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Enabel a organisé le 10 janvier 2025 un atelier de lancement officiel des Projets Lasso Santé et Lasso WaSH dans la ville de Boromo, chef-lieu de la province des Balé. La cérémonie de lancement a été présidée par le Gouverneur de la Région de la Boucle du Mouhoun qui a donné le top de départ officiel de la mise en œuvre des activités des deux projets. Le Gouverneur Babo Pierre BASSINGA avait à ses côtés Marc Duponcel, Chef de la Coopération de la Délégation de l’Union européenne au Burkina Faso, NOORDHOLLAND DE JONG Jozef, Programme Manager à Enabel au Burkina Faso. Mis en œuvre par Enabel, ces deux projets - Lasso Santé et Lasso WaSH - sont financés par l’Union européenne d’un montant total de 11,1 millions d’euros, soit environ 7.281.122.700 FCFA. De façon globale, ces deux projets visent d’une part à « Contribuer à la résilience du système de santé par le renforcement de l’accessibilité, de l'adaptabilité, de l'inclusivité et de la qualité des services de santé pour les populations de la Boucle du Mouhoun » et d’autre part à « Contribuer au renforcement de la résilience des populations en particulier les femmes, les jeunes filles et les personnes déplacées de la Boucle du Mouhoun par le renforcement de la qualité, de l’accessibilité et de l’inclusivité des services d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement ».Selon le Gouverneur de la région d’intervention des deux projets, les objectifs « sont en cohérence avec la vision de développement du pays qui est de renforcer la résilience des populations vulnérables de la région, prenant en compte leurs besoins spécifiques, améliorant leur accès à des services de santé, d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement de qualité. » Avant de souhaiter plein succès aux Projets Lasso Santé et Lasso WaSH et de les déclarer officiellement lancés, le Gouverneur a rassuré Enabel de la disponibilité de l’administration de son ressort territorial à l’accompagner dans la mise en œuvre des activités desdits projets.Les deux projets couvrent 17 villages des communes de Dédougou et de Boromo et les Districts sanitaires des deux communes. Ils s’articulent autour d’une approche territoriale intégrée, une approche basée sur les droits humains et une approche transformatrice de genre. Les bénéficiaires finaux sont les femmes, les hommes, les jeunes filles et les garçons de la région de la Boucle du Mouhoun, y compris les Personnes Déplacées Internes (PDI) et les populations hôtes de la Boucle du Mouhoun ainsi que les personnes vulnérables.
Du 29 au 31 janvier 2025, Enabel, en collaboration avec ses partenaires étatiques, a organisé à Koupéla un atelier de planification des activités pour l’année 2025 des volets santé et genre. Cet atelier avait pour objectif d’échanger sur les priorités de l’année 2025, définies par les acteurs et actrices techniques étatiques des territoires d’intervention du portefeuille bilatéral 2023-2027. Cette planification s’inscrit dans la mise en œuvre du portefeuille et contribue à l’atteinte des objectifs spécifiques de la convention du programme de coopération bilatérale 2023-2027, signée entre le Gouvernement du Burkina Faso et le Royaume de Belgique. L'initiative vise à renforcer l’accès aux services sociaux de base pour les populations vulnérables, en particulier les femmes et les jeunes. Elle a réuni une diversité d’acteurs, notamment des représentants des ministères sectoriels, des services déconcentrés de l’État ainsi que des partenaires techniques et financiers. Au cours de ces trois jours, les participants on évalué les acquis de l’année 2024, analysé les défis rencontrés et défini une feuille de route pour 2025. Un accent particulier a été mis sur l’amélioration des services en santé sexuelle et reproductive (SDRS), la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG) et l’intégration du genre dans les politiques publiques locales. L’atelier a alterné présentations, travaux de groupes et échanges interactifs afin de garantir une planification alignée sur les besoins réels des communautés. Parmi ces priorités identifiées figurent : le renforcement des capacités des acteurs en matière de SDRS et de lutte contre les VBG, l’amélioration de la gouvernance sanitaire et la coordination entre les différentes parties prenantes, la budgétisation sensible au genre pour une meilleure allocation des ressources, l’élaboration d’un calendrier détaillé pour le déploiement des interventions sur le terrain. Les résultats de cet atelier permettront d’assurer un déploiement efficace des interventions d’Enabel en 2025. Une planification détaillée a été élaborée et validée par l’ensemble des participants garantissant ainsi une mise en œuvre cordonnée et efficace des activités sur le terrain. Un suivi rigoureux sera assuré tout au long de l’année afin d’évaluer l’impact des actions mises en œuvre et d’adapter les stratégies en fonction des réalités du terrain. Un rendez-vous a d’ores-et-déjà été fixe pour le mois d’Aout 2025, afin de procéder à une évaluation intermédiaire et d’effectuer des ajustements nécessaires au planning. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Du 29 au 31 janvier 2025, Enabel, en collaboration avec ses partenaires étatiques, a organisé à Koupéla un atelier de planification des activités pour l’année 2025 des volets santé et genre. Cet atelier avait pour objectif d’échanger sur les priorités de l’année 2025, définies par les acteurs et actrices techniques étatiques des territoires d’intervention du portefeuille bilatéral 2023-2027. Cette planification s’inscrit dans la mise en œuvre du portefeuille et contribue à l’atteinte des objectifs spécifiques de la convention du programme de coopération bilatérale 2023-2027, signée entre le Gouvernement du Burkina Faso et le Royaume de Belgique. L'initiative vise à renforcer l’accès aux services sociaux de base pour les populations vulnérables, en particulier les femmes et les jeunes. Elle a réuni une diversité d’acteurs, notamment des représentants des ministères sectoriels, des services déconcentrés de l’État ainsi que des partenaires techniques et financiers. Au cours de ces trois jours, les participants on évalué les acquis de l’année 2024, analysé les défis rencontrés et défini une feuille de route pour 2025. Un accent particulier a été mis sur l’amélioration des services en santé sexuelle et reproductive (SDRS), la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG) et l’intégration du genre dans les politiques publiques locales. L’atelier a alterné présentations, travaux de groupes et échanges interactifs afin de garantir une planification alignée sur les besoins réels des communautés. Parmi ces priorités identifiées figurent : le renforcement des capacités des acteurs en matière de SDRS et de lutte contre les VBG, l’amélioration de la gouvernance sanitaire et la coordination entre les différentes parties prenantes, la budgétisation sensible au genre pour une meilleure allocation des ressources, l’élaboration d’un calendrier détaillé pour le déploiement des interventions sur le terrain. Les résultats de cet atelier permettront d’assurer un déploiement efficace des interventions d’Enabel en 2025. Une planification détaillée a été élaborée et validée par l’ensemble des participants garantissant ainsi une mise en œuvre cordonnée et efficace des activités sur le terrain.Un suivi rigoureux sera assuré tout au long de l’année afin d’évaluer l’impact des actions mises en œuvre et d’adapter les stratégies en fonction des réalités du terrain. Un rendez-vous a d’ores-et-déjà été fixe pour le mois d’Aout 2025, afin de procéder à une évaluation intermédiaire et d’effectuer des ajustements nécessaires au planning. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Du 17 au 19 décembre 2024, Kaya, dans la région du Centre-Nord, a abrité un atelier de formation sur les cadres législatifs et réglementaires des Sociétés Coopératives Simplifiées (SCOOP) et des Sociétés de Cautionnement Mutuel (SCM). Organisé par Enabel à travers son programme OKDD , cet atelier a permis de renforcer les capacités de 43 participants issus d’institutions publiques et privées, ainsi que de la société civile. En rappel, OKDD est un programme qui se concentre sur le développement économique durable et inclusif des territoires. De plus, il vise à renforcer la gouvernance locale et à favoriser une meilleure organisation des acteurs économiques. En promouvant les SCOOP et SCM, OKDD contribue directement à la formalisation des entreprises informelles, un levier essentiel pour l'accès aux crédits, la mutualisation des ressources et la création d'opportunités économiques pérennes. Au cours de ces trois jours, les participants ont exploré des thématiques variées, telles que : les étapes de création et de gestion des SCOOP et SCM ; les rôles et responsabilités des autorités locales dans leur reconnaissance juridique ; les bénéfices économiques et sociaux de ces structures pour la relance des économies locales. Les échanges ont été enrichis par des communications dispensées par les représentants de la Direction Générale du Foncier, de la Formation et de l’Organisation du Monde Rural (DGFORM) , de l’ONG TRIAS et du Haut-commissariat de la province de la Sanmatenga . Ils ont partagé des expériences et des pratiques exemplaires, illustrant le potentiel des SCOOP et SCM à renforcer la résilience économique des communautés. À l’issue des travaux, des recommandations ont été proposées afin que les différentes parties prenantes puissent jouer convenablement leur rôle. Un des participants, M. ZIDA Zalem chef de projet economie verte du consortium Autre Terre - _CEAS Burkina a confié : « Cette formation a clarifié les démarches administratives et légales nécessaires pour transformer nos initiatives informelles en structures reconnues. Nous avons maintenant des outils concrets pour collaborer efficacement avec les autorités locales. »En clôturant cette formation, les organisateurs et participants ont souligné la nécessité de poursuivre de telles initiatives pour encourager la formalisation des structures économiques et promouvoir une relance économique inclusive. Les résultats obtenus à Kaya marquent une étape clé pour le développement économique des communautés du Centre-Nord.Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
Le 17 décembre 2024, Enabel, en partenariat avec la Direction Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi, a organisé des cérémonies de remise de kits d’installation dans les communes de Kaya, Boulsa, Korsimoro et Boussouma. Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Programme d'Appui à la Stabilisation de l’Axe Ouagadougou-Kaya-Dori-Djibo (OKDD). Ce programme est financé par l'Union Européenne avec 10 229 023 euros . Il est mis en œuvre par le consortium Enabel -GIZ. OKDD a pour objectif de renforcer la résilience des populations et de stabiliser la région du Centre-Nord au Burkina Faso. Il vise également à améliorer la cohésion sociale, la gouvernance locale, ainsi qu'à relancer l’économie locale dans cette région. Une composante essentielle de ce programme est la promotion de l’entrepreneuriat inclusif et durable, en particulier chez les jeunes et les femmes vulnérables. Ce volet est destiné à stimuler la création d’emplois décents et à améliorer la compétitivité des entreprises rurales et urbaines. C’est dans ce cadre qu’Enabel et la GIZ, en collaboration avec la Direction Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi, ont accompagné 112 jeunes (dont 74 femmes et 38 hommes) porteurs de projets. L’objectif visé est de permettre le développement de leurs entreprises. Après trois mois de stages pratiques de perfectionnement , les bénéficiaires se sont vu remettre des kits spécifiques adaptés à leurs besoins, favorisant ainsi leur autonomisation et la création d’emplois dans leurs communautés. La cérémonie, présidée par Madame la Directrice Régionale de la Jeunesse et de la Promotion de l’Emploi du Centre-Nord, a rassemblé divers acteurs : bénéficiaires, autorités locales, partenaires techniques et financiers, ainsi que des parrains et marraines. La remise s’est déroulée en trois phases divisées en lot, chaque lot représentant des domaines spécifiques : lot 1 : intrants et équipements d’élevage; lot 2 : équipements solaires et électriques; lot 3 : matériels d’artisanat, quincaillerie et divers. Lors de cet événement, chaque bénéficiaire a signé un engagement pour une utilisation efficace des kits. Les autorités ont profité de l’occasion pour sensibiliser les jeunes sur la bonne gestion des outils reçus. Avec ces kits, il est espéré que : les entreprises portées par ces jeunes soient renforcées, consolidant ainsi les emplois existants ; de nouveaux emplois soient créés au profit des femmes et des jeunes ; les capacités opérationnelles des entreprises soient améliorées, contribuant à une relance économique durable dans la région. Les bénéficiaires ont exprimé leur gratitude pour cette initiative. TAPSOBA Prisca , jeune coiffeuse, a confié : « avant, je manquais de certains matériels dans mon salon de coiffure. Aujourd’hui, grâce à Enabel, mon salon aura fière allure et me permettra d’avoir plus de clientes et je pourrai embaucher des personnes pour m’aider ».Cette cérémonie marque une étape clé dans l’engagement d’Enabel et de ses partenaires en faveur des jeunes et des femmes du Centre-Nord. À travers ce geste, ils réaffirment leur volonté de contribuer à la stabilité et à la résilience socio-économique des populations vulnérables. Diane BABINE (Stagiaire en Communication)
A passionate call to dismantle systemic barriers facing Tanzania’s women and girls dominated a landmark high level policy dialogue held in Kigoma, bringing together over 50 government, civil society and private leaders united to demand urgent action on education and economic justice. Organized by Enabel’s Wezesha Binti (Empower a Girl) project and titled “Advancing Gender Equality: Accelerating Secondary Education and Improving Economic Opportunities for Young Women and Girls” with one rallying cry of no more broken promises. The participants were moved by an emotional testimony from a 17-year-old young mother who defied stigma to reclaim her education. “I want to be a doctor, but my community says I’m ‘spoiled.’ How can I prove them wrong if even teachers don’t know the re-entry rules? she stated, detailing how unclear re-entry policies and teacher bias nearly denied her a chance to continue with her education. Her story is anchored from a presentation by Dr. Wilberforce Meena of Haki Elimu (Right to Education), a leading NGO on education sector in Tanzania, on a study they conducted on Tanzania’s 2021 re-entry policy, allowing teen mothers back to school. While the law revived hope for many teenage mothers when it was introduced in 2021, Dr. Meena revealed glaring gaps that only 12% of schools in the country fully comply with stigma, untrained staff, and inconsistent implementation locking young mothers out of school. “We need nationwide teacher training, community anti-stigma campaigns, and clear guidelines to prevent arbitrary implementation of the re-entry policy.” On the discussion about economic empowerment, the panelists highlighted economic exclusion of women in high-growth sectors like renewable energy and construction despite Tanzania’s push for “greener jobs” in climate-resilient sectors. Women entrepreneurs flagged persistent challenges citing exclusion from male dominated industries, limited access to financing as banks demand collateral, complex business registration processes and punitive tax regimes that discourage formalization of their businesses. They pushed for faster reforms—simplified business licensing, gender-responsive financing, and tax incentives to formalize women-led enterprises. The government through Vocational Education and Training (VETA) centres is tasked with coming up with strategies to attract young women and girls to join Technical and Vocational Education and Training (TVET) programs by revising the curricula to align with job market demands, offering scholarships, childcare support and mentorship led by women. In his closing remarks, Mr. Msafiri Nzunuri, Kigoma’s Regional Community Development Officer and Wezesha Binti regional focal point, pledged collaboration with all stakeholders “We cannot solve these issues in silos. From enforcing anti-GBV laws to supporting women’s markets, this is a collective fight.” He lauded Enabel’s role in fostering dialogue but urged faster action: “Let’s move from talk to tangible change—our girls are watching.” As the teenage mother who stirred the room later said the dialogue was a lifeline: “Today, I feel heard. Maybe now my daughter won’t face the same battles.”
Le 6 février 2025, Gourdiama, près de Kaédi, a accueilli une journée portes ouvertes dédiée à l’approche CEAP « champ-école agropastoral ». Cet événement visait à renforcer les capacités des producteurs locaux grâce à des méthodes participatives adaptées à leurs réalités agroécologiques. Il marquait la fin de quatre mois de formation pour la première cohorte des facilitateurs fourragers dans les régions Sud.ObjectifsRenforcer les capacités des producteurs locaux : Grâce à des méthodes participatives et adaptées.Clôturer la formation : Présenter les acquis des facilitateurs fourragers.Promouvoir l’approche CEAP : Permettre aux non-participants de découvrir et expérimenter les leçons apprises.L'événement a réuni :La participation active des autorités localesÉlus locauxAutorités administrativesServices techniques étatiquesPartenaires au développementOrganisations paysannesActeurs clés du secteur agropastoralLes participants ont souligné l’importance de cette approche pour la souveraineté alimentaire et la résilience face au changement climatique.Activités de la journéePrésentations et visites de sites : Découverte des résultats concrets des champs-écoles.Présentation des acquis : Les producteurs fourragers ont mis en avant de nouvelles techniques adaptées à leurs contextes.Échanges et discussions : Identification de pistes pour diffuser l’approche et capitaliser sur les leçons apprises.Les partenaires ont réaffirmé leur engagement à soutenir cette dynamique, essentielle pour un développement agricole inclusif.Cette journée a été une opportunité exceptionnelle pour renforcer la cohésion entre les facilitateurs, encourager les échanges d’expériences et promouvoir l’adoption de solutions durables au service du développement rural. Merci à tous les participants pour leur engagement en faveur d’un agropastoralisme durable en Mauritanie !
At the Connected Africa Summit 2024, experts and students explain how they build careers in ICT through pathways in education and entrepreneurship.The video features interviews with:Jesca Tracy Wanyony, Erly Sheilla Odhiambo, Angeline Ndanu, students from the Technical Training Institute in Nairobi.Millicent Obara, instructor at the Thika Technical Training Institute in Nairobi.Margaret Wangui, instructor and students from the Nairobi Technical Institute.H.E. Peter Maddens, Ambassador of Belgium to Kenya.Ada Nduka Oyom (Nigeria), Executive Director of She Code Africa.Shamira Ahmed (South Africa), Chair of the D4D Hub civil society and academia advisory group for Africa.Vanessa Onek Tandekwiri, Consultant with Startup Uganda.Video: The Path to Leadership for Women and Girls in ICT | D4D
At the Connected Africa Summit 2024 in Nairobi, Kenya, experts highlight the significant challenges that women and girls face in accessing digital technologies across many African countries, with particular difficulties encountered in rural areas. The video features interviews with:Vanessa Onek Tandekwiri, Consultant with Startup UgandaProf. Ieva Jakobsone (Latvia), Founder of She Rebuilds The World Ada Nduka Oyom (Nigeria), Executive Director of She Code AfricaNoélie Kiswendsida Kouraogo (Burkina Faso), President of Mys'TIC AssociationMalick Tapsoba (Burkina Faso), Expert in entrepreneurship and digital attitudes for the Digital for Girls and Women project, Enabel (Belgium)Onica Nonhlanhla Makwakwa (South Africa), Digital inclusion and gender equality expertVideo:Reducing the Gender Digital Divide | D4D Access
At the Connected Africa Summit 2024 in Nairobi, experts highlight the significant challenges that women and girls face in accessing digital technologies across many African countries, with particular difficulties encountered in rural areas. The video features interviews with:Vanessa Onek Tandekwiri, Consultant with Startup UgandaProf. Ieva Jakobsone (Latvia), Founder of She Rebuilds The World Ada Nduka Oyom (Nigeria), Executive Director of She Code AfricaNoélie Kiswendsida Kouraogo (Burkina Faso), President of Mys'TIC AssociationMalick Tapsoba (Burkina Faso), Expert in entrepreneurship and digital attitudes for the Digital for Girls and Women project, Enabel (Belgium)Onica Nonhlanhla Makwakwa (South Africa), Digital inclusion and gender equality expertVideo:Access to Technologies for Women & Girls | D4D Access
The Digital for Girls and Women project finances initiatives in Belgium, Burkina Faso, and Uganda, aiming to empower women and girls to fully leverage the opportunities presented by today's digital society. The project is founded on the belief that enhancing access to and the effective utilization of digital technologies can empower women economically and socially. In 2021, internet access for women in Africa stood at just 24%, in stark contrast to the 83% in Europe. Least-developed countries (LDCs) reported even lower figures, with only 19% of women having internet access (source: ITU). The gender digital gap poses significant challenges, particularly in the wake of the COVID-19 pandemic, as digital skills become increasingly crucial (source: UN Women). Globally, gender imbalances persist in fields such as ICT specialists, where the gender gap is 82%, and STEM and ICT graduates, with a 65% gap. Machine learning specialists and those in AI see even lower female representation at 12% and 13.83%, respectively[1]. However, this imbalance is more prevalent in the developing world, where access to education is more challenging (source: UN Women). A survey showed that many companies in Sub-Saharan Africa (SSA) recruit internationally for digital talent because of the lack of skilled locals. Nevertheless, SSA anticipates a demand for over 230 million jobs requiring digital skills by 2030, highlighting a pressing need for both basic and advanced digital skills across the region[2]. Furthermore, the project seeks to empower women and girls to assert their digital rights. Digital rights encompass access, use, and control of digital information and technology. The European Commission emphasizes six principles in its declaration on European Digital Rights and Principles, centered on a human-centric vision[3]. The pan-African Declaration on Internet Rights and Freedoms champions openness, freedom of expression, the right to information, knowledge development and access, privacy, personal data protection, and gender equality. This pan-African declaration has garnered endorsement from various individuals and organizations across 47 African countries, including many in Uganda[4]. The D4GW project aims to empower individuals, particularly women and girls, to assert these digital rights amidst the rapid digital transformation taking place in developing countries. The final objective of the Digital for Girls and Women project is focused on mainstreaming of gender-related topics in digital for development (D4D), on Belgian and European level, developing joint approaches and active knowledge sharing. The Gender-strategy developed at the D4D Hub[5] ingrains a gender transformative approach to equality and women’s empowerment into the design and implementation of D4D hub policies, processes and work streams and programs[6]. [1] Perifanou, Maria & Economides, Anastasios. (2020). Gender Digital Divide in Europe. International Journal of Business, Humanities and Technology. 10. DOI: 10.30845/ijbht.v10n4p2. [2] Digital Skills in Sub-Saharan Africa, Spotlight on Ghana, A New Study Explores Digital Skills in Sub-Saharan Africa, International Finance Corporation (World Bank Group), in collaboration with L.E.K. Consulting: digital-skills-report-flyer-5-22-19-web.pdf (ifc.org) [3] European Digital Rights and Principles | Shaping Europe’s digital future (europa.eu) [4] Home | African Declaration on Internet Rights and Freedoms (africaninternetrights.org) [5] Join the Digital for Development (D4D) Hub (d4dhub.eu) [6] Micky Elanga, A transformative and intersectional approach to placing women and girls' rights at the heart of digital development, D4D Hub, Brussels 2024.
Dans le cadre du programme « Promotion du développement de filières agricoles et pastorales durables – RIMFIL », financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Enabel, deux voyages d’études ont été organisés au Maroc du 27 au 31 janvier 2025.Ces missions ont rassemblé dix cadres nationaux impliqués dans la sécurité sanitaire des aliments (SSA) ainsi que cinq professionnels du secteur semencier mauritanien, accompagnés par un expert d’Enabel Mauritanie. Leur objectif ? S’inspirer du modèle marocain pour renforcer les dispositifs nationaux mauritaniens en matière de contrôle qualité des aliments et de production de semences.Ces voyages ont permis aux participants d’explorer le fonctionnement de l’Office National de Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires (ONSSA) et du dispositif national semencier marocain. Ils ont ainsi pu :Affiner leur vision du développement de ces secteurs en Mauritanie,Identifier des pistes de collaboration avec des institutions marocaines,Renforcer les capacités des acteurs mauritaniens, tant sur le plan technique qu’institutionnel,Améliorer le cadre légal pour assurer une meilleure structuration et une efficacité durable du secteur.Ces échanges sont une étape clé vers la consolidation d’un système SSA performant autour de l’Agence Mauritanienne de Sécurité Sanitaire des Aliments et du dispositif semencier national, en vue de promouvoir des produits agricoles et agroalimentaires de qualité sur le marché mauritanien et au-delà. Enabel et ses partenaires poursuivent leur engagement pour un secteur agro-sylvo-pastoral durable et résilient en Mauritanie.
L'INSP s'est engagé dans la formation initiale et continue du personnel de santé avec l'objectif d'améliorer la qualité des ressources humaines au Burundi. Depuis 2018, cet institut propose un Master en santé publique en collaboration avec quelques partenaires dont l'Ecole de santé publique de l'Université Libre de Bruxelles. Cette spécialisation est destinée aux étudiants titulaires d'un diplôme de médecine générale ou d'une licence souhaitant à un niveau supérieur d'étude. Ce programme ambitieux exige une disponibilité d'enseignants de profils variés, notamment en épidémiologie et en gestion des systèmes de santé. Et pour certains modules, des défis d'avoir toutes les compétences localement ont été relevés pour assurer cette formation. Afin de faire face à cela, l'INSP et Enabel via le « Programme d'appui au système de santé à travers l'outil de financement basé sur la performance UE-PASS-FBP3 AMAGARA MU MURYANGO » financé par l'Union européenne ont signé une convention de subventions visant à contribuer à ce Master en sciences de la santé publique. Cette convention vise d'une part à faciliter la mobilité et le séjour des enseignants chercheurs étrangers au Burundi afin de renforcer les échanges des connaissances dans les milieux académiques. D'autre part, ces enseignants externes participeront à l'encadrement des travaux de mémoires des étudiants pour renforcer leur qualité. Selon le Docteur Nzigamasabo Didace, médecin chef de district à Kiremba dans la province sanitaire de Ngozi, qui se spécialise en santé publique, option gestion des systèmes de santé : « cette formation permettra aux bénéficiaires d'avoir une bonne maîtrise du management de district, ce qui leur permettra d'améliorer l'offre des soins et services de santé offerts à la population burundaise ». Un des professeurs visiteur Criss KOBA, enseignant à l'Université de Kinshasa, spécialiste en épidémiologie et gestion des systèmes de santé, estime que les étudiants sont très motivés et engagés dans cette formation. «Le projet de formation auquel j'ai été associé en tant que professeur reste fondamental dans la capacitation des nouveaux experts en santé publique pour le renforcement du système de santé burundais ». Le Conseil National de l'Enseignement Supérieur (CNES) du Burundi a recommandé de renforcer la disponibilité des enseignants dans les universités du Burundi qui répondent aux profils requis dans l'enseignement du Master en santé publique pour tous les cours
L’agence belge de développement, Enabel a signé ce jeudi 23 janvier 2025 un mémorandum d’entente avec le Conseil National du Patronat Burkinabè (CNPB). Un acte qui symbolise l’engagement des deux parties à soutenir l’écosystème entrepreneurial et les acteurs du secteur privé. Cette convention vise également à consolider la contribution d’Enabel au renforcement de l’entrepreneuriat et de la compétitivité économique. La signature est intervenue en marge de la cérémonie d’installation officielle des bureaux régionaux du patronat. Le partenariat entre les deux entités permettra à Enabel, de déployer davantage ses ressources et son expertise en matière de soutien aux petites et moyennes entreprises (PME). Ces dernières représentent un pilier essentiel de la croissance économique et de la création d’emplois au Burkina Faso. Le CNPB, à travers ce partenariat entend renforcer les capacités des entreprises burkinabè et, à leur offrir de meilleures opportunités de financement. Julie Van Der Missen, Portfolio Manager, représentant le Directeur Pays d’Enabel a souligné l’importance de cette collaboration, qui selon elle, confirme l’engagement de son institution à soutenir les entrepreneurs burkinabè en leur permettant de surmonter les défis liés à la croissance et à la compétitivité. Cette collaboration avec le patronat représente également, une étape importante de l’Agence belge de développement pour l’assistance et la promotion du financement des PME ainsi que la promotion de la chaîne des valeurs agricoles. Enabel réaffirme par là son rôle d’acteur stratégique dans le développement économique du Burkina Faso.KABORE Rosine (Stagiaire en Communication)
Le 19 janvier 2025, Enabel au Burkina Faso a participé à l’activité sportive dénommée “10 km de Ouaga”. L’activité est organisée par le Centre Sportif Jean Simporé de Ouagadougou. Cet événement de référence a une fois de plus montré l’importance du dépassement de soi et de la convivialité. Il a rassemblé plus d’un millier d'athlètes, d’amateurs de course à pied, et de nombreuses entreprises et organisations.L’Agence belge de développement (Enabel), a marqué cette journée par une participation active de ses collaborateurs, témoignant de son engagement envers le sport et la cohésion sociale. Pour la IXe édition, une vingtaine de collaborateurs·ices d’Enabel, dont le Directeur Pays, ont fièrement pris le départ de la course. Si l’Agence ne s'est pas distinguée par des podiums officiels, elle a tout de même célébré l’engagement et les efforts de son équipe à travers un classement interne. Les trois meilleurs participants masculins et féminins ont été chaleureusement félicités, soulignant l'importance d’encourager le dépassement de soi au sein des équipes. Au-delà de la performance sportive, Enabel a profité de cette occasion pour renforcer les liens entre collègues. À l’issue de la course, les participants se sont retrouvés autour d’un cadre convivial, où la bonne humeur et le partage étaient au rendez-vous. Ce type d’initiative reflète parfaitement les valeurs portées par l’Agence. De plus, cette IXe édition a été enrichie par des innovations, notamment l’introduction d’une course de 1 km pour les enfants. Une initiative applaudie par Enabel, qui partage cette vision d’un avenir où la jeunesse est encouragée à adopter un mode de vie sain dès le plus jeune âge. En participant activement à cette compétition, Enabel illustre son intérêt pour des initiatives qui favorisent la santé, l’esprit d’équipe et la cohésion sociale. En tant que participante, l’Agence démontre que le sport peut être un outil puissant pour rassembler et motiver les individus. Les vainqueurs du 10 km, chez les hommes et les femmes, ont remporté un trophée ainsi qu’un chèque de 500 000 FCFA, tandis que les deuxième et troisièmes places ont été gratifiées respectivement de 300 000 FCFA et 100 000 FCFA. Les participants à la course de 5 km n’étaient pas en reste, avec des prix en argent et des trophées pour les meilleurs athlètes. Quant à la course des enfants, les trois premiers ont été récompensés par des trophées, l’accent étant mis sur la participation et l’engagement. À travers ces récompenses, l'événement a su combiner reconnaissance des efforts individuels et promotion de la pratique sportive, quel que soit l’âge ou le niveau. Chaque athlète ayant franchi la ligne d’arrivée a ainsi reçu une médaille de participation, symbole d’accomplissement et de persévérance. La IXe édition du “10 km de Ouaga”, marquée par la participation enthousiaste d’Enabel, restera dans les mémoires comme une célébration des valeurs communes de solidarité, de persévérance et d’engagement. BABINE Diane (Stagiaire en Communication)