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A Gemena, la formation des forgerons continue à apporter beaucoup aux apprenants.
Julie CLAASSENS | 11/10/2017
Dans le cadre de son appui au renforcement de la filière informelle d’artisans forgerons à Gemena, le projet EDUMOSU avait fait appel à un expert en forge venu de la Belgique, pour former les forgerons formateurs, qui à leur tour poursuivent l’œuvre de former les jeunes apprenants. Les forgerons sont organisés au sein de l’Association des Forgerons de Gemena (AFG). En ce moment, la formation se poursuit avec 8 apprentis sur des différentes techniques de forge. L’atelier a commencé le 25 septembre, se clôturera le 3 novembre et l’organisation se déroule de la manière suivante: les trois premiers jours de la semaine sont consacrés aux formations théoriques et les autres jours les apprenants sont affectés dans les ateliers des forgerons formateurs, dans le but de se familiariser avec toutes les réalités pratiques du travail. A la fin de cette formation les apprentis seront capables : d’installer un atelier de forge selon les normes requises; fabriquer les brides ; observer quelques règles de sécurité et de protection pendant le travail de forge ; fabriquer des outils de travail à chaud en maitrisant les techniques de refroidissement (burin, pince, …) ; fabriquer le foyer amélioré ‘feu de l’équateur’ dans le cadre de l’économie du bois de chauffe et de la protection de l’environnement.
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Marchés publics passés par la CTB au cours de l'année 2015-2016-2017 dans le cadre du PAIR
Guido COUCK | 10/10/2017
Marchés publics passés par la CTB au cours de l'année 2015-2016-2017 dans le cadre du projet d'appui institutionnel au processus de regionalisation au Mali
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L’atelier sur le palmier dattier pour la pérennisation des Oasis au Maroc
Meriem HILALI | 06/10/2017
La première édition de l'atelier national sur le palmier dattier se tient en ce vendredi 06 octobre 2017 au siège de la province de Zagora au sud du Maroc. Le palmier dattier joue un rôle important permettant le développement économique et social des oasis. Cet atelier est l’occasion pour les participants de présenter leurs activités, partager leurs expériences et discuter de leurs projets dans la filière. Cet événement est organisé dans le cadre deux projets de coopération Maroco-Belge à savoir :Projet de Développement des Filières du Safran et du Palmier-Dattier dans les régions Souss-Massa et Draâ-Tafilalet ; Projet d’appui des groupements d'intérêt économique pour le développement de la filière phoenicicole au niveau des oasis marocaines.
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L’atelier sur le palmier dattier pour la pérennisation des Oasis au Maroc
Meriem HILALI | 06/10/2017
La première édition de l'atelier national sur le palmier dattier se tient en ce vendredi 06 octobre 2017 au siège de la province de Zagora au sud du Maroc. Le palmier dattier joue un rôle important permettant le développement économique et social des oasis. Cet atelier est l’occasion pour les participants de présenter leurs activités, partager leurs expériences et discuter de leurs projets dans la filière. Cet événement est organisé dans le cadre deux projets de coopération Maroco-Belge à savoir :Projet de Développement des Filières du Safran et du Palmier-Dattier dans les régions Souss-Massa et Draâ-Tafilalet ; Projet d’appui des groupements d'intérêt économique pour le développement de la filière phoenicicole au niveau des oasis marocaines.
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L'ambassadeur de Belgique au Kasaï-Oriental, une visite réussie!
Julie CLAASSENS | 02/10/2017
Le jeudi 28 septembre 2017, l’Ambassadeur du Royaume de Belgique en RDC, monsieur Bertrand de Combrugghe, a procédé à la remise officielle aux autorités provinciales du bac Kalelu, réhabilité par le programme de désenclavement dans les provinces du Kasaï-Oriental et de la Lomami PRODEKOR, ainsi que des bâtiments abritant l'Institut Technique Agricole et Vétérinaire de Ngandajika. Les deux initiatives sont financées par la coopération bilatérale belge et les travaux sont réalisés par son agence d’exécution de la coopération au développement, la CTB.Le bac Kalelu est un bac à traille de 20 tonnes, 14 mètres de longueur et 5 mètres de large, jeté sur la rivière Kalelu, qui relie les deux provinces sœurs du Kasaï-Oriental et de la Lomami. Cette liaison est possible grâce à la réhabilitation et à l’entretien par la CTB et la population locale de l’axe routier RN1 (Lukalaba) dans le Territoire de Tshilenge et Ngandajika. Ceci a contribué à l’amélioration de la mobilité des populations, le désenclavement de deux grands bassins de production agricole (Kalelu et Bakwa Mulumba) et aux flux commerciaux.La réhabilitation de ce système de traversée est composée du bac, des pylônes et des massifs d’ancrages pour un montant de 220.000 USD, et accompagné par la mise en place d’un nouveau système de gestion des bacs basé sur la transparence dans la gestion des recettes et de l’épargne pour l’entretien et le renouvèlement de l’infrastructure.La réhabilitation des bâtiments abritant l’Institut Technique Agricole et Vétérinaire de Ngandajika (ITAV Ngandajika), s’inscrit dans le programme sectoriel EDUKOR, c’est-à-dire le cadre de l’appui de la coopération belge au secteur de l’Enseignement Technique et Professionnel en République Démocratique du Congo. Outre l'investissement de près de 635.000 euros dans la réhabilitation des infrastructures (classes, bureaux, ateliers, poulaillers, etc.), de nouvelles constructions ont été réalisées, telles que le laboratoire vétérinaire, l'acquisition de mobilier, d'équipements informatiques, d'outillages pour les ateliers et les laboratoires et du système d'énergie solaire pour les installations. Le programme EDUKOR vise aussi à créer une synergie entre l'école et les mamans de jeunes filles élèves de l'ITAV, grâce à la mise en œuvre de projets d'entrepreneuriat dont la finalité est de s'insérer professionnellement à travers des activités génératrices de revenus. Avec un budget de 80.000 euros EDUKOR finance, suit et coache 3 projets d’entrepreneuriat féminin en fabrication de savon et production d'huile de palme créant ainsi 67 postes de travail pour les mamans des jeunes filles étudiants. Ces mamans entrepreneurs garantiront une amélioration de l'économie familiale, et permettront de subvenir aux payements des frais scolaires de leur filles, garantissant ainsi leur maintien à l’école jusqu'à la fin de leurs études.A travers les réalisations de la CTB, la Belgique réitère son engagement à œuvrer à l’amélioration des conditions de vie des populations les plus démunies.
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Support to One Stop Shops in Vietnam
Erwin DICKENS | 29/09/2017
The Administrative Procedure Controlling Agency (Government Office - Prime Minister Office) requested BTC through OXFAM to give some input on One Stop Shops (OSS) international experiences.Actually, APCA is drafting new guidelines on implementation of OSS. The meeting was presided by the director as well as all deputy directors and 30 staff. BTC proposed a short presentation (20 minutes) which was than followed by a very interesting discussion and exchange of ideas (2 hours).OSS is the result of an organizational development process in which an administration transits from a classical "functional departmental structure” to a front desk - back office service oriented organisation.The main items on the agenda for this reorganisation are :optimising procedures by applying the no-duplication principle, adjusting human resources in line with updated ToR, use of IT tools and finally, the budget implications. Putting in place a successful OSS organisation requires long term effort and vision. Long term means at least a 10 year period before OSS becomes the “new normal”. APCA expressed a lot of interest and assistance of BTC to exchange with counterparts in Belgium, more in particular with the department for Simplification (Dienst Administratieve Vereenvoudiging), BOSA (Digitale Transformatie, P&O) and FeDICT. Furthermore, BTC was asked to comment upon the new draft. BTC support is not only useful for APCA but definitely for the RALG (Responsive and Accountable Local Governance) project where BTC support local governments in improving communication and service delivery towards citizens. It shows our multi-level approach as to enhance sustainability.
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Les femmes au pouvoir à Isangi!
Julie CLAASSENS | 27/09/2017
Maman Ruth, pendant l'atelier de renforcement des capacités en leadership et entrepreneuriat féminin à Isangi: "Je suis présidente d’une organisation paysanne féminine. Au début on avait quelques hommes dans notre organisation, mais cela causait surtout des problèmes: ils tombaient amoureux des membres féminines et voulaient abandonner leurs femmes! Ils nous compliquaient la vie au lieu d'apporter un surplus. Cet atelier était très intéressant pour moi. J’ai de nouveau du courage et de l’espoir. C’est-à-dire: beaucoup de femmes sont convaincues qu’on aura toujours besoin des hommes et qu’on doit pas être trop indépendantes, mais ce n’est pas vrai. Ici j’ai de nouveau appris qu’on est dans le bon et qu’on doit continuer sans se poser trop de questions.Ce qu’on a déjà réalisé ? On gagne de l’argent avec nos activités agricoles et on choisit des projets communs à financer. En ce moment, tout le monde dans mon village dort sur un matelas, plutôt qu'au sol comme auparavant. En plus, toutes les femmes ont des marmites de qualité maintenant, ce qui leur permet de mieux cuisiner. Notre prochain projet consiste en équiper toutes nos maisons d’un toit en tôle. On va y arriver, j’en suis sûre !"
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Du savon Kasaïen pour une meilleure scolarité!
Julie CLAASSENS | 26/09/2017
Sur le territoire de Ngandajika, le programme EDUKOR appuie environ cinq instituts techniques et centres de formation professionnelle, notamment dans la mise en œuvre des filières comme l’agriculture générale, le vétérinaire, la transformation alimentaire, la menuiserie, la mécanique moto, la restauration, le service traiteur et l’imprimerie. En faisant cela, une attention particulière est apportée à l’insertion professionnelle des jeunes sortants, surtout des jeunes filles, afin de construire avec eux leur projet de vie. Tout d’abord des mécanismes et des synergies ont été mis en place, ainsi qu’un projet d’entrepreneuriat avec les femmes des communautés environnantes, qui sont également les mamans des jeunes élèves des établissements appuyés. En ce moment presque septante mamans entrepreneuses fabriquent du savon et de l’huile de palme, une activité génératrice de revenus qui leur permet de subvenir aux payements des frais scolaires de leurs enfants à l’Institut Technique Agricole Vétérinaire de Ngandajika. En plus, il y a encore quatre projets d’activités génératrices de revenus en menuiserie, construction métallique, transformation alimentaire et petit élevage qui ont été installés. Les participants sont renforcés en entrepreneuriat, comptabilité et formation technique. Finalement, six projets d’auto-emploi pour les sortants de 2016 ont également reçu ce même appui pour mettre en œuvre leur microentreprise en menuiserie, culture maraichère et élevage de lapin. Avec un budget de 145 000 euros, EDUKOR a pu impulser, financer, suivre et coacher ces treize projets, créant ainsi cent-dix-sept nouveaux postes de travail et améliorant l’économie familiale de nombreuses familles dans la zone d’intervention, en offrant de meilleures perspectives.
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Le Forum Santé
Aïda SECK | 26/09/2017
Revivez les moments forts du Forum Santé au Sénégal, rencontre internationale sur les Innovations pour la Couverture Santé Universelle.
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Les ouvrages hydro-agricoles dans le bassin arachidier au Sénégal - vidéo du projet
Guido COUCK | 25/09/2017
Pour améliorer de façon durable la productivité agricole dans le bassin arachidier, le projet de Bassins de Rétention et de Valorisation de Forages (BARVAFOR), financé par le Sénégal et la Belgique, accompagne les communes bénéficiaires à disposer de ressources en eau plus importantes pour développer de nouveaux moyens de production modernes.Le projet répond ainsi au double enjeu du changement climatique et de l’augmentation de la production vers une réelle sécurité alimentaire au niveau national. Il vise plus particulièrement à renforcer la production agro-sylvo-pastorale dans les régions de Diourbel, Fatick, Kaffrine, Kaolack et Thiès par le développement de la petite irrigation.L’intervention réalise des bassins de rétention des eaux de ruissellement (digues semi-filtrantes et digues de retenue), des digues anti-sel pour protéger et récupérer des terres salées, et le rééquipement de forages dans l’optique d’une valorisation agricole du surplus d’eau mis à disposition.
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AFRICA CODE WEEK TRAINING OF TRAINERS
William YEKA | 25/09/2017
Coding is a blue colour skill essential for the 21st century workforce. This year, BTC Uganda is supporting the extension of Africa Code Week to Vocational Training Institutions (VTIs). Check out what transpired during the Africa Code Week Training of Trainers (TOTs) at Makerere University in Kampala.
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Stringing of power lines in Rwamagana District
Alexis DE HERDE | 25/09/2017
In Rwamagana District (Eastern Province), the Tunisian contractor STEG began last week the stringing of power lines for the Be EARP project. Be EARP is implemented by BTC, in partnership with the Energy Development Corporation Limited (EDCL) of the Rwanda Energy Group (REG) and aims to provide sufficient, reliable and affordable on-grid electricity services for households, priority public institutions and businesses. The first connections are expected to arise in the last quarter of 2017!
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A Isangi, les organisations paysannes sont renforcées en gestion financière et administrative.
Julie CLAASSENS | 20/09/2017
Fin juillet, l’antenne de la CTB basée dans le territoire d’Isangi, situé à 127 de la ville de Kisangani, a organisé un atelier de renforcement des capacités au bénéfice des délégués des organisations paysannes. La formation ciblait principalement les secrétaires et les caissiers de ces organisations, mais aussi les animateurs endogènes, les animateurs ruraux et les chefs de cellules du développement rural des secteurs. Les trente participants, dont dix femmes, ont eu droit à différents modules portant notamment sur la tenue des documents comptables et des supports de gestion administrative comme les statuts, le règlement intérieur, les fiches d’adhésion des membres, etc. L’objectif visé était d’améliorer le fonctionnement des organisations paysannes et la qualité des services qu’elles rendent à leurs membres, ce qui pourra avoir comme conséquences positives l’augmentation de la production agricole et du revenu des ménages, et l’amélioration de l’économie locale, étant entendu que la grande majorité d’organisations paysannes vit des travaux des champs.Comme témoignait un animateur sur place : « Il ne suffit pas d’adopter les bonnes techniques culturales, mais encore faut-il que les organisations paysannes soient bien gérées sur les plans financière et administrative pour qu’elles puissent produire plus et induire ainsi le développement économique local »
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Une étroite collaboration public-privé en Haut-Katanga porte ses fruits!
Julie CLAASSENS | 20/09/2017
En Haut-Katanga, le projet Edukat accompagne des lauréats des écoles techniques à la recherche d'emploi et cela en étroite collaboration avec le secteur privé. Tout d'abord les lauréats sont sélectionnés sur base de critères définis. Ensuite, ceux qui sont retenus assistent à des séances d'information et à des entretiens individuels sur l'emploi salarié et l'auto-emploi. Ultérieurement, ils suivent des formations en recherche d’emploi et, pour les lauréats entrepreneurs, en formulation d’un business plan. Ils acquièrent des compétences très concrètes, notamment comment écrire un CV, par où commencer afin de trouver un travail ou mettre en place leur propre business. De cette manière, petit à petit, les lauréats se préparent à l’environnement de l’entreprise et au marché de l’emploi. L’avant-dernière étape est l’amélioration de certaines de leurs compétences techniques et enfin, cerise sur le gâteau, le stage professionnel que ces lauréats effectuent dans des entreprises sélectionnées. Vu que le Haut-Katanga est une région minière, certaines de ces lauréats font ce stage dans une entreprise du secteur des mines, comme dans le film ci-dessus. En deux ans, Edukat a accompagné environ 200 lauréats et leur nombre croît chaque jour.
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Les radios partenaires de la CTB renforcent leurs capacités en matière de vulgarisation agricole, un beau exemple de C4D.
Julie CLAASSENS | 19/09/2017
Dans le cadre de l’appui au développement agricole, le Programme de Développement Agricole dans la Tshopo prévoit des activités de vulgarisation des techniques agricoles innovantes et plus respectueuses de l’environnement. Et les meilleurs outils de communication disponibles afin de réaliser ces activités sont les radios communautaires. Au cours des mois précédents, les journalistes et les producteurs des cinq radios communautaires ciblées dans les territoires de Banalia, Isangi et Opala ont pris part à un atelier portant sur la production d’émissions de vulgarisation agricole. Au total soixante personnes ont bénéficié de cette formation qui s’est déroulée sur cinq sites correspondant aux cinq antennes de la CTB Tshopo, c’est-à-dire: Banalia, Isangi, Opala, Yanonge et Yatolema. Sur chaque site, douze participants ont été ciblés dont dix animateurs de radio et deux partenaires au développement, comme l’Inspecteur Territorial du Développement Rural, l’Inspecteur Territorial de l’Agriculture, le Chef de Cellule du Développement Rural de Secteur et l’Agronome de Secteur.L’atelier avait un double objectif: d’une part renforcer les équipes des radios en production d’émissions de vulgarisation et d’autre part préparer les agronomes de la CTB et les partenaires concernés à l’animation desdites émissions en tant que personnes ressources.Animé par le chargé de communication de la CTB Tshopo, chaque atelier comportait une partie théorique et une partie pratique. D'abord les participants ont suivi une présentation sur la vulgarisation, la vulgarisation agricole et la démarche à suivre dans la production d’une émission à la radio. Ensuite, ils ont été briefés sur quelques principes de communication dont il faut tenir compte pour faire réussir la vulgarisation.Enfin, pour allier la théorie à la pratique, le groupe a été scindé en deux et chaque équipe a eu à produire une émission qui a été soumis à la critique de l’ensemble du groupe. L’objectif était d’amener le groupe cible à maîtriser la démarche à suivre et la conduite d’une émission en studio.Les deux émissions produites ont été testées sur un groupe réduit de membres d’organisations paysannes avant de les diffuser à grande échelle.Après cet exercice, les espoirs sont permis de voir les radios partenaires produire et diffuser des émissions de qualité en langues locales sur des différentes techniques agricoles qui permettent d’augmenter la production tout en respectant l’environnement, notamment la délimitation d’un champ, le semis en ligne, la rotation des cultures, l’association des cultures, etc.
