur la performance. Il a aussi souligné la contribution mensuelle du Programme au système de Gratuité des soins à travers le paiement de la facture des prestations des soins destinés aux femmes enceintes et aux enfants de moins de 5 ans qui s’élève à  900 mille euros par mois pour appuyer le gouvernement dans ses efforts de garantir les soins aux plus vulnérables. Ce Programme exécute d’autres activités visant le renforcement des autres piliers du système de santé comme le développement des ressources humaines, les infrastructures, etc. Les expert.es du niveau central du MSPLS, appuyés par ceux du Programme AMAGARA MU MURYANGO ont développé plusieurs thématiques en rapport à la gestion opérationnelle des districts sanitaires dont les principales portaient sur la méthodologie de supervision formative des Fosa par l’équipe cadre du District, la gestion des médicaments, la gestion des données du Système d’information sanitaire, la gestion financière, la gestion des ressources humaines, la planification et le suivi/évaluation dans le domaine de la santé. D’autres thématiques ont fait l’objet d’échanges d’expérience, notamment les processus de gestion de la qualité des soins, la gestion des déchets, le leadership et la gouvernance dans les districts sanitaires.  Une nouvelle thématique : l’intégration des soins de santé mentale L’intégration des soins de santé mentale dans les soins de santé primaires est une nouvelle thématique qui a été introduite dans la formation des ECD dans la mesure où le Burundi a lancé depuis 3 ans l’intégration des soins de santé mentale dans son système de santé. Selon l’OMS, la santé mentale est un droit humain fondamental pour tous et près de 970 millions de personnes dans le monde vivent avec des troubles mentaux, dont 82% vivent dans les pays en voie de développement. Plusieurs gaps entravent le développement et l’accès aux soins de santé mentale : parmi les principaux figurent la faiblesse des financements, la pénurie en ressources humaines qualifiées, la difficulté d’accès aux soins et la méconnaissance des troubles mentaux. D'après le Docteur Achour AIT MOHAND du Programme AMAGARA MU MURYANGO, plus de 70% des patient.es présentant des troubles mentaux graves ne reçoivent aucun traitement dans les pays en développement. Les participant.es à l’atelier de formation ont constaté que l’intégration des soins de santé mentale dans les soins de santé primaires au Burundi, avec l’appui des partenaires, a franchi des étapes importantes marquées particulièrement par le développement de directives nationales, la définition de normes nationales pour les soins de santé mentale, la formation de nombreux prestataires de santé dans les HD et les CDS et la communauté, la révision de la liste nationale des médicaments essentiels intégrant les psychotropes et leur niveau de prescription, la disponibilité des psychotropes et la sensibilisation de la population.Cette formation a été l'occasion d'aborder avec les participant.es la célébration de la journée mondiale de santé mentale qui se déroulait le 10 octobre 2023. Le thème de cette année recommandé par la Fédération Mondiale pour la santé mentale est « La santé mentale est un droit humain universel ». Au cours des discussions, les participant.es ont plaidé pour l’urgence du renforcement de l’intégration des soins de santé mentale au plus près des communautés en vue de renforcer l’accès aux soins.      


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    Burundi BDI21002

  • Mali: Pérenisation des infrastructures d'eau et d'assainissement, les acteurs se concertent

    Mali: Pérennisation de l'accès à l'eau potable, les acteurs se concertent


    Nènè TRAORE | 03/11/2023

    La gestion efficace des infrastructures est un point clé pour le développement durable dans nos communautés. Dans cette optique, un atelier de réflexion a été récemment organisé du 26 au 28 octobre 2023 à l’Hôtel TITI de Fana par Enabel, à travers le PEPAK réunissant les acteurs clés impliqués dans la gestion de l’eau potable des centres d'Adduction d'Eau Potble (AEP)/Adduction d'Eau Sommaire (AES) de Dantia, N’djibala, Kanfara-Timini, Kounambougou et N’djiguela dans le cercle de Dioila et quelques personnes du projet pour discuter des défis actuels et des stratégies futures pour gérer les infrastructures de manière efficiente et durable. Cette rencontre a débuté par une série d’allocations des collectivités qui ont toutes apprécié et souligné l'importance de ce genre de rencontre. À la date d’aujourd’hui, le PEPAK a réalisé et rendu fonctionnel 11 AEP/AES et 36blocs de latrines (02 blocs à trois cabines, soit au total 108 cabines) dans les centres.Les AEP/AES sont en marche et parviennent à couvrir les besoins en eau potable de la population des zones concernées. Cependant, après plusieurs mois de mis en œuvre, des constats ont été faits sur le fonctionnement dans certains villages qui méritaient encore des éclaircissements et des accompagnements. Les intervenants ont commencé à mettre en avant l'importance de revoir les forces et faiblesses de chaque centre pour pouvoir identifier les facteurs de blocage. Une des questions clés abordées lors de ces échanges était la réticence des communautés aux paiements du service public de l’eau potable. Dans tous les villages, les Associations d’Usagers d’Eau Potable (AUEP) ont été mis en place pour la gestion des infrastructures des points d’eau, y compris celles qui existaient avant le projet.  Il avait été question de mettre ces points d’eau sous la gestion des AUEP pour une gestion optimale, mais force est de constater que cela tardait à venir.   Comment pouvons-nous maximiser l'utilisation des points d’eau existants plutôt que de fermer les ceux disponibles avant le projet ?     Les participants ont discuté sur les facteurs de blocage de durabilité des ouvrages (PMH/AEP/AES) et les solutions possibles dans différentes AEP/AES. Il a été également question de clarifier le contrat d’affermage avec la mairie ; Dégager des mesures appropriées pour le paiement correct du service public d’eau provenant de n’importe quel type de Point d’Eau Moderne (PEM).   Enfin, les participants ont dégagé les mesures appropriées pour le paiement du service public d’eau provenant de n’importe quel type de point d’eau moderne. Aussi, un accent a été mis sur l'importance de la collaboration entre les différents acteurs, y compris les intercommunalités, les services techniques concernés et les élus pour surmonter les défis de gestion d'infrastructure. L’accroissement des séances de sensibilisation sur l’importance de l’eau potable et la nécessité de la vente du service de l’eau potable ont été une recommandation pour remédier à ces difficultés.   En conclusion, l'atelier de réflexion avec les acteurs pour une gestion durable et pérenne des ouvrages d’eau et d’assainissement a été une étape importante dans la recherche de solutions durables pour les défis actuels.      


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    Mali MLI1805311

  •    L'huile de palme N`wo BALOLAM de la région de Cacheu pourrait devenir une marque collective

    Guineé-Bissau: L'huile de palme N`wo BALOLAM pourrait devenir une marque collective


    Isabel NUNES CORREIA | 01/11/2023

    Protéger la production de ce produit de la région de CacheuLe 24 octobre 2023, la Fédération N`wo BALOLAM de la région de Cacheu a présenté à l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), sa proposition d'enregistrement de l'huile de palme en tant que marque collective. La réunion était organisée par le Groupe de Recherche et Développement Rural (GRDR). Le groupe souhaite protéger la qualité et l'origine du produit et obtenir des certifications internationalement reconnues attestant de la durabilité et de la responsabilité environnementale dans la production de cet important produit de la région.  "La marque collective permettra aux consommateurs d'identifier facilement les produits de cette région, en garantissant l'authenticité, la qualité et l'origine de notre huile de palme", a déclaré Mme Patrícia Sanha, présidente de la fédération N`wo BALOLAM. Selon la coordinatrice du projet, Mme Alucia Gomes Có, l'enregistrement de l'huile de palme N`wo BALOLAM en tant que marque collective constituera une étape importante pour les producteurs de la région et pour toute la communauté. En plus de créer davantage d'opportunités d'emploi pour les jeunes et les femmes, cela encouragera également la commercialisation internationale du produit.  La réunion visait à présenter le nom et la marque du produit afin d'en garantir la protection juridique et la reconnaissance exclusive auprès de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle.  Cette activité s'inscrit dans le cadre de l'objectif du projet RESET qui vise à améliorer l'intégration des jeunes Guinéens sur le marché du travail et à faciliter la création de nouvelles micro-entreprises. Le projet RESET est une initiative financée par l'Union européenne et mise en œuvre par Enabel, l'Agence belge de développement, en collaboration avec le gouvernement de la Guinée-Bissau.   


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    Guinea-Bisáu GNB180011T

  • Mali: Pérennisation de l'accès à l'eau potable

    Mali: Pérennisation de l'accès à l'eau potable


    Nènè TRAORE | 31/10/2023

    L'accès à l'eau potable constitue un réel défi pour les populations de la région de Koulikoro. Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d'Amélioration de l'Accès à l'Eau Potable et à l'Assainissement dans la région de Koulikoro (PEPAK) sur la période 2019-2023, il était prévu la réalisation de 18 adductions d'Eau Potable /Adduction d'Eau Sommaire (AEP/AES) et 36 blocs de latrines communautaires.A  la date d'aujourd'hui le PEPAK a réalisé et rendu fonctionnel 11 AEP/AES et 22 blocs de latrines dans les centres. A la réception provisoire de ces ouvrages réalisés et avant la remise des clés, plusieurs recommandations furent faites aux autorités locales et villageoises qui sont pour la plupart d'ordre lié à la gestion et au fonctionnement des ouvrages. Les AEP sont en marche et parviennent à couvrir les besoins en eau potable de la population des zones concernées. A travers cette vidéo, découvrez comment les associations d'usagers d'eau potable s'organisent pour servir leur communauté en eau potable


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    Mali MLI1805311

  • L’Agence Nationale de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis ou Confisqués désormais opérationnelle grâce à l’appui d’Enabel

    L’Agence Nationale de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis ou Confisqués désormais opérationnelle grâce à l’appui d’Enabel


    Geoffroy ZONGO | 30/10/2023

    Enabel, à travers le Projet d’appui au renforcement de la justice pour lutter contre l’impunité (PARJI), financé par l’Union européenne, a fait don de matériels informatiques, d’équipements bureautiques et de moyens roulant à l’Agence Nationale de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis ou Confisqués (ANAGRASC). La cérémonie de remise officielle du don est intervenue le jeudi 19 octobre 2023 au siège de l’ANAGRASC à Ouagadougou. Elle a été présidée par Maître Edasso Rodrigue BAYALA, Ministre de la justice et des droits humains, chargé des relations avec les institutions, Garde des Sceaux. Il avait à ses côtés, François DESSAMBRE Country Portfolio Manager d’Enabel au Burkina Faso et Karsten Mecklemburg, Conseiller politique de l'Union européenne au Burkina Faso. Le Burkina Faso a créé l’Agence National de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis ou Confisqués (ANAGRASC), suivant décret N°2023 – 0263/PRES-TRANS/PM/MEFP/MJDHRI du 21/03/2023 portant approbation des statuts de l’Agence. Cette création est l’aboutissement d’un processus au cours duquel Enabel a fait un large plaidoyer auprès du Ministère de la Justice et des Droits Humains, chargé des Relations avec les Institutions pour que cette structure, importante dans la lutte contre les crimes économiques et financiers puisse voir le jour.Enabel, à travers le PARJI, dans sa dynamique d’apporter sa contribution à la lutte contre l’impunité de manière générale, et contre les crimes économiques et financiers en particulier, a décidé d’accompagner l’opérationnalisation de cette structure, à travers un appui matériel et technique.C’est dans le cadre de cet appui matériel que le PARJI, mis en œuvre par Enabel et financé par l’Union européenne, a doté l’ANAGRASC d’un ensemble de matériel constitué essentiellement de fournitures de bureau, de moyens roulants à deux roues, de mobilier de bureau et de matériel informatique estimé à plus de trente millions (30.000.000) F CFA. Dans une seconde phase, des appuis techniques permettront de renforcer les capacités du personnel de l’ANAGRASC afin de lui permettre d’être très rapidement en capacité de répondre aux attentes des juridictions du Burkina Faso.Cet appui pour améliorer l’efficacité de la chaine pénaleEn effet, un des axes importants du PARJI consiste en l’amélioration de l’efficacité de la chaîne pénale dans son ensemble et particulièrement de la chaîne pénale spécialisée dans la répression des infractions économiques et financières et de la criminalité organisée.Ainsi, le Burkina Faso à l’instar d’autres pays de la sous-région, a pris plusieurs mesures institutionnelles et légales pour faire face à la montée de la criminalité organisée et du terrorisme. Il s’agit notamment de la création de pôles judiciaires spécialisés dans la répression des infractions « dites de très grandes complexité » en matière économique et financière et de criminalité organisée (PJS-ECOFI) au sein des Tribunaux de Grande Instance (TGI) Ouaga I et Bobo-Dioulasso. La création de l’ANAGRASC qui a pour mission d’assurer, sur l’ensemble du territoire et sur mandat de justice, au cours d’une procédure pénale, la gestion de tout bien, quelle que soit sa nature, saisi, confisqué ou faisant l’objet d’une mesure conservatoire, à l’exception des biens régis par des textes spéciaux, est donc une continuité des mesures institutionnelles et légales prises.L’opérationnalisation de l’ANAGRASC est donc un pas en avant dans la lutte contre la criminalité économique et financière et la criminalité organisée qui entrainent un grand flux financier illicite avec des tentatives incessantes de dissimulation ou de blanchiment de capitaux à travers des biens de grandes valeurs dont la saisie ou la confiscation se révèle très souvent nécessaire au cours de la procédure judiciaire.Il permettra de rendre la criminalité organisée et le crime économique et financier non rentable, luttant ainsi efficacement contre l’impunité en la matière.


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    Burkina Faso BFA20003

  • Enabel Mauritanie participe à la rencontre annuelle 2023 du Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) au Burkina-Faso

    Enabel Mauritanie participe à la rencontre annuelle 2023 du Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) au Burkina-Faso


    Aminata KANE | 26/10/2023

    Son Excellence Monsieur l’Ambassadeur du Royaume de Belgique, Jean-Jacques QUAIRIAT, a présidé le 10 octobre 2023, la cérémonie d’ouverture de la rencontre annuelle 2023 du Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS). Notre Conseillère stratégique a participé a cet événement en représentant la Mauritanie. L’objectif global de la rencontre annuelle est d’identifier les voies et moyens pour une mise en œuvre concertée et cohérente du PTCS en vue de contribuer à lui assurer un impact certain et durable. Elle est organisée par le volet régional du PTCS d'Enabel et placée sous le thème : « PTCS-Enabel : Quelles stratégies d'apprentissage et de capitalisation pour un impact durable ? »Cette rencontre qui s’est tenu du 10 au 12 octobre 2023 dans la ville de Ouagadougou regroupe les équipes des différents volets nationaux ainsi que des collègues Enabel venus de Bruxelles. Pour cette année la Mauritanie bien que ne faisant pas partie du PTCS a été invitée à partager son expérience sur la lutte contre la désertification et les effets du changement climatique.La discussion s'est centré sur les perspectives et les prochaines étapes liées à la mise en œuvre du PTCS (Programme Thématique Climat Sahel). Voici un résumé des points abordés par notre expert stratégie Guedie Kane.Pour ce qui est des perspectives, les sujets mis en avant sont :Mise en avant du projet de système alimentaire; Capitalisation des expériences liées au SIG (Système d'Information Géographique) et aux télédictions pour soutenir l'initiative de la Grande Muraille Verte; Promotion du PRADEP régional; etSynergie avec le point focal/NDT (Nationale de Développement Territorial) du Ministère de l'Environnement pour partager des expériences et impliquer les collègues de la Mauritanie dans les différentes conférences prévues.Concernant la session de brainstormingDiscussion sur la manière dont le PTCS peut influencer, catalyser et inspirer le verdissement des nouveaux porte feuilles pays ou d'autres projets d'Enabel, en se basant sur le cas de la Mauritanie;Exploration des bonnes pratiques environnementales et des mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre à promouvoir dans le cadre du Portefeuille Thématique Climat Sahel pour servir d'exemple. Pour finir l'Approche thématique et régionale :Identification des actions concrètes à mettre en œuvre par les différents volets du PTCS pour démontrer la plus-value de cette approche tant au niveau thématique que régional; Réflexion sur la stratégie, les outils et les canaux de communication à déployer pour augmenter les chances du PTCS d'influencer, catalyser et inspirer le verdissement des nouveaux porte feuilles pays ou d'autres projets d'Enabel.L'ensemble de ces discussions vise à maximiser l'impact du PTCS en matière de développement durable et de lutte contre le changement climatique, en utilisant diverses approches et pratiques environnementales.


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    Mauritania MIE170031T

  • Au Bénin, une marche organisée par Enabel a mobilisé les institutions de la Team Europe pour la santé des femmes

    Au Bénin, les équipes d'Enabel et des partenaires ont participé à la « Marche Rose » pour sensibiliser au dépistage du cancer du sein


    Reece-hermine ADANWENON | 25/10/2023

    Octobre Rose est une campagne annuelle de sensibilisation au dépistage du cancer du sein. Chaque année, du 1ᵉʳ au 31 octobre, de nombreuses actions de sensibilisation sont menées dans le but d'informer les gens sur l'importance du dépistage précoce du cancer du sein et de récolter des fonds pour la recherche scientifique.  La forte pluie qui s’est abattue le 17 octobre dernier sur Cotonou n’a pas freiné les participant·es de la « Marche Rose » organisée par Enabel avec l’appui technique et financer de l’Agence Française de Développement (AFD). Pour sa 2ᵉ édition, la marche a mobilisé le personnel d’Enabel ainsi que celui des institutions de la « Team Europe » à savoir la Délégation de l’Union Européenne, l’Ambassade de la Belgique au Bénin, l’Agence Française de Développement, la Coopération Luxembourgeoise au développement (LuxDev), les Organisations non gouvernementales (ONG), le ministère de la Santé et ses directions centrales et départementales. Un beau succès : pas loin de 120 participant·es ont marché 8 km depuis l’hôtel Azalai pour terminer la marche au pied de la statue de l’Amazone de Cotonou. La marche est une opportunité pour les partenaires au développement intervenant dans le secteur de la santé de montrer et de renouveler leur engagement pour la lutte contre les cancers féminins : sensibiliser, informer les communautés afin d’amener les femmes à penser au dépistage précoce des différents types de cancers féminins et principalement celui du cancer du sein.


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    Benín 2204BEN

  • Improving standards of meat handling in Rwanda:  Study tour for slaughterhouse operators

    Improving standards of meat handling in Rwanda: Study tour for slaughterhouse operators


    Denise NSANGA | 24/10/2023

    Six meat value chain actors from different meat processing companies in Rwanda conducted a study tour to Nairobi, Kenya from 16-20 October 2023. Facilitated by PRISM-Enabel project, the study tour aimed at enabling meat processors to learn best practices and foster collaborations to improve standards of meat handling. Meat safety is a concern to actors in the hospitality industry, groceries and consumers. Poor standards of hygiene during slaughtering or carcass handling result in unacceptable levels of physical, chemical, and microbial contamination of meat that reduces shelf-life and compromises food safety. The study tour was a great opportunity for the pig and poultry value chain actors to acquire necessary skills in slaughtering, cutting, handling, and processing of the pork and chicken, to deliver in compliance with international food safety standards and regulations. Prior to this study tour, in a collaboration between Rwanda Agriculture Board (RAB) and PRISM-Enabel project, meat handlers (butchers, processors and chefs) had benefited from capacity building to enhance their skills in the art of meat processing and handling with compliance to international food safety standard and regulations in the pork and chicken from slaughtering to the table.


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    Ruanda RWA19007

  • Au Bénin, Enabel contribue à la formation en SONU de près de 1500 agents de santé

    Au Bénin, Enabel contribue à la formation en soins obstétricaux et néo-natals d’urgence de près de 1500 agent·es de santé


    Reece-hermine ADANWENON | 24/10/2023

    La Direction départementale de la Santé de l’Atlantique au Bénin, abrite depuis 2021 un joyau peu ordinaire. Il s’agit du centre de formation didactique sur les soins obstétricaux et néo-natals d’urgence (SONU). Depuis sa mise en place, plus de 1500 soignant·es y compris les sage-femmes, les infirmières et les gynécologues, ont vu leurs compétences et capacités renforcées. Pour accompagner les initiatives du Ministère de la Santé dans le cadre de l’amélioration des soins obstétricaux et néo-natals d’urgence, Enabel via le projet P@SRIS a contribué à la mise en place du centre SONU d’Allada. Au Bénin, la faible qualité des soins obstétricaux et néo-natals d’urgence est l’une des causes de la mortalité maternelle et néo-natale. Le manque de ressources humaines qualifiées, y compris des infrastructures qui ne sont pas aux normes, ne permettent pas de prodiguer des SONU de qualité.Enabel s’associe ainsi au gouvernement du Bénin pour améliorer la disponibilité et la qualité de l’offre des SONU dans ses zones d’intervention. Ensemble, ils agissent sur deux axes principaux, à savoir le renforcement de la compétence des prestataires des maternités et du plateau technique ainsi que la mise aux normes des infrastructures.Le centre SONU d’Allada (installé dans le département de l’Atlantique) est entièrement équipé de matériel didactique et de démonstration (modèles anatomiques). Il sert de cadre d’apprentissage et de recyclage aux prestataires des maternités (dans des fonctions SONU) avec la perspective d’installer un centre de simulation SONU dans chaque zone sanitaire. Le centre est utilisé par les mentors et les mentorées de toutes les zones sanitaires du département et est parfois sollicité par d’autres zones sanitaires pour des activités de renforcement de capacités. Ce modèle de renforcement des compétences vise à limiter les absences de longue durée des prestataires dans les maternités tout en étant efficace. Le modèle est recommandé par le Ministère de la Santé qui demande à d’autres Partenaires Techniques et Financiers de suivre l'initiative d'Enabel. 


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  • Economie verte et transition écologique : Enabel soutient les initiatives des jeunes et des femmes dans 13 communes du Burkina Faso

    Economie verte et transition écologique : Enabel soutient les initiatives des jeunes et des femmes dans 13 communes du Burkina Faso


    Geoffroy ZONGO | 24/10/2023

    Enabel, à travers le Portefeuille Thématique Climat Sahel (PTCS) – Volet Burkina Faso, a initié un Projet intégré d’appui aux micro-initiatives des jeunes et femmes dans le domaine de l’économie verte et de la transition écologique dans les régions du Plateau central, du Centre-Est et du Centre-Nord. La mise en œuvre des activités du projet est confiée au consortium LVIA, OCADES Caritas Burkina et Green Cross Burkina Faso. Le consortium a procédé au lancement officiel du projet le mardi 17 octobre 2023 dans la commune de Koupèla. Le projet a pour objectif de contribuer à l’émergence d’initiatives durables dans le domaine de l’économie verte et de la transition écologique portées par les jeunes et les femmes des 13 communes d’intervention du PTCS – Volet Burkina Faso. En effet, il est attendu de ce projet deux résultats majeurs : (1) 120 micro-entrepreneurs ont démarré ou renforcé une activité économique dans le domaine de la valorisation des déchets et des plantes invasives au niveau des retenues d’eau ; (2) 20 organisations paysannes ont amélioré leurs capacités productives et leurs revenues et ont adopté de bonnes pratiques agroécologiques de recyclage des déchets organiques en compost et d’utilisation du compost.La cérémonie de lancement officiel du projet a réuni les Présidents de Délégations Spéciales (PDS) des 13 communes concernées, des Présidents de Conseils villageois de développement, des représentants d’associations et d’ONG intervenant dans les domaines de l’économie verte et de la transition écologique. L’atelier a permis aux participants de prendre connaissance du projet, notamment ses objectifs, ses activités et le planning de mise en œuvre de ses activités. Ils ont émis des avis et des interrogations qui vont permettre au consortium de pouvoir prendre en compte les attentes et les besoins réels des populations sur les deux thématiques touchées par le projet. Ils ont également formulé des recommandations à l’endroit des membres du consortium pour s’assurer de la bonne mise en œuvre du projet. Les PDS, les autorités régionales et provinciales ont rassuré de leur engagement à accompagner l’équipe du projet pour sa réussite effective. La réalisation d’une cartographie des acteurs et organisations bénéficiaires a été confiée aux participants, notamment les PDS des 13 communes.Le Projet intégré d’appui aux micro-initiatives des jeunes et femmes dans le domaine de l’économie verte et de la transition écologique dans les régions du Plateau central, du Centre-Est et du Centre-Nord a une durée de 36 mois. Il est financé par le Royaume de Belgique à plus de 600 000 euros, soit plus de 393,5 millions de F CFA.


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    Burkina Faso BFA21001

  • Au Bénin, la convention spécifique de Coopération bénino-belge (2023-2028) signée !

    Au Bénin, la convention spécifique de coopération bénino-belge (2023-2028) est signée !


    Reece-hermine ADANWENON | 23/10/2023

    Le Ministre de l’Économie et des Finances en charge de la Coopération, le Ministre d’État, Monsieur Romuald Wadagni et l’Ambassadrice de la Belgique au Bénin, Madame Sandrine Platteau, ont procédé le lundi 23 octobre 2023 à la signature de la convention spécifique de coopération entre le Bénin et la Belgique pour la période 2023-2028. Cette séance s'est déroulée à l’issue de la session annuelle du Comité Mixte Paritaire de Concertation (CMPC) bénino-belge dans la salle de conférence du Ministère de l’Économie et des Finances. Au cours de la session, les responsables des différents programmes/projets financés par la Belgique et mis en œuvre par Enabel (portefeuille bilatéral - période 2018 à 2023) ont présenté les actions réalisées, les résultats obtenus et les leçons apprises. De même, les interventions prévues dans le cadre du nouveau portefeuille (- période 2023-2028) ont été présentées aux membres du CMPC.Ce nouveau programme de coopération qui sera lancé à partir du mois de novembre 2023 vise à contribuer à la résilience aux chocs économiques, alimentaires, environnementaux, sécuritaires et sanitaires des populations vulnérables et plus particulièrement des jeunes et des femmes, pour permettre le développement du capital humain au Bénin. 


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    Benín 2204BEN